mardi 15 juin 2010

Qu'est-ce que Dieu peut faire à 57 cents



Une petite fille en sanglotant se tenait près d'une petite église dont elle avait été refusée parce qu'il était «trop de monde »
"Je ne peux pas aller à l'école du dimanche, a-t-elle sangloté au pasteur. Voyant sa minable apparence négligée, le pasteur devina la raison et la prenant par la main, trouva une place pour elle dans la classe de l'école du dimanche. L'enfant était si heureuse qu'ils puissent lui trouver une place que ce soir là elle se mit au lit en pensant aux enfants qui n'avaient pas de place pour adorer Jésus.

Environ deux ans plus tard, cette petite décéda dans la misère. Ses parents demandèrent au pasteur au bon cœur, qui s'était lié d'amitié avec leur fille de gérer le service d’inhumation. En déplaçant le petit corps un papier griffonné à la main enfantine avec un petit portefeuille rouge, furent trouvés avec ces mots: «C'est pour aider à construire la petite église pour que plus d'enfants puissent ainsi aller à l'école du dimanche." Il y avait 57 cents
Pendant deux ans, elle avait mit de coté une offrande d'amour de juste 57 cents. Le pasteur en larmes en lisant ce billet, savait aussi ce qu'il devait faire.
Il raconta l'histoire de cette enfant et de son amour désintéressé et de son dévouement.
Il invita ses diacres à se mettre au travail afin de recueillir suffisamment d'argent pour construire le plus grand bâtiment pour recevoir les enfants.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là ...
Un journal appris l'histoire et celle-ci fut publiée. Un riche agent immobilier après l’avoir lu l’article proposa de vendre une parcelle de terrain d'une grande valeur à l’église
Mais devant la somme proposée l’église ne pouvait pas payer, il a donc offert de la vendre à la petite église pour 57 cents.
Dans les cinq ans qui suivirent les 57 cents qui étaient le petit cadeau de la jeune fille avait augmenté à $ 250,000.00 -une somme énorme pour l'époque (près de la fin du siècle). Son amour désintéressé avait payé le gros des travaux.
Lorsque vous êtes dans la ville de Philadelphie, vous pouvez rechercher Temple Baptist Church, avec une capacité de 3.300 personnes. Et n'oubliez pas de visiter l'Université du Temple, où des milliers d'élèves sont scolarisés.
Jetez un œil aussi sur l’ hôpital et sur l’ école du dimanche qui abrite des centaines de beaux enfants, construit de manière à ce qu'aucun enfant dans la région ne soit jamais dans le besoin et de connaître un jour de ne pas pouvoir participer à l'école du dimanche .
Dans une des salles de ce bâtiment peut-être vu la photo du doux visage de la petite fille dont les 57 cents, qui dans les mains de Dieu ont fait cette belle histoire. A côté de celui-ci le portrait de son pasteur genre, le Dr Russel H. Conwell, auteur du livre, «Acres of Diamonds"

Il s'agit d'une histoire vraie, qui montre ce que Dieu peut faire à 57 cents.

1. YHWH-Shalom = L'Eternel Paix




Juges 6:24 Et Gédéon bâtit là un autel à l'Éternel, et l'appela JÉHOVA-SHALOM (L'Éternel-Paix). Il existe encore aujourd'hui à Ophra des Abiézérites.
L'ange de l'Eternel envoie Gédéon en mission de délivrance contre Madian le dévastateur. Gédéon voit le Seigneur et ne meurt pas (il fait la même expérience exceptionnelle que Moïse et Jacob). Là, l'Eternel lui montre un signe de reconnaissance : une alliance de paix après que le sacrifice ait été agréé. Voir en Genèse 32:31 Jacob qui appelle le lieu de son combat avec Dieu Peniel (face à Dieu). Cette alliance de paix a été accomplie par Jésus-christ pour tous ceux qui croient en Lui. Cette alliance nous permet de nous tenir en présence de Dieu pour l'adorer. C'est l'alliance de communion de tous les saints. Nous pouvons appeler YHWH-Shalom notre Dieu dans nos prières d'adoration personnelle.

A SUIVRE...

Les 7 noms de Dieu




« Osée 6:3 Connaissons, cherchons à connaître l’Eternel »
Connaissez-vous l’Eternel votre Dieu ?


C’est la main devant le bouche que les hébreux prononçaient le nom de Dieu « ADONAÏ ». Un texte bien connu, tiré de la loi Mosaïque, des dix commandements nous dit : Tu ne prendras point le nom de l’Eternel, ton Dieu, en vain; car l’Eternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain. (Exode 20:7). Les hébreux qui connaissant bien ce commandement divin le respecté. A t-elle point, que s’ils venaient à prononcer le nom de Dieu, ils plaçaient alors une main sur leurs lèvres, par respect mais aussi par crainte…
La grâce nous offre de pouvoir prononcer le nom de Dieu sans avoir à cacher nos bouches dans nos mains. Et c’est un privilège que nous ne réalisons sans doute pas toujours. Nous, nous connaissons ADONIA comme notre PERE et cela fait toute la différence. Et cette différence vient du fait que Jésus est venu et qu’il a déchiré le voile qui marquait la séparation. Ce qui a choqué les juifs contemporains du Christ , c’est justement le fait que Jésus enseignait le peuple à faire connaissance avec le Père. Dieu n’était plus le Dieu loin et terrible, mais un Père.

