mardi 31 août 2010

Si Jésus-Christ n’est pas le maître absolu de ma vie...
Si l’amour de l’argent persiste en moi et je le justifie…
Si je pense que par mes offrandes et mes œuvres je serai béni…
Si j’ai peur de la pauvreté oubliant ce que Dieu a promis…
Si je préfère le ‘spectacle’ de la foi au fruit de l’Esprit…
......Malheur à moi car je suis aveuglé et séduit.

dimanche 29 août 2010

Est-Ce Que Les Gens T'aiment
Pour Ce Que Tu es
Ou Seulement Pour Ce Que Tu As ...
...Il Y A Des Choses
Que L'argent N'achète Pas ...
Des Échéances Que La Fortune
Ne Repousse Pas ...
Tu Peux Être Riche
Mais En Mauvaise Santé
Au Point Que Ton Argent
T'arrives Plus À Le Compter ...
Tu Peux Être Riche Oui
Mais Seul,Vaniteux Et Soucieux ...
Tu Peux Être Pauvre
Mais Avoir Tout À Donner
Car Un Grand Coeur
Au Fond De Toi On Sait Trouver ...
Quoiqu'il En Soit Remercie Dieu
Donne Toi Les Moyens D'y arriver
De Réaliser Tes Rêves
Malgré Les Épreuves À Surmonter ...
Ce Qui Ne Nous Tue Pas Nous Rend Plus Fort
Et Je Me Dois De Toujours Le rester ...

samedi 28 août 2010

Mon nom est Chris, et J'ai 3 ans....




il s'agitd'une histoire vraie
Mon nom est Chris,
J'ai trois ans,mes yeux sont gonflés.Je ne peux pas voir. Je dois être stupide,Je dois être mauvais,Quoi d'autre aurait pu mettre
Mon papa très en colère ? J'aurais aimé être mieux,
J'aurais aimé ne pas être vilain,Après, peut-être que ma mère,Aurait toujours voulu me faire un câlin. Je ne peux pas faire un tort,Je ne peux pas parler du tout,Ou encore, je me suis enfermé,Toute la journée. Lorsque je suis éveillé,Je suis tout seul,La maison est sombre,Les gens ne sont pas à la maison. Lorsque ma mère arrive à la maison,J'essaie d'être gentil,Comme ça, peut-être que j'aurai juste,Un seul coup de fouet ce soir. Je viens d'entendre une voiture,Mon papa est de retour,Du bar de Charlie Je l'entends dire des gros mots,Il appelle mon nom,J'appuie mon Corps,Contre le mur. J'essaie de me cacher,De ses yeux Diaboliques,J'ai très peur maintenant,Je commence à pleurer. Il me trouve en train de pleurer,M'appelle par des vilains mots,Il dit que c'est de ma faute,S'il souffre au travail. Il me gifle et me frappe,Et il hurle encore plus,Je peux enfin me libérer,Et je cours vers la porte. Il l'a déjà verrouillée,Et je commence à crier très fort,Il me prend et me jette,Contre le mur. Je tombe au sol,Avec mes os presque cassés,Et mon papa continue,Avec plus de mauvais mots prononcés. «Je suis désolé!», j'ai crié,Mais il est maintenant bien trop tard,Son visage était tordu,Dans une inimaginable forme. Le mal et la douleur,Encore et encore,Oh ! s'il vous plait Dieu, ayez pitié!Oh ! s'il vous plait faites arrêter tout ça ! Et il s'arrête enfin,Et pars vers la porte,Tandis que je suis allongé immobile,Affalé sur le sol. Mon nom est Chris,J'ai trois ans,Ce soir mon papa,M'a assassiné. Et vous pouvez m'aider,Si vous lisez ceci,Et vous ne le transmettez pas,Je prie pour votre pardon. Vous devez êtreUne personne impitoyable,Pour ne pas être touchée,Par cette poésie. Et si vous êtes touché,Faites quelque chose !Donc, tout ce que je vous demande de faire,Est de faire passer ce poème ! Dans un premier temps, j'ai pensé que c'était simplement une chaîneEt je n'allais pas l'envoyer aussi,Mais maintenant, je me rends compte qu'il s'agit d'une situation importante.Au moins 5 enfants, chaque jour, dans le monde meurent de la violence envers les enfants

jeudi 26 août 2010

Dieu seul peut donner l'Espérance,
Mais tu peux rendre confiance à tes frères.

...Dieu seul peut donner l'Amour,
Mais tu peux apprendre à l'autre à aimer.

Dieu seul peut donner la Paix,
Mais tu peux semer l'union.

Dieu seul est le Chemin,
Mais tu peux l'indiquer aux autres.

Dieu seul est la Lumière,
Mais tu peux la faire briller aux yeux de tous.

Dieu seul est la Vie,
Mais tu peux rendre aux autres le désir de vivre.

Dieu seul peut faire ce qui paraît impossible,
Mais tu pourras faire le possible.

Dieu seul suffit à Lui-même,
Mais il préfère compter sur toi...

mercredi 25 août 2010

Curriculum vitae




L’homme cherche les compétences et le bon CV… Il aime l’étalage du savoir
Dieu a un autre regard. Il cherche celui ou celle qui sera selon son cœur
Le CV que demande Dieu
Il cherche 1 vase vide afin de le remplir,
Il cherche une personne incapable à qualifier,
Il cherche une personne dont-on dit : « il ne sortira rien de bon de lui » afin de confondre les mauvaises langues,
Il cherche un faible à fortifier,
Il cherche un David pour confondre les Goliath !
Es tu cet homme ?
Es tu cette femme ?
Sais-tu, que Dieu a des projets pour toi ?
Il veut travailler ton être entier et faire éclater sa Gloire en toi qui es celui que le monde montre du doigt en disant : « Regardez bien c’est un INCAPABLE »
Si tu as ce CV tu peux te présenter à Dieu pour le servir, Il a prévu une mission pour toi…

mardi 24 août 2010

Il était dans la fosse






On raconte l’histoire de ce gars qui était tombé dans une fosse et qui ne pouvait pas en sortir.
Un passant plein de bons sentiments lui dit : “Je ressens beaucoup de compassion pour vous” et continua son chemin.
Un autre passant, pragmatique cette fois, s’écria : “Il est logique que vous soyez tombé dans cette fosse.”
Puis un pharisien s’approcha et lui dit : “Seuls les mauvais sujets tombent dans des fosses.”
Un chrétien intransigeant passe et s’écria : “Vous méritez d’être tombé dans
cette fosse”.
Un inspecteur des impôts passa aussi et lui demanda s’il payait bien ses
impôts du fond de sa fosse.
Un passant optimiste lui déclara : “La situation pourrait être pire !” et un pessimiste s’empressa d’ajouter :“La situation va empirer !”
Puis Jésus passa et s’approcha, lui tendit la main, l’attrapa et le sortit de la fosse...

mardi 17 août 2010

Une priere qui a deranger





Peut-être aimerez-vous lire cette prière faite au Kansas à l’ouverture de la session à la Kansas House of Representatives.

Il semble que la prière dérange encore certaines personnes.
Quand le pasteur Joe Wright a été sollicité pour prononcer la prière d’ouverture de la session au Sénat du Kansas, tout le monde s’attendait à une prière ordinaire; mais voici ce qu’ils ont entendu

« Seigneur, nous venons vers toi aujourd’hui pour te demander pardon et pour te demander de nous guider. Nous savons que ta Parole nous dit : «Malheur à ceux qui appellent bien ce qui est mal» et c’est exactement ce que nous avons fait.
Nous avons perdu notre équilibre spirituel et nous avons renversé nos valeurs.
Nous avons exploité le pauvre et nous appelons cela ‘La loterie’.
Nous avons récompensé la paresse et nous avons appelé cela ‘L’aide sociale’.
Nous avons tué nos enfants pas encore nés et nous avons appelé cela ‘Le libre choix’.
Nous avons abattu des avorteurs et nous avons appelé cela ‘La justice’.
Nous avons négligé de discipliner nos enfants et nous avons appelé cela ‘Développer leur estime de soi’.
Nous avons abusé du pouvoir et nous avons appelé cela ‘La politique’.
Nous avons convoité les biens de nos voisins et nous avons appelé cela ‘Avoir de l’ambition’.
Nous avons pollué les ondes radio et télé avec la grossièreté et la pornographie et nous avons appelé cela ‘Liberté d’expression.’
Nous avons ridiculisé les valeurs établies depuis longtemps par nos ancêtres et avons appelé cela ‘Les Lumières’.
Ô Dieu, sonde notre cœur; purifie-nous et libère-nous de nos péchés, amen! »

La réaction fut immédiate. Un parlementaire a quitté la salle durant la prière. Trois autres ont critiqué la prière du pasteur et un autre a qualifié cette prière de « message d’intolérance ».

Dans les 6 semaines qui suivirent, l’Église Central Christian Church, où le pasteur Wright travaille, a reçu plus de 5.000 appels téléphoniques dont seulement 47 étaient défavorables aux propos du pasteur. Cette église reçoit maintenant des demandes du monde entier, Inde, Afrique, Asie, pour avoir la prière du pasteur Wright.

Avec l’aide de Dieu, puisse cette prière se répandre sur notre nation et que naisse dans notre cœur le désir que nous redevenions ‘un peuple sous le regard de Dieu’. Si c’est possible, passez cette prière à vos amis.

‘Si tu n’as pas le courage de te tenir debout pour une conviction, tu tomberas devant n’importe quelle autre.’

Le pasteur Joe Wright à la Chambre du Kansas, le 23 janvier 1996 .

Pas de bras, pas de jambes, pas de soucis





Je suis né sans membres. L’église entière a pleuré avec mes parents qui étaient anéantis. Si Dieu est amour, pourquoi laisse-t-Il un chose aussi atroce arriver à des chrétiens engagés?

Je m’appelle Nick Vujicic et je rend gloire à Dieu pour la manière dont Il a utilisé mon témoignage pour toucher des milliers de cœurs dans le monde entier ! Je suis né sans membres et les médecins ne savaient pas d’où venait cet « handicap » de naissance. J’ai dû faire face à bien des difficultés et des obstacles.

« Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés. »



Considérer nos blessures, nos douleurs et nos luttes comme rien d’autre qu’un sujet de joie ? Mes parents étaient chrétiens et mon père était même pasteur de notre église, ils connaissaient ce verset parfaitement. Pourtant ce matin du 4 décembre 1982 à Melbourne, en Australie, « Dieu soit loué ! » étaient les derniers mots leur venant à l’esprit. Leur fils aîné était né sans membres ! Ils n’avaient pas pu se préparer à cette épreuve car il n’y avait aucune raison médicale pour ce handicap. J’ai maintenant un frère et une sœur qui sont nés comme n’importe quel autre enfant.

L’église entière a pleuré ma naissance et mes parents étaient absolument anéantis par le chagrin. Tout le monde demandait : « Si Dieu est un Dieu d’amour, pourquoi laisse-t-il quelque chose d’aussi atroce arriver pas à n’importe qui mais à des chrétiens engagés ? » Mon père pensait que je ne survivrai pas longtemps mais les examens médicaux montrèrent que j’étais en parfaite santé, sauf qu’il me manquait quelques membres.

Mes parents étaient très inquiets et se demandaient quel serait mon avenir. Dieu leur a donné la force, la sagesse et le courage nécessaires à ces premières années et bientôt j’eus l’âge d’aller à l’école.

La loi australienne de l’époque ne me permettait pas d’être intégré dans une école ordinaire en raison de mon handicap physique. Dieu a fait des miracles et a donné à ma mère la force de lutter pour que la loi soit changée. J’ai été un des premiers handicapés à être intégré dans une école ordinaire.

J’aimais aller à l’école et j’essayais d’être comme tout le monde mais, pendant ces premières années d’école, j’ai dû faire face à des moments difficiles où je me sentais rejeté, étrange et un souffre-douleur en raison de ma différence physique. C’était très difficile pour moi de m’y habituer mais avec le soutien de mes parents, j’ai commencé à développer des attitudes et des valeurs qui m’ont aidé à surmonter ces moments difficiles. Je savais que j’étais différent extérieurement mais, à l’intérieur, j’étais comme tout le monde. Il y a eu des moments où je me suis senti si malheureux que je ne voulais plus aller à l’école pour ne plus avoir à faire face à tous ces regards négatifs. Mes parents m’ont encouragé à les ignorer et à essayer de me faire des amis en parlant avec les autres enfants. Bientôt ils se sont rendus compte que j’étais comme eux et à partir de là, Dieu m’a tout le temps béni en me donnant de nouveaux amis.



J’ai eu des moments de dépression et de colère parce que je ne pouvais pas changer la façon dont j’étais, ni blâmer quiconque pour cela. J’allais à l’Ecole du Dimanche et j’ai appris que Dieu nous aime tous et qu’Il s’intéresse à nous. Je comprenais cet amour jusqu’à un certain point quand j’étais enfant mais je ne comprenais pas que Dieu m’ait fait ainsi s’Il m’aimait ? Etait-ce parce que j’avais fait quelque chose de mal ? Je pensais que ce devait être cela puisque j’étais le seul enfant étrange de l’école. Je me sentais un fardeau pour ma famille et je pensais que, plus vite je mourrais, mieux ce serait pour tout le monde. Je voulais mettre fin à ma douleur et à ma vie mais je remercie mes parents et ma famille qui ont toujours été là pour me réconforter et me donner de la force.

Les tourments à l’école, ma honte de moi-même et ma solitude m’avaient causé des difficultés émotionnelles. Alors Dieu m’a donné un désir passionné de partager mon histoire et mes expériences pour aider d’autres personnes à supporter leurs propres difficultés et laisser Dieu en faire des bénédictions. Pour encourager et inspirer d’autres personnes à réaliser complètement leur potentiel et à ne pas laisser quoi que ce soit les empêcher d’accomplir leurs espoirs et leurs rêves.

Une des premières leçons que j’ai apprises a été de ne rien prendre comme allant de soi.

« Nous savons en outre que Dieu fait concourir toutes choses au bien de ceux qui l’aiment. »

Ce verset m’a touché au cœur au point que je suis maintenant convaincu que ces choses « désagréables » ne se trouvent pas par chance, par hasard ou par coïncidence dans nos vies.

J’ai ressenti une paix complète lorsque j’ai compris que Dieu ne laisserait rien m’arriver dans la vie sans une bonne raison. J’ai donné ma vie entièrement à Christ à l’âge de 15 ans, après avoir lu Jean 9. Jésus a dit que la raison pour laquelle l’homme était né aveugle était « afin que les oeuvres de Dieu soient manifestées en lui. » Je croyais vraiment que Dieu me guérirait pour que je sois un grand témoin de sa Puissance extraordinaire. Plus tard, j’ai reçu la sagesse de comprendre que si nous prions pour quelque choses, si c’est la volonté de Dieu, cela se passera en Son temps. Si ce n’est pas Sa volonté, c’est qu’Il a quelque chose de mieux en réserve.

Je vois maintenant cette Gloire révélée alors qu’Il m’utilise comme je suis et d’une façon qui n’est pas possible avec d’autres.



J’ai une passion pour le travail parmi les jeunes et je veux rester disponible pour l’œuvre que Dieu veut que je fasse, quelle qu’elle soit, et où qu’Il me mène, j’irai.

J’ai beaucoup de rêves et je me suis fixé beaucoup de buts à atteindre dans ma vie. Je veux devenir le meilleur témoin possible de l’Amour et de l’Espérance de Dieu, un orateur international chrétien et que Dieu m’utilise comme un récipient de Sa grâce pour les chrétiens et les non chrétiens. Je veux devenir indépendant financièrement d’ici l’âge de 25 ans grâce aux investissements immobiliers, je veux faire adapter une voiture pour que je puisse conduire et je voudrais être interviewé pour partager mon histoire au « Oprah Winfrey Show »! Ecrire des livres à succès est aussi un de mes rêves et j’espère finir d’écrire mon premier d’ici la fin de l’année. Il s’appellera : « No Arms, No Legs, No Worries! » [Pas de bras, pas de jambes, pas de soucis !]

Je pense que lorsqu’on a un désir passionné de faire quelque chose et que c’est la volonté de Dieu, on finit par y arriver. Nous autres, êtres humains, nous nous mettons constamment des limites sans aucune raison ! Ce qui est pire, est que nous mettons des limites à Dieu alors qu’Il peut tout faire. Nous mettons Dieu dans une « boîte ». L’aspect extraordinaire de la Puissance de Dieu, c’est que quand nous voulons faire quelque chose pour Dieu, au lieu de nous fixer sur notre capacité, il nous faut nous concentrer sur notre disponibilité car nous savons que c’est Dieu qui agit à travers nous et nous ne pouvons rien faire sans Lui. Une fois, que nous arrivons à nous rendre disponibles pour l’œuvre de Dieu, savez-vous sur quelles capacités nous nous reposons ? Sur celles de Dieu !

Que le Seigneur vous bénisse !

En Christ,

Nick Vujicic

J’ai 23 ans et je meurs à minuit, témoignage des derniers instants d’un condamné à mort





Quand vous lirez ceci, je serai mort. Nous sommes le 9 septembre, un mardi, à minuit. Je suis condamné à mort comme criminel. Depuis que je suis dans ma cellule, j’ai eu le temps de beaucoup penser. Quelques-unes de mes pensées – un avertissement aux criminels – ont été publiées aujourd’hui dans le journal de Chicago (Chicago Tribune) dans un article adressé aux « plus durs des endurcis »…

J’ai seulement 23 ans, mais je suis prêt à mourir. Savez-vous pourquoi? Parce que je suis prêt à rencontrer Dieu et j’en suis heureux. Cette semaine, j’ai fait un rêve que j’emporterai avec moi à la chaise électrique. J’étais sur le chemin du ciel, Jésus marchait avec moi, mais je faisais quatre pas tandis qu’il en faisait deux. Il me demanda pourquoi j’allais si vite et je Lui répondis que j’étais pressé d’arriver à la maison. Puis là-haut, je fus tout environné d’anges. Quelques-uns penseront que c’est bien étrange pour un homme qui est entré athée à la prison, mais c’est exactement ce qui s’est passé, et vous comprendrez mieux quand je vous aurai dit comment j’ai rencontré Dieu, un matin de bonne heure.

Tout d’abord, jetez un regard sur mon passé. Il y a sept ans, j’étais un type qui se faisait valoir, chef de mon propre « gang » des « plus durs des endurcis »… Nous étions huit. L’un était EarI Parks surnommé « Risette », car il vous aurait tué le sourire aux lèvres. Un autre était Charles Jones, connu sous le nom de « Beau gosse », car il avait l’allure d’un joli garçon. Les autres étaient: Herbert Liggins, connu sous le nom de « Patte folle », car il traînait une jambe, William Lee était appelé « BilI le Sauvage », et Charles Hill s’appelait « Colorado Kid »; Clyde Bradford, lui, était si noir que nous l’appelions « Tout bleu ». Le « timonier » était Percy Beilmar. Nous l’avions surnommé ainsi parce qu’il était bon chauffeur; mon timonier numéro 1. Tous sont en prison sauf Parks qui a été exécuté. Ils m’appelaient « Nénesse, le Gaspilleur et le Coureur de femmes ». J’essayais d’agir comme un « caid », sortant toujours de ma poche une « brique », quelquefois deux ou trois.

Quand j’ai commencé à faire tous ces tours, j’étais encore un gosse. Ma famille cherchait à m’envoyer à l’école du dimanche et à l’église. Plus d’une fois, ils m’ont donné de l’argent pour que j’y accompagne mes jeunes soeurs, mais je n’y suis jamais allé. Je faisais promettre à celles-ci de ne rien dire, et pendant ce temps je courais au cinéma. ,Je disais à mes parents que j’étais allé à l’église, et ils ne s’apercevaient de rien. Le crime était en moi, et les films que je voyais m’aidaient à concrétiser mes idées. J’y apprenais quelques trucs qui m’instruisaient sur la « façon de s’y prendre ». Je me souviens du jour où J’ai vu le film « J’ai volé un million ». J’étais là, désirant être le gars qui possédait le million.

