samedi 31 juillet 2010

LA PLUS GRANDE DES DECOUVERTES N'EST PAS FORCEMENT CELLE QUE L'ON CROIT








James Simpson est l’illustre savant, qui en 1847, introduisit en chirurgie le chloroforme découvert seize ans plus tôt. A ce titre, il reçut les félicitations de ses collègues du monde entier et une petite fête fut organisée pour saluer le mérite du savant.
A la fin de la cérémonie, Simpson se leva pour remercier les médecins des marques d’estime dont il était l’objet et qui le rendaient confus. En terminant son discours, il ajouta : « J’ai fait une plus grande découverte que celle pour laquelle vous m’honorez ». Et devant l’auditoire étonné qui se demandait ce qui allait suivre, ce chrétien convaincu poursuivit : « J‘ai découvert dans la Bible que j’étais un pécheur qui avait besoin d’un Sauveur. Ce Sauveur, je l’ai trouvé en Jésus-Christ dont le sang répandu sur la croix de Golgotha a expié mes péchés, et Dieu m’a pardonné ».
Il n’est pas nécessaire d’être un savant pour faire la même découverte. Tous les humains sont pécheurs. Quels que soient leur âge, leur savoir, leur fortune, leur pays, Jésus offre à tous ceux qui croient en son sacrifice sur la croix du Calvaire, le pardon de leurs péchés et la vie éternelle.
Il est aussi pour vous qui lisez ces lignes.

AS TU FAIT CETTE DECOUVERTE POUR TA VIE ?

vendredi 30 juillet 2010

Un alphabet interressant ! SI TU AS UN AMI COMME CELA DONNE JUSTE SON PRENOM ! Et Toi es tu aussi cet ami pour l'autre ?






Un ami...

A ime que vous lui disiez ce que vous ressentez
B énit le jour où vous êtes rencontrés
C alme vos craintes
D onne sans attendre en retour
E st toujours prêt à donner un coup de main
F ait une différence dans votre vie
G arde ses amis dans son coeur
H armonise vos pensées quand elles se bousculent
I nvite ses amis à se connaître entre eux
J ubile quand vous réussissez
K laxonne devant pour que vous passiez
L it cette liste et pense à vous
M aximise vos qualités
N e juge jamais
O ffre son support
P arle si on vous cache quelque chose
Q uestionne vos certitudes
R emonte votre moral
S ait dire des choses sympas sur vous
T éléphone juste pour dire "Comment ça va?
U tilise les mots justes au bon moment
V ous accepte tel que vous êtes
W eek-end ou pas, il ne vous abandonne jamais
X trêmement indulgent, il pardonne vos erreurs ( avec un faute d’ortographe mais c’est voulu)
Y a-Qu'à, il ne connaît pas, il agit
Z éro problème, il vous aime!

Es tu ok pour l'apprendre ?
Es tu pour ton prochain cet AMI ?
SI TU AS UN AMI COMME CELA DONNE JUSTE SON PRENOM !
A PARTAGER SANS MODERATION...

John WESLEY et la vache






Un jour, le pasteur méthodiste John Wesley (1703-1791) faisait route avec un homme en difficulté spirituelle qui lui faisait part de ses doutes quant à la bonté de Dieu.

" Je ne sais que faire avec les perplexités et les inquiétudes qui m’assaillent " lui confiait-il.

A ce moment même, John Wesley aperçu une vache levant la tête au-dessus d’un mur de pierre.
" Savez-vous " demanda Wesley à son compagnon, "pourquoi cette vache regarde au-dessus du mur ? "
" Non " dit l’homme qui était perplexe.

John Wesley lui dit : " La vache regarde par-dessus le mur parce qu’elle ne peut voir à travers. C’est cela même que vous devez faire avec votre mur de difficultés : regarder par-dessus sans vous y arrêter.

La foi nous rend capables de dominer les circonstances et de regarder à Jésus qui est au-dessus de tout, béni éternellement. "


Source : tiré du Journal de John Wesley

JE NE VEUX QUE LUI ! ET TOI ?




" Tout compte fait éternellement, c'est Jésus que je chanterai ; tout en Jésus, et Jésus en tout "

Autrefois c'était la bénédiction,
Aujourd'hui le Seigneur ;
Autrefois c'était le sentiment,
Aujourd'hui la Parole ;
Autrefois je voulais le don,
Aujourd,hui, le donateur ;
Autrefois je recherchais la guérison,
Aujourd'hui Lui seul.

Autrefois, c'était dur d'essayer,
Aujourd'hui la confiance est parfaite ;
Autrefois un demi salut,
Aujourd'hui le salut est total ;
Autrefois je m'accrochais sans cesse,
Aujourd'hui Il me tient fort ;
Autrefois c'était la dérive constante,
Aujourd'hui, j'ai jeté l'ancre.

Autrefois c'était difficile de prévoir,
Aujourd'hui la prière est confiante ;
Autrefois c'était les soucis angoissés,
Aujourd'hui c'est Lui qui se soucie de moi ;
Autrefois c'était ce que je voulais,
Aujourd'hui c'est ce que Jésus dit ;
Autrefois c'était des demandes constantes,
Aujourd'hui c'est une louange sans fin.

Autrefois c'était moi qui oeuvrait,
Aujourd'hui c'est Lui ;
Autrefois j'essayais de l'utiliser,
Aujourd'hui c'est Lui qui m'utilise ;
Autrefois je voulais le pouvoir, Aujourd'hui le Tout-Puissant ;
Autrefois je travaillais pour moi,
Aujourd'hui pour Lui seul.

Autrefois j'espérais en Jésus,
Aujourd'hui je sais qu'Il est à moi ;
Autrefois mes lampes se mouraient,
Aujourd'hui elles brillent avec éclat ;
Autrefois j'attendais la mort,
Aujourd'hui c'est son retour que j'acclame ;
Et mon espérance est solidement ancrée
A l'intérieur du voile.

Tout compte fait éternellement,
C'est Jésus que je chanterai ;
Tout en Jésus,
Et Jésus en tout.

Poème tiré du livre de Stephen F. Oldord intitulé : "Non pas moi, mais Christ"

jeudi 29 juillet 2010

A NE PAS MANQUER :Larmes d'une femme







En marchant sur le trottoir, un étranger me bouscule en passant près de moi !

"Oh excusez-moi " lui dis-je !

Il me répond : "Je vous demande pardon aussi, je ne vous avais pas vu !
Nous étions vraiment polis l'étranger et moi. Nous avions échangé de belles paroles, et nous avons repris notre chemin en se laissant sur un " Au revoir ! "
Une fois à la maison...
Une histoire différente se passa.

Comment traitons-nous les amours de notre vie... les jeunes et les plus âgés ?
Y avez-vous pensé ?
Plus tard dans l'après-midi, tout en préparant le souper, mon fils arriva derrière moi et resta figé là, sans un mot. En me retournant brusquement, je l'ai fait tomber.
" Pousse-toi de là, " Lui dis-je avec colère, " toujours dans mes jambes " !
Il se retourna et s'en alla le coeur brisé. Je n'avais pas réalisé la peine que je venais de lui faire.
Vers la fin de la soirée, j'allai me coucher et…Dieu de sa douce voix.... me dit :
"Pourquoi est-ce si facile d'être plein de gentillesse envers les étrangers et ne pas être capable de le faire pour les gens près de toi qui t'aiment et que tu aimes ? "
Lève-toi et vas voir sur le plancher de la cuisine. Tu y trouveras un joli bouquet de fleurs près de la porte d'entrée…ce sont les fleurs que ton fils t'avait apportées dans la journée.
Il a cueilli lui-même ces fleurs pour toi : Il y en a de couleur rose, jaune et bleue.
Ce que tu n’as point compris, c’est qu’il était arrivé derrière toi sans bruit pour ne pas dévoiler la surprise qu'il voulait te faire. Mais tu n'as jamais vu les larmes couler de ses yeux quand tu lui as dit de partir. "
Je me levai pour aller voir près de la porte d'entrée et vis le joli bouquet de fleurs par terre.
C'est à ce moment, que je commençai à me sentir vraiment mal, alors mes yeux se remplirent de larmes...Sans faire de bruit, je me rendis près du lit de mon fils et lui dis :
"Réveille-toi trésor, réveille-toi ! " .
"Est-ce les fleurs que tu as cueillies pour moi aujourd'hui ?"
Il sourit et me répondit :
" J’ai trouvé ces fleurs près d'un arbre et je les ai cueillies car je trouvais qu’elles étaient belles….
comme toi maman ! Je savais que tu les aimerais, spécialement les bleues car je sais que tu aimes le bleu."
Je lui dis : " Mon fils, je suis vraiment désolée de la façon dont j'ai agi avec toi aujourd'hui ".
Je n'aurais jamais dû crier après toi comme je l'ai fait ".
Il me répondit : " Oh, Maman, c'est ok. Je t'aime quand même tu sais !"
" Mon fils, je t'aime aussi et j'adore tes fleurs et spécialement les bleues".
Un grand moment de tendresse nous unit alors.

J'ai appris ce jour là, à faire attention à mes proches autant et sinon plus qu'aux étrangers.
Une belle leçon de vie valable aussi pour les hommes

mercredi 28 juillet 2010

A NE PAS MANQUER : Quelle leçon !






La jeune fille consulte rapidement sa montre, il est dix-huit heures. Plus qu’une heure, avant d’être en week-end, même si, quand on travaille le samedi, c’est un petit week-end!

Assise à sa caisse pour enregistrer les achats des clients, Laurence passe les articles d’un geste rapide. Elle garde le sourire, même si la fatigue de la semaine se fait ressentir.

Un couple se présente à sa caisse avec deux adolescents. Ils sortent leurs achats du caddie et les posent brusquement.