(7 alliances, 7 prières et 7 bénédictions...)
Nous allons étudiez les 7 noms hébreux associés au nom de Dieu YHWH, à travers la Bible. Chacune de ces appellations contient une alliance, une promesse et une bénédiction. Cette étude va nous permettre d'alimenter nos prières pour demander au Père Eternel les bénédictions qu'il nous promet en Jésus-Christ, promesses que nous retrouvons dans chacun de ces noms.
Introduction : le nom YHWH = Yahvé
1. YHWH-Shalom = L'Eternel est ma Paix
2. YHWH-Tsidkeenu = L'Eternel est ma Justice
3. YHWH-Shammah = Emmanuel, Dieu avec nous
4. YHWH-Rohi = L'Eternel est mon berger
5. YHWH-Raphé = L'Eternel te guérit
6. YHWH-Nissi = L'Eternel ma bannière
7. YHWH-Yireéh = L'Eternel pourvoit
YHWH SE REVELE A MOÏSE.
Exode 3:13-14 Et Moïse dit à Dieu: Voici, j'irai vers les enfants d'Israël et je leur dirai: Le Dieu de vos pères m'a envoyé vers vous; mais s'ils me disent: Quel est son nom? que leur dirais-je? Alors Dieu dit à Moïse: JE SUIS CELUI QUI SUIS. Puis il dit: Tu diras ainsi aux enfants d'Israël: Celui qui s'appelle JE SUIS, m'a envoyé vers vous.
L'Ancien Testament s'ouvre sur la révélation que Moïse reçoit de la part de Dieu : Son nom divin. « JE SUIS CELUI QUI SUIS »
La révélation que reçoit Moïse de la part de Dieu au sujet de son nom va le bouleverser et changer la face de la religion de l’époque mais aussi celle du futur. En effet il n’est plus question de servir un Dieu impersonnel, sans nom, mais une personne avec un nom qui veut se faire connaître. Car en révélant son nom Dieu montre aussi son désir de se faire connaître, c’est aussi une invitation au travers de cette étude de mieux faire connaissance avec sa personne. Avec celui qui dans son nom englobe le passé, le présent, le futur et l’éternité.
Le tétragramme hébreu du nom de Dieu est YHWH. L'hébreu ancien n'écrivait pas les voyelles, aussi a-t-on adapté ce nom avec la forme Yahvé, et aussi Jéhovah. Le mot hébreu est la racine du verbe être dans son essence la plus complète : une existence sans condition, une existence à l'état pur. On retrouve cette notion de vie dans le nom grec que Dieu le Père et que Jésus-Christ reçoivent dans le chapitre 1 de l'Apocalypse de Jean : Apocalypse 1:4 et 1:8 Jean, aux sept Églises qui sont en Asie. La grâce et la paix vous soient données de la part de celui QUI EST, et QUI ÉTAIT, et QUI SERA, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône; (...) Je suis l'Alpha et l'Oméga, le commencement et la fin, dit le Seigneur, Celui QUI EST, et QUI ÉTAIT, et QUI SERA, le Tout-Puissant.

A SUIVRE...

Le petit guide de la compassion




Message à "A ceux qui ont à cœur d’aider les autres"

"Et l’Éternel passa devant lui, et s’écria: L’Éternel, l’Éternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité." Exode 34:6

LA COMPASSION, C’EST QUOI?

Tout d’abord, il nous faut comprendre que la compassion est d’essence divine et non humaine: "L’Éternel est miséricordieux et compatissant, Lent à la colère et riche en bonté" Psaumes 103:8.

Elle fait partie intégrante de la personnalité de Dieu. Bien sûr, les êtres humains sont capables de "compatir", cependant, il manquera toujours à cette compassion purement humaine la saveur céleste. Car même si le cœur de l’homme peut se laisser émouvoir fortement et cela jusqu’aux larmes, la compassion qui anime celui d’un enfant de Dieu vient de Dieu Lui-même par le Saint-Esprit.

Pour imager ces propos, disons que la compassion s’adresse aux sentiments de l’homme, mais le SAINT-ESPRIT dans le cœur du chrétien fera office d’amplificateur.

Voilà toute la différence, qui à mon sens, est d’une importance fondamentale voire capitale.

En un mot la nouvelle naissance donne à chaque enfant de Dieu la grâce de recevoir de la Nature Divine par le SAINT-ESPRIT en lui. De ce fait, il sera, lui aussi, animé de compassion comme Dieu Lui-même.

La compassion est un don, une grâce de Dieu qui nous est commune, elle n’est en aucune façon le fruit d’un "mérite" quelconque. Dieu, dans Sa grande sagesse, met de Sa nature dans le cœur de Son enfant afin qu’il puisse, lui aussi, exercer la compassion dans sa famille, sa maison, son travail, dans la rue, autour de lui, dans l’Eglise, etc… N’oublions pas que nous sommes tous au service du Maître, ce qui implique que, tous aussi, nous sommes au service des autres, "au service de notre prochain."

REGARDONS A JESUS

Jésus a personnifié la compassion de Dieu en chair. Il est Le modèle, L’exemple de référence. Plusieurs fois les évangiles nous montrent Jésus "ému de compassion". Il le sera devant la foule,

"Quand il sortit de la barque, Jésus vit une grande foule, et fut ému de compassion pour eux, parce qu’ils étaient comme des brebis qui n’ont point de berger; et Il se mit à leur enseigner beaucoup de choses." Marc 6:34

Ou encore devant le cœur de cette veuve qui porte en terre son unique enfant,

"Le Seigneur, l’ayant vue, fut ému de compassion pour elle, et lui dit: Ne pleure pas!" Luc 7:13

Là aussi, nous découvrons que la compassion faisait partie intégrante de la personnalité de Jésus, en lisant les textes qui s’y rapportent (Matthieu 9:36; Matthieu 14:14; Matthieu 15:32; Marc 1:41; Marc 6:34; Marc 8:2; Luc 7:13) nous découvrons même que la compassion est bien plus que le petit sentiment d’affection que chaque individu pourrait porter vers quelqu’un en peine.

C’est bien plus que la petite tape amicale dans le dos qui veut dire: "Je suis avec toi…"

Compatir, c’est non seulement être touché par une situation, une personne, ou la détresse d’autrui, mais c’est surtout ressentir la blessure ou la déchirure de celui qui est en détresse. La compassion produit une action dans les entrailles.

En résumé, la douleur ou la peine de l’autre devient celle de celui qui se laisse émouvoir de compassion.

Nous remarquerons que la compassion véritable, à l’image de Jésus dans l’évangile, conduit vers une action. Il est impossible d’être ému de compassion et ne rien faire ou ne rien dire pour aider, pour soutenir celui qui est en détresse. Ce serait comme renvoyer à vide celui qui frapperait à notre porte pour demander un morceau de pain alors que le frigidaire est bien plein, en lui disant simplement: "Je vais prier pour toi". Entre nous, je crois, que dans ce cas, le demandeur aurait été en droit d’attendre et de recevoir un peu plus que des mots.

"Si quelqu’un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui?" 1 Jean 3:17

L'action qui suit le sentiment de compassion a pour nom: Miséricorde. Si les entrailles sont touchées dans le vif le cœur ému sera poussé à s’occuper de celui qui est dans la détresse ou, à tout le moins, sympathiser avec lui.

LE CHRETIEN NÉ DE NOUVEAU

Comme déjà dit plus haut, la nature divine par le Saint Esprit, dans le cœur du chrétien authentique, c’est-à-dire, né de nouveau, partagera avec lui cette parcelle de la nature divine. Voilà pourquoi, l’enfant de Dieu peut exercer le ministère de la compassion ou, si vous le préférez, servir jusqu’à être comme Jésus "ému de compassion".

Plus que l’affection, celle-ci donne en quelque sorte la faculté de ressentir la blessure, la douleur de quelqu’un en détresse, jusqu'à produire une action en la faveur de cette personne. La compassion, c’est avoir mal pour celui qui souffre…

L’évangile nous montre deux hommes (qui sont des images du Christ) qui avaient le cœur animé de la compassion de Dieu. Il est question du bon Samaritain et du père du fils prodigue.

"Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu’il le vit" Luc 10:33. "Et il se leva, et alla vers son père. Comme il était encore loin, son père le vit et fut ému de compassion, il courut se jeter à son cou et le baisa." Luc 15:20

Le chrétien né de nouveau aura ce même état de cœur. La compassion selon Dieu, c’est une écoute mais aussi une implication comme une préoccupation véritable de l’autre. C’est vivre le commandement de Dieu: "… Tu aimeras ton prochain comme toi-même…" Marc 12:31

DANS LE DOMAINE PRATIQUE

Devant la Parole de Dieu, nous découvrons que la compassion est bien plus que de la sympathie. La compassion s’adresse aux sentiments de l’homme, le SAINT-ESPRIT faisant office d’amplificateur. Jésus a été ému de compassion devant notre misère spirituelle qui nous conduisait vers la géhenne. De même, il est important que l’enfant de Dieu puisse se laisser émouvoir devant la misère des hommes qui vivent sans Dieu et qui périssent dans le péché, comme des chrétiens qui souffrent.

Au regard de l'état de notre pauvre monde d'aujourd'hui, il vaut bien mieux compter sur la compassion infinie de Dieu pour une solution véritable qui est en Christ que sur la compassion humaine et ses plans d'amélioration qui, hélas, ne changeront pas grand chose à la misