vendredi 14 mai 2010

Et si tu recevais un boulet de canon !!



Une princesse reçut de son fiancé, pour son anniversaire, un colis de forme sphérique.
Elle l’ouvrit et trouva … devinez quoi … : un boulet de canon !

Déçue et vexée, elle jeta avec colère cette boule noire dans un coin de la pièce. Mais voilà que, en tombant, l’enveloppe extérieure qui avait la forme d’un boulet de canon s’ouvrit et une gaine d’argent apparut. La princesse la ramassa aussitôt et, en la tournant entre ses doigts, elle pressa dessus et … un étui d’or en sortit. Il ne fut pas difficile de l’ouvrir aussi. A l’intérieur, sur du velours noir, il y avait une magnifique bague sertie de diamants étincelant avec ces seuls mots :
« Je t’aime ! ».

Nombreuses sont les personnes qui pensent : « Je ne lis pas la Bible. Sa lecture est ardue, elle contient des pages austères et beaucoup de choses sont incompréhensibles ». Pourtant, celui qui pénètre un peu plus profondément dans les pages du saint livre et ne se contente pas de rester à la surface, découvre toujours de nouvelles beautés et sera bientôt frappé par la clarté du merveilleux message divin de la Bible : DIEU VOUS AIME.

C’est vrai que certains passages, en particulier dans l'Ancien Testament (1ère partie de la Bible) sont plus difficiles à comprendre pour un nouveau lecteur, mais ce que Dieu veut vous dire est dit clairement. Commencez par le Nouveau Testament, les Évangiles qui nous révèlent Jésus venu sur la terre et qui pourraient être résumés par ce seul verset 16 de Jean 3 : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle ».

Plus nous lisons la Bible, plus nous réalisons la grandeur de l’amour de Dieu et plus nous discernons la grandeur et la beauté morale de Jésus Christ, le Fils de Dieu qui nous a aimés et s’est livré lui-même pour nous (Ephésiens 5 v.2).

La gloire de notre Dieu brille dans sa Parole ;
Elle est, pour ses enfants, un trésor précieux ;
C’est la voix d’un ami qui soutient et console ;
C’est la lettre d’amour écrite dans les cieux.

En la lisant, notre âme est toujours rafraîchie,
Notre cœur déchargé des plus rudes fardeaux.
C’est la source abondante où se puise la vie,
Le fleuve de la grâce aux salutaires eaux.

Ô vous qui gémissez dans les sentiers du monde,
Vous dont le cœur s’agite et s’abat tour à tour,
Venez tous y puiser la paix pure et profonde,
Que donnent l'Évangile et l’éternel amour.

(Hymnes et Cantiques)

Dieu a gardé notre petite fille




Nous étions un couple marié et nous venions juste de donner nos vies à Jésus. A cette époque nous n’avions pas de voiture et pour aller aux réunions nous devions faire plusieurs kilomètres à pieds.
Comme chaque dimanche il était l’heure de partir pour ne pas être en retard et surtout ne pas manquer le début de la réunion.
Au moment de traverser la route sur le passage clouté qui était devant la maison un jeune qui venait juste d’avoir son permis de conduire fit une faute de conduite et vint toucher avec sa voiture la tête de notre petite fille de six ans.
Le sang de mon épouse et de moi-même en un instant venait de se glacer dans nos veines.
Notre petite fille venait de prendre un choc à la tête mais à notre grand étonnent sa réaction était surprenante on aurait cru que rien ne s’était passé…
Pas de pleurs, aucun coup, aucune bosse, aucun saignement, nous ne comprenions pas car nous avions bien entendu le bruit du choc.
Le jeune homme dans sa voiture était lui plus mal en point et blanc comme un linge.
Ne voyant rien de plus à faire nous sommes allés à la réunion.
Le soir le jeune homme est revenu à la maison pour prendre des nouvelles de notre fille car il ne comprenait pas car sa voiture avait bien reçu un coup elle en portait la marque bien visible mais notre fille n’avait rien du tout… ce jeune garçon était bien malheureux d’avoir pu être la cause d’un accident sur notre enfant. Mais Dieu avait protégé notre petite,ce fut une grande leçon de foi pour nous qui venions de nous convertir mais aussi une grande leçon pour l’avenir comme conducteur pour ce jeune permis.