Laurence glisse un coup d’œil rapide vers eux et malgré la mauvaise humeur évidente du quatuor, elle lance un courageux bonjour.Elle a pour réponse un silence et des regards ironiques de la part des plus jeunes. Un peu agacée, la caissière les ignore et passe les articles.
Soudain, une bouteille en verre lui échappe des mains malencontreusement, roule et cogne fortement le bas de la caisse, sans se casser pour autant.
- Je suis désolée, dit-elle en rougissant.

- Vous pouvez l’être, lance le père d’un ton hargneux. Si cette bouteille s’était cassée, je ne l’aurais pas payée, croyez-moi!
- Bien sûr que non ! Vous savez, cela arrive parfois, tente d’expliquer calmement la jeune fille.
- Ne cherchez pas d’excuses, mademoiselle ! Quand on est nulle, on est nulle, déclare le monsieur méchamment, alors que ses deux enfants se mettent à rire.

Seule la mère paraît embarrassée par l’attitude de son mari. Elle le regarde plutôt contrariée, mais cela ne semble rien y faire.

- Cinquante-neuf euros soixante, dit Laurence, en s’efforçant de garder son calme.
- Cela vous pose un problème, si je vous règle avec la carte bleue…

Il s’arrête et fixe ses yeux sur le badge de la jeune fille accroché à sa veste.
- Laurence, c’est ça… Laurence la nulle !

Elle le regarde droit dans les yeux et sent cette boule de colère monter dans sa gorge.
- Aucun problème, Monsieur, répond-elle froidement en prenant la carte.
- Et ne la faites pas tomber elle aussi, ajoute-t-il fièrement, en lançant un coup d’œil amusé à ses fils qui rient de plus belle.

Laurence ferme les yeux un instant, elle est tentée de répondre, d’invectiver à son tour ces gens qui se croient tout permis… Elle fulmine intérieurement tandis que l’opération bancaire s’effectue. Cela lui paraît si long. Elle prend le ticket de caisse, la carte bleue et la pose sur la tablette devant elle.

- Très bien, voilà, elle a réussi! Je dois vous applaudir peut-être, demande-t-il en rangeant sa carte. Elle ne peut s’empêcher de sourire devant tant de culot et apparemment cela ne plaît pas à monsieur.

- Elle se moque de moi, lance-t-il en se tournant vers sa femme, alors que le ton de sa voix ne présage rien de bon.
- Mais n’as-tu pas bientôt fini, laisse la tranquille, dit celle ci en tirant son mari.
- Au revoir, dit Laurence.

- C’est ça, au revoir, s’écrie le père en s’éloignant, non mais elle se prend pour qui celle-là?
La jeune femme les regarde s’éloigner, un peu abasourdie par ce qui vient de se passer. La cliente suivante, une vieille dame au regard compatissant semble s’inquiéter pour elle.
- Vous vous sentez bien mademoiselle? Laurence tressaille. Ses mains tremblent de colère contenue.

- Tout va bien, merci! dit-elle en poursuivant son travail.
- Vous savez, il y a vraiment de drôles de gens dans ce monde, chuchote la cliente.
- Ça c’est sûr, répond Laurence en souriant.

Depuis qu’elle travaille dans ce magasin, elle a déjà vécu des situations de ce genre. Mais c’est tellement difficile de prendre sur soi, de devoir se contenir, ne rien répondre, car le client est roi. Et puis il y a autre chose. En tant que chrétienne, Laurence a bien conscience qu’elle doit éviter les affrontements, les querelles. Cela ne sert à rien, sinon la mettre dans une situation difficile.

La jeune caissière termine son travail et rentre chez elle. Son mari Fabien l’attend à la maison et elle s’empresse de lui raconter sa mésaventure.
- Si tu avais vu cet homme, dit-elle en repensant à ce visage fier.
La soirée s’écoule paisiblement.

Le lendemain matin, le jeune couple se prépare pour aller à l’Église. Ils arrivent un peu en avance, comme à leur habitude. La salle se remplit petit à petit et soudain quatre personnes entrent. Le pasteur s’approche pour les saluer. Laurence se tourne un instant et constate, "Oh, surprise!" qu’il s’agit du couple de la veille avec leurs enfants. Elle donne un coup de coude à son mari et lui glisse à l’oreille.

- C’est le couple dont je t’ai parlé, ceux qui sont passés à ma caisse!
- Ce n’est pas vrai?
- Je t’assure!
Ils se regardent, interloqués. C’est vrai qu’il y a toutes sortes de gens dans ce monde, comme l’a si bien dit la vieille dame d’hier, mais de là à penser qu’il s’agit de chrétiens!

À la fin du culte, alors que Laurence et Fabien s’approchent de la sortie, le pasteur les interpelle.
- Venez que je vous présente une famille chrétienne de passage…

Laurence, qui redoutait ce moment, lève les yeux vers eux et… les regards qu’elle croise sont bien penauds, les visages décomposés par l’embarras. Elle pourrait profiter de cette royale occasion, et se venger de leur comportement de la veille, mais apparemment, le fait de se retrouver face à elle semble une leçon suffisante. Le regard honteux du père et son silence en dit long. Fabien leur serre la main comme si de rien était, tandis que le couple attend, figé, la réaction de la jeune femme.

- Nous nous sommes déjà vu hier, à ma caisse explique-t-elle au pasteur, vous êtes en vacances?
- Oui, pour une semaine, répond la mère en s’efforçant de sourire alors que le père de famille est blanc comme un linge.

- Profitez bien, dit Laurence en souriant et que Dieu vous bénisse!
Ils acquiescent en la regardant s’éloigner. Les deux adolescents n’ont pas pipé mot.
-J’espère que cela leur servira de leçon autant qu’à moi, dit la jeune fille en prenant la main de Fabien dans la sienne.
- Pourquoi dis-tu ça?

- Imagine que je me sois laissée aller à la colère hier, j’aurais été comme eux tout à l’heure. Si ça m’arrive une prochaine fois, je sais quelle est la bonne attitude à adopter!
- Ils auraient pu s’excuser quand même, dit Fabien.

- Ce n’est pas grave, ils étaient vraiment mal tu sais, surtout le père. La leçon a été rude. J’aurai pu tout raconter au pasteur devant lui… Je n’aurais pas voulu être à sa place et pourtant cela aurait pu se produire, si j’avais mal réagi moi aussi.

- Tu te rends compte, il avait pensé à tout ce matin, à tout sauf qu’il allait tomber sur toi à l’Église aujourd’hui, poursuit Fabien en ouvrant la portière de la voiture. Toi, Laurence, la caissière qu’il a insultée la veille. Si à chaque fois qu’on se comportait mal avec une personne, on se retrouvait nez à nez avec elle à l’Église, c’est sûr, on ferait plus attention!

- C’est une vraie leçon de Dieu à méditer, constate Laurence pensive, alors que la voiture s’éloigne du parking de l’Église.

mardi 27 juillet 2010

Le jour où Dieu m’a rhabillé à neuf et à la mode






Actuellement comme nous avons acheté une maison en 2006 les finances du foyer sont un peu tirées et cela durant encore 4 ans.
Je vous ai déjà raconté comment Dieu m’a donné le bois pour finir l’hiver et le prochain.
Comment Dieu nous a donné un lit et rhabillé les enfants.
Actuellement nous marchons par la foi nous privilégions Dieu dans nos offrandes pour que l’église dans laquelle nous sommes qui est en phase de reconstruction au niveau des murs mais aussi au niveau des membres progresse, nous avons fait ce choix…
Donc en ce qui concerne l’habillement je ne m’achète rien, nous privilégions les enfants surtout qu’il y a la rentrée des classes à prévoir. En ce qui concerne mes vêtements je n’ai plus que du vieux mais là aussi nous avons remis cela entre les mains du Père et hier avant la réunion de prière sur le « CHAT » d’ACTION PRIERE mon épouse m’appelle pour me dire qu’elle venait de trouver devant chez nous un petit meuble à la poubelle et plein de sacs avec du linge.
Ce matin SURPRISE ENORME… environ 10 Jeans de marques, oui vous entendez bien de la marque pour moi j’en ai jamais et en plus neuf, qui me vont et humour de Dieu à la dernière mode
Idem des chemises qui se vendent chez nous dans un magasin spécial à 40€ l’unité !!!! je n’ai pas compté.
Je suis rhabillé à neuf et je le dois la grande BONTE de NOTRE PERE CELESTE.
J'ai juste à Lui dire MERCI PERE...

L’ÉCHELLE DE LA FOI





Un homme en eût assez de vivre comme un polisson.

Il choisit de s'éloigner de la corruption.

C'est alors qu'il vit l'échelle posée sur la terre,

Et appuyée sur le ciel,

D'où descendaient et montaient des anges. Quel mystère

Qui n'aurait pas envie de faire pareil ? Monter à cette échelle.

Le grimpeur n'en voyait pas le sommet.

Il se dit: "Je vais donner un nom à chacun des barreaux

Cela m'occupera pendant que je monterai;

Ainsi sans m'en apercevoir, j'arriverai en haut."

Il mit son pied sur le premier barreau qu'il nomma:

"foi"

Car dit-il : "pour arriver jusqu'à Dieu, il faut passer par là."

Pour continuer l'ascension, mieux vaut être disposé à
faire le bien.

Cette pensée vient sûrement du Dieu trois fois saint.

Il nomma alors ce nouveau degré :

"vertu".

Là, il s'agit de rester ferme là-dessus.

Pour continuer de progresser avec assurance,

Il est bon de savoir où l'on va.

Alors l'alpiniste prit dans la parole de Dieu qui
l'abreuve,

Tout un savoir, et appela cet échelon:

" connaissance",

Afin de ne pas chuter, ayons la maîtrise de soi

Et

"tempérance "

fut nommé celui-là.

Pour vaincre la pesanteur, attention à la défaillance;

Et un pied décidé fut posé sur:

" persévérance "

Arrivé sur le palier suivant, vers Dieu sont tournées
ses pensées;

Ce fut là, le stade de la

''piété''.

Il se souvient, à un moment, d'avoir eu de la
peine à monter.

Des mains se sont tendues, c’était à la hauteur de
la

"Fraternité".

De son ascension il suit le cours,

Mais il lui semble qu'en un rien de temps

Il est arrivé au terme du voyage...Étonnant !

Il était sur le dernier barreau

'' l'AMOUR''

Une échelle appuyée sur le ciel c'est impossible, alors
levons les yeux,

Et nous verrons qu'elle est tenue en haut par Dieu.

lundi 26 juillet 2010

POUR REFLECHIR « COMMENT REGARDES-TU TON PASTEUR ? … JE VEUX T’INVITER A LE REGARDER AU TRAVERS DES YEUX DE SON EPOUSE ET TU COMPRENDRAS… »






Message anonyme de l’épouse d’un Pasteur… Source « Trop d’abandons dans le ministère ! Par ETIENNE LHERMENAULT »


« Je désire que mon mari sourie à nouveau.
Je veux pouvoir lui parler après le dîner.
J’aspire à ce que notre famille fasse une marche ou sorte faire des achats le samedi.
Je veux être moi et non la femme du pasteur.
Je désire écouter les annonces à l’église et décider de ce que j’aimerais faire.
J’aspire à ce que mon mari rentre à la maison le soir et se repose au lieu de juste recharger ses batteries pour disparaître à nouveau.
Je veux toujours fêter les anniversaires et non seulement quand il n’y a pas de rencontres d’Eglise.
Je veux pouvoir dire ce qu’ils sont aux gens centrés sur eux--‐mêmes et aux propres-justes.
Je veux qu’il rentre le soir et qu’il nous parle au lieu de s’effondrer dans un fauteuil et de revivre silencieusement la visite embarrassante ou difficile qu’il vient de faire.
Je veux que les gens arrêtent de me dire comme ce doit être merveilleux d’être la femme du pasteur pour se plaindre aussitôt de ne pas avoir reçu sa visite depuis des mois.
Je voudrais que les gens qui manquent régulièrement les réunions parce qu’ils ont eu une journée chargée nous laissent occasionnellement manquer une réunion parce que nous avons eu une journée chargée.
Je souhaite qu’il vienne de temps en temps avec moi voir notre enfant nager ou jouer au football.
Je veux qu’il soit mon mari au lieu d’être leur pasteur.
Et je voudrais ne pas me sentir coupable en pensant à toutes ces choses. »

A la fin du poème, il y a un PS: ≪ Ce soir, c’est une de ces soirées ou c’en est trop pour moi. J’espère que vous lirez ceci et que peut-être, vous prierez nous, même si vous ne nous connaissez pas. »

Source « Trop d’’abandons dans le ministère ! Par ETIENNE LHERMENAULT »

Ce que l’Eternel désire…Peux-tu nous dire quel est la plus belle promesse à tes yeux que Dieu a accompli dans ta vie ?





Ce que l’Eternel désire…
… c’est accomplir ses promesses!

"Cependant, l'Éternel désire vous faire grâce, Et il se lèvera pour vous faire miséricorde; Car l'Éternel est un Dieu juste: Heureux tous ceux qui espèrent en lui!...Tu ne pleureras plus! Il te fera grâce, quand tu crieras;
Dès qu'il aura entendu, il t'exaucera." - (Ésaïe 30:18-19)

A la lecture d'Esaïe 30, nous voyons au travers de ces lignes que Dieu juge
la nation, le peuple qui veut l'abandonner au profit de l'Égypte et de ses
fausses promesses.

Croyant trouver du secours plus rapidement en se tournant vers l'Egypte et
son faux culte d'idoles, le peuple d'Israël s'est placé sous le jugement
divin.

Pourtant, Dieu les avertit que ce secours n'est que vanité et pièges
trompeurs ... Loin de les secourir, cet appui ne les amènera qu'à la
destruction...

Au milieu même de ces instants troublants, nous découvrons ce que Dieu désire
vraiment. Il nous dévoile Ses pensées intimes:


Voilà, frères et sœurs, le coeur de Dieu!

Au milieu même de nos angoisses, Il veut
nous faire miséricorde,
- nous faire grâce,
- nous consoler,
- nous entendre,
- nous exaucer!

Cela vaut-il la peine de se tourner vers Lui? De s'abandonner entre Ses
mains? De Le laisser diriger nos vies comme bon Lui semble?

-

Prière : Oui, Seigneur trop souvent j’ai cherché un appui ailleurs alors que tu avais pour désir de me voir me reposer sur Toi… J’ai cru sur ma force mais je n’ai connu que l’échec, et celle-ci a été pour moi, mon Egypte.
Je réalise aujourd’hui combien ma folie a été grande et combien j’ai perdu mon temps en essayant de me sortir avec mes raisonnements des situations pénibles dans lesquelles je me suis débattu en vain… Mais Seigneur, je viens à Toi conscient de mon erreur, mais confiant aussi en ta miséricorde et en ta grâce. Je ne lutte plus avec mes forces et j’abandonne ma confiance en l’Egypte pour sans retour ni détour placer ma foi en Toi mon Dieu qui m’offre encore dans Ton amour son puissant secours. Amen !



Peux-tu nous dire quel est la plus belle promesse à tes yeux que Dieu a accompli dans ta vie ?

3 choses essentielles à savoir





Un vieillard se leva au cours d'une réunion pour dire:
- J'ai mis quarante-trois ans à apprendre 3 choses.
La première, c'est que je ne pouvais rien faire pour mon propre salut.
La seconde, c'est que Dieu ne me demande pas de faire quelque chose pour mon salut.
Et la troisième, c'est que Jésus Christ a tout fait; l'œuvre du salut est accomplie, et la seule chose pour moi est de l'accepter.

Combien d'années avons-nous ou mettrons-nous pour arriver à cette même conclusion?

dimanche 25 juillet 2010

Prends le temps : En toute sincérité peux-tu mettre devant Dieu à quoi tu passes le plus de temps ?









Prends le temps de PENSER
C'est la source de la puissance.
Prends le temps de JOUER
C'est le secret d'une éternelle jeunesse.
Prends le temps de LIRE
C'est la fontaine de la sagesse.
Prends le temps de PRIER
C'est La plus grande des puissances de la terre.

Prends le temps d'AIMER et d'être AIME
C'est le plus merveilleux don reçu de Dieu.
Prends le temps d'être AMICAL
C'est la route du bonheur.
Prends le temps de RIRE
C'est la musique de l'âme.
Prends le temps de DONNER
Le jour est trop court pour être égoïste.
Prends le temps de TRAVAILLER
C'est le prix de succès.


As-tu du temps pour cela, pour Ton Dieu, Pour Toi, Pour ton Frère pour ta sœur, pour ton épouse pour ton mari, pour tes enfants, pour tes collégues, pour tes voisins etc… pour moi… apprenons à donner du temps aux autres et surtout à Dieu ce temps là ne sera jamais perdu ! Que Dieu garde du nombrilisme et de l’égoïsme…
En toute sincérité peux-tu mettre devant Dieu à quoi tu passes le plus de temps ?

samedi 24 juillet 2010

Trois petits chats pour nous enseigner…







les petits chats disent:

je ne vois rien,
Je n'entends rien,
Je ne dis rien ........ A méditer…

Mais attention IL Y A UN DANGER car le chrétien doit selon moi interpréter avec sagesse cette pensée en ce sens…que je me permets d’ajouter au message Annie Der Monsessian Berthalon qui nous invite à le méditer.

Comme les petits chats fermons les aux appels du péché que le monde nous propose chaque instant, soyons vigilant… Mais surtout ne fermons pas les yeux devant la détresse et la misère, soyons à l’image de Jésus épris de compassion…
Jésus regardait et pleurait sur le monde en perdition.

Comme les petits chats bouchons nos oreilles à toutes les voix mauvaises qui là aussi chaque jour nous assomment, la critique, la méchanceté des mots, les paroles insultantes, les murmures qui font du mal à notre prochain ou à l’église, la vois de l’adversaire de nos âmes qui veut notre perte.
Mais sachons ouvrir nos oreilles aux SOS de nos prochains, écoutons les appels de détresses de ceux qui nous entourent qui dès fois poussent des cris sans aucun mot, écoutons la souffrance des autres… nous avons un rôle de témoin à apporter. Ouvrons nos oreilles à la Parole de Dieu et à son conseil…apprenons à être à son écoute et à reconnaître le son de sa voix.

Comme les petits chats n’ouvrons pas trop vite la bouche, dès fois le silence est plus porteur qu’une multitude de mots… Apprenons à écouter et à nous taire. Pas facile de ce taire… mais pour bien entendre il faut le silence.
Pour bien entendre celui qui est en peine il faut faire le silence.
Pour bien entendre la voix de Dieu il faut faire silence.
Soyons aussi capable de parler avec amour et sagesse à ceux qui sont dans l’erreur sans apporter de jugement car Dieu prend en compte le temps de l’ignorance.
Que Dieu nous accorde sa sagesse… dans toutes nos actions

vendredi 23 juillet 2010

MOI, JE...... UN REFLEXION QUE JE TROUVE INTERESSANTE…MAIS LIBRE A CHACUN DE L'APPRECIER !




