jeudi 10 juin 2010

ça veut dire quoi pour Toi mille ans POUR SOURIRE



Un chrétien demande à Dieu: " Seigneur, ça veut dire quoi pour Toi mille ans?".
Dieu lui répond: " Mille ans sont pour Moi comme une seconde".
"C'est quoi pour toi mille euros?".
"Mille euros sont pour Moi comme un cent".
"Seigneur, Tu veux bien me donner un cent?".
"Mais oui mon fils...attends une seconde".

La source




" Psaume 42/1-2 : Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant : Quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu ? "


Il y a une source qui ne tarit jamais,
Une source d’amour qui assure la paix.
Elle donne la vie, la joie et la santé ;
C’est la source de Dieu et pour l’éternité.

Ami, si tu as soif de justice et de vérité,
Viens boire à cette source, viens te désaltérer !
Elle comblera ta vie de grâces et de bienfaits,
Elle te rafraîchira, tu seras purifié.

Tu as si souvent rêvé d’une source pareille
Te disant si je la trouve elle sera à moi.
Tu viens en Jésus de trouver la merveille
Qui va changer ta vie ; sache qu’elle est toute à toi.

Elle coulera chaque jour dans ton cœur et ton âme,
Dirigera tes pas, t’offrira le bonheur.
Chaque fois que tu lis, ton cœur comme une flamme
S’embrase d’amour et elle sèche tes pleurs.

Le nom de cette source est la Parole de Dieu.
Elle s’est faite chair dans la personne de Jésus
Pour que ceux qui y boivent puissent voir les cieux,
Reçoivent en Son Nom, la vie et le salut.

N’oublie jamais d’y boire grandement chaque jour
Pour que Ses instructions et toutes Ses promesses
Te fassent déborder de l’eau vive d’amour
Que Jésus t’a donné renouvelée sans cesse.

Vingt années perdues




Un chrétien ayant à coeur le salut des pécheurs, consacrait ses vacances à répandre l'Evangile en distribuant des traités. Dans ce but, il avait choisi comme champ d'activité, un bateau faisant le service de la rivière Clyde, en Ecosse. Comme il tendait une brochure à l'un des voyageurs, ce dernier lui fit observer que ses efforts n'avaient que fort peu de succès en perspective. «Je ne méprise nullement ce genre de travail», ajouta-t-il, «j'en ai fait autant dans ma jeunesse étant moi-même un croyant, mais je n'ai jamais récolté le moindre fruit.» Le colporteur fut un peu interloqué de cette remarque, mais le souvenir de sa propre conversion dissipa bien vite cette impression. Elle était due, en effet:, à la lecture d'un traité reçu dans la rue, lorsqu'il avait douze ans. Par une froide soirée d'hiver, le jeune garçon passait devant une salle de mission, lorsqu'un inconnu l'arrêta et lui tendit un traité tout en l'invitant à entrer pour écouter l'Evangile. Il accepta et entendit là des paroles qui réveillèrent sa conscience, l'amenant à penser à l'éternité et à son état de péché devant Dieu. Rentré chez lui, dans un grand travail d'âme, il lut le traité et trouva la paix.

Le colporteur raconta ces détails au voyageur qui témoigna un vif intérêt à l'ouïe de ce récit. «Puis-je vous demander où cet émouvant épisode s'est passé?» Lorsqu'il connut le nom de la rue, la maison et la date précise, ses yeux se remplirent de larmes et s'emparant de la main de son interlocuteur, il lui dit avec une profonde émotion: «Je me souviens parfaitement du jeune garçon aux yeux brillants, que j'engageai à entrer, ce soir-là, dans la salle des missions; car c'est à moi qu'avait été confiée, pendant plusieurs soirées, la tâche d'inviter les passants et de leur remettre des traités. J'étais alors tout jeune converti et, comme je ne voyais aucun fruit de mon service, je finis par l'abandonner. Il y a vingt ans de cela, et Dieu me montra, et Dieu me montre aujourd'hui que mon service pour Lui n'a pas été vain. S'Il me conserve en vie jusqu'à mon retour en ville, je reprendrai, avec son aide, le travail qu'Il m'avait confié, travail que par infidélité et manque de foi, je n'avais pas jugé digne d'être accompli.»

L'intervalle de vingt ans était perdu pour toujours. Bientôt l'occasion de servir le Seigneur prendra fin pour nous aussi. «Ne nous laissons pas en faisant le bien, car, au temps propre, nous moissonnerons, si nous ne défaillons pas.» (Gal 6.9)

Extrait du livre «Jusqu'à Lui» avec la permission du Dépôt de livres et de traités chrétiens, Vevey.

Il a payé pour leur liberté




Il était une fois un pasteur dans une petite église de la Nouvelle-Angleterre.

Un dimanche de Pâques,il arriva à l'église, apportant une vieille cage rouillée qu'il déposa sur la tribune. Le pasteur se mit à parler:

J'étais en train de marcher en ville, hier, quand j'ai vu un petit garçon venant vers moi, balançant cette cage d'oiseau. Dans le fond de celle-ci, il y avait trois petits oiseaux sauvages, tremblants à cause du froid qu'il faisait dehors. J'arrêtai le jeune garçon et lui demandai:

- "Qu'est-ce que tu as là, petit ?"
- "Juste quelques vieux oiseaux" lui répondit-il.
- "Qu'est-ce que tu en feras ?" lui demanda le pasteur.
- "Je vais les amener à la maison et m'amuser avec eux. Je vais les taquiner en leur enlevant leurs plumes afin qu'ils se battent. Je vais avoir beaucoup de plaisir !" répondit le garçon.
- "Mais, tu seras bien fatigué de ces oiseaux un jour ou l'autre. Que feras-tu ?"
- "Oh ,j'ai quelques chats et ils aiment bien les oiseaux. Je les leur donnerai." dit le jeune garçon.

Le pasteur resta silencieux quelques moments, puis continua :
- "Combien veux-tu pour ces oiseaux, petit ?"
- "Quoi ? Mais pourquoi les voulez-vous, monsieur ? Ce ne sont que de vieux oiseaux. Ils ne chantent pas. Ils ne sont même pas beaux !"
- "Combien ?" lui redemanda-t-il.

Le jeune garçon testa le pasteur afin de savoir s'il était fou en lui demandant:
- "10 dollars ?"

Le pasteur chercha dans sa poche et en sortit un billet de 10 dollars. Il le plaça dans la main du jeune garçon, qui partit très rapidement.

Le pasteur ramassa la cage et la porta doucement à l'extrémité d'une ruelle où il y avait un arbre et un peu d'herbe. Posant la cage sur le sol, il ouvrit la porte et donna quelques petits coups sur la cage pour persuader les oiseaux de sortir dehors afin qu'ils soient libres.