Dieu garde ses enfants


Il y a trois ans maintenant nous venions juste de terminer la réunion de prière du soir que nous conduisions dans la petite ville dans laquelle nous avions la responsabilité de l’église.. Il était tard, la nuit était bien avancée et pour couronner le tout il pleuvait des cordes et cette pluie rendait la visibilité pour conduire impossible. Autant vous dire qu’en voiture je ne suis pas un as et que je n’aime pas du tout rouler et encore moins dans des conditions comme celles-ci.
J’étais avec mon épouse et une personne qui nous accompagnait que nous surnommions papy à cause de son âge
Il nous restait 30 kilomètres pour regagner notre foyer, les enfants nous attendaient.
Je connaissais bien la route pour la prendre toutes les semaines pour cette réunion, mais ce soir là, je ne sais pas dire pourquoi, la fatigue, le temps, la nuit, je me suis trompé de direction et sans m’en rendre compte nous sommes entrés avec la voiture sur l’autoroute en sens inverse…
Un grand coup de klaxon me fit revenir à la raison, il provenait du camion qui arrivait à grande vitesse sur nous… En un instant l’évidence de la mort éminente et horrible me fit paniquer, je ne savais plus quoi faire ni comment faire pour sortir de ce mauvais pas… les phares de ceux qui arrivaient en face de nous, m’éblouissaient et les klaxons retentissaient à me rendre fou…à cela s’ajoutaient les cris de mon épouse.
Il y eut comme un grand trou noir
Je suis convaincu que ce fut à ce moment précis que Dieu Lui-même géra la situation et prit le volant de ma voiture entre ses mains. Je ne sais pas l’expliquer mais en un instant nous étions à nouveau sur la route du retour et dans le bon sens.
Nos cœurs battaient à grande vitesse, nous n’avions rien compris mais, nous faisions monter notre reconnaissance vers notre Dieu qui nous avait tirés de ce mauvais pas.
Nous venions d’échapper à la mort.
Je ne peux que remercier le Seigneur qui ce soir là avait les yeux sur nous…et les mains sur mon volant.

A l’école de Dieu même dans la résistance Dieu reste vainqueur




En 2006 une voix intérieure me disait sans cesse jour et nuit
« Occupe toi de mes affaires et je m’occuperais des tiennes »
Cette pensée ne me laissait aucun moment de repos… j’avais très bien compris qu’il était question de l’Esprit de Dieu qui voulait m’interpeler.
Mais je n’étais pas d‘accord, pas question d’abandonner mes affaires, ma vie ce que je tenais dans mes mains pour m’occuper des affaires de Dieu. J’étais d’accord de m’occuper des affaires de Dieu en gardant la maîtrise de ce qui faisait ma vie.
Mais Dieu n’était pas d’accord et je le sentais bien. Un combat intérieur que j’ai du mal à expliquer s’engagea entre mon "MOI" et la "voix de l’Esprit".
Celui-ci dura quelques mois… mais Dieu à toujours le dernier mot et une nuit j’ai lâché prise et j’ai dit : OUI Seigneur je te laisse t’occuper de mess affaires et je vais m’occuper uniquement des tiennes.
A peine avais-je terminé ma phrase qu’une douleur dans la poitrine me saisie… je venais de subir un infarctus et je terminai ma course ce jour là dans un hélicoptère du SAMU.
Mais le pire c’est que je ne comprenais pas : Seigneur,je suis d’accord avec toi maintenant alors pourquoi suis-je terrassé par ce problème cardiaque ?
Je n’étais pas révolté mais je ne comprenais pas… mais Dieu Lui sait ce qu’il fait… je devais passer par ce chemin pour comprendre la douleur mais aussi pour prendre du temps à bien comprendre l’appel de Dieu sur ma vie et me préparer pour la suite qui était de prendre pour un temps la charge pastorale d’une petite église dans l’attente que Dieu réalise pleinement ses desseins sur ma vie.
Je devais être à l’école et passer par un temps d’apprentissage et d'écriture… moi je ne l’avais pas compris mais Dieu lui savait bien que j’en avais besoin.

La moralité de cette anecdote est simple si tu entends la voix de Dieu et qu’il insiste il ne faut pas résister il a ses raisons…

La petite fille privée de son voyage scolaire.



Toujours à cause de la crise et des fins de mois pénibles, la petite fille de la maison cette année là ne pourrait pas accompagner ces camarades de classe au voyage prévu pour finir l’année scolaire.
Le cœur plein de tristesse les parents durent se résigner à informer leur enfant de cette triste nouvelle. Ils avaient le cœur gros , ils avaient retourné la situation dans tous les sens, mais ce n’était vraiment pas possible.
Par contre la générosité de Dieu est grande… Il mit sur le cœur de la maîtresse de venir voir la maman pour savoir pourquoi la petite ne venait pas au voyage et la maman tristement d’expliquer la raison…
« Nous ne pouvons pas nous permettre un écart sur le budget »
La maman fut surprise d’entendre la maîtresse lui dire.
« ce n’est que cela… je vous propose de me donner juste 2 ou 3€ cela restera entre nous et votre fille pourra venir à la sortie » Dieu avait conduit cette dame dans son action.
C’est ainsi que la petite fille un matin rayonnante de bonheur se préparait pour cette belle journée que Dieu lui offrait.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là car cette enfant allait être la seule sans argent de poche donc pas de possibilité de se faire un petit cadeau comme le feront tous ces camarades de classe.
Le sac sur les épaules prêtes à partir, c’est alors que la voisine avec sa fille sonnent à la porte pour accompagner les enfants au car. Et voilà que sans connaître la situation elle offre un billet de 5€ à la petite.
Ce jour restera gravé dans son cœur car Dieu avait mis sa main afin qu’elle puisse participer au voyage et Il lui avait donné la possibilité de s’acheter un petit souvenir.
Quand Dieu gère les situations mêmes celles qui semblent minimes ce n’est que du bonheur.
Dieu est merveilleux pour ses enfants.

Jésus a dit : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous le vêtirez.





La crise de 2009 était passée dans cette petite famille chrétienne.
Les enfants grandissaient et le budget pour les vêtements était quasi inexistant. Pourtant il fallait bien faire quelque chose…
Cette famille avait un principe, ne compter que sur la grâce de Dieu en se reposant sur sa Parole.
Dieu ne disait-il pas qu’il allait prendre soin d’eux …
Pourtant le besoin devenait urgent, la famille aurait été heureuse de pouvoir se contenter avec vêtements d’occasions pour se rhabiller…
C’est alors qu’une amie de la maitresse de maison lui proposa de l’emmener à une vente de charité qui se fait une fois par an dans la région, bien embêtée à cause des finances dans le rouge la maman se laissa conduire par son amie sans aucune conviction.
Lorsqu’elle rentra à la maison elle explosa de bonheur les bras chargés de sacs pleins de vêtemenst neufs… Eh oui neufs et de dire à son époux que ces affaires lui avaient été données.
Pour elle cela avait été gratuit sans savoir expliquer pourquoi…
La maison entière ce jour là a été rhabillée en neuf car Dieu avait tenu sa promesse : Si Dieu habille ainsi l'herbe des champs, qui est là aujourd'hui et qui demain sera jetée au feu, ne fera-t-il pas bien plus pour vous, gens de peu de foi !

Dieu est merveilleux pour ses enfants.

Le bois venait à manquer « mais Jésus a dit : demandez et il vous sera donné »


Dans une famille chrétienne d’aujourd’hui la crise financière de 2009 avait fait du mal.
Ce n‘est pas que cette famille était au fond du gouffre mais les mois étaient de plus en plus difficiles, il ne fallait surtout pas un imprévu car celui-ci pouvait briser le fragile équilibre du budget de la maison. Car malgré les temps difficiles la règle de cette maison chrétienne était de rester fidèle dans son offrande à Dieu.
L’hiver la maison se chauffait au bois, dans la cave cette année là il y avait un peu de stock mais arriva le jour ou le dernier morceau de bois fut mis dans le petit poêle familiale.
Que faire, pas question de toucher à l’argent du foyer qui servait juste à la nourriture.
La solution était simple cette famille chrétienne se tourna vers celui qui pouvait les aider du Haut de son trône de grâce et c’est dans la prière qu’ils firent cette demande peut-être somme toute banale pour vous à Dieu.
« Père merci de permettre que quelqu’un nous offre du bois pour finir l’hiver et si tu le permets pour l’hiver prochain »
Dans la même journée le téléphone sonna un frère en Christ appelait cette famille pour lui proposer du bois de chauffage gratuit… mais ce qui était formidable c’est que la proposition n’était pas pour juste quelques morceaux mais elle permettait justement à cette famille de pouvoir finir les dernières périodes de froid au chaud mais aussi de préparer l’hiver prochain.
Dieu est merveilleux pour ses enfants.

La prière exaucée : Demandez et il vous sera donné




Au commencement de l’année 1814, lorsque la guerre ravageait l’Europe, des troupes de Suédois, de Cosaques, d’Allemands et de Russes se trouvaient à une demi lieue de marche de la ville de Schleswig. Maints rapports alarmants sur leur manière de se conduire les avaient précédés et les habitants de la ville étaient fort effrayés à leur approche. Il y avait eu une trêve, mais elle devait se terminer le 5 janvier à minuit, époque qui approchait rapidement, et toutes les horreurs de la guerre et d’une licence effrénée allaient de nouveau fondre sur les habitants sans ressources de ce pays.