Je suis loin d'être un docteur en théologie, je ne suis pas allé non plus dans une école biblique, mais je voudrai expliquer à ma façon pourquoi il est si difficile à l'homme de se soumettre à Dieu:
L'orgueil, puisqu'il faut l'appeler par son nom, fait aux hommes la guerre! Il n'est plus à expliquer, la Parole de Dieu nous le dépeint tout au long de ses pages et bien des livres nous expliquent son origine et ses conséquences!
Le mot qui symbolise le plus l'orgueil, c'est: je!....
On entend souvent dire: moi je!
Mais pourquoi l'utilisation de ce mot ''je'' concrétise à lui seul l'orgueil humain?
Dieu dit: «vous êtes des dieux (Psaume 82/6 et Jean 10/34 )!»
je crois que ça arrange beaucoup de monde! Dieu dit aussi: «faisons l'homme à Notre image selon Notre ressemblance! (Genèse 1/26)»,
donc l'homme s'y croit et il ne faut pas lui dire deux fois!! Il s'y croit tellement qu'il domine au mieux son prochain et même ignore totalement son Créateur!....
L'autonomie de l'homme lui permet de se prendre pour Dieu et, de ce fait, de ne plus avoir besoin de Lui! On utilise et on rencontre le mot ''je'' bien souvent inconsciemment!
Si nous décomposons le Nom de Jésus, on obtient 'Jé' et 'sus', c'est à dire: Dieu sauve, ''Jé'' signifierait ''Dieu'' et ''sus'' signifierait ''sauve'', par déduction!
Dieu dit: "Je suis celui qui suis" (Exode 3/14), là aussi, on trouve le mot ''je''.
On rencontre aussi ''je'' dans ''Jérusalem'', Si on le décompose, on obtient: Jé, ru et salem! Cela devrait signifier: ''Dieu, héritage et paix'', c'est fort possible car Dieu dit «bénit soit Israël mon héritage» (Esaïe 19/25).
Le nom ''Jean'' signifie ''ami de Dieu'' et dans ce nom, on retrouve encore le mot ''Je'' qui signifie Dieu, et ''an'' qui devrait signifier ''ami'' par déduction.
Donc, puisque le mot 'JE' signifie Dieu, on comprend mieux son utilisation inconsciente et par conséquent l'orgueil de l'homme! D'ailleurs, certaines personnes en font une utilisation exacerbée qui fait d'eux des personnes qui se mettent toujours en avant et sur qui il faut se concentrer, le contraire semblerait insupportable!....moi JE.......
Tout le monde utilise ce mot ''je'', mais essayons, cher frère ou chère soeur, de ne pas le prononcer en ayant une trop haute estime de soi et, de se fait, de ne pas se prendre pour Dieu, même s'Il a fait l'homme de peu de chose semblable à Lui .
A Lui soit la Gloire!

APPRENONS A METTRE DE COTE LE "MOI JE..."

A NE PAS MANQUER : Les perles de Jenny







'Tu sais, ma fille, si tu les veux vraiment, tu peux faire des choses extra à la maison et en un rien de temps tu auras assez d'argent pour les acheter toi-même. D'ailleurs, ton anniversaire est seulement dans une semaine, tu auras sûrement des sous de ta grand-maman aussi.'
Une fois à la maison, Jenny vida sa petite tirelire et compta 65 centimes. Après le dîner, elle alla demander à la voisine Mme Mc James de lui permettre d'arracher ses mauvaises herbes pour 20 centimes?
A son anniversaire, sa grande maman lui donna deux Euros et enfin elle eut assez d'argent pour s'acheter le collier. Oh, Jenny adorait ses perles. Elle les portait partout. A l'Eglise le dimanche, à la garderie, même au lit! Les seules fois qu'elles les enlevaient, c'était pour nager ou prendre un bain.
Jenny avait aussi un père qui l'aimait beaucoup. Chaque soir, quand il était temps de la mettre au dodo, il arrêtait tout ce qu'il faisait pour aller lui raconter une belle histoire. Un soir, après avoir terminé son histoire, le papa demanda à Jenny, 'Est-ce que tu m'aimes?' 'Oh que oui papa, tu le sais que je t'aime' 'Alors, donne-moi tes perles.' ' Oh, papa, pas mes perles. Mais tu peux avoir ma Princesse, le cheval blanc de ma collection. Celle avec la queue rose. Tu te souviens papa? C'est toi qui me l'as offerte. C'est ma préférée.' 'C'est ok, ma puce. Papa t'aime. Bonne nuit'
Environ une semaine plus tard, après le conte du soir, le papa de Jenny lui demanda encore, 'Est-ce que tu m'aimes?' 'Papa, tu sais que je t'aime' 'Alors, donne-moi tes perles.' 'Oh papa, pas mes perles. Mais tu sais tu peux avoir ma poupée, la nouvelle, elle est toute neuve, celle que j'ai reçue pour mon anniversaire, elle est si belle et tu peux même avoir la petite couverture jaune qui est appareillée à ses souliers.' 'C'est ok. Dors bien. Que Dieu te bénisse, ma puce. Papa t'aime.' Et comme toujours, il lui caressa la joue.
Quelques soirs passèrent, et un soir quand son papa est entré dans la chambre, Jenny était assise comme une indienne au pied du lit. Comme il s'approchait d'elle, il remarqua son petit menton tout tremblant et une larme silencieuse qui coulait sur sa petite joue. 'Mais qu'as-tu Jenny? Qu'est-ce qui se passe?' Jenny ne dit rien mais leva ses petites mains menues vers son papa. Et quand elle les ouvrit, le collier de perles y était. Avec une voix tremblante elle lui dit : 'Voilà papa, c'est pour toi. Cela fait un moment que tu me les demandes. Je me suis enfin décidée à te les offrir..'
Emu, le gentil papa de Jenny prit les perles d'une main et de l'autre main sorti de sa poche, un étui en velours bleu avec un collier en perles véritables qui coutait une fortune et les donna à Jenny. Il lui expliqua que les perles auxquelles Jenny tenait étaient des fausses perles. Il lui avait acheté de vraies perles depuis le début.. Mais il attendait seulement que sa fille lui donne les fausses perles pour qu'il puisse lui donner le vrai trésor.
De la même façon, Dieu attend de nous que NOUS lui donnons les choses fausses à quoi nous tenons dans notre vie, pour qu'il les remplace par un trésor magnifique. Tenez-vous à quelque chose dont Dieu veut que vous vous débarrassiez? Avez-vous des compagnons qui ne sont pas nécessaires et vous font mal? Avez-vous des habitudes, des activités, auxquelles vous êtes si habitué et attaché qu'il semble impossible de se débarrasser? Parfois c'est difficile de voir ce que l'autre main retient, mais croyez en une chose : Dieu ne prendra jamais

POUR LA REFLEXION :Le grincement de dent






Il se trouvait dans une communauté chrétienne un vieil homme édenté attaché à l’alcool. Malgré les interventions de plusieurs frères en Christ et même des pasteurs le vieil homme refusa de changer de vie. Un jour, au cours d’une réunion d’étude biblique qui avait pour thème le retour de Jésus, le pasteur dit : « Au retour de jésus, tout ceux qui auront menés une vie de débauche, d’ivrognerie et de désobéissance n’iront pas dans le royaume des cieux mais ils seront jetés dans l’étang de feu là où il y aura des pleurs et des grincements de dents ». Le vieil homme se sentant touché par cette parole se leva et en réponse au pasteur dit : « Mais, homme de Dieu, moi je ne suis pas concerné par ce fait puisque je n’ai plus de dents. » L’homme de Dieu le fixant répliqua : « c’est pour cela que tu refuses de changer. Saches que si tu n’abandonnes pas ton péché, au retour de Jésus, DIEU te fera pousser des dents pour que tu les grinces. »

Leçon à retenir : C’est spirituellement que l’on juge les choses de Dieu et non humainement. Sachez le bien, ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera. Que Dieu vous aide à semer l’obéissance en sa parole pour moissonner la vie éternelle et tous les privilèges qui s’y rattachent.

POURQUOI ? Le jeu de cartes






C'était un jour tranquille.. Aucune arme, aucun mortier ni bombe n'avait été entendu.

Le jeune soldat sut qu'il était dimanche, le jour saint du Seigneur. Comme il était assis là, il sortit un vieux jeu de cartes et les étala sur le banc.

Alors survint le Capitaine qui lui dit : « Pourquoi n'es-tu pas avec le reste du régiment ? « J'ai pensé que je pouvais me mettre de coté et passer un temps avec Le Seigneur » répliqua le jeune soldat.

Méfiant, le Capitaine dit : « il me semble que tu sois sur le point de jouer aux cartes »
- « Non mon capitaine, vous savez, depuis le jour où on ne nous permet pas d'avoir ni bible ni aucun livre chrétien dans ce pays j'ai décidé de parler au Seigneur a travers ce jeu de cartes »

-Comment vas-tu faire cela ?

-Vous voyez l'as, mon capitaine ? Il me rappelle qu'il n' y qu'un SEUL Dieu.
Le 2 me rappelle qu'il y a 2 parties de la bible, l'ancien et le nouveau testament.
Le 3 représente Le Père, Le Fils et Le Saint-Esprit
Le 4 représente les 4 évangiles : Matthieu, Marc, Luc et Jean .
Le 5 représente les 5 vierges qui furent glorifiées parce qu'elles eurent de l'huile dans leurs lampes et entrèrent dans le festin de l'Agneau.
Le 6 représente les 6 jours pendant lesquels Dieu créa le Ciel et la Terre
Le 7 représente le jour où Dieu se reposa après avoir terminé toute sa Création
Le 8 représente la famille de NOÉ, sa femme, leurs 3 enfants et les épouses de ces derniers
Le 9 représente les 9 lépreux qui ne remercièrent jamais Jésus après qu'il les eus guéris. Seul un revint pour rendre gloire.
Le 10 représente les commandements donnés à Moise par Dieu. Dieu les écrivit de sa propre main sur des tables de pierre.
Le J représente Satan, un des premiers anges de Dieu. Il fut précipité du ciel et joue maintenant le rôle joker de la perdition éternelle
La Reine représente Babylone la grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre. C'est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à la débauche....( ap.17:1-)
Le Roi représente Jésus-Christ car Il est Le Roi des rois .
Si j'additionne tous les nombres sur les cartes cela donne 365. Donc une carte pour chaque jour Il y a 52 cartes pour les 52 Semaines de l'année -
Les 4 suites représentent les 4 saisons que Dieu créa : été, hiver, automne, printemps.

Maintenant, quand je veux parler au Seigneur, je n'ai qu'à tirer une carte et cela me rappelle la chose pour laquelle je dois être reconnaissant à Dieu. Le capitaine resta là debout, avec les larmes dans les yeux, il dit :« peux-tu me prêter ton jeu de carte, soldat ? »

jeudi 22 juillet 2010

L'horloge qui fit une dépression







Avez-vous entendu parler de l’horloge qui fit une dépression ? Un jour, elle commença à penser à combien de fois elle devrait “ tictaquer” pendant l’année. En calculant à partir de deux tic-tac par seconde, 120 par minute, 7 200 fois par heure, 172 800 par jour et 1 209 600 chaque semaine, l’horloge se rendit subitement compte qu’elle devrait “tictaquer” près de 63 millions de fois pendant les 12 prochains mois. Plus elle y pensait, plus elle devenait anxieuse. En fin de compte, l’horloge devint tellement affolée qu’elle fit une dépression. Confiant son problème à un psychiatre, l’horloge se plaignit qu’elle n’avait pas la force de “tictaquer” si souvent. Le médecin lui répliqua: “Mais combien de tic-tac devez-vous produire à la fois?” Et l’horloge répondit: “Seulement un”. “Eh bien, contentez-vous de faire un tic-tac à la fois et ne vous inquiétez pas du prochain, lui conseilla-t-il. Vous vous porterez bien, j’en suis certain”.

C’est exactement ce que fit l’horloge, et comme toute bonne histoire a une bonne fin, elle “tictaqua” toujours joyeusement à partir de ce jour.

Avez-vous un problème qui vous semble insoluble? Portez-vous un fardeau depuis longtemps qui semble trop lourd pour vous? L’avenir vous semble-t-il sombre? Placez votre fardeau sur le Seigneur. Demandez-lui de vous aider seulement pour la journée d’aujourd’hui.

Comme Jésus a dit: “Ne vous inquiétez pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même.” (Matthieu 6:34). Contentez-vous de faire un tic-tac; a la fois.

Une des meilleures choses au sujet de l’avenir, c’est qu’il se présente un jour à la fois

Un sale caractère






Il était une fois un garçon qui avait un sale caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.

Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous.

Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou.

Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience.
Les jours passèrent et finalement le garçon pu dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière. Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit: "Mon fils , tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière.

Elle ne sera jamais comme avant.

Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après lui retirer, la blessure peut guérir, mais il restera toujours une cicatrice.

Peu importe combien de fois tu t'excuseras, il restera toujours une cicatrice. Plus la blessure est sérieuse, plus la cicatrice sera grande!

Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.

Les vrais amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur.

Source : Inconnue

IL A DONNÉ SA VIE PAR AMOUR








Tout commence un vendredi après-midi typique. Tu es en train de conduire pour rentrer chez toi, lorsque tu entends à la radio un fait comme un autre : "Dans un petit village lointain, 3 personnes viennent de mourir d'une grippe que l'on avait jamais vue auparavant". Tu ne prêtes pas vraiment attention à cet évènement...

Le lundi matin lorsque tu te réveilles, la radio annonce que ce ne sont plus seulement 3 personnes mais 300 qui sont mortes. Tout le monde s'inquiète et des experts de l'Organisation Mondiale de la Santé vont faire leur enquête.

Le mardi, c'est la grande nouvelle en première page de tous les journaux, parce qu'il ne s'agit plus seulement de l'Inde, mais aussi du Pakistan, de l'Afghanistan, et de l'Iran. Alors, tous les pays se mettent à fermer leurs frontières, terrestres, aériennes et maritimes, avec les pays contaminés. Mais cela ne suffit pas. Bientôt, on apprend que des personnes sont en train de mourir en Europe et aux Etats-Unis.

Les informations disent que, lorsque tu attrapes cette maladie, tu ne t'en rends d'abord pas compte, puis qu'il te reste à peine une semaine à souffrir avant de mourir.

Les scientifiques cherchent un antidote sans succès. Les gens ont des comportements de toute sorte. Certains prient pour que les chercheurs trouvent le remède. Tout à coup, la nouvelle inespérée arrive : on peut enfin faire un antidote !

Maintenant, il faut le sang rare de quelqu'un qui notamment n'ait pas été infecté par le virus. Donc, dans tous les pays, on demande à chacun de se faire faire un examen du sang.

Tu vas comme volontaire à l'hôpital avec ta famille, et tes voisins se demandent : "Serait-ce la fin du monde ?" Tout à coup le docteur crie un nom qu'il a lu sur son registre et, là, ton fils cadet te dit : "Papa, il a crié mon nom !". Avant que tu ne puisses réagir, ton fils est parti avec des infirmières et tu cries : "Attendez !", et ils te répondent : "Tout va bien, son sang est pur, nous croyons qu'il a le type de sang correct." Après un certain temps, les médecins sortent de la salle en riant et en pleurant. C'est la première fois depuis une semaine que tu vois quelqu'un rire, et le docteur s'approche de toi, et te dit "Merci mon Dieu, le sang de votre fils est parfait, il peut permettre de faire l'antidote contre la maladie..."

La nouvelle se répand et tout le monde pleure de joie. Le docteur s'approche de toi et de ton épouse, et dit : "Est-ce que je peux vous parler un moment ? Nous ne savions pas que le donneur serait un enfant, donc nous avons besoin que vous signiez cette permission pour nous permettre d'utiliser son sang."

Alors que tu lis le document, tu remarques qu'il n'est pas précisé la quantité de sang nécessaire... et tu demandes : "Quelle quantité de sang allez-vous prendre? " Le sourire du médecin disparaît, et il dit : "Nous ne pensions pas qu'il s'agirait d'un enfant, nous avons besoin de tout son sang." ! ! !

Tu n'arrives pas y croire, et tu essaies de répondre : "Mais, mais..." et le docteur te répond : " Vous ne comprenez pas, il s'agit d'une cure pour le monde entier, s'il vous plait, signez, nous avons besoin de tout le sang...". Et tu demandes : "Mais ne peut-il pas y avoir une transfusion ou tout autre chose ?", et là on te répond qu'il est le seul qui convient, que c'est urgent et que c'est donc impossible.

" Vous allez signez ? ? ? ? ? S'il vous plait, signez ! ! ! !". En silence et en tremblant, tu signes...

La semaine suivante, alors qu'il y a la cérémonie d'enterrement de ton fils, beaucoup de personnes restent dans leur lit à dormir, d'autres préfèrent aller se promener ou s'amuser... et certains qui sont à la cérémonie affichent un sourire forcé... Tu voudrais t'en aller en hurlant : "Mais mon fils est mort pour vous, et vous n'en avez rien à faire ! ! ! "

Parfois, c'est ce que Dieu voudrait nous dire : " Mon fils Jésus-Christ est mort pour vous et vous ne savez toujours pas à quel point je vous aime !"

Anonyme

mercredi 21 juillet 2010

0 66 24 33 03





Le numéro de téléphone portable de Dieu
Savez vous que vous pouvez vous adresser facilement à Dieu ?
Il suffit de composer son numéro de téléphone portable :
c'est le : 07 66 24 33 03
Je vous explique....
...07, c'est l'indicatif
66, c'est le nombre de livre dans la bible
24, correspond au livre de Jérémie
33, correspond au numéro du chapitre
03, correspond au numéro du verset

Ce qui donne : Jérémie 33.3 :
"Invoque-moi, et je te répondrai; Je t`annoncerai de grandes choses, des choses cachées, Que tu ne connais pas."
source: www.listabible.com.

A LIRE JUSQU'A LA FIN... Tu verras que c'est vrai . Merci de tes réponses









* Un simple copain , quand il vient chez toi, agit comme un invité.

* Un véritable ami et chez toi comme chez lui.

* Un simple copain ne t'a jamais vu pleurer.


* Un véritable ami a les épaules trempées de tes larmes.

* Un simple copain ne connaît pas les prénoms de tes parents.

* Un véritable ami a leurs numéros de téléphone dans son carnet d'adresses.

* Un simple copain te souhaite juste ton anniversaire et encore… souhaite

* Un véritable ami arrive avec des cadeaux qu’il va t’offrir avec amour et joie.

* Un simple copain déteste quand tu appelles après qu'il soit allé se coucher.

* Un véritable ami te demande pourquoi tu as mis tant de temps à appeler.

*Un simple copain pense que l'amitié est finie quand vous avez une dispute.

*Un véritable ami t'appelle après une dispute.

*Un simple copain s'attend que tu sois toujours là pour lui...

* Un véritable ami est toujours là pour toi.


* Un simple copain lit ce message et le supprime.


* Un véritable ami te le renvoie avec un petit mot d’amitié.

Moi j’ai des amis des vrais mais j’ai trouvé le meilleur.
Il a pour NOM JESUS IL EST MERVEILLEUX … EST-IL TON AMI ?
PEU-IL COMPTER SUR TOI ?

JE TE LAISSE REPONDRE

De bonnes choses en réserve









Une dame qui avait un fils unique, confia à une amie :
- Je n’ose pas prier "Que ta volonté soit faite", ayant trop peur que Dieu me prenne mon enfant ou m’envoie de lourdes épreuves.
- Suppose, lui répondit-elle, que ton enfant vienne et te dise : "Je vais faire tout ce que tu désires, aujourd’hui". Vas-tu alors lui demander de faire tout ce qu’il n’aime pas, ou profiter de sa bonne volonté pour supprimer tout ce qui lui ferait plaisir ?
- Non, bien sûr, dit la maman. Je lui préparerai le meilleur emploi du temps possible.
- Et crois-tu que Dieu est moins juste et moins aimant que toi ?
Ce que le Père céleste veut pour nous est bon, agréable et parfait (Luc 11.13 ; Romains 12.2).

La cruche fissurée







Combien de chrétiens se sentent inférieurs, inutiles, regardent toujours les "champions de la foi" avec envie en se disant que, vu leur petitesse face à ces champions, Dieu ne peut pas se servir d'eux !...

Une telle pensée n'est certes pas de Dieu, Lui qui "a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; ...et les choses faibles du monde pour confondre les fortes " (1Corinthiens 1:27)


Eliane, par cette ancienne petite histoire toute simple, nous rappelle que la gloire de Dieu se manifeste dans notre faiblesse !

Un vendeur d’eau se rend chaque matin à la rivière, remplit ses deux cruches et part vers la ville distribuer l’eau à ses clients.

Fissurée, une des cruches perd son eau.

Toute neuve, l’autre rapporte plus d’argent
La pauvre fissurée se sent inférieure.

Un matin, elle décide de se confier à son patron :- Tu sais, je suis consciente de mes limites. Tu perds de l’argent à cause de moi, car je suis à moitié vide quand nous arrivons en ville. Pardonne mes faiblesses.

Le lendemain, en route vers la rivière, le patron interpelle sa cruche fissurée :

- Regarde sur le bord de la route !
- C’est joli, et plein de fleurs !

- C’est grâce à toi, réplique le patron. C’est toi qui, chaque matin, arroses le bas-côté de la route. J’ai acheté un paquet de graines de fleurs et je les ai semées le long du chemin. Et toi, sans le savoir et sans le vouloir, tu les arroses chaque jour. Ne l’oublie jamais : nous sommes tous un peu fissurés mais, si nous le lui demandons, Dieu sait faire des merveilles avec nos faiblesses.

Soyez bénis

LETTRE D'UN AMI








"Juste quelques mots pour te dire combien je tiens à toi...

Tu dors, le jour n'a pas encore effacé le voile sombre qui recouvre ta vie. Tu dors, et pendant que tu dors, je t'observe Tes paupières closes cachent tes troubles, tes joies, tes doutes, tes espoirs. Mais, moi, je suis là, t'enveloppant de ma paix, et partageant tes pensées lointaines. Je suis là, à tes côtés et je veille sur toi.

...Mais toi, tu ne penses pas à moi.

Quand tu t'es levé, ce matin, pour te montrer la chaleur de mon amour, j'ai demandé aux rayons du soleil d'exhaler leurs couleurs vives dans le ciel. Cela juste pour toi. Mais tu as détourné la tête et tu es parti.

Plus tard, alors que tu marchais avec des amis, j'ai parfumé de fleurs l'air de cette matinée presque mourante ; des parfums tous plus enchantés les uns que les autres se sont joints aux embruns de l'océan qui caressaient ton visage, mais, tu n'as rien remarqué.



J'ai aussi voulu te montrer combien je suis grand dans la création. J'ai mis devant tes yeux des choses surprenantes, étonnantes, amusantes. Beau et généreux est l'amour que j'ai pour toi. Mais tu ne t'en
Préoccupes pas.


J'ai crié ton nom dans le tonnerre, la tempête et la pluie, et puis ensuite, j'ai peint un arc-en-ciel, pour à nouveau te dire combien je tiens à toi.


Mais tu es sourd et aveugle. Ce soir, un rayon de lune embrasse ton visage, mais tes yeux sont perdus dans un infini voyage auquel je ne participe pas.

Et pourtant, je t'ai suivi, pas à pas, témoin de tes chagrins de tes joies, de tes amours, de tes désespoirs, ou de tes rires. Ce silence inquiétant, ces frissons, lorsque tu es face à toi seul, je les ai aussi vécus..

Dis, que dois-je faire pour que tu remarque ma présence, pour qu'enfin tu comprennes mon amour pour toi ?
Souviens-toi, je tiens beaucoup à toi.

Je t'aime"
Jésus-Christ

P.S. : "J'espère que tu viendras bientôt me parler, que tu auras le désir de me connaître, de me découvrir. N'attends pas, je suis si près de toi."

mardi 20 juillet 2010

A NE PAS MANQUER : Les yeux de l'amour






Un adolescent vivait seul avec sa mère et ils avaient une relation privilégiée. Bien que le fils passe toutes ses parties de football assis sur le banc, sa mère était toujours dans les estrades pour l'encourager. Elle ne manquait jamais une partie.

Au début du secondaire, il était encore le plus petit de sa classe et sa mère, tout en continuant à l'encourager lui fit comprendre qu'il n'était pas obligé de jouer au football s'il ne voulait plus jouer. Mais comme il adorait le football, il
décida de continuer.
Il était bien décidé à faire de son mieux à toutes les pratiques et espérait qu'on finirait peut-être par le laisser jouer un peu plus tard. Tout au long de son secondaire, il n'a jamais manqué une seule pratique ou partie, mais dû se contenter de réchauffer le banc. Fidèlement, sa mère était toujours dans les estrades et avait toujours des mots d'encouragement pour lui.
Lorsqu'il fit son entrée au collège, il décida de tenter sa chance aux essais afin d'être accepté comme recrue. Tout le monde était certain qu'il ne serait jamais accepté, mais il réussit. L'entraîneur admit qu'il le gardait sur la liste parce qu'il participait de tout coeur à chaque pratique, ce qui, par le fait même, avait un effet motivateur sur ses coéquipiers. Lorsqu'il apprit qu'il avait été accepté, il fut si content qu'il courut au téléphone le plus près pour l'annoncer à sa mère.
Elle partageait son enthousiasme et reçut des billets de saison pour toutes les parties de l'équipe du collège. Ce jeune athlète tenace ne rata aucune pratique au cours de ces quatre années, mais ne fut jamais appelé à jouer dans un seul match.

C'était maintenant la fin de la saison de football junior et comme il arrivait sur le terrain en courant, quelque temps avant le grand match des éliminatoires, l'entraîneur vint à sa rencontre, un télégramme à la main.

Le jeune homme lut le télégramme et devint silencieux. Une grosse boule lui nouait la gorge lorsqu'il annonça à son entraîneur: " Ma mère est décédée ce matin. Est-ce que je peux manquer la pratique aujourd'hui? "
L'entraîneur pose doucement son bras autour de ses épaules et lui dit: " Prends congé pour le reste de la semaine, fiston. En fait, tu n'as même pas besoin de revenir pour la partie samedi prochain. "

Le samedi suivant, la partie ne se déroulait pas bien du tout.
Au troisième quart, alors que l'équipe traînait de l'arrière par 10 points, un jeune homme silencieux se faufila dans le vestiaire et revêtit son équipement. Lorsqu'ils le virent arrivant en courant, l'entraîneur et les coéquipiers furent abasourdis de le voir de retour si tôt.

" Entraîneur, s'il vous plaît, laissez-moi jouer. Je dois absolument jouer aujourd'hui. " lui dit-il. L'entraîneur fit semblant de ne pas l'avoir entendu. Il était hors de question qu'il fasse jouer son pire joueur pendant un match aussi crucial. Mais le jeune homme insista et finalement, ayant pitié de lui, l'entraîneur accepta. " Ok, tu peux y aller. "

Quelques minutes plus tard, l'entraîneur, les coéquipiers et tous les spectateurs dans les estrades n'en croyaient pas leurs yeux. Ce jeune inconnu, qui n'avait jamais joué auparavant, faisait exactement tout ce qu'il fallait et correctement. L'équipe adverse n'arrivait pas à l'arrêter.

Il courut, bloqua et plaqua comme une étoile. Dans les dernières minutes de jeu, il intercepta une passe et courut sans s'arrêter et marqua le point gagnant. Les spectateurs sautaient de joie. Ses coéquipiers, le portèrent sur leurs épaules. Des applaudissements comme on en avait jamais eu.

Finalement, une fois que les estrades furent vides, et que le joueurs eurent pris leur douche et quitté le vestiaire, l'entraîneur remarqua le jeune homme assis en silence dans un coin. Il lui dit: " Fiston, je n'arrive pas à y croire. Tu as été fantastique. Dis-moi ce qui t'est arrivé? Comment as-tu fait? "

Les yeux emplis de larmes, il regarda l'entraîneur et lui dit:" Vous savez que ma mère est décédée cette semaine, mais saviez-vous qu'elle était aveugle? " Il avala avec difficulté et s'efforça à sourire: " Ma mère est venue à toutes mes parties, mais aujourd'hui, c'était la première fois qu'elle pouvait me voir jouer et je voulais lui montrer que j'étais capable de bien jouer. "

Souviens-toi TOUJOURS DE CECI

Quelqu'un est très fier de toi.

Quelqu'un pense à toi.

Quelqu'un se fait du souci pour toi.

Quelqu'un s'ennuie de toi.

Quelqu'un veut te parler.

Quelqu'un veut être avec toi.

Quelqu'un espère que tu n'as pas de problèmes.

Quelqu'un espère que tout ira pour le mieux pour toi.

Quelqu'un désire que tu sois heureux.

Quelqu'un a très hâte de te voir.

Quelqu'un t'aime tel que tu es.

Quelqu'un est content de t'avoir comme ami.

Quelqu'un veut que tu saches qu'il sera toujours là pour toi.

Quelqu'un a besoin de ton soutien.