Bien, voilà ce qui explique la cage vide sur la tribune. Le pasteur se mit alors à raconter cette autre histoire :

Un jour, Satan et Jésus avaient une discussion. Satan revenait tout juste du Jardin d'Éden, se réjouissant et se vantant :
- "Je viens tout juste d'attraper le monde entier. Mettez-leur un piège, je sais qu'ils ne pourront pas résister. Attrapez-les tous!" ricana-t-il.
- "Qu'est-ce que tu vas faire d'eux ?" demanda Jésus.
- "Oh, je vais m'amuser avec eux! Je vais leur enseigner comment se marier et divorcer, comment haïr et abuser des autres, comment boire et fumer pour qu'ils se détruisent tout seul. Je vais leur montrer comment inventer des fusils et des bombes pour tuer les autres. Je vais vraiment avoir beaucoup de plaisir !"
- "Et que feras-tu lorsque tu ne voudras plus d'eux ?" demanda Jésus.
- "Oh, je vais les tuer !" répliqua fièrement Satan.
- "Combien veux-tu pour eux ?" demanda Jésus.
- "Oh, tu ne veux pas de ces gens. Ils ne sont pas bons. Pourquoi tu les prendrais si tu sais qu'ils ne vont que te haïr ! Ils te cracheront dessus, te maudiront et te tueront. Tu ne les veux pas !"
- "Combien ?" demanda encore Jésus.

Satan regarda Jésus en ricanant, puis répondit :
- "Tout ton sang, ta vie."
- "D'accord"
Et il paya le prix.

Le pasteur ramassa la cage. Il ouvrit la porte et s'en alla.

N'ignores pas plus longtemps encore, ce que Jésus a fait pour toi, et crois !

Un Bienfaît n'est jamais perdu




Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu'il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré la faible lumière du jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l'air complètement affolée.

Il s'arrêta devant la Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était arrêté. Est-ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal ?

Il pouvait voir qu'elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule. Bryan perçut sa peur.

«Je vais vous aider Madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud... Mon nom est Bryan Anderson».

Il constata qu'elle avait une crevaison ; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule. Bryan s'accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu'en remplaçant le pneu, il s'était sali et blessé à une main.

Pendant qu'il resserrait les écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole. Elle lui expliqua qu'elle était de St-Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.

Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n'avait pas d'importance tellement avait eu peur, s'étant imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s'il ne s'était pas arrêté.

Bryan lui répondit qu'il n'avait pas à être payé. Ceci n'était pas un travail pour lui. Il n'avait fait qu’aider quelqu'un dans le besoin. Dieu seul savait combien de fois des gens l'avaient aidé dans le passé. Il menait son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l’esprit d'agir autrement. Il lui dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu'elle verrait quelqu'un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire ; et il conclut, "Souvenez-vous de moi".

Il attendit qu'elle démarrât son véhicule pour s'en aller. C'était une belle journée froide, la vie n'était pas facile pour lui en ce moment, mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison.

A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route.

C'était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence. La serveuse l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés.

Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu'elle était debout toute la journée. La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d'environ huit mois mais que ni l'effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur !

La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.

Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle finit son repas, elle paya avec un billet de 100$. La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver.

Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit : « Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu'un m'a aidée à m'en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu'il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d'amour de prendre fin avec vous.»

Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. He bien ! Même s'il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir, la serveuse décida de le faire un autre jour. Elle rentra chez elle, et en se mettant au lit, elle pensa à l'argent et à ce que la vieille lui avait écrit. Comment la dame aurait–elle pu savoir qu'elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota doucement à son oreille : « Tout ira bien. Je t 'aime, Bryan Anderson».

Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU », les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.

Brillante démonstration



Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question. "Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ?"

Un étudiant a bravement répondu :- Oui, Il l'a fait!

Le professeur a dit :- Dieu a donc tout créé?

- Oui, monsieur, a répliqué l'étudiant.

Le professeur a répondu :- Si Dieu a tout créé, il a donc aussi créé le mal, puisque le mal existe. Et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors, Dieu est mauvais!

L'étudiant était resté silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même et il se vantait aux étudiants qu'il avait prouvé encore une fois que la foi était un mythe.

Un autre étudiant a levé sa main et a dit :- Puis-je vous poser une question, Professeur ?

-Bien sûr, a répondu le professeur.

L'étudiant a répliqué :- Professeur, le froid existe-t-il?

- Quel genre de question est-ce, cela ? Bien sûr qu'il existe. Vous n'avez jamais eu froid ? A répliqué le professeur.

Le jeune homme a répondu :- En fait monsieur, le froid n'existe pas. Selon la loi de physique, ce que nous considérons comme le froid, est en réalité l'absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l'énergie. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l'énergie. Le zéro Absolu (-460°F) est l'absence totale de chaleur ; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température. Le Froid n'existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur.

L'étudiant a continué :- Professeur, l'obscurité existe-t-elle?

Le professeur a répondu :- Bien sûr qu'elle existe !

L'étudiant a répondu :- Vous avez encore tort Monsieur, l'obscurité n'existe pas non plus. L'obscurité est en réalité l'absence de lumière. Nous pouvons étudier la Lumière, mais pas l'obscurité. En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité. Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer. Comment pouvez-vous savoir l'espace qu'occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente. N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé par l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de lumière.

Finalement, le jeune homme a demandé au professeur :- Monsieur, le mal existe-t-il?

Maintenant incertain, le professeur a répondu:- Bien sûr comme je l'ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour. C'est dans les exemples quotidiens de l'inhumanité de l'homme envers l'homme. C'est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d'autre que du mal!

L'étudiant a répondu :- Le Mal n'existe pas Monsieur, ou du moins il n'existe pas de lui-même. Le Mal est simplement l'absence de Dieu en soi. Il est comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour décrire l'absence de Dieu en soi. Dieu n'a pas créé le mal. Le Mal n'est pas comme la foi, ou l'amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur. Le Mal est le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'amour de Dieu dans son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n'y a aucune chaleur ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune lumière.

Le professeur s'est assis. Le nom du jeune homme?

Albert Einstein

Une roue pour une vie




Nous sommes dimanche matin dans une petite assemblée chrétienne et l'office avait commencé dans la joie de la louange, dans une grande célébration fraternelle.

Le moment de louange se terminait et tous le monde s'asseyait solennellement sur sa chaise afin d'écouter maintenant la prédication du pasteur qui se dirigeait dejà vers la chair.

Sur le coté de la salle, l'une des jeunes femmes de l'équipe de louange et de danse écoutait attentivement le sermon de son pasteur, quand soudain elle eût une conviction en son coeur que le Seigneur voulait lui parler. Le pasteur continuait toujours sa prédication, tandis que la jeune femme sentait cet appel dans son coeur devenir de plus en plus intense. Aussi se mit-elle en prière intérieurement :
- "Oui Seigneur, parles ! Je suis ta servante, que puis-je faire pour Toi ?"
- "Mon enfant, lève toi et fais la roue devant l'estrade pour moi", lui répondit le Seigneur.
- "Oh Seigneur, tu sais que je te serai toujours fidèle... mais faire la roue maintenant, Seigneur ? Ton serviteur est entrain de precher ! Es-tu sûr que celà est convenable ?" s'inquieta la jeune femme.
- "Mon enfant, lève toi et fais la roue devant l'estrade pour moi" reprit le Seigneur.
- "Seigneur Dieu, mon Roi ! Tu sais que je t'aime et que je ferai tout pour Toi ! Mais faire la roue maintenant devant tous le monde en plein sermon... je craind la colère du pasteur, il risquerait de m'exclure de l'assemblée si je faisais celà..."
- "Mon enfant, crainds-tu mon serviteur, ton pasteur, plus que tu ne crainds ton Dieu ? Lève toi, je te le demande et fais la roue devant l'estrade pour moi maintenant".

Dans un élan plein de zèle, avec grace et habileté, la jeune femme éxecuta une magnifique roue devant l'estrade, juste devant la chair du pasteur en pleine prédication. L'assemblée poussa des soupirs de surprise et un leger râle se fit entendre dans les rangs. Le pasteur quand à lui, stoppa sa prédication dans l'étonnement, fit un bref commentaire avec humour et invita l'assemblée à se recentrer sur la prédication.

La jeune femme regagnait le fond de la salle sous le regard accusateur de l'assemblée. Elle se trouvait partagée entre deux émotions différentes : La joie et l'honneur d'avoir accompli la volonté de son Dieu, puis la gène et la honte d'avoir ainsi perturbé le cours du sermon. Qu'allaient penser d'elle ses frères et soeurs ?

Dans le doute et la crainte des represailles qu'elle allait certainement subir dès la fin de l'office, la jeune femme balaya brievement les rangs du regard. Elle croisa bien des regards sombres et meprisantes, mais au mileu de tout ce champs de haine, elle croisa un sourir sur un visage inconnu, celui d'une jeune fille qu'elle n'avait auparavant jamais vu. Sans doute venait-elle pour la première fois.

A la fin de l'office, alors que les fidels se saluaient les uns les autres, ce nouveau visage toujours souriant, se dirigeait vers la jeune femme encore sous l'émotion de son acrobatie.
- "Bonjour !" lanca la jeune fille souriante.
- "Bonjour..." répondit timidement la jeune femme.
- "Très jolie, votre roue..."
- "Oh, merci ! J'espère que vous n'avez pas été trop choquée... je ne sais pas ce qui m'a prit, j'en suis sincèrement désolée..."
- "Oh, non ! Ne le soyez pas !" la coupa la jeune fille toujours si souriante.
- "Vr... vraiment ?" Balbutia, la jeune femme.
- "En fait, tout ça est à cause de moi..."
- "A cause de vous ? Que voulez-vous dire ?"
- "Voyez vous, c'est la première fois que je viens dans cette église et je ne suis d'ailleurs jamais entrée dans aucune autre auparavant. Pour tout vous avouer, je n'ai jamais cru en l'existence d'un Dieu avant ce jour. Mais ce matin à mon réveil, j'ai voulu donner une unique chance à Dieu de me montrer qu'il était réellement vivant et qu'il m'entendait. Je me suis donc habillée, suis sortie de chez moi et suis entrée dans la première église que j'ai trouvée... ce fut celle-ci. Lorsque la louange a débutée, j'ai apprécié l'ambiance conviviale et vivante que j'y ai trouvée. Lorsque l'office se poursuivit en sermon, je n'ai pas compris grand chose à ce que le pasteur préchait... alors j'ai interpellé Dieu dans une prière dans mon coeur. Je lui ai lancé ce défi : "Dieu, si tu existes, si tu es ce Dieu vivant, ce Dieu de l'impossible comme le chantaient tout ses gens autour de moi, fais-moi un signe." Je voulais vraiment coincer Dieu en lui demandant quelque chose d'impossible et d'improbable. Alors, je lui ai demandé d'envoyer quelqu'un faire la roue devant le pasteur. Moins de 5 minutes plutard alors que je m'appretais à quitter les lieux, déçue de n'avoir pas eu de réponse, voilà que je vous vois vous lever, vous élancer et faire une roue ! Dieu m'avait excaucé et vous avez été son instrument pour me répondre. Comment ne pas croire en Lui à présent, après une telle démonstration ! Voilà, pourquoi je voulais vous remercier d'avoir écouter votre coeur, d'avoir bravé les interdits et les codes de convenance et d'avoir accomplie ce signe pour moi, car je sais que c'est Dieu qui vous à demandé ceci et que vous avez obéis."

La jeune femme écoutait son récit, bouche bée, des larmes de joie coulaient sur ses joues. Comment avait-elle pu ainsi douter de Dieu, se dit-elle. Elle avait failli désobeir à Dieu par timidité et peur du regard de l'autre ; elle avait failli faire perdre une âme pour le royaume, par doute et crainte de déplaire à l'homme... par réligiosité.

Une profonde émotion s'empara des deux jeunes femmes à ce moment là, qui ne pouvaient que remercier Dieu pour son si grand amour et ses plans parfait.

Cette scène c'est réellement produite, elle est véridique. La jeune femme c'est ensuite faite renvoyée de l'équipe de louange pour un temps. Elle a néanmoins pu réintégrée son service quelques temps apres. Que ceci puisse servir de témoignage... lorsque Dieu demande quelque chose, soyons prompt à obéir et ne craignons pas l'homme plus que nous ne devons craindre Dieu.

Apparences trompeuses




Deux anges en voyage s'arrêtent pour passer la nuit dans la demeure d'une riche famille. La famille les accueille rudement et leur refuse de passer la nuit dans la chambre d'invités. On les envoie dans un réduit froid du sous-sol. Alors qu'ils font leur lit, le plus vieux des anges aperçoit un trou dans le plancher et le répare. Comme l'ange le plus jeune lui demande pourquoi il fait cela, il lui répond : "Les apparences sont souvent trompeuses..."

La nuit suivante, les deux anges s'arrêtent dans une maison très pauvre, mais très hospitalière. Les deux époux sont chaleureux. Après avoir partagé leur maigre repas avec les 2 anges, ils leur offrent leur propre lit pour qu'ils se reposent bien. Quand le soleil s'est levé le lendemain matin, les anges trouvent le couple en larmes. Leur seule vache, dont le lait était leur seule source de revenu, est morte durant la nuit.

L'ange le plus jeune, furieux, demande à l'ange le plus âgé : "Pourquoi avez-vous permis qu'une telle chose arrive ? Les riches d'hier avaient tout, et vous les avez aidés. Ces pauvres gens ont tout partagé avec nous et vous avez laissé mourir leur vache !"

"Les apparences sont souvent trompeuses", répète l'ange le plus âgé. Quand nous avons dormi dans le sous-sol froid, j'ai remarqué qu'il y avait une cachette d'or dans le trou du plancher. Comme le propriétaire des lieux était obsédé par l'argent, qu'il était avaricieux et égoïste, j'ai rebouché le trou pour qu'il ne puisse plus savoir où était l'or.

La nuit dernière, durant notre sommeil chez le pauvre fermier, l'Ange de la Mort est passé pour son épouse. Je lui ai donné la vache à la place. Tu vois, les apparences sont souvent trompeuses".

La main de Dieu à nos côtés, agit toujours pour notre bien, même si cela semble contraire à nos désirs et à nos espoirs personnels.

IL A DONNÉ SA VIE PAR AMOUR




Tout commence un vendredi après-midi typique. Tu es en train de conduire pour rentrer chez toi, lorsque tu entends à la radio un fait comme un autre : "Dans un petit village lointain, 3 personnes viennent de mourir d'une grippe que l'on avait jamais vue auparavant". Tu ne prêtes pas vraiment attention à cet évènement...

Le lundi matin lorsque tu te réveilles, la radio annonce que ce ne sont plus seulement 3 personnes mais 300 qui sont mortes. Tout le monde s'inquiète et des experts de l'Organisation Mondiale de la Santé vont faire leur enquête.

Le mardi, c'est la grande nouvelle en première page de tous les journaux, parce qu'il ne s'agit plus seulement de l'Inde, mais aussi du Pakistan, de l'Afghanistan, et de l'Iran. Alors, tous les pays se mettent à fermer leurs frontières, terrestres, aériennes et maritimes, avec les pays contaminés. Mais cela ne suffit pas. Bientôt, on apprend que des personnes sont en train de mourir en Europe et aux Etats-Unis.

Les informations disent que, lorsque tu attrapes cette maladie, tu ne t'en rends d'abord pas compte, puis qu'il te reste à peine une semaine à souffrir avant de mourir.

Les scientifiques cherchent un antidote sans succès. Les gens ont des comportements de toute sorte. Certains prient pour que les chercheurs trouvent le remède. Tout à coup, la nouvelle inespérée arrive : on peut enfin faire un antidote !

Maintenant, il faut le sang rare de quelqu'un qui notamment n'ait pas été infecté par le virus. Donc, dans tous les pays, on demande à chacun de se faire faire un examen du sang.

Tu vas comme volontaire à l'hôpital avec ta famille, et tes voisins se demandent : "Serait-ce la fin du monde ?" Tout à coup le docteur crie un nom qu'il a lu sur son registre et, là, ton fils cadet te dit : "Papa, il a crié mon nom !". Avant que tu ne puisses réagir, ton fils est parti avec des infirmières et tu cries : "Attendez !", et ils te répondent : "Tout va bien, son sang est pur, nous croyons qu'il a le type de sang correct." Après un certain temps, les médecins sortent de la salle en riant et en pleurant. C'est la première fois depuis une semaine que tu vois quelqu'un rire, et le docteur s'approche de toi, et te dit "Merci mon Dieu, le sang de votre fils est parfait, il peut permettre de faire l'antidote contre la maladie..."

La nouvelle se répand et tout le monde pleure de joie. Le docteur s'approche de toi et de ton épouse, et dit : "Est-ce que je peux vous parler un moment ? Nous ne savions pas que le donneur serait un enfant, donc nous avons besoin que vous signiez cette permission pour nous permettre d'utiliser son sang."

Alors que tu lis le document, tu remarques qu'il n'est pas précisé la quantité de sang nécessaire... et tu demandes : "Quelle quantité de sang allez-vous prendre? " Le sourire du médecin disparaît, et il dit : "Nous ne pensions pas qu'il s'agirait d'un enfant, nous avons besoin de tout son sang." ! ! !

Tu n'arrives pas y croire, et tu essaies de répondre : "Mais, mais..." et le docteur te répond : " Vous ne comprenez pas, il s'agit d'une cure pour le monde entier, s'il vous plait, signez, nous avons besoin de tout le sang...". Et tu demandes : "Mais ne peut-il pas y avoir une transfusion ou tout autre chose ?", et là on te répond qu'il est le seul qui convient, que c'est urgent et que c'est donc impossible.

" Vous allez signez ? ? ? ? ? S'il vous plait, signez ! ! ! !". En silence et en tremblant, tu signes...

La semaine suivante, alors qu'il y a la cérémonie d'enterrement de ton fils, beaucoup de personnes restent dans leur lit à dormir, d'autres préfèrent aller se promener ou s'amuser... et certains qui sont à la cérémonie affichent un sourire forcé... Tu voudrais t'en aller en hurlant : "Mais mon fils est mort pour vous, et vous n'en avez rien à faire ! ! ! "

Parfois, c'est ce que Dieu voudrait nous dire : " Mon fils Jésus-Christ est mort pour vous et vous ne savez toujours pas à quel point je vous aime !"


Anonyme

LES AVENTURES EXTRAORDINAIRES D'UNE BIBLE




Une histoire vraie racontée par J. H. Townsend

Un après-midi monotone de janvier, une jeune veuve assise dans une des chambres de son agréable logis. La maison se trouvait dans un beau quartier de Dublin, en Irlande.
Tout respirait le bien-être et le confort dans sa demeure. Pourtant, l'état de son âme était misérable.
Madame Blake, c'était son nom, était une catholique fervente et consciencieuse. La question du pardon de ses péchés ne lui laissait pas de repos depuis un certain temps. Malgré les devoirs religieux qu'elle accomplissait fidèlement, malgré ses nombreuses prières, elles ne trouvait pas le contentement intérieur.

Au contraire, plus elle se donnait de peine, plus le fardeau de ses péchés et l'état de son âme la faisait souffrir.

C'est ce qu'elle avoua ouvertement à son confesseur. Celui-ci lui conseilla de faire des bonnes oeuvres, dans l'espoir, disait-il, de trouver de la distraction, la joie intérieure et la satisfaction. Il lui accorda l'absolution mais la consolation et la bénédiction si désirées lui faisant toujours défaut.

Pendant qu'elle était plongée dans ses pensées, on frappa à sa porte et son directeur de conscience se trouva subitement devant elle.

- « Que dois-je faire », dit-il, « pour vous libérer de vos sombres pensées et de vos rêveries, et pour rendre votre visage heureux ? »

- « Ah ! révérend Père, vous êtes bon et vous avez assurément fait tout ce qui était en votre pouvoir; je regrette de vous occasionner tant de peine, mais le poids de mes péchés ne diminue pas, il pèse terriblement sur mon coeur. »

L'ecclésiatique eut une réponse saugrenue :- « Avez-vous déjà entendu parler de cet acteur comique qui donne des représentations en ville ? Il fait rire les gens aux larmes, à en oublier toute peine. Vous devriez absolument aller le voir.»

-« Mais mon père, vous ne me dites pas cela sérieusement !»

- « Oui, sérieusement! Cette représentation vous fera du bien. Je vous ai même apporté un billet d'entrée. Allez-y sans crainte, je vous l'ordonne. »

Il ne resta à Madame Blake que l'obligation de se rendre à cette représentation, le jour suivant.

À Dublin, l'édifice appelé La Rotonde contient d'autres salles que celle dans laquelle Madame Blake désirait se rendre. D'autres réunions et manifestations y avaient lieu en même temps.
La jeune veuve arriva à l'avance et, voyant des personnes entrer, elle les suivit et prit place. Ce n'était pas la représentation à laquelle elle voulait assister. Personne ne demanda le billet à l'entrée, mais Madame Blake pensa que cela serait fait plus tard.

Sans tarder, un monsieur vint sur la scène et entonna un cantique. Toute l'assemblée chanta. Elle eut conscience tout à coup qu'elle allait prendre part, sans l'avoir voulu, à un service religieux. Quelle horreur ! Si seulement elle pouvait s'enfuir.

Elle résolut de le faire lorsque le cantique serait terminé, jugeant qu'elle ne serait pas remarquée. Mais dans sa précipitation, elle laissa, à ce moment-là tomber son parapluie, ce qui attira sur elle les regards des personnes autour d'elle. Elle se rassit, très mal à l'aise, et aurait voulu disparaître sous terre...

Un grand silence se fit, puis un homme se leva pour prier. Elle n'avait jamais assisté à une pareille réunion et il lui semblait que chaque mot de la prière se gravait dans son coeur.

Tout était si différent de ce qu'elle avait appris dès son jeune âge. Pourtant , cette prière sincère et spontanée lui fit une profonde impression.

Elle n'était pas arrivée à la fin de ses surprises. La prédication avait pout titre : Le pardon des péchés.
Ce sujet était-il dû au hasard ou à la providence de Dieu ?

Elle recherchait justement depuis longtemps une solution au problèmes du pardon de ses péchés. Malgré toute sa résistance intérieure, cela l'intéressait; elle décida de rester. Le prédicateur lut les versets 1 à 18 du dixième chapitre de l'Épître aux Hébreux (Hébreux 10:1-18), entre autres les versets suivants : « C'est en vertu de cette volonté ( de Dieu ) que nous sommes sanctifiés, par l'offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes. 'Et tandis que tout sacrificateur ( ou prêtre ) fait chaque jour le service et offre souvent les mêmes sacrifices, qui ne peuvent jamais ôter les péchés, lui ,(Jésus-Christ), après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s'est assis pour toujours à la droite de Dieu, attendant désormais que ses ennemis soient devenus son marchepied. Car, par une seule offrande, il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés... Et je ne me souviendrai plus de leurs péchés, ni de leurs iniquités. Or, là où il y a pardon des péchés, il n'y a plus d'offrandes pour le péché. »

Après lecture de ces passages bibliques suivit une simple explication qui pouvait être comprise de chacun. Il fut question d'une Victime sacrifiée une fois pour toutes sur le Mont Calvaire. Le plein pardon pour tous fut proclamé.

Il fut affirmé que la rémission des péchés est accordée, moyennant la repentance et la foi, à tous ceux qui désirent le salut et l'acceptent avec reconnaissance.

Madame Blake écoutait ce merveilleux message avec beaucoup d'attention.

Elle était comme une terre desséchée qui soupire après l'eau fraîchissante.

Elle n'avait jamais entendu parler de la sorte.
Il lui semblait que ce message était trop beau pour être vrai.

Elle aurait désiré en entendre davantage et regrettait que l'heure fut déjà passée.

Après une courte prière, l'auditoire se retira.

Une grande joie remplit son coeur et elle s'avanca pour parler au prédicateur et pour lui demander où elle pourrait lire ces paroles.
Il y avait longtemps que le serviteur de Dieu n'avait rencontré une telle âme, assoiffée de vérité.
Il prit la peine de lui lire d'autres passages des Saintes Écritures.

Lorsqu'il apprit que Madame Blake n'avait encore jamais eu de Bible entre ses mains, il lui remit la sienne et lui permit de l'emporter chez elle.

Il la pria, cependant, de la lui rapporter quelques jours plus tard.

C'est avec un coeur joyeux et une profonde reconnaissance qu'elle rentra rapidement chez elle, désireuse de lire assidûment la précieuse Parole.

Les jours suivants, elle fut très occupé à consulter les passages indiqués et soulignés et à les enregistrer dans son coeur et dans sa mémoire.

Une grande lumière se fit en elle.

Le poids de ses péchés disparut et l'assurance du salut, le pardon et la paix de Dieu entrèrent dans son coeur.

Le jour vint où elle dut se séparer de la Bible. Elle devait la rendre, puisqu'elle ne lui appartenait pas.

Elle eut le désir d'en profiter encore une fois et se trouvait plongée dans la méditation des Saintes Écritures lorsque, soudain, son confesseur se trouva devant elle. Elle n'avait pas entendu sonner.
Elle le salua quelque peu gênée. Il l'observa attentivement et fut agréablement surpris de la trouver si tranquille et confiante.

- « Qu'y a-t-il de neuf ? », demanda-t-il . «Racontez-moi comment cela s'est passé à la Rotonde. Je ne vous ai pas apercue à la messe de dimanche ! Étiez-vous malade ? »

Que fallait-il répondre ? Elle avait décidé de tout garder pour elle et de se taire. Mais, sans le vouloir, elle entra en conversation et finit par raconter au prêtre, sans hésitation et sans détour, ce qui s'était passé.

Elle apercût immédiatement un grand changement dans les yeux du vénéré visiteur. Ceux-ci devinrent froids et durs, et elle sentit que l'homme était profondément offensé.

Avec autorité, il lui dit :- « Donnez-moi ce livre; vous l'avez-lu sans permission et vous courez le danger d'une condamnation éternelle si vous le gardez .»

- « Mais il ne m'appartient pas, laissez-le-moi, je vous en prie », supplia-t-elle.

Le prêtre le lui arracha des mains et le mit dans sa poche. Puis il quitta la chambre avec un regard menacant.

Madame Blake resta ainsi, comme paralysée.

Seul celui qui s'est trouvé dans une telle situation et qui connaît la puissance des prêtres, peut se représenter l'embarras dans lequel elle se trouvait.

Comment pourrait-elle se dégager de sa promesse ? Elle devait rendre la Bible. Mais elle n'avait pas l'adresse de son propriétaire. Ce nom et cette adresse figuraient sur une des pages du précieux livre et elle ne s'en souvenait plus.
Puis elle revoyait sans cesse le regard lourd, menacant et hostile du prêtre.

Que lui fallait-il faire pour sortir de cette pénible situation ?

Les jours s'écoulèrent lentement. Le confesseur ne se montra plus. Elle l'aurait craint, d'ailleurs.
Mais elle sentait qu'elle devait rendre LE LIVRE et il n'y avait plus qu'un moyen de le récupérer, si ce n'était pas déjà trop tard : se rendre auprès de l'ecclésiastique. Ce n'est qu'après quinze jours qu'elle se décida d'agir et à faire cette désagréable visite.