Puis j’ai décidé d’apprendre la boxe, pensant que j’étais « costaud » et qu’ainsi je pourrais me défendre à l’occasion. Je pensais aussi que ça pourrait cogner dur un jour. Je fus le meilleur de ma classe pendant un moment, puis devins « pro » et combattis comme poids moyen pendant cinq ans. Je terminai comme poids mi-lourd; le seul homme à me mettre k.o. fut Jimmy Bovins. A 18 ans, je me trouvais dans une maison de correction dans l’état de l’illinois, pour vol à main armée. En octobre, huit d’entre nous s’échappèrent, mais le mois suivant je me retrouvais au pénitencier « Joliet ». J’avais été capturé pour meurtre dans un parc de Chicago, mais fus libéré sur parole en juin. lI semblait que cela dût être une leçon pour moi, mais il n’en fut rien.

Six mois plus jard, j’étais chef d’un nouveau « gang »; cela dura jusqu’au 9 février dernier. Ce soir-là, trois d’entre nous attaquèrent Max Barren, 49 ans, dans son bar situé à l’ouest de Chicago. Barren essaya de saisir un pistolet; je bondis sur lui, mais il était décidé à tirer. Je compris aussitôt que ce serait lui ou nous, alors je tirai à bout portant et le tuai. Nous déguerpîmes avec l’argent, 300 Dollars en tout, que je donnai plus tard aux autres gars. Je m’enfuis à NewYork, puis à Atlanta, où la police m’arrêta. Quelques semaines plus tard je comparus devant la cour de Chicago.

« Reconnu coupable », ainsi retentit le verdict. « Vous êtes condamné à mort … » dit le juge sévèrement. Ainsi j’entrai à Death Row, le « sentier de la mort ». Il n’y avait pas très longtemps que j’étais derrière les barreaux, le 23 mars dernier, quand une femme de ma race – Mme Flora Jones, de l’Eglise Baptiste d’Olivet – vint m’inviter à assister au service religieux pour les détenus. J’étais en train de jouer aux cartes avec d’autres copains et lui ris au nez. « Pourquoi faire? » lui dis-je, « je ne pense même pas qu’il y ait un Dieu »; mais tandis que je jouais, la femme insistait. Je me sentais si pécheur, qu’en réalité je ne voulais rien savoir de Dieu, ni même s’Il existait. Ainsi, J’ignorai cette femme. Tout-à-coup, ce qu’elle dit attira mon attention. « Si vous ne croyez pas en Dieu », cria-t-elle de l’autre côté des barreaux, « essayez seulement cette petite expérience: ce soir, avant de vous endormir, demandez-Lui de vous réveiller à une certaine heure; puis demandez-Lui de vous pardonner vos péchés. »

Elle avait une telle foi que j’en fus saisi. Je n’ai pas assisté au service ce soir-là, mais je décidai de faire l’expérience. Allongé sur ma paillasse, je murmurai: « Mon Dieu, si Tu existes, réveille-moi à 2 heures 45. » Dehors, c’était l’hiver, et les fenêtres se givraient à l’intérieur. Pendant les premières heures de la nuit, je dormis profondément, puis mon sommeil devint plus léger; finalement, je m’éveillai complètement. J’avais chaud et transpirais quoique la cellule fût froide. Tout était calme, sauf le bruit régulier de la respiration de quelques détenus et le ronflement d’un voisin. J’entendis des pas au dehors; c’était un gardien qui faisait sa tournée réglementaire. Quand Il passa, Je l’arrêtai et lui demandai l’heure. Il regarda sa montre et dit: « Trois heures moins le quart. » « C’est la même chose que 2 heures 45, dites-voir? »

Tandis que je posais cette question, mon coeur se mit soudain à battre violemment dans ma poitrine. Le gardien grogna et s’éloigna; il ne me vit pas glisser au pied de ma paillasse et tomber à genoux. Je ne me souviens pas de ce que je dis à Dieu, mais je sais que je Lui demandai d’avoir pitié de moi, un assassin et un pécheur. Il m’a sauvé cette nuit-là, je le sais, et depuis, j’ai toujours cru en Son Fils Jésus. J’avais promis une « rossée » à un autre détenu pour le jour suivant. Le matin, quand j’allai vers lui, il recula et me dit: « Je n’ai pas envie de lutter avec toi, car tu t’y connais dans la boxe. » – « Je ne veux pas boxer », lui dis-je, « je viens seulement pour te voir. » Plusieurs s’étaient réunis pour nous voir lutter, mais ils furent désappointés. Dieu m’avait délivré de mon péché et je n’avais plus aucune envie de me battre. Plus tard, le bruit courut que je méditais quelque tour pour éviter d’aller à la chaise électrique.

Mon cas passa devant la Cour suprême de l’illinois qui maintint la sentence de mort. Cela me « fit un coup », mais je ne perdis pas la foi en Dieu. – Je sais maintenant qu’Il ira avec moi; ainsi, vous voyez, je n’ai vraiment pas peur. Avant de mourir, je veux laisser un message pour les autres jeunes: Commencez à servir le Seigneur pendant que vous êtes jeunes, avancez sur ce chemin, et Il vous gardera dans la droite ligne. Quand on commence à tuer, on est vaincu et li est difficile d’en sortir. C’est exactement comme pour l’habitude de fumer ou de boire, on en est esclave, on ne peut pas s’arrêter. Oui, je serai mort quand vous lirez ceci, mais écoutez mon conseil: « … le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur », dit la Bible. J’ai découvert que c’était vrai.

Aujourd’hui 22 octobre, le directeur Frank Sain m’a dit que le gouverneur Green m’accordait un délai d’exécution jusqu’au 24 octobre. Je suis toujours heureux et ne crains rien. Je mourrai demain, à minuit.

Ernest Gaither

Peter Tanis, missionnaire des prisons a accompagné Ernest Gaither à la chaise électrique. Voici la description des derniers moments du détenu: J’ai été autorisé à entrer dans la cellule d’Ernest à peu près une heure avant minuit. L’atmosphère était lourde, les gardiens se tenaient autour de la cellule, bavardant pour détourner sa pensée « du voyage de minuit ». Mais leur conversation était forcée, et ce qu’ils disaient n’avait aucun sens. Lorsque je suis entré dans sa cellule, Emest sourit et me salua. Un aumônier noir était en train de lire la Bible avec lui. Il me donna le Saint Livre et me demanda de lire. Ernest se pencha en avant et écouta attentivement tandis que je lisais: « Car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain… je suis pressé des deux côtés: j’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur »

Il reçut un grand réconfort de ce verset: « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi ». Quand l’horloge sonna la dernière heure de sa vie, il cita ce verset par coeur. Dehors, les gardiens écoutaient sans rien dire, certains avaient les larmes aux yeux. A 11 heures et demie environ, nous eûmes une réunion pendant laquelle nous chantâmes des cantiques. Ernest voulut chanter: « Quand l’appel de Dieu retentira, je serai là. » Tandis que les derniers sons d’un autre cantique « Quelques mots avec Jésus » se faisaient entendre, les gardiens vinrent avec une tondeuse pour couper les cheveux de l’homme à la voix de ténor. Juste avant minuit, Ernest pria: « Seigneur », dit-il à voix basse, « quand je suis entré ici, je haïssais ces gardiens; mais maintenant, je les aime, Seigneur. O Dieu, j’aime tous les hommes. » Puis il pria pour ceux auxquels il avait fait de la peine, pour sa mère, demandant au Seigneur de la bénir; et Il conclut en disant: « Je ne vais pas mourir par électrocution, je vais seulement m’assoir sur la chaise et m’endormir. »

Quelques minutes plus tard, une cagoule noire fut posée sur sa tète, et il commença à parcourir les derniers mètres. De chaque côté de la chaise se tenaient des gardiens qui paraissaient visiblement nerveux. Ernest le sentit et leur dit: « Pourquoi tremblez-vous ainsi? Je n’ai pas peur. » Soixante-quinze témoins étaient présents quand le condamné fut attaché par des mains fébriles sur la grande chaise noire que faisait ressortir un plancher d’acier sans tâche. A minuit et trois minutes, le premier des trois chocs électriques passait à travers le corps d’Ernest. A minuit et quart, cinq docteurs en tenue confirmèrent la mort, l’un après l’autre. Mais je savais que le vrai Ernest Gaither était encore vivant et que son corps seulement était mort. En quittant la prison, je pensais au verset qu’il aimait tant: « Car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. »

Se moquer de Dieu ?




Il est possible de refuser de croire que Dieu existe avec des arguments à l’appui…
Il est possible de croire que Dieu existe avec des arguments à l’appui…
Il semble qu’il soit possible de mettre Dieu à l’épreuve….
Félix Nef pria ainsi «oh Dieu si tu existes sauve mon âme si j’en ai une…»
Il devient le plus grand pasteur itinérant de son temps…

Mais il semble qu’il soit dangereux de se moquer de lui, ou de le défier…
Surtout à la lecture des quelques anecdotes qui suivent :

En mars 1966, cinq mois avant la troisième tournée américaine d’été (les deux premières eurent lieu en 1964 et en 1965), John Lennon donne une interview à Maureen Cleave, une amie journaliste. Il lance : «Le christianisme disparaîtra. Il s’évaporera, rétrécira. Je n’ai pas à discuter là-dessus. J’ai raison, il sera prouvé que j’ai raison. Nous sommes plus populaires que Jésus désormais…»
Sous les yeux de Yoko, Mark David Chapman, un homme complètement déséquilibré, l’abat de cinq balles de revolver calibre 38.

Au Brésil, à l’occasion d’une campagne présidentielle, Tancredo Neves (4 mars 1910 – 21 avril 1985) dit que si même son parti gagnait qu’avec 500 voix d’avance, Dieu ne pourrait pas lui retirer la présidence de la république
Le 15 janvier 1985, Tancredo Neves fut élu à la présidence avec une majorité au Congrès. Il tomba subitement malade une journée avant de prêter serment (15 mars 1985). Il souffrit de complications abdominales et développa des infections généralisées. Après sept opérations, Tancredo Neves décéda le 21 avril 1985. Il n’a jamais prêté serment et jamais exercé le pouvoir en tant que président.

Lors d’un concert au Brésil, Cazuza aspira une bouffée de fumée d’une cigarette forte et l’expulsa vers le haut en disant: “Dieu, ça c’est pour Vous!”
Cet homme est mort jeune à cause du sida dans des circonstances pénibles.