Quelqu'un a besoin de savoir que tu crois en lui.

Quelqu'un te fait confiance.

Quelqu'un se souvient de toi en entendant une chanson.


Tu es une personne importante !

Ne l'oublie jamais!

A MEDITER EN SOURIANT TRANSMIS PAR Sylvana Plesel







À la ferme, le cheval est malade. TRANSMIS PAR Sylvana Plesel


Le vétérinaire dit au paysan : « Je lui injecte un remède, si dans trois jours il n'est pas remis, il faudra l'abattre.»

Le cochon qui a tout entendu, dit au cheval: «Lève toi !»
...Mais le cheval est trop fatigué.

Le deuxième jour le cochon dit: «Lève toi vite !»
Le cheval est toujours aussi fatigué et ne se lève pas.

Le troisième jour le cochon dit: «Lève toi sinon il vont t'abattre !»
Alors dans un dernier effort, le cheval se lève.

Heureux, le paysan dit: «Faut fêter ça: on tue le cochon !»

Moralité :
Toujours s'occuper de ses affaires et se taire.

Vision missionnaire







Par Auteur inconnu


W. Jessup, 50 ans missionnaire en Syrie, se découragea de voir la stérilité de ses efforts pour amener des âmes à Christ.

Il comprit que l’obstacle était en lui-même et il décida de passer une semaine seul avec la parole de Dieu.

Il réalisa ce qui lui manquait :

Il n’avait jamais donné à Dieu sa place dans ce travail de conquête des âmes, oeuvrant de ses propres forces.

Il pensa à Jéricho où Dieu agit pour que nul n’en puisse tirer gloire.

Aussitôt, il écrivit le nom de 11 personnes qu’il voulait amener à Jésus.

Il les abandonna à Dieu dans la prière, lui demandant d’accomplir son œuvre dans ces cœurs, et de se servir de lui, si bon lui semblait.

En trois semaines, ces 11 personnes avaient livré leur vie à Christ.

IL A DIT






Il a dit
Je t'aime dès ton origine
Et jusqu'à ta vieillesse je serai devant toi

Il a dit
Que les portes s'ouvriraient
Et les chemins s'aplaniraient
Les portes d'airain rompraient

Il a dit
Un talent je t'ai donné
Va et multiplie le et moi je te porterai

Il a dit
Fais de moi tes délices
Et ton coeur sera comblé de ta vie je m'occuperai

Il a dit
Si les montagnes s'éloignaient
Et les collines chancelaient
De toi je ne m'éloignerais

Il a dit
Tous tes soupirs m'ont parlés
Toutes tes larmes sont montées
Moi pour toi je combattrai

Car je suis ton DIEU
Je t'appelle par ton nom
Tu as du prix à mes yeux
N'oublie pas ! Je suis ton DIEU
Il n'y en a point d'autre
Ne crains rien car tu es à moi
Ne te relâche pas j’agirai ! Qui s'y opposera ?
Car je suis ton Dieu.

ÉCOUTES fais une pause, réfléchis !








Tu as connu sa présence,
Tu as goûté à sa vie,
Tu as senti son amour immense,
Il en a payé le prix.
Peux-tu dire qu’un jour il t’a trahi ?
Peux-tu dire qu’il t’a laissé tomber ?
T’a-t-il déjà lâché ?
A-t-il déjà failli ?
Si tu ne comprends pas ses actions
Est-ce parce qu’il n’a pas raison ?
Tu sais que ce qu’il dit, il le fait
Au moment qu’il a décidé,
Au moment le mieux adapté.
Il connaît mieux que nous nos besoins,
Il a toujours été à tes soins.
Regardes ses yeux.
Ne vois-tu pas des larmes ?
Regardes son cœur,
Il est déchiré.
A-t-il souffert pour rien ?
T’a-t-il aimé en vain ?
Il est là, bras ouverts,
Il est prêt à te serrer, te consoler,
Te pardonner, t’aimer.
Je t’en prie, arrête de courir inutilement,
Ne dit pas, ‘’ ce n’est pas le moment’’.
Fonces dans ses bras,
Essais encore une fois
Et tu vas encore sentir la chaleur de ses mains
Et tu vas encore sentir ton cœur tressaillir.
Ne regardes pas à l’homme,
Il n’est bon qu’à décevoir.
Tu sais, il n’a jamais cessé de t’aimer

Alors il t’en supplie, fais une pause, réfléchis !

lundi 19 juillet 2010

AIMONS NOUS LES UNS LES AUTRES COMME JESUS NOUS A AIME ... EST-CE SI DIFFICILE ?





*

AIMER
Ce n’est pas de grandes déclarations,ce sont des petites choses simples et
sans raison…
C’est dire :Veux-tu un café ? ...Es-tu fatigué ? …
est-ce que je peux faire quelque chose pour toi
C’est un coup de téléphone, c’est une lettre, c’est une petite surprise, c’est une
invitation du coeoeur, c’est aller prendre une marche ensemble…
C’est faire des choses pour l’autre,sans raison, sans calcul…
C’est accueillir l’autre tel qu’il est,l’écouter avec son coeur,
ne pas presser…
C’est aussi regarder l’autre avec les yeux du coeur
et les yeux de l’âme.
La parole peut mentir mais le regard ne ment pas
AIMER
C’est simplement être là, non seulement avec son corps
mais aussi avec son âme…
C’est dire : « Je t’aime » .
Pourquoi faut-il attendre après la mort de quelqu’un
pour lui dire qu’on l’aimait ? ….
AIMER…
C’est de ne pas juger, de ne pas critiquer,de ne pas condamner.
C’est être capable de dire :"Si j’avais été à ta place, je n’aurais pas fait
mieux"
c’est pouvoir aussi dire sans envie:
« C’est beau ce que tu as fait ».
AIMER
C’est aussi simple que cela.
Ce n’est pas compliqué. Mais si l’amour ne nous habite pas,
il nous manque tout dans la vie…Quand quelqu’un a le privilège d’aimer et d’être aimé,la vie est extraordinaire.
Cette chaleur qui rayonne,cette lumière dans l’âme et dans les yeux…
C’est ça l’AMOUR
Aimer les amis, la famille,enfin de tout le monde

AIMONS NOUS LES UNS LES AUTRES COMME JESUS NOUS A AIME ... EST-CE SI DIFFICILE ?

POUR BIEN COMMENCER LA JOURNEE. je commence la cure demain et TOI ?







A préparer chaque matin


2 décilitres de patience,

1 tasse de bonté,

4 cuillerés de bonne volonté,

1 pincée d'espoir,

1 dose de bonne foi.

Ajoutez

2 poignées de tolérance,

1 paquet de prudence

et quelques brins de sympathie,

1 poignée d'humilité,

et 1 grande mesure

de bonne humeur

assaisonnée de beaucoup de bon sens.

Laissez mijoter

et vous obtiendrez

UNE BONNE JOURNEE !

Le sermon de la braise chaude





Un pasteur rend visite à un rétrograde. Ils sont assis tous les deux devant la cheminée où le feu brûle.

Le pasteur ne parle pas… c’est le silence.

Il regarde le feu, le paysan aussi.

Alors le pasteur, avec des pincettes, prend une braise et la retire du foyer.

Tous les deux ont les yeux fixés sur cette braise qui devient grise, puis noire… elle fume…

Alors le pasteur reprend les pincettes et remet la braise dans le foyer, et aussitôt, elle se rallume.

- Bien, dit le fermier, j’irai au culte dimanche. J’ai compris.

Qu’avait-il compris ? …

Qu’il était comme cette braise retirée du foyer et qu’il avait besoin de communion fraternelle.

REFLECHIS BIEN (A MEDITER... )





Il y a quelques années, un prédicateur accepta d'aller servir Dieu à Houston, Texas.
Un jour, peu après son arrivée, il prit le bus pour se rendre au centre ville.
Une fois installé, il réalisa que le chauffeur
lui avait accidentellement rendu
40 centimes de trop.
Il pensa ' Tu ferais mieux de rendre ces 40 centimes.
Ce serait mal agir que de les garder'.
Puis il pensa à nouveau '
Oh, oublis, ce n'est que 40 centimes après tout, qui se soucierait pour si peu ?
De toute façon, la compagnie de bus se fait chaque année des bénéfices monstres,
ces 40 centimes ne vont pas leur manquer...
Accepte les comme un don de Dieu et tais-toi !'..

Arrivé à destination, au moment de sortir du bus, il hésita
puis tendit les 40 centimes au chauffeur en disant
'Vous m'avez rendu trop de monnaie'.

Le chauffeur lui sourit puis répondit
' Êtes-vous le nouveau pasteur en ville ?
- Oui.
- Et bien, depuis un bon moment j'avais pensé fréquenter une église.
Je voulais juste voir comment vous alliez réagir si je vous rendais trop de monnaie...
Je vous verrai dimanche prochain dans votre paroisse...' .
En sortant du bus, le prédicateur dut se cramponner au premier réverbère
pour ne pas tomber et dit ' Oh mon Dieu !
J'étais à deux doigts de vendre ton fils pour 40 centimes...' .
Nos vies sont la seule Bible qu'un bon nombre d'hommes et de femmes
liront durant leur temps sur cette terre.
Cette histoire est l'effrayant exemple comment notre entourage nous regarde
en tant que chrétiens, et combien ils nous testeront comme tel !

Restez toujours sur vos gardes - et souvenez-vous -
Vous portez le nom de Jésus sur vos épaules lorsque vous affirmez être chrétiens alors :

Surveille tes pensées ; elles deviennent paroles.
Surveille tes paroles ; elles deviennent actions
Surveille tes actions ; elles deviennent habitudes.
Surveille tes habitudes ; elles deviennent caractères..
Surveille ton caractère ; il influencera ta destinée.
Je suis ravie qu'une amie m'ait envoyé cette histoire comme un bon rappel..
Alors, j'ai choisi de la traduire pour que Dieu te bénisse à ton tour.

Si tu ne la transmets pas, rien de mal ne va t'arriver
mais en le partageant avec tes proches,
tu permettras à Dieu de parler à leurs cœurs une fois encore.

Bonne reflexion

Les deux amis





C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. A un moment donné, ils se disputèrent et l'un d'eux gifla l'autre. Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :

AUJOURD'HUI, MON MEILLEUR AMI M'A DONNÉ UNE GIFLE

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :

AUJOURD'HUI, MON MEILLEUR AMI M'A SAUVÉ LA VIE

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
- Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu écris sur la pierre. Pourquoi ?
L'autre ami répondit :
- Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer.

APPRENDS A ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE !

dimanche 18 juillet 2010

Le Maréchal des fous





Un roi donna à son bouffon un bâton de maréchal en disant :
- Je te nomme maréchal des fous. Si jamais tu trouves quelqu’un de plus fou que toi, remets-le-lui.
Des années passèrent. Le roi était sur son lit de mort. Le bouffon lui demanda s’il savait où il allait :
- Non, répondit le roi, je sais seulement que je vais mourir.
Il y a une destinée inéluctable même pour les rois! Avez-vous amassé quelques trésors pour ce monde à venir où vous allez ?
- Je n’y ai jamais pensé !
- Comment ! Vous saviez que vous deviez mourir un jour, et néanmoins vous n’avez pas fait de choix définitif ? Vous ne vous êtes pas préparé pour le ciel ? Vous n’avez pas essayé d’éviter l’enfer ?
- Je n’ai jamais pris le temps de réfléchir sérieusement à ces choses.
Le bouffon tira alors de sa manche le bâton qu’il tenait caché et le tendit au roi :
- Eh bien ! Maintenant c’est vous que je nomme maréchal des fous.
Rappelez-vous que vous mourrez, et que vous ne savez pas quand cela arrivera.
Allez vous faire comme ce roi fou ou allez vous faire preuve de plus de sagesse en vous préparant dès aujourd’hui à la rencontre du Seigneur? Car la Bible dit: " Il est donné aux hommes de mourir une seule foi après quoi vient le jugement." Hébreux 9:27
La seule façon d’éviter ce jugement est de se repentir de ses fautes et de venir à Jésus Christ. (Jean 3:16)

Parole d'un fils de Pasteur (une histoire émouvante)






Chaque dimanche, le pasteur et son fils de 11 ans sortaient de la ville pour distribuer les tracts de l'évangélisation dans l'après midi.

Un certain après midi après le culte, le pasteur et son fils devaient aller dans la rue avec leurs tracts, il faisait très froid dehors et il pleuvait beaucoup. L'enfant qui était déjà revêtu dit:

- OK, papa, je suis prêt et son père lui demanda:
- Prêt à quoi?
- Papa, il est temps de rassembler nos tracts ensemble et de sortir.

Son père lui répondit:
- Fils, il pleut et il fait très froid dehors! Le garçon surprit alors son papa en lui demanda:
- Mais papa, les gens ne vont-ils pas en enfer même le jour de la pluie?

Son père lui répondit:
- Mon fils, le temps ne le permet pas.

Le garçon demanda :
- Papa, je peux y aller? S'il te plaît!

Son père hésita un moment puis lui dit:
- Mon fils, tu peux y aller. Voici les brochures. Sois prudent, mon fils.
- Merci, papa!

Puis il sortit sous la pluie. Ce garçon de 11 ans alla dans les rues de porte à porte, distribuant des tracts à tous ceux qu'il voyait.

Après deux heures de marche sous la pluie, il était tout mouillé, mais il ne lui restait qu'un tout dernier tract. Il s' arrêta au coin, cherchant à qui remettre le traité, mais les rues étaient totalement désertes. Puis il se tourna vers la première maison qu'il a vu et démarra la sonnerie. Il sonna et résonna, mais personne ne répondit. Il sonna encore, encore, mais personne ne répondit à la porte. Aucune réponse.

Enfin, ce jeune garçon de 11 ans soudain se décida de partir, mais quelque chose l'en empêcha. Encore une fois, il se tourna vers la porte et se mit à sonner la cloche et à frapper fort à la porte. Il entendu, quelque chose se mouvoir là haut sur le balcon. Il sonna de nouveau et cette fois, la porte s'ouvrit lentement... . Débout à la porte, arriva une vieille dame avec un regard très triste. Elle demanda doucement:

- Qu'est-ce que je peux faire pour toi, mon fils? Avec des yeux radieux et un sourire qui illuminait son monde, le petit garçon lui dit:

- Madame, je suis désolé si je vous ai dérangé, mais je veux juste vous dire que vraiment Jésus vous aime et je suis venu ici pour vous donner mon tout dernier livret, qui vous dira tout sur Jésus et son grand amour.

Et Puis il lui remit son tout dernier traité et s'en retourna pour partir. Elle l'appela et lui dit:
- Merci, mon fils! Et que Dieu te bénisse!

Eh bien, le dimanche qui suivit, à l'église le Pasteur, Papa à ce jeune homme de 11 ans, demanda :
-Quelqu'un a t-il un témoignage ou quelque chose à dire?

Une vieille dame se leva Lentement dans la dernière rangée d'un regard d'éclat glorieux sur son visage pour témoigner :
- Personne ne me connaît dans cette église. Je n'ai jamais été ici. Le dimanche dernier, je n'étais pas chrétienne. Mon mari a trépassé, me laissant toute seule dans ce monde. Cela me fait la peine de vivre toute seule. Ce dimanche dernier, il avait plu et il faisait terriblement froid ; Je suis arrivé au bout. j'avais décidé dans mon coeur de me suicider, je n'avais pas l'espoir ni la volonté de vivre.
- Alors, j'ai pris une corde et une chaise, J'ai attaché la corde à une poutre du toit, me tenant sur la chaise la corde autour de mon cou. Debout sur cette chaise, si seule le cœur brisé, je m'apprêtais à sauter quand tout à coup la sonnette me fit sursauter. J'ai pensé: «Je vais attendre une minute, espérant que celui qui sonne s'en ira.

J'ai attendu et attendu, mais la cloche a été insistante, puis la sonnerie, et la personne a aussi commencé à frapper fort.
- J'ai pensé, «Qui diable pourrait-il être? Personne ne sonne jamais ma cloche ou ne vient me rendre visite. "
J'enlevai la corde de mon cou et me dirigeai vers la porte, et la sonnette retentissait toujours plus fort.
- Lorsque j'ai ouvert la porte et j'ai vu qui était là; je ne pouvais pas y croire parce que debout sur mon porche, était le garçon le plus radieux comme un ange. Jamais vu dans ma vie. Son sourire, oh, je ne pourrais jamais vous le décrire! Les mots qui sortaient de sa bouche donnaient à mon cœur qui était mort, une espérance de vie comme il s'écria d'une voix chérubin:
- Madame, je suis juste venu ici pour vous dire que vraiment JESUS T'AIME.
Il m'a donné ce Traité Evangélique, que je tiens dans mes mains.. Le petit ange disparut dans le froid et la pluie, j'ai fermé la porte et ai commencé à lire chaque mot de cette notice.
Je suis remonté au grenier pour récupérer ma corde et ma chaise. Je n'en avais plus besoin. Tu vois- je suis maintenant une enfant heureuse du roi!
Puisque l'adresse de votre église était sur le dos de cette brochure, je suis venue ici pour dire personnellement MERCI à l'ange de Dieu. Il a épargné mon âme d'une éternité en enfer.
L'heure était aux acclamations dans l'église. Et les cris de la louange et de l'honneur de THE KING a ré-sonné dans tout le bâtiment, le pasteur papa descendit de la chaise et se dirigea vers la rangée de devant, où le petit ange était assis. Il prit son fils dans ses bras en sanglotant de façon incontrôlable..
L'église a passé un glorieux dimanche, et probablement cet univers n'a jamais vu un père si plein d'amour et d'honneur pour son fils ...
Ce père a également permis à son fils d'aller dans un monde froid et sombre. Il a reçu son Fils avec une joie indicible, tout du ciel criait louanges et l'honneur du roi. Le Père assis, son Fils bien-aimé sur un trône au-dessus de toute domination et de l'autorité et lui donna un nom qui est au-dessus de tout nom.

Se confier en Dieu





On raconte cette touchante anecdote qui s'est passée dans une école maternelle :

« Quelle taille à ton père ? » Demanda la directrice à une toute petite fille, nouvelle pensionnaire dans son établissement.
« Cela, je ne sais pas le dire, répondit l'enfant toute gênée ».
« Tu devrais pourtant le savoir… Est-il grand ? Petit ? Quand tu lui parles, tu dois pourtant lever la tête ? ».
Le visage de l'enfant devint alors tout rayonnant : « Oh ! quand je parle à mon père, il se penche vers moi ! ».

Voilà la façon de faire de notre Dieu. Il se penche vers nous quand nous crions vers Lui. Il a entendu les pleurs de l'enfant abandonné au fleuve d'Egypte comme il a entendu le cri des Hébreux, et il leur a envoyé le moyen de leur délivrance ; l'enfant sauvé des eaux est devenu l'instrument de Dieu pour le salut de tout un peuple. Dieu a préparé, pour vous, un moyen de secours, de salut. Vous avez tout pleinement en Jésus qui est le Sauveur – Il peut venir en aide à chacun, il est toujours vivant, après sa mort et sa résurrection, pour intercéder en faveur de ceux qui se confient en Dieu par Lui.

Confiez-vous, en ce jour, en Celui qui sait être attentif à vos cris, à vos larmes comme à votre joie.