La demeure du prêtre se trouvait près d'un couvent auquel il était rattaché comme confesseur. Une religieuse lui ouvrit la porte. Elle demanda son nom et ce qu'elle désirait. C'est avec un regard froid et une attitude hostile qu'elle lui dit :

- « Oui, mon Père est chez lui, entrez ! »

Elle la conduisit dans une chambre , la laissa entrer la première. Ô stupeur! Il y avait là un cercueil et dans le cercueil la dépouille mortelle du confesseur. Avant qu'elle fut revenu de son effroi, la religieuse lui glissa à l'oreille :

- « Il est mort en vous maudissant ; vous lui avez donné une Bible et il m'a chargé de vous dire qu'il vous maudissait.

...Vous avez été maudite par son dernier souffle. Sortez maintenant. »

Et, avant qu'elle ait pu réaliser ce qui lui arrivait, Madame Blake se retrouva dans la rue.
Plusieurs semaines s'écoulèrent. Le printemps était venu avec son cortège de verdure, de fleurs et d'espoir.
Un soir, Madame Blake était assise, seule, réfléchissant aux évènements des derniers mois.

La joie du pardon était dans son coeur;elle avait acheté une Bible qu'elle lisait chaque jour.
Elle avait abandonné, une à une, les erreurs dans lesquelles elle avait été élevée, mais elle avait encore un gros poids sur le coeur :
le prêtre, son dernier regard, ses dernières paroles, sa mort soudaine, ce terrible message !

Les paroles bibliques qui l'avaient réjouie n'auraient-elles pas été valables aussi pour lui ?
C'est alors qu'elle pensait à tout cela qu'un coup de sonnette la fit sursauter. Une femme complètement voilée demanda à lui parler:- « Vous ne me reconnaissez pas habillé de cette facon ? »
En disant cela, elle enleva son voile et le visage de la religieuse du couvent apparut. Madame Blake recula d'un pas, ne sachant ce qui allait se passer.

La religieuse la tranquillisa et lui dit :- « Puis-je m'asseoir ? J'ai à vous parler ».

Elle continua :- « J'ai deux choses à vous dire et je dois être brève, n'ayant pas beaucoup de temps. Premièrement, veuillez me pardonner l'horrible mensonge que je vous ai dit. J'ai demandé à Dieu son pardon et je veux aussi le vôtre. Votre confesseur est mort en vous bénissant de tout coeur. Le jour précédant celui de sa mort, il m'a prié de vous faire savoir qu'il avait obtenu le pardon de ses péchés et l'assurance du salut grâce à ce Livre et, durant toute l'éternité, il vous remerciera de lui avoir fait connaître le Sauveur. Et, vous pouvez-vous me pardonner, maintenant ? »

- « Assurément, du fond de mon coeur », répondit la dame étonnée, « mais pourquoi avez-vous dit ce mensonge ? »
-« Parce que je vous détestais. J'amais notre confesseur et vous haïssais de l'avoir envoyé en enfer comme je le croyais. Après sa mort, j'éprouvai un fort désir de lire ce qu'il avait lu. Je fus très intéressée, puis fascinée. Je lus de plus en plus et, maintenant , j'ai trouvé, moi aussi, le pardon, la paix de mon Sauveur. J'ai étudié la Bible pendant ces semaines et je vous l'apporte aujourd'hui. Encore une chose: je me suis échappé du couvent et je pars pour l'étranger ce soir. J'ai senti le besoin de venir ici, de vous rendre cette Bible et de vous dire que je vous serai reconnaissante toute ma vie de m'avoir montré comment je pouvais obtenir le pardon de mes péchés. Au revoir, que Dieu vous bénisse ! Nous nous retrouverons au ciel.»

Les deux femmes se séparèrent après un bref instant d'émotion.

Madame Blake se demandait si elle rêvait.

Cette Bible était- elle réellement là, sur la table devant elle ?

Ce n'était pas un rêve, mais une glorieuse réalité.

Sans aucun bruit, ce Livre venait de faire trois miracles ; trois âmes sauvées pour l'éternité. Représentez vous l'étonnement et la joie du propriétaire de la Bible lorsque la femme vint lui rendre son bien en lui racontant ce qui s'était passé. Cette histoire est si belle qu'il l'écrivit pour que d'autres en aient connaissance et désirent lire ce Livre merveilleux.

Dieu dit :« Ma parole qui sort de ma bouche: elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins » ( Esaïe 55.11 ).

Jésus dit :« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie » (Jean5.24 )

Ami lecteur, qu'est-ce que votre Bible a fait pour vous ?


.La Bible est la Parole de Dieu


.Si vous la lisez, elle vous éclairera


.Si vous l'écoutez, elle vous guidera


.Si vous la croyez, elle vous sauvera


.si vous la négligez, elle vous jugera

L'Étranger




Quelques mois avant ma naissance, mon père rencontra un étranger qui était inconnu dans notre petite vielle de campagne. Dès le début, papa fut fasciné par ce nouvel habitant enchanteur et bientôt l’invita à vivre avec nous au sein de notre famille.

L’étranger fut vite accepté et était là pour me souhaiter la bienvenue quelques mois plus tard. Durant mon enfance, je n’ai jamais remis en question sa place dans notre famille. Dans mon jeune esprit, chaque membre avait sa place à lui.

Mon frère, Pierre, de cinq ans mon aîné, était mon exemple. Marie, ma jeune sœur, me donna l’occasion de jouer au " grand frère " et de développer l’art de la taquinerie. Mes parents se complétaient dans leur ensei-gnement : maman m’a appris à aimer la Parole de Dieu et papa m’a appris à Lui obéir. Mais l’étranger fut notre conteur d’histoires. il pouvait tisser les intrigues les plus fascinantes.

Les aventures, les mystères et les comédies étaient ses conversations quotidiennes. Il pouvait tenir toute notre famille, comme sous un charme, pendant des heures chaque soir. Si je voulais savoir quoi que ce soit sur la politique, l’histoire ou la science, il savait tout.
Il savait tout à propos du passé, comprenait le présent et, soi-disant, pouvait prédire le futur. Les images qu’il pouvait dessiner semblaient tellement vivantes que souvent je riais ou pleurais en les regardant. Il était comme un ami pour toute la famille. Il nous emmena, papa, Bill et moi à notre premier grand match de base-ball. Il était toujours en train de nous encourager à voir des films, et il s’est même arrangé pour nous présenter plusieurs stars du cinéma. Mon frère et moi furent tout particulièrement impressionnés par John Wayne. L’étranger parlait sans cesse.

Papa ne semblait pas être dérangé mais parfois, maman se levait doucement pendant que le reste de la famille était passionné par une de ses histoires de terres lointaines. Elle allait dans sa chambre, lisait sa Bible et priait.

Je me demande maintenant s’il lui arrivait de prier pour que l’étranger s’en aille.

Vous voyez, mon père régnait sur notre maison avec certaines convictions morales.

Mais cet étranger ne semblait jamais obligé de les respecter.

Etre grossier, par exemple, n’était pas permis dans notre maison, ni de nous, ni de nos amis, ni de la part des adultes.

Mais notre visiteur de longue date utilisait parfois des gros mots qui me brûlaient les oreilles et faisaient frémir mon père.