Toujours au Brésil, à Campinas, un groupe d’amis déjà enivrés, allèrent prendre la dernière copine pour la ballade. Ils s’arrêtèrent devant la maison de la jeune fille. Celle-ci vint accompagnée de sa mère. La maman, vu l’état de tous ces gens ivres, saisit la main de sa fille qui entrait déjà dans le véhicule et dit: “Ma fille, que le Seigneur te protège“. Cette dernière lui répondit: “Si Dieu pouvait voyager dans le coffre de la voiture, ainsi nous aurions un peu plus de place… » Quelques heures plus tard, le message parvint aux familles des jeunes qu’un accident avait eu lieu. Tous les jeunes étaient morts, et la voiture était complètement broyée, sauf le coffre qui était resté intact. La police fut surprise de constater que le coffre n’avait rien et qu’en plus dedans il y avait un plateau avec 18 œufs intacts.

Marilyn Monroe fut visitée par Billy Graham (pasteur protestant baptiste) lors d’un concert. Ce prédicateur de l’évangile fut envoyé par l’Esprit Saint en ce lieu, pour exhorter Marilyn. Mais après avoir entendu le message, elle dit: “Je n’ai pas besoin de Jésus » Une semaine plus tard, en ce début d’Août 1962 elle fut retrouvée morte dans son appartement.

Bon Scott Ex Chanteur de l’ensemble AC/DC chanta en 1979 « Don’t stop me, I’m going down all the way, wow the highway to hell ». (Ne m’arrête pas… Je vais suivre le chemin jusqu’à la fin de l’autoroute de l’enfer).
Le 19 février 1980, Bon Scott fut retrouvé mort, étouffé par ses propres vomissements.

Lors de sa construction, il fut désigné comme le plus grand paquebot de l’époque. Le jour de son départ en haute mer, un reporter posa la question suivante au constructeur: “Qu’est ce que vous avez à dire à la presse concernant la sécurité du navire ? » L’homme dit sur un ton ironique: “Même Dieu ne peut pas faire sombrer mon bateau ». C’était le Titanic et tout le monde sait dans quel dramatique naufrage ce bateau n’atteignant même pas une fois l’Amérique et tant de passagers périrent….Ce fut le plus grand naufrage de la marine commerciale.

Dans les années 80, en Roumanie des panneaux publicitaires disaient : « Sans Dieu ni maître nous moissonnerons » Cette année là il y eut un été si pluvieux au point que la récolte a pourrit dans les champs…. Ce fait fut rapporté par Christian Sandru, fils d’un pasteur roumain, qui vit aujourd’hui au Canada.

Beaucoup d’autres personnes importantes ont oublié qu’il n’y a aucun autre Nom donné avec autant d’autorité que celui de JESUS. N’oubliez pas ceci: beaucoup sont morts, mais 1 seul est ressuscité: Jésus!
Un texte biblique dit : «…Car il n’y a sous le ciel aucun autre nom donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés…» Actes 4.12.

Un petit exercice................................spirituel





Chers frères et sœurs,


Je vous propose un petit exercice qui vous aidera certainement dans votre cheminement spirituel, dans votre relation avec Dieu.



1° chose : Vous devez avoir en main votre Bible

2° chose : Vous devez être disposé à la lire

3° chose : Vous devez méditer sur ce que vous allez lire par rapport à votre vie spirituelle

4° chose : Vous devez prier en demandant à Dieu de vous aider

5° chose : Vous devez être disposé à partager ton expérience avec les autres chrétiens de ton entourage

6° chose : Vous êtes appelé fraternellement à donner votre réaction



Passons maintenant à l'exercice. Votre Bible en main, je vous demande de lire la première Epître de Paul aux Corinthiens en son chapitre 13, versets 4 à 7.



L'exercice consiste à remplacer dans ce passage le terme de charité

( amour dans d’autres versions ) par votre prénom.



Par exemple, le passage qui dit : « La charité est patiente, elle est pleine de bonté; la charité n'est point envieuse; la charité ne se vante point, elle ne s'enfle point d'orgueil, » deviendra pour mon cas : Bertrand est patient, Bertrand est plein de bonté, Bertrand n'est point envieux; Bertrand ne se vante point, Bertrand ne s'enfle point d'orgueil,... ". C'est à ce moment que ça devient intéressant, car je dois me poser la question de savoir si j'ai vraiment ces caractéristiques, si je me comporte selon ce que je lis. Si tel n'est pas le cas, je dois arranger ma vie par rapport aux Ecritures. A ce propos, j’ai toujours pensé que l’important n’est pas de connaître, mais de mettre en pratique la Parole de Dieu.



A vous de jouer maintenant.



Merci et à bientôt.

12 leçons sur la vie chrétienne





PREMIÈRE: Les résultats de la nouvelle naissance
DEUXIÈME: L'Assurance du salut
TROISIÈME: La protection constante de Dieu
QUATRIÈME: La victoire sur la Tentation
CINQUIÈME: Le chrétien dans la vie pratique
SIXIÈME: Prières et louanges
SEPTIÈME: À la recherche de la volonté de Dieu
HUITIÈME: Le choix d'une église
NEUVIÈME: Enseveli dans les eaux du baptême
DIXIÈME: Étude approfondie des Écritures
ONZIÈME: Témoigner et évangéliser pour Christ
DOUZIÈME: Une vie qui compte

ETRE DISCIPLE




Le disciple n'est pas plus que son Maître...Il suffit au disciple d'être traité comme son Maître (Evangile selon Matthieu, ch.10, v.24 et 25).

Etre disciple de Jésus-Christ, c'est accepter d'être traité comme Il l'a été. Ce rappel une évidence. Pourtant que de fois nous l'oublions ! C'est pour cela que les incompréhensions nous blessent. Serons-nous jamais aussi incompris qu'Il ne l'a été, nous sommes malheureux lorsque notre témoignage est rejeté; les injures (pourtant bien rares) nous découragent... et que dire des épreuves ? Nous ne les comprenons pas; nous adressons à Dieu un nombre impressionnant de pourquoi, comme si les épreuves n'étaient pas le lot normal du disciple, comme si le Maître n'avait jamais dû affronter injures, rejet et mépris.

Moïse a regardé l'opprobre du Christ comme une richesse plus grande que tous les trésors de l'Egypte. Il y en avait pourtant des trésors en Egypte ! L'opprobre, qu'est-ce donc ? C'est précisément le fait d'être méprisé, compté pour rien, regardé comme rétrograde, pas à la page, intolérant,... peut-être, traité même comme membre d'une secte. Combien de chrétiens, hélas, seraient prêts à toute sorte de compromis pour échapper à cette accusation-là !

L'opprobre, c'est peut-être aussi quelque réelle souffrance. Dans certains pays, bien de nos frères et soeurs en Christ en auraient long à dire à ce sujet !

Et cet opprobre, l'auteur aux Hébreux nous rappelle qu'il faut le porter hors du camp (Epître aux Hébreux, ch.13, v.13). Cela signifie que, quoique dans ce monde, nous n'en sommes point et n'avons plus rien de commun.

La bouteille brisée






Georges, chrétien plein d'amour, témoignait partout de sa foi. Son collègue de travail, un pharmacien du nom de Henry, lui tenait particulièrement à coeur. Mais chaque fois que Georges lui parlait du Seigneur, Henry tournait ses propos en dérision. Un jour, une petite fille présenta à Henry une ordonnance pour sa mère alitée. Il mélangea quelques drogues, versa le contenu dans un flacon qu'il remit à la petite fille. Celle-ci franchit prestement la porte et s'en alla en courant. Lorsque le pharmacien remit les bouteilles en place, il constata avec horreur et stupéfaction qu'il avait pris par mégarde une bouteille contenant un poison mortel. Il ne connaissait pas la fillette, ni son adresse. Henry fut terriblement tourmenté. Dans quelques instants, la mère allait avaler le breuvage mortel. Cette pensée Iui donnait des sueurs froides. Quelles conséquences dramatiques allait avoir cette affaire ? Non seulement pour cette famille, mais aussi pour lui et sa carrière? Soudainement, il se souvint de son collègue Georges et du Dieu dont il lui avait souvent parlé. Immédiatement, il se mit à genoux et implora le secours de ce Dieu qu'il ne connaissait pas mais qui, selon Georges, est vivant et sait faire des miracles. Il pria intensément, demandant à Dieu d'intervenir dans cette situation. Soudain, la porte s'ouvrit et la petite fille, éplorée, dit au pharmacien :«Je suis désolée, Monsieur, mais j'ai trébuché sur la route. Pouvez-vous me donner une autre potion?» C'est avec joie et grand soulagement que le pharmacien s'exécuta. Cet incident bouleversa la vie d'Henry et il ne fut plus jamais le même, car il savait maintenant d'expérience que Dieu exauce les prières. 11 se convertit à Jésus-Christ Application : Parlons du Sauveur à nos collègues de travail. Tôt ou tard, la semence germera et donnera du fruit. « Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche elle ne retournera point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins.

lundi 16 août 2010

Un enfant les conduira




Marie est une gentille fille d'une douzaine d'années, agréable à vivre et aimant le Sei¬gneur. Le foyer de ses parents n'allait pas très bien par contre, et il y avait souvent des discussions entre les époux. Un jour, le père quitta la maison les laissant seules. Marie souffrait beaucoup de cette situation, elle s'enfermait souvent dans sa chambre priant le Seigneur, pour le retour de son père.

Le temps s'écoulait ainsi et toujours rien ! Un jour, elle tomba malade et la maman appela le docteur qui, après l'avoir con¬sultée, déclara à la mère : "Madame, c'est très grave. Soyez forte, je ne peux plus rien faire pour elle, votre enfant est perdue !" Consternée et en pleurs, elle demanda à sa petite fille ce qu'elle voudrait : un beau jouet, une poupée, un jeu quelconque ? Non, dit-elle. Que veux-tu alors ? Je vou¬drais revoir papa !
La maman alla attendre son mari à la porte de l'usine. Celui-ci en la voyant lui dit dure¬ment : que viens-tu faire ici ? Va-t-en ! Je ne viens pas pour moi, mais pour Marie qui te demande, car elle se meurt et vou¬drait te revoir ! Blême le père dit : "Allons vite, ne perdons pas de temps".

Arrivés dans la chambre, ils se mirent à ge¬noux aux pieds du lit et Marie, le visage déjà marqué par la mort, leur prenant les mains, posa les siennes sur les leurs en di¬sant d'une voix faible : "Papa, maman, res¬tez unis", et ayant dit cela avec un léger sou¬rire, elle rendit son âme à Dieu ! Elle avait accompli sa mission !

"Nul enfant n'est trop petit pour la route étroite.
Quand le Seigneur l'y conduit marchant à sa droite.
Même le plus jeune cœur peut être un temple au Seigneur".

Il envoya sa Parole et il les guérit...




Dans un train de Finlande, Miss Lindström se trouve en face de deux jeunes filles qui parlent de leurs projets de voyage en Amérique et de tout l'argent qu'elles y gagneront. « L'argent ne fait pas le bonheur, leur dit Miss Lindström. Moi je connais un pays où l'on trouve le vrai bonheur... ». Au moment de les quitter, elle tire un Nouveau Testament de sa poche et le leur tend en disant : « Vous y trouverez les directives nécessaires pour atteindre ce pays » — « Merci, nous n'en avons pas besoin » réplique l'une d'elles, mais l'autre le prend et l'empoche.



Six ans plus tard, Miss Lindström se retrouve dans le train. Une jeune femme s'assoit en face d'elle, avec une petite fille de deux ans. « Vous ne m'avez pas reconnue, dit-elle, mais vous vous souvenez sans doute des deux jeunes filles en partance pour l'Amérique auxquelles vous avez donné un Nouveau Testament ?

Après une vie aventureuse, mon amie s'est suicidée. Moi-même j'ai trouvé un bon mari. Après trois années de vie heureuse, il est tombé gravement malade. C'est alors que je me suis souvenue de votre Nouveau Testament. Nous avons commencé à le lire ensemble et mon mari y a trouvé son Sauveur. Ses forces ont rapidement décliné et il est allé rejoindre son Seigneur.

Avant de mourir, il m'a suppliée de mettre ma confiance en Jésus-Christ et d'élever notre fillette dans la foi chrétienne. J'étais malade de chagrin, mais j'ai décidé de placer ma confiance pour le reste de ma vie en Celui dont parle le Nouveau Testament et Il a guéri ma douleur. ».

Dorothée Hatzakortzian

Vous avez dit: Péché?




Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort.
Romains 5 . 12
Voilà l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ! Jean 1 . 29

Un caractère actuel de notre monde occidental, c’est l’affaiblissement, pour ne pas dire la disparition de la notion de péché. On est bien d’accord pour reconnaître que les actes de violence doivent être réprimés. Mais si le nombre des délits et des crimes augmente, c’est la faute de la misère, de l’exclusion… du gouvernement, dit-on.


C’est vrai que l’égoïsme et la détresse qui en résultent génèrent bien des violences. Mais l’on refuse de voir que la nature humaine elle-même, dans une triste mais évidente solidarité est mauvaise.
D’autre part, on refuse de reconnaître le vrai caractère du mal : une faute contre Dieu.
Le péché, ce n’est pas seulement ce qui cause du tort à d’autres, c’est ce qui, dans l’homme, s’oppose à la volonté de Dieu, son créateur. Rebelle à la loi de Dieu, tel est l’homme. Dieu le déclare pécheur, coupable, souillé ; il mérite le jugement du Dieu saint et juste.
L’indifférent et l’incrédule ne veulent pas écouter de telles déclarations : tuer quelqu’un est, bien sûr, un crime, mais mentir ou blasphémer, ce n’est rien. Le chrétien superficiel dira : ce n’est pas grave.
A tous ceux-là est fermée la suite du message divin, qui proclame que Jésus-Christ est venu pour faire l’abolition du péché par son sacrifice. Lui, l’Agneau de Dieu, le Fils de Dieu devenu homme, s’est offert pour le pécheur en victime expiatoire. Mais pour le connaître comme Sauveur, il faut s’être soi-même reconnu pécheur. Tous les hommes le sont. Jésus-Christ est venu apporter la délivrance du péché « à tous ceux qui l’ont reçu…’ par la foi (Jean 1.12).

Près du Seigneur Jésus




L’Eternel… devant qui je me tiens, est vivant. 1 Rois 17 . 1
(Jésus dit : ) Moi je suis avec vous tous les jours, jusqu’à l’achèvement du siècle.
Même quand je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal ; car tu es avec moi. Psaumes 23.

Un auteur contemporain écrit : « Au cours des années, s’est développée, parmi les chrétiens, la pensée que leur vocation primordiale, c’est d’être proche des autres, sensibles à leurs besoins et à leurs souffrances. Mais en lisant la Bible, nous voyons que la première pensée de Jésus était d’être obéissant au Père et de vivre constamment dans sa présence. Alors, il pouvait accomplir auprès des hommes ce qui lui était demandé par son Père ».



Pour nous qui disons vouloir suivre Jésus, nous avons à rechercher en tout premier lieu sa compagnie, à vivre près de lui, et à tenir compte à chaque instant du fait qu’il est là, qu’il intervient, qu’il répond… Alors quand surviendront les difficultés ou les tentations, nous nous sentirons comme protégés par cette présence d’amour. Alors aussi nous pourrons être attentifs, respectueux, ouverts à ceux que nous côtoyons.
A notre réveil chaque matin, les obligations de la journée, souvent nous assaillent. Que notre première tâche consiste simplement à les repousser toutes, à nous tourner vers Dieu par la prière, à l’écouter en lisant Sa parole, la Bible ! Notre vie sera alors plus forte, plus joyeuse, plus paisible, et ceci tout au long du jour.
Et si parfois dans la journée, nous nous rendons compte que nous avons, pour ainsi dire, lâché la main du Seigneur Jésus, que notre « réflexe » soit de revenir à lui, par une prière courte et silencieuse. Il répondra, car lui ne nous laisse jamais.

Une aide inattendue




A l'aéroport, nous sommes inquiets. Contrairement aux autres voyageurs au départ, nos valises sont quasiment vides. Les Bibles qui les remplissaient à l'aller ont été laissées aux amis que nous avons visités. Si l'on nous demande d'ouvrir nos bagages, on risque fort de comprendre que nous ne sommes pas des touristes ordinaires, qui rapportent d'habitude le plus de souvenirs possible, et les questions pourraient bien être délicates. Nous avons bravé les lois de ce pays opposé à l'évangile ; sommes-nous prêts à souffrir comme nos frères persécutés ?

C'est l'heure d'enregistrer. Nous prions pour que tout se passe bien, nos formulaires à la main. Un homme apparaît alors, habillé comme quelqu’un du pays, plein de calme et d'autorité.
- D'où venez-vous et où allez-vous ? demande-t-il. Nous répondons, simplement.
- Suivez-moi, dit-il. Et regardant nos formulaires encore vierges : "Vous n'en aurez pas besoin".
Stupéfaits, nous le suivons. Nous traversons la zone de sécurité où sont fouillées les valises, passons à côté du détecteur de métaux, puis du soldat en armes qui collecte les cartes de départ. On ne semble pas nous voir. "Ne vous arrêtez pas", dit notre guide. Avant même de nous en rendre compte, nous sommes dans la dernière file, prêts à embarquer. L'homme qui nous a aidés a dis paru ! Nos cœurs éclatent de joie et de reconnaissance.
Dieu fait des miracles pour tous ceux qui s'attendent à lui, encore aujourd'hui. Connaissez-vous ce Dieu infiniment puissant, dont les compassions pour les siens se renouvellent chaque jour ?

Les cent talents d'argent




Amatsia, roi de Juda, n'avait guère confiance en Dieu. Aux prises avec les Edomites, il s'aperçoit que son armée est trop faible et enrôle cent mille hommes de guerre pour cent talents d'argent (2 Chroniques 25. 6). Un prophète vient lui dire qu'il doit plutôt se confier en Dieu, "car c'est en Dieu qu'est le pouvoir pour aider" (v. 8) ; et Amatsia de répondre : "Mais que faire quant aux cent talents d'argent que j'ai donnés à la troupe d'Israël" (v. 9) ? Alors "l'homme de Dieu" fait cette belle réponse : "II appartient à l'Éternel de te donner beaucoup plus que cela" (v. 9).

Comme chrétien, j'ai besoin de croire cette parole tout au long de ma vie. Je pourrais, par exemple, avoir une promotion très avantageuse financièrement, mais le travail serait tellement prenant qu'il en résulterait un affaiblissement spirituel. Je choisirai alors de privilégier ma vie avec Dieu et son service, étant assuré qu'il peut me donner beaucoup plus que ce que je perds.
Une légère entorse à la vérité me faciliterait vraiment la vie. Que faire ? Je décide de dire la vérité.
Je pourrais donner du temps et de l'argent pour l'œuvre de Dieu. Ne serait-il pas plus prudent d'épargner ? J'ai besoin d'entendre encore : "II appartient à Dieu de te donner beaucoup plus que cela" !
Nous ne ferons jamais de Dieu notre débiteur, car ses ressources sont infinies. Il dit : "Le monde est à moi et tout ce qu'il contient" (Psaume 50.12). Confions-nous fermement dans un Dieu à la fois puissant et miséricordieux, et soyons reconnaissants pour tout ce qu'il nous donne.

Une vérité de base de la foi chrétienne : la nécessité de se repentir



Voici deux illustrations qui vous aideront à comprendre cette réalité biblique :


Regret ou repentance

Une dame, devenue visiteuse de prison, s'efforçait de réconforter les prisonniers. Elle eut à s'occuper d'un nouveau détenu à l'aspect fort sympathique.
- Qu'avez-vous fait pour être là ? demanda-t-elle.
- Ah ! ne m'en parlez pas, répliqua le jeune homme. Tout ce qui m'arrive, c'est bien ma faute à moi. Et tout ça, pour avoir cambriolé une maison.
- Bien sûr, vous en éprouvez du regret.
- C'est pas ça. Où je m'en veux, c'est d'avoir marché sur la queue du chat. Il a miaulé tant et plus, et c'est comme ça que je me suis fait pincer.
Beaucoup, après avoir fait ce qui est mal, n'éprouvent que le regret d'avoir été pris sur le fait, de s'être fait prendre. La repentance, c'est tout autre chose : c'est la tristesse qu'on éprouve d'avoir péché, la douleur d'avoir offensé Dieu.
Le regret est stérile, le remords est destructeur, la repentance est salutaire. Elle conduit à la découverte du pardon que Dieu nous offre en Jésus-Christ, son Fils, et à une vie entièrement nouvelle. " Repentez-vous et convertissez-vous pour que vos péchés soient effacés " (Actes 3:19).