À l’entrée de la ville de Schleswig, du côté où se trouvait l’ennemi, était une maison isolée, habitée par une femme âgée et pieuse qui, apprenant l’approche de l’ennemi, priait, selon les paroles d’un vieux cantique, que Dieu « éleva une muraille autour d’eux ». Les habitants de la maison se composaient d’elle, de sa fille qui était veuve et de son petit-fils, un jeune homme de vingt ans. Ce dernier, entendant la prière de sa grand-mère, ne put s’empêcher de dire qu’il ne comprenait pas qu’elle pût demander une chose aussi impossible que cela, savoir qu’une muraille fût élevée autour d’eux pour défendre leur maison contre l’ennemi. La vieille femme qui était très sourde, comprenant ce que son petit-fils avait dit, fit observer qu’elle avait simplement voulu implorer la protection divine pour elle et pour sa maison, puis elle ajouta : « Penses-tu que si vraiment c’était la volonté de Dieu de bâtir une muraille autour de nous, cela lui serait impossible ? »

Enfin la terrible nuit du 5 janvier arriva, et sur le coup de minuit les troupes firent leur entrée de toutes parts. La maison mentionnée plus haut était au bord de la route et plus grande que les maisons environnantes qui n’étaient que de petites chaumières, lesquelles furent bientôt envahies par les soldats qui y demandaient ce dont ils avaient besoin en termes injurieux et menaçants. Les habitants de la maison au bord de la route écoutaient avec anxiété, s’attendant à tout moment d’entendre les sommations des soldats à leur propre porte. Mais bien que le bruit confus des voix, l’incessant piaffement des chevaux, les bouffonneries grossières, les rires bruyants se fissent entendre tout autour d’eux, personne n’aborda le seuil de leur porte. Fort avant dans la nuit, l’armée traversa la ville. Au moins quatre détachements de Cosaques, farouches et à moitié sauvages, formaient l’arrière garde. Il était tombé beaucoup de neige toute la journée, suivie maintenant d’un violent orage. Tellement que les Cosaques renoncèrent à de nouvelles poursuites et ne songèrent qu’à s’abriter, eux et leurs chevaux, dans les masures qui se trouvaient sur leur passage et qui, toutes petites qu’elles étaient, furent bientôt plus que pleines. Semblables à une nuée de sauterelles, hommes et chevaux se ruèrent sur les malheureux habitants, dévorant tout devant eux. Quelle terrible nuit pour ceux qui furent abandonnés à leur merci !

Mais au milieu de tout ce tumulte et de tout ce désordre, la maison de la femme de prière était en paix ; pas un seul traînard de cette bande sauvage, non pas même un voisin effrayé, n’approcha la porte. Heure après heure s’écoula. Ces âmes qui veillaient s’étonnaient de leur merveilleuse conservation ; et tandis que la foi et la crainte possédaient alternativement leur cœur, l’aube parut enfin.

Mais voici de nouveau les troupes en mouvement, le réveil résonne, le brutal Cosaque pillera sans doute chaque maison avant de marcher lui-même à la mort. La prière les préservera-t-elle encore du danger qui les menace maintenant plus que jamais ? Si jusqu’à présent, grâce à l’obscurité et à l’ouragan qui se déchaîna toute la nuit, ils ont échappé à l’observation, la lumière du matin les trahira sans doute et ils ne seront pas plus épargnés que d’autres. Non. Le Seigneur ne délivre pas à moitié pour abandonner ensuite. La foi saisit ce qui lui appartient et dit : « je ne te laisserai point que tu ne m’aies béni » ; cette vieille femme qui veillait là, tremblante tout en espérant et en priant, était plus puissante que toute une armée de cruels Cosaques. Oui, sa maison est encore protégée ; aucun pas n’est entendu sur le seuil, aucune main rude n’ébranle la porte.

Maintenant qu’ils osent regarder au dehors, ils découvrent aussitôt les moyens dont Dieu s’est servi pour leur délivrance. La neige qui était tombée si abondamment la veille avait été entassée par l’orage de la nuit à une telle hauteur entre la maison et la route, que tout abord en était impossible, et ainsi une muraille s’était littéralement élevée autour d’eux, selon la prière de la vieille femme. « Vois-tu maintenant, mon fils, s’écria-t-elle, qu’il était possible à Dieu d’élever une muraille autour de nous pour nous préserver de l’ennemi ? »

« Toutes choses sont possibles à celui qui croit ».