À ma connaissance, on ne s’est jamais opposé à l’étranger. Mon père était contre l’alcool et n’en permettait pas la consommation dans sa maison, même pas pour la cuisine.

Mais l’étranger sentait qu’on avait besoin d’y être exposé et nous éclairait sur d’autres modes de vie. Souvent, il nous offrait de la bière et d’autres boissons alcoolisées.

Avec lui, les cigarettes semblaient bonnes, les cigares, virils et les pipes, distinguées. Il parlait librement du sexe. Ses remarques étaient flagrantes, parfois suggestives et en général embarrassantes. Je sais maintenant que mes premiers concepts de la relation entre l’homme et la femme étaient influencés par l’étranger.

Avec du recul, je crois que c’était grâce à Dieu que l’étranger ne nous influença pas davantage.
À de nombreuses reprises, il s’opposa aux valeurs de mes parents. Pourtant, on le réprimandait rarement et jamais on ne lui demanda de partir.

Plus de trente ans ont passé depuis que l’étranger vint s’installer dans la jeune famille habitant rue des Coquelicots.
Mon père n’est plus autant fasciné par lui que dans les premières années.

Mais si vous deviez entrer aujourd’hui dans la maison de mes parents, vous le verriez toujours assis dans un coin, attendant que quelqu’un vienne l’écouter parler et le regarder dessiner.

Son nom ? Nous, on l’appelait toujours " Télé ".

(Auteur inconnu)*


* bien entendu, si quelqu'un connaît le nom de l'auteur, qu'il nous le transmette !

La prière d’un enfant pour que les grands réfléchissent




Mon Dieu, on lit que Thomas Edison a créé la lumière. Mais à l'école, on dit
que c'est Toi. Alors, je pense qu'il a volé ton idée.

Catherine, 7 ans

La prière d’un enfant pour que les grands réfléchissent



Mon Dieu, je ne croyais pas que la couleur orange allait bien avec du mauve
mais j'ai vu ton coucher de soleil, jeudi dernier. C'était bien cool!

Élisabeth, 7 ans

La première fois de sa vie...




Nancy a 6 ans. Mais cette si belle enfant n’a jamais sauté à la corde ni joué à la marelle. Ses pieds sont déformés. Elle a toujours dû porter des chaussures orthopédiques. Dans la ville où elle habite, il y a une Église où l'on prie pour les malades. Et le pasteur a fait savoir que durant 4 dimanches de suite, c'est ce qui se­ra fait au cours de "réunions spéciales". Nancy et sa maman s'y rendent. Le prédicateur affirme que "Jésus est toujours le même " Hébreux 13/8, que ce qu' il a fait, il peut encore le faire !

Pour encourager la foi de ses auditeurs, le pasteurs a parlé de ce récit de l’ Évangile où l’on voit Jésus ressuscitant une fillette qui était morte. Marc 5/35-43

Sur le chemin de la maison Nancy dit : « Maman, si Jésus a pu ressusciter une fillette morte, il peut aussi guérir une petite fille , qui a mal aux pieds, n'est ce pas ? »

« Mais oui, bien sûr, ma chérie » répond la mère émue mais embarrassée.

« Alors maman il pourrait me guérir ? »

« Oui, oui, ma petite, certes, mais hâtons nous de rentrer »!

Après un instant de silence Nancy reprends :

« Dis maman, je voudrais retourner demain à cette réunion où l'on prie avec les malades, tu veux bien ?»

« Mais oui chérie, si ça peut te faire plaisir »

« Alors, maman, il faut arrêter la voiture devant le grand magasin, tu sais, celui où l'on vend de tout .... »

« Mais Nancy, pour quoi faire ? »

« Pour acheter. des souliers, maman, pour ,quand je serai guérie..."

La mère bouleversée par cette foi enfantine hésite, mais ne peut honnêtement trouver d’excuse valable.

« Bien, Nancy, dit-elle, quelque peu anxieuse, nous allons nous y arrêter. »

Au rayon des chaussures, une vendeuse s'approche avec un aimable sourire :

« puis-je vous aider ? »

« Qui , madame, cette petite demoiselle aimerait choisir, une paire de souliers. »

Le sourire de la vendeuse se fige un peu ,quand elle voit les chaussures orthopédiques de Nancy. Mais la maman lui fait un signe et la vendeuse revient au bout d'un instant avec des chaussures brunes à tiges …

« Non, dit Nancy pas comme ça.. Je veux des souliers tout blancs avec un pompon dessus ; comme ceux-ci, dit-elle on en montrant une paire du doigt. »

« tout de suite, petite chérie, je vois te les apporter... »

Nancy les caresse et déclare toute joyeuse ; "comme ils sont beaux ! Merci maman"

La vendeuse a de la peine à retenir ses larmes et fait un beau paquet de fête.

C'est le soir maintenant , et Nancy dort. Mais sur son oreiller, il y a les deux jolis souliers blancs. . . .

Le lendemain, maman et Nancy sont bien avant l'heure à l'église. Le joyeux service se déroule. Et voici le moment de la prière et de l'imposition des mains aux malades. Et boitillant, Nancy s’approche du pasteur et de ses aides . C'est son tour. .

« Que faut-il demander à Jésus pour toi, chérie ? » Questionne l’homme de Dieu

« Qu'il guérisse mes pieds qui ne sont pas droits ! »

« oui, bien sûr, c'est ce ,que nous allons faire. Et que tiens-tu à la main ? "

« Un carton avec des jolis souliers, pour quand je serai guérie ..»

Tout l'auditoire, par un micro, a entendu ... et s'est levé spontanément. Avec quelle ferveur n' intercède -t-on pas pendant que le pasteur bouleversé par tant de foi simple et confiante, prie en pleurant pour Nancy, tout en lui imposant les mains.

La prière s'est tue. Nancy s'est assise ; elle ôte ses chaussures médicales...

Rien ne s'est passe....

Puis, au moment où elle prend ses souliers blancs, cric ....

On a entendu un petit craquement et ses pieds se sont redresses ! Joie, Joie, pleurs de joie !

Et Nancy part , tenant la main.. de sa mère et sautillant pour la première fois de sa vie...

Toutes sortes de prières.



La prière est comme la respiration de l'âme. Vitale pour le croyant, elle peut être très variée, un souffle régulier aussi bien qu'une inspiration profonde ou un soupir léger.

Prions-nous avec zèle ?

Pour nous y encourager, regardons quelques expressions de la Bible qui évoquent diverses formes de prières.

"répandre son âme devant le Seigneur": c'est lui dire toute notre tristesse sans aucune retenue, sans volonté, comme un liquide se répand sur le sol.

"Parler dans son coeur": c'est prier mentalement, secrètement, souvent en présence d'autres personnes.

"Élever ses yeux vers le ciel": c'est chercher secours auprès de celui qui est tout-puissant et souverain, qui est au-dessus de la scène de ce monde.

"Élever son âme" : c'est se détacher des problèmes du moment pour se réfugier en Dieu, quitter !e domaine de l'homme pour atteindre celui de Dieu.