La corde et la vache

Un homme vint voir un pasteur : il avait quelque chose sur la conscience et désirait le confesser :
- Cela me pèse jour et nuit et ne me laisse aucun repos.
- Qu'est-ce donc ?
- Je n'ose pas le dire ; c'est trop pénible.
- Il faut pourtant l'avouer, sinon vous n'aurez pas de repos.
- J'ai volé.
- Et quoi ?
- Une corde.
- Eh bien ! dit le pasteur, rapportez-là à celui à qui vous l'avez prise. Dites-lui vos regrets, et l'affaire se réglera sûrement.
Peu de jours après, le voleur reparut et dit qu'il n'avait pas retrouvé la tranquillité d'esprit.
- M'aviez-vous tout dit ?
- Non !
- Eh bien ! dites-moi toute la vérité, cette fois-ci.
- C'est que, au bout de la corde, il y avait quelque chose, dit-il en hésitant.
- Il… il… y avait… une vache.
Beaucoup sont disposés à avouer la corde, mais pas la vache. Aussi, il n'y a pas de pardon reçu, pas de paix, pas de transformation de la vie. La Parole de Dieu déclare : " Si nous confessons nos péchés à Dieu, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et nous purifier de toute iniquité " (1 Jean 1:9).

(Pasteur Lucien Clerc : " Reflets de la vérité " avec la permission de l'auteur)

L'insensé dit en son cœur : il n'y a pas de Dieu




Une certaine année, au cours du mois de décembre, les adhérents d'une association prônant l'athéisme ont reçu une circulaire, rédigée en ces termes: "La conférence prévue sur la non-existence de Dieu n'aura pas lieu à la date prévue en raison des fêtes de Noël".

Authentique, m'a-t-on assuré! Ne faut-il pas, en premier lieu, rappeler que Noël est le temps ou les chrétiens commémorent le don que Dieu a fait à l'humanité en la personne de Jésus, son Fils unique, voici plus de 2000 ans ?

En second lieu, selon la formule originale employée par un auteur chrétien : il faut beaucoup de foi pour être athée. Le célèbre président des Etats-Unis, Abraham Lincoln a écrit: "J'arrive à comprendre que ce soit possible de regarder la terre et d'être athée. Mais je ne comprends pas qu'on puisse lever, la nuit, les yeux vers le ciel et dire qu'il n'y a pas de Dieu".

Le physicien Alfred Kastler, prix Nobel 1966, a dit : "L'idée que le monde, l'univers matériel, s'est créé tout seul me paraît absurde. Je ne conçois le monde qu'avec un créateur, donc un Dieu."

Victor Hugo affirmait que « l'athée est identique à l'aveugle ». Et l'illustre savant Louis Pasteur témoignait : "Plus j'étudie la nature, plus j'admire le Créateur".
La période de Noël ne serait-elle pas mise à profit si l'on prenait du temps pour lire ou relire les Evangiles, et particulièrement le récit de la naissance de Jésus ? Et, surtout aussi, pour remercier Dieu du don incomparable qu'il nous a fait ?

(Vivre aujourd’hui)

Combien pèse le péché ?




Dieu met en évidence son amour à lui envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous. (Romains 5 : 8). Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. (Mathieu 11 :28)



Un prédicateur venait d'inviter ses auditeurs à venir à Jésus pour être soulagés du poids de leurs péchés. "Le poids des péchés? s'exclama un jeune homme. Moi, je ne le sens pas. Je ne me sens vraiment pas coupable.
—Dites-moi, répondit l’évangéliste, si on mettait 50 kilos sur la poitrine d'un mort, le sentirait-il ?
— Bien sûr que non, puisqu'il est mort.
—Eh bien, l'homme qui ne sent pas sa culpabilité devant Dieu est moralement mort ».
Lecteur, si vous ne sentez pas le poids de vos péchés, vous avez de sérieux motifs de vous inquiéter ; vous êtes spirituellement mort.

Imaginez un homme gravement malade, à qui on a administré de la morphine pour calmer sa douleur. Comme il ne souffre plus, il dit qu’il se sent mieux, mais le médecin hoche la tête, il sait que son patient est condamné. N'est-ce pas l’image de votre état moral, si vous ne reconnaissez pas votre culpabilité ?

Vous n'avez vraiment aucune appréhension quant à votre avenir éternel ? Quelle dangereuse situation! Réveillez-vous avant qu'il ne soit trop tard. Adressez-vous à Jésus. Lui qui n'a jamais commis le péché, a pris nos péchés sur lui pour être puni par Dieu à notre place. Nous avons tous fait le mal, certes nous sommes tous coupables. Reconnaissons-le approchons-nous de Dieu tels que nous sommes.
Aujourd'hui même!

(La bonne semence)

La crainte de Dieu




Dieu vous aime. L'avez-vous déjà entendu dire ? C'est vrai, et cet amour peut changer votre vie pour toute l'éternité. Mais dire que Dieu est amour, ce n'est pas tout dire. II y a amour et amour.

Pour certains, l'amour est une sorte de sentimentalisme faible, qui n'ose contrarier personne, des parents qui refusent de corriger leurs enfants, des tribunaux qui refusent de condamner les coupables. Par "amour", on ne veut faire de mal à personne.

L'amour de Dieu désire ardemment le bien de tous. Mais son amour n'est pas faiblesse. Il désire le salut de tous, mais il ne permettra pas que le refus des uns puissent empêcher éternellement le bonheur des autres. Le jour vient où Dieu jugera le mal et renverra irrémédiablement tous ceux qui auront refusé de se tourner vers lui. II mettra en place un monde de justice ou, enfin, les siens connaîtront la joie et la paix.

La Bible parle de l'amour de Dieu mais aussi de la colère de Dieu. Tôt ou tard, chacun de nous sera confronté à une de ces réalités. Personne ne peut éviter de paraître devant Dieu. Mais la manière d'y paraître peut tout changer.

Si j'accepte le don gratuit du salut offert en Jésus qui a subi la colère divine à ma place, je rencontrerai Dieu comme un Père aimant. Sinon, c'est devant un juge que je devrai comparaître et rendre des comptes. Comment voulez-vous le rencontrer, au dernier jour ?

(Vivre aujourd’hui)

Une Bible sur la voie ferrée



Quelques soldats déambulaient dans les couloirs d'un train, faisant assaut de plaisanteries douteuses. Dans un compartiment, un jeune militaire lisait tranquillement sa Bible.

"Qu'est-ce que tu es en train de lire? La Bible! Ce n'est pas possible! s'exclama l'un des joyeux lurons. Ce n'est pas un livre pour toi. II n'est bon qu'à prendre le chemin de la fenêtre". Joignant le geste à la parole, il lui arracha la Bible des mains et la lança par la fenêtre.

Un mois plus tard, notre ami reçut par la poste un paquet contenant sa Bible accompagnée d'une lettre. Elle avait été trouvée par un cheminot, et comme elle portait le nom et l'adresse de son propriétaire, il avait pu la lui renvoyer. Mais cela n'est pas le plus important.

La lettre expliquait comment celui qui avait ramassé la Bible en avait lu beaucoup de pages et avait trouvé la paix intérieure. Ce qui confirme la parole de Dieu dite par le prophète: "Ainsi sera ma parole qui sort de ma bouche: elle ne reviendra pas à moi sans effet... et accomplira ce pour quoi je l'ai envoyée" (Esaïe 55.11).

L'homme peut s'opposer à la Bible, et des gouvernements puissants l'ont fait au 20ème siècle, mais elle accomplit pourtant son travail pour produire la foi et la soutenir. Parfois un seul verset suffit pour nous ouvrir les yeux et nous encourager. C'est un miracle qui se reproduit sans cesse... pour celui qui accepte de lire la Parole de Dieu.

(La bonne semence)

Histoire drôle ou drôle d’histoire...?




Voici un scénario fictif, sorte de parabole, que j’ai imaginé pour illustrer le propos qui va suivre :
« LE JUGE : Vous avez tué votre femme. Pourquoi ?
L’INCULPE : Ce n’est pas moi, c’est le couteau que tenait ma main. Par hasard, il est entré dans sa chair, à la place du cœur. Il aurait pu, tout autant, entrer ailleurs.
J : Qu’est – ce que vous me chantez là ? C’est tout de même bien vous qui avez décidé de la tuer.
I : Pas sûr ! Vous savez, le hasard a de ces fantaisies parfois, et puis, ma main est bien capable de faire le travail toute seule. En voyant le couteau, elle a dû se dire : « j’ai des doigts qui sont faits pour agripper des objets ; un couteau ça sert à couper ou piquer. Il y a un corps humain, tout près, là ; l’occasion est bonne. Hop ! J’enfonce avec délice le couteau dans cette chair vive ».
J : Qu’est – ce que ce discours absurde ? Le couteau, la main ne sont pas des instruments, des moyens. Ce crime, vous l’avez conçu pensé, préparé dans votre tête.
I : Ah ! Là, je vous arrête, M. le Juge. Dans ma tête, il y a un cerveau, et c’est lui qui décide, pas moi. Il est composé de neurones (cellules nerveuses) lesquels sont faits de molécules, atomes et particules. C’est toute cette mécanique qui conçoit et commande les gestes et les actions, comme les cerveaux de tous les animaux du monde. Cessez de voir de la pensée partout. Les choses peuvent bien se faire toute seule. Avec le hasard, l’enchaînement des circonstances, tout devient possible.
D’accord, un couteau qui m’appartient a tué ma femme ; ma main tenait le couteau ; mon cerveau a commandé à ma main de faire ce geste, lequel, par hasard ou pour tout autre raison, s’est révélé meurtrier. Mais cessez, je vous en prie, de m’accuser d’avoir pensé, conçu et présidé ce meurtre… qui aurait très bien pu ne pas en être un si le couteau, au lieu de percer le cœur de ma femme, s’était planté dans la miche de pain sur la table de la cuisine. Moi, je ne suis pour rien dans cette affaire, et vous ne pouvez pas prouver le contraire. »

Il paraît que l’affaire en est restée là, conclue par un non-lieu, le juge et les jurés n’ayant pas pu ébranler ni fissurer ce raisonnement en béton.
Absurde, mon histoire ? Pas plus que celle des scientifiques… et philosophes « évolutionnistes » qui affirment : « Tout ce qui existe dans la nature, choses, bêtes et gens, s’est fait tout seul, sans que personne n'y ait pensé à l’avance, ni rien prévu. Ne parlons surtout pas d’intelligence surhumaine (avant et au-dessus de l’homme) ni surnaturelle (au-delà ou au-dessus de la nature) qui présiderait à tout ce processus. Là, ce n’est plus de la science, c’est du domaine des religions.
L’ordre, l’harmonie, l’équilibre, la beauté qu’on admire dans la nature, et, chez l’homme, la conscience, l’intelligence, la volonté indépendante, le discernement des valeurs morales, le sens de l’esthétique, de la justice, de la dignité, de la liberté, oui, tout cela est dû au hasard, à un concours heureux de circonstances ou à des mécanismes aveugles, impersonnels, imprévisibles et fortuits, dont un qu’on appelle « sélection naturelle ». »

L’inculpé de mon histoire se dit totalement innocent du meurtre qu’il a commis, n’ayant ni motif, ni projet préalable, et que, si tout cela a eu lieu, c’est selon le hasard et les circonstances dont il n’était pas maître. Donc, on ne peut rien lui reprocher ni lui demander de rendre des comptes à qui que ce soit. De même, cette doctrine de l’évolution, même si elle n’explique rien, pose des problèmes scientifiquement insolubles, oblige ses supporters à faire toutes sortes d’acrobaties intellectuelles… et philosophiques pour se maintenir. On s’y accroche quand même, car elle est confortable pour la conscience. Elle endort les sentiments de culpabilité que peut nous reprocher cette conscience et, puisque, selon elle, il n’y a personne qui ne nous a faits selon des projets précis et des intentions à long terme, elle veut nous convaincre que nous ne sommes pas responsables de ce que nous pensons et faisons, étant seulement des animaux un peu plus évolués que les autres.

A vrai dire, cette doctrine est suicidaire, et mauvaise pour le moral, puisqu’elle ne propose aucune autre perspective que la mort et le néant.
La révélation biblique nous enseigne ceci : l’Eternel Dieu Créateur est l’alpha et l’oméga (ou commencement et fin de toutes choses), le premier et le dernier (Apocalypse 1 : 8,17) . L’être humain a été créé à l’image intellectuelle, morale et spirituelle de son Créateur, ce qui explique ses extraordinaires facultés psychiques, inexistantes chez l’animal, et le fait qu’il pense à l’éternité. Cette perspective lui fait pressentir une comparution devant son Créateur, laquelle peut déterminer la façon dont il vivra cette éternité.

La fin de cette histoire sera nettement différente de celle que j’ai imaginée : Il est réservé aux humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement (Hébreux 9 : 27). Chacun rendra compte à Dieu pour lui-même (Romain 14 : 12). Le verdict qui sera prononcé est déjà écrit dans la Bible depuis des millénaires : Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu (Romain 3 : 23). Aïe ! Ça fait mal à l’âme, non ?
Lors de cette scène solennelle que la Bible appelle Jugement dernier (Apocalypse 20 : 11-15), plusieurs questions seront posées à chacun(e) de ceux et celles qui seront devant le Juge suprême. Parmi toutes, j’en propose deux. A votre avis, laquelle des deux sera posée à chacun(e) qui devra répondre pour lui (elle)-même ? :
1. As-tu souvent une pensée pour « l’homme de Néanderthal » et pour « Lucie », tes célèbres ancêtres, descendus de l’arbre dans lequel « le singe et la guenon », leurs grands-parents avaient leurs quartiers ? Plusieurs spécimens d’entre eux n’ont pas changé et sont encore dans la nature actuelle. D’autres, au cours de milliers ou millions d’années ont évolué pour devenir ce que toi, tu es maintenant ? Milites - tu en faveur de cette doctrine ?
2. Qu’as-tu fait de Jésus-Christ, lui qui te dit : Moi qui t’aime et t’ai créé de toutes pièces à mon image, je suis venu, par le même amour, pour te sauver de la perdition et t’assurer la vie éternelle ?
La Bible dit : « Vous ne savez pas ce qui arrivera demain, car qu’est-ce que votre vie ? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît (Jacques 4 : 14). »


Michel Renneteau
(Extrait de sa brochure :« Voir, réfléchir, témoigner aujourd’hui », avec la permission de l’auteur)
15320 RUYNES en MARGERIDE (France)

Comme les bêtes




Alexandre Dumas dînait un jour avec un général réputé pour son incrédulité. Au cours du repas, la conversation tomba sur la religion et l’existence de Dieu. Le général fit observer qu’il ne pouvait imaginer l’existence d’un Être Suprême.

- Général, répliqua Dumas, j’ai à la maison deux chiens de chasse, un couple de singes et un perroquet qui partagent absolument votre opinion ou plutôt votre incapacité ...

Réplique pertinente, - et même, à la limite impertinente. Qui sommes-nous pour prétendre accéder par nous-mêmes à la connaissance de Dieu, le Créateur de l’univers infini ?

Fort heureusement, Dieu s’est fait connaître à nous : d’abord par la Création, par tout ce qu’elle nous fait connaître de la grandeur et de la perfection du Créateur ; ensuite, par la Bible, le livre de la révélation divine ; enfin par Jésus-Christ, le Sauveur venu manifester l’Amour de son Père envers nous.

Mais « l’insensé dit en coeur : il n’y a pas de Dieu » (Psaume 14 :1)

Michel Renneteau
(Extrait de sa brochure :« Voir, réfléchir, témoigner aujourd’hui », avec la permission de l’auteur)
15320 RUYNES en MARGERIDE (France)

Descendants du singe ?




Victor Hugo venait de lire l’Origine des espèces, de Charles Darwin, - qu’il affectait d’appeler « l’Anglais Darwin ». Cela lui inspira cet ironique commentaire : et quand un grave Anglais, correct, bien mis, beau linge me dit :
« Dieu t’a fait homme et moi, je te fais singe,
Rends-toi digne, à présent, d’une telle faveur,
Cette promotion me rend un peu rêveur ».

La théorie de Darwin sur l’évolutionnisme préoccupait aussi le petit Firmin, à la suite du cours de sciences naturelles qu’il venait de suivre. Il interrogea son père :
- C’est vrai que les hommes descendent du singe ?
- Mais oui, mon petit.
- Mais il y a des singes qui restent singes.
- Oui, il y en a qui préfèrent ça !
-
La Bible dit : « Dieu créa l’homme à son image », (Genèse 1 :27), après avoir dit : « Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce ». C’est elle que nous devons croire.

Demandez…cherchez !




Un jeune musulman du Proche Orient a dû assister à une réunion où l'on a lu un extrait du sermon sur la montagne qui parlait d'aimer ses ennemis. « Sûrement ces paroles ont été écrites pour cette occasion, se dit-il, mais elles ne sont pas dans ce livre ».

Il attend que tout le monde soit parti et se met à chercher le texte dans la Bible. En lisant depuis Matthieu jusqu'à Jean, il est encore davantage frappé. « Dieu..., prie-t-il, si ce livre est vrai, procure m'en un exemplaire ».

Quelques jours plus tard, il reçoit une Bible d'une dame qu'il connaissait à peine. Par sa lecture, il trouve le chemin du salut. Plus tard, avec ses économies, il achète des évangiles pour les répandre afin que d'autres y trouvent aussi le chemin de la vie.

Un Hindou récitait toutes les nuits les textes sacrés, plongé dans l'eau jusqu'au cou, il passait des heures en méditation et dépensait tout son argent en aumônes pour les brahmanes et les pauvres.

Un jour, en labourant son champ, il entend un chant qui raconte l'histoire de Jésus venu sur la terre pour nous sauver. C'était un colporteur biblique qui passait. Il lui achète les quatre évangiles. Tous les soirs suivants, il lit dans ces petits livres et y trouve la paix qu'il a cherchée vainement dans les pratiques bouddhistes. Toute sa famille devient chrétienne.


Extrait de « Vivre aujourd’hui »

Préférer vivre les yeux bandés…




Pour chaque Hindou, l'eau du fleuve Gange est sacrée et nécessaire aux purifications religieuses. Des multitudes de pèlerins s'y baignent. Or, il est manifeste que cette eau est particulièrement souillée, charriant toutes sortes d'impuretés et pullulant de microbes.

Un jour, un Européen, voulant le faire constater à un Hindou, en plaça une goutte sur son microscope pour la lui faire observer... Devant la répugnance de ce qu'il vit, il eut involontairement un mouvement de recul. Puis, pris d'une colère fanatique, il saisit le microscope et le brisa sur le sol.

N'est-ce pas parfois la réaction de certains lecteurs de la Bible ? Elle leur révèle, tel ce microscope, quels sont leur nature profonde, le mal qui taraude leur âme et leur misère en vivant sans Dieu. Non seulement la Bible met le doigt sur les impuretés qui polluent notre cœur, mais elle nous appelle aussi à capituler devant Dieu. Elle nous invite à reconnaître qu'il est seul capable de nous purifier et de donner un sens à notre vie, en nous offrant un pardon total.

Mais nous préférons souvent ignorer l'état réel dans lequel nous baignons. Nous n'ouvrons pas ce livre, de peur qu'il mette à jour notre perdition loin de notre Créateur, alors qu'il nous propose aussi la délivrance.

Soyons comme des malades prêts à entendre le diagnostic du médecin ! Prêts aussi à appliquer le remède et le traitement qui mènent à la guérison.

Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice.

BIBLE OU SCIENCE ?




«La foi est pour les gens simples, les grands savants ne croient pas en Dieu. » Cette idée est erronée. Un nombre considérable de savants sont d'authentiques chrétiens, qui aiment Dieu et sa Parole. Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science rapproche de Dieu.

Albert Einstein a déclaré : « Si nous purifions le christianisme enseigné par Jésus de tout ce qui est venu ensuite... nous avons une religion capable de préserver le monde de tous les malaises sociaux. Tout homme a le devoir sacré de faire de son mieux pour le triomphe de cette religion. »

Le physicien Louis Leprince-Ringuet affirme : « Toute la tradition biblique et chrétienne nous incite à contempler l'œuvre du créateur, aussi bien dans les créatures animées que dans la nature... ».

Le professeur Alfred Kastler, prix Nobel de physique, a dit : « Je ne suis pas athée. L'idée que l'univers matériel s'est créé tout seul me paraît absurde. Je ne conçois le monde qu'avec un créateur, donc un Dieu. Pour un physicien, un seul atome est si compliqué, si riche d'intelligence, que l'univers matérialiste n'a pas de sens... ».

Un grand mathématicien, le Dr Hans Rohrbach de Mayence, dit : « La Bible nous donne la connaissance ultime, même de ce que le savant ne peut connaître. En Jésus-Christ est vraiment cachée toute la plénitude de la sagesse et de la connaissance : Atteindre cette connaissance et cette sagesse, c'est le but de ma vie : cela mène à l'obéissance et au service... »

Extrait de « Vivre aujourd’hui »

LE SCAPHANDRIER ET LA PIEUVRE




En Afrique du Sud, dans le port du Cap, John Palmer, le scaphandrier, est au travail à une certaine profondeur sur une épave. Mais voilà qu'une pieuvre géante s'approche. Ses tentacules vont s'enrouler autour du scaphandre, et bientôt la position du scaphandrier sera critique. Que faire ? Essayer de résister ? Ce serait inutile. Alors, Palmer tire le câble qui le relie au bateau de son patron.

C'est le signal convenu pour la remontée. Le chef de l'entreprise a compris. Peu à peu, au fur et à mesure que John Palmer approche de la surface, l'étreinte de la pieuvre géante se desserre. Quelques minutes après, le scaphandrier est sauvé, en totale sécurité. Pour cela, il n'a eu qu'à tirer le câble qui le reliait à son chef qui se tenait là-haut.

Il se peut que nous l'ayons oublié, alors que l'épreuve nous étreint : nous avons en haut quelqu'un qui veille sur nous et qui est tout disposé à venir à notre secours lorsque le danger nous menace. C'est le Seigneur. C'est à nous de lui faire appel. Il ne manquera pas de nous délivrer. Il nous l'a promis.

Mais, d'autre part, plus tentaculaire encore qu'une pieuvre géante, notre péché résultant de l'action oppressante de Satan sur nous, risque de nous conduire à la perdition et à la mort. Pour en être délivré, il n'y a rien d'autre à faire que d'appeler au secours notre Dieu qui veille sur nous et de nous adresser à lui par la prière. Il nous a donné Jésus pour Sauveur. La Bible dit : Quiconque fera appel au Seigneur sera sauvé.

Pasteur Lucien CLERC

En Corée





A une réunion organisée par la mission évangélique en Corée assistait ce soir-là un individu nommé Cho. Vivement impressionné par le message, à la fin il s’approcha de l’orateur. Est-il possible que le salut puisse s’appliquer à quelqu’un qui aurait commis des crimes méritant la peine capitale ? Il raconta alors sa triste carrière de bandit de grand chemin et ajouta qu’il doutait que Jésus puisse pardonner de tels péchés.
L’évangéliste lut plusieurs passages de l’Ecriture et pria avec lui. Il était près de minuit quand tout à coup, Cho s’écria : « Je vais aller voir le juge pour lui dire que maintenant que je crois en Jésus, j’abandonne le brigandage. Je m’attends au pire, mais je suis sûr que Dieu veut que je fasse cette confession ».
Surpris par l’aveu spontané de Cho, le magistrat ne voulut pas le condamner et en référa au gouverneur de la province. Celui-ci jugea si extraordinaire ce fait sans précédent qu’il décida de ne pas le condamner non plus, mais au contraire de citer ce cas en exemple. Une proclamation largement publiée engagea le district tout entier à embrasser une religion qui produisait de si grandes transformations.
Le magistrat fit donc relâcher Cho. Non seulement cette affaire eut un grand retentissement dans toute la région, mais mieux encore, Cho se fit un devoir de parler de sa foi à ses voisins, les amenant l’un après l’autre à Jésus-Christ.

Un berger connu




Il y a quelques années, au cours d’un dîner offert en son honneur, un acteur connu accepta, à la demande d’un des invités, de déclamer un poème dont il laissa le choix à l’assistance. Un monsieur âgé exprima le désir d’entendre réciter le Psaume 23.
L’artiste, visiblement surpris, posa une condition : « Je veux bien réciter ce psaume, mais à une condition : que vous le récitiez vous-même après moi . »
L’acteur commença à déclamer le psaume de David. La diction était parfaite, l’auditoire, sous le charme, ponctua d’applaudissements la fin de la récitation.
Le calme revenu, le vieux monsieur enchaîna. Sa voix était tremblante. Quand il eut terminé, il n’y eut pas d’applaudissements, mais plusieurs invités essuyèrent des larmes.
L’artiste s’approcha alors du vieillard pour lui dire : « J’ai charmé les oreilles, vous avez touché les cœurs. Pourquoi cela ? Je connais le Psaume 23, mais vous, vous connaissez le Berger ».
Et nous, connaissons-nous Jésus le bon Berger ? Pour pouvoir véritablement parler du berger, il faut d’abord avoir ressenti ce besoin de délivrance de notre péché et s’être confié en celui qui est venu à notre recherche. Si nous avons accepté le salut qu’il nous offre, nous pourrons ensuite apprécier la force et le soutien qu’il donne et nous reconnaîtrons sa voix.

Les incohèrences de l'évolution




Mastophora hutchinsoni est une variété d’araignée qui ne tisse pas de toile. Pour capturer ses proies, elle fait pendre un fil terminé par une gouttelette de suc collant contenant la même phéromone sexuelle que celle d’une espèce de papillon de nuit qui, par l’odeur, est donc attiré vers l’araignée. Celle-ci, alors, fait tournoyer la gouttelette en direction du papillon qui vient s’y coller et se fait prendre.

La situation se complique quand on constate que Mastophora, avant 22 h 30, capture une espèce particulière de papillon, et après 23 h, une autre espèce. Or, chaque phéromone est spécifique à chaque espèce de papillon : attirante pour l’une, elle laisse indifférente une autre, ou se révèle même repoussante.

Kenneth Haynes, de l’Université du Kentucky (U.S.A.), a pu donner la réponse :
L’araignée, durant la demie-heure de battement, modifie la composition chimique de sa gouttelette pour l’adapter à l’espèce qui s’envole après 23 h . Prodigieux ! Non ?

L’auteur de l’article ( « Sciences et Avenir » Août 02 ) dit ceci : « Incapables de produire une toile, ces araignées ont dû développer une technique de chasse originale ».

Chez les humains, il faut des années d’étude, de pratique et d’expérimentation pour faire un bon chimiste capable de produire de nouvelles substances adaptées aux fonctions prévues. L’auteur de l’article ne dit pas selon quelles études de chimie et dans quels laboratoires des générations de Mastophoras ont pu développer et mettre au point des techniques chimiques aussi sophistiquées.

Il est vrai que la bonne fée « Evolution » a plus d’un tour dans son sac.
L’important est d’y croire, sans réfléchir, comme on le fait pour un dogme religieux, bien que ses « croyants » prétendent que c’est l’explication la plus rationnelle qui ait jamais été apportée aux mystères de la Nature ( ?).

L’hypothèse de l’évolution, pour maintenir sa station debout…chancelante, a besoin de l’appuyer sur la béquille de millions…ou milliards d’années d’ancienneté.

C’est pourquoi, selon Sciences et Avenir d’août 2002, des paléontologues (spécialistes des fossiles) ont attribué 7 millions d’années d’âge à un crâne fossile trouvé en Afrique, à l’ouest du Tchad sur un site désertique où, par 58°C, sans ombre, des vents soufflent souvent à 100km/h, déplacent les dunes jusqu’à 5 mètres par jour et érodent le grès, jusqu’à 3 cm par an, découvrant, ou les ensevelissant, des fossiles encore emprisonnés dans leur gangue de grés, et dénudés par les vents. Ce crâne, appelé Toumaï (« espoir de vie » en langue Goran ), est-il celui d’un homme, d’un singe, ou d’un ancêtre commun aux deux ?
C’est une question conforme au système évolutionniste.

Le grès est une roche sédimentaire compacte et si dure qu’on en fait des meules pour affûter des outils en acier. Or, le vent du désert tchadien use ce grès de 3 cm chaque année. Comment un crâne en os, matière organique, fragile et putrescible, a-t-il pu résister à 7 millions d’années de conditions climatiques aussi rigoureuses et être retrouvé « dans un excellent état de conservation » ?

Selon la chronologie biblique, l’espèce humaine a environ 6200 ans. Un déluge d’eau, 2500 ans avant J.C., a recouvert la planète entière, détruisant toute vie terrestre ( et marine, en partie ), ce qui explique que sur le site tchadien, on a trouvé plus de 700 fossiles d’espèces différentes : mammifères, petits et grands, poissons amphibiens, etc…

Ces datations ne vous semblent-elles pas plus conformes au bon sens scientifique… et à la révélation biblique ?

Création, ou évolution ? Ces deux hypothèses sont inconciliables. Il faut choisir. J’ai fait mon choix. Et vous ?

Michel Renneteau
(Extrait de sa brochure :« Voir, réfléchir, témoigner aujourd’hui », avec la permission de l’auteur)
15320 RUYNES en MARGERIDE (France)

Ce que je comprends




Lacordaire, religieux français du 19e siècle, était assis à côté d’un incroyant. À propos des mystères de la foi chrétienne, ce dernier déclara :
- Moi, je n’aime que ce que je comprends.
Le célèbre prédicateur lui répondit, en désignant une omelette appétissante qu’on venait de servir :
- Pourtant, vous aimez cette omelette, n’est-ce pas ? Alors comment comprenez-vous que le feu qui fait fondre le beurre, durcit les œufs ? L’homme le plus réfléchi du monde doit se taire sur ce qu’il ignore.
Quand bien même serions-nous les gens les plus savants de la terre, nous devons reconnaître notre ignorance en ce qui concerne bien des mystères de l’univers, mais aussi, de notre propre vie. Vouloir évacuer Dieu de notre pensée, de notre conception de l’existence, c’est obligatoirement en méconnaître le sens profond.
La Bible, à la fois affirme et nous interroge : « C’est l’Eternel qui dirige les pas des hommes, mais l’homme peut-il comprendre sa voie ? » ( Proverbes 20 :24)
Anselme, un croyant du 11e siècle a dit : « Je ne cherche pas à comprendre pour croire, mais je crois pour comprendre ».

Extrait du livre de Lucien Clerc : « Reflets de la vérité »