"Invoquer": c'est implorer, réclamer de l'aide, faire appel à celui qui tient tout dans sa main pour lui apporter notre problème.

"Crier au Seigneur" : c'est prier de toute sa force pour un besoin intense et urgent.

"Soupirer": c'est prier sans rien formuler, juste une pensée vers le Seigneur

La prière de la foi


A.B.SIMPSON
La foi peut se manifester sous deux aspects différents, premièrement d’une manière simple et tranquille, deuxièmement comme une force profonde qui s’avance de plus en plus en vainqueur. Dieu donne volontiers (Jacques 1 :5). Il ne cesse pas de donner parce que nos prières sont trop nombreuses ou trop abondantes, ni même parce qu’elles sont présentées d’une façon bien imparfaite. Dieu donne pour donner, comme le rend la traduction anglaise du passage de l’épître de Jacques ; mais nous ne sommes pas aussi bien disposés à recevoir les dons de Dieu . ce que nous ne voulons pas prendre, nous ne pouvons pas l’obtenir. Il nous a donné tout ce qui lui était possible ; son Fils, son Esprit, la plénitude de son amour, des milliers de promesses, oui toutes choses (Rom 8 :32).
La condition pour recevoir c’est d’avoir la foi, d’avoir dans le cœur cette douce assurance qui réalise les promesses divines.
La foi reçoit, tandis que le doute nous empêche de recevoir. « La prière de la foi sauvera le malade ».
Voilà la foi, de laquelle nous parlerons. J’aurais la foi en votre faveur, mais de votre côté vous devez recevoir avec moi : « La prière fervente du juste a une grandeur efficace. » Seule la prière de la foi est efficace. Élie est un bel exemple d’un homme de foi. Il pria pour qu’il plut et il crut. Pendant que le ciel était parfaitement clair et pur il dit a Achab : monte, mange et bois car il se fait un bruit qui annonce une abondante pluie. Alors Élie se jeta par terre et pria, puis il envoya son serviteur voir du coté de la mer. Le serviteur monta, il regarda, et dit : Il n’y a rien : mais Elie dit sept fois : Retourne. A la septième fois il y avait un petit nuage, qui s’élevait de la mer, semblable à la paume de la main d’un homme. Elie envoya de nouveau son serviteur avec l’ordre de dire a Achab d’atteler son char et de descendre, afin qu’il ne fût pas arrêté par la pluie. Elie crut et par conséquence il vit. En peu d’instants le ciel fut assombri par les nuages et le vent, et il tomba une forte pluie. Ce fut une réponse
Immédiate à la prière. Gloire à Dieu ! Il nous est aussi possible de nous approcher tout près du Seigneur dans prières ; je suis sur qu’Elie a parlé très tendrement dans sa prière, mais aussi avec une entière confiance.
« Tout ce que vous demanderez en priant croyez que vous l’avez reçu et vous le verrez s’accomplir. » Selon la Parole de Dieu il est tout à fait logique de croire une chose avant de l’avoir vue accomplie. « Croyez que vous l’avez reçu et vous de le verrez s’accomplir. » Je trouve qu’il m’est bien difficile de savoir si je prierai pour telle ou telle chose, que de formuler la prière. Naaman ne savait pas pourquoi il devait se plonger dans le fleuve du Jourdain, mais il savait qu’on lui avait dit de le faire et il a obéit . Tout ce que vous avez a faire , c’est d’obéir aux ordonnances de Dieu et ensuite vous remettre entre ses mains, alors il prendra soin de vous. Une chose ne sera pas réelle avant que vous croyiez, car c’est la foi même qui la réalisera.
La foi est dans sa nature d’une efficacité créatrice , elle rendra possible l’impossible. Dieu commence son œuvre de délivrance à l’instant même ou nous croyons fermement qu’Il est « L’Eternel qui guérit. » Dieu ne vous ordonne pas quelques remèdes à prendre pour arrêter vos souffrances, il va directement à la racine du mal.
Son œuvre est comparable à celle d’un entrepreneur qui a un contrat couché par écrit s’engage à al construction d’une nouvelle maison ; nous lui expliquons nos désirs et il s’occupe entièrement de l’œuvre, si nous voulons lui donner notre confiance, nous pourrions même faire nos préparatifs pour meubler cette maison, exactement comme si elle était déjà construite. Supposons que quelqu’un vienne acheter la maison pas encore achevée, la confiance aux promesses de l’entrepreneur le fera agir comme si la maison était déjà bâtie.
Même si nous ne voyons que le terrain pierreux est vide.
Dieu agira pleinement et parfaitement au moment ou vous aurez mis votre confiance en lui seul.
Dès le commencement il connaît la disposition de votre cœur, si vous êtes prêt à vous abandonner entièrement à lui ou si vous venez dans le de le tenter. Il ne vous laissera pas longtemps s’il voit que votre cœur est vrai et sincère. Sa gloire et son honneur ne se compromettent pas avec des personnes qui reculent au premier obstacle qui se présente ; tout ce qu’il fait est proprement fait. Et Vous êtes ses collaborateurs et ses compagnons dans l’œuvre qu’il entreprend. Le Seigneur s’attend à une recherche ardente de notre côté, bien que « c’est lui en même temps qui produit le vouloir et le faire. »
La victoire, qui nous est déjà assurée (par la croix) dépend de notre attitude fidèle envers lui et ses promesses. Les exaucements qui sont obtenus à travers de longues luttes de supplications, sont toujours les mieux appréciés.
Le combat de la foi nous place souvent dans des circonstances qui nous laissent souvent dans des circonstances qui ne nous laissent d’autres issues qu’une conquête glorieuse ou une défaite honteuse, en effet les bénédictions de Dieu exigent une certaine préparation soit dans notre cœur soit dans notre entendement.
Les exigences de Dieu sont moins sévères pour les petits enfants que pour ceux qui sont déjà plus avancés en âge et en expériences. C’est sous cet angle que nous devons regarder les épreuves et les difficultés dans la vie, car leur but est toujours le même, nous amener à de plus grandes bénédictions. Toutes les promesses précieuses de Dieu n’empêchent pas que nous sommes continuellement exposés aux assauts du Diable qui cherche à nous enlever l’une et l’autre de ces promesses bénies.
Après les avoirs examinées à fond je les ai écrites non seulement dans ma bible, ou dans un carnet, mais dans mon cœur et dans mon âme, oui dans tout mon être, et maintenant je peux vous assurer que les bénédictions que Christ nous donne dans la guérison Divine surpassent tout ce que les pensées humaines sont capables de saisir.
Il a toujours été fidèle pour moi et je me réjouis de plus en plus dans sa grâce infinie. Des enfants d’Israël devaient faire la même expérience, Dieu leur donna le pays de Canaan, mais ils le prirent en possession par la conquête.
Dieu vous accorde ses dons, voulez-vous les recevoir ?
Soyez fidèles et soumis et il se montrera aussi fidèle à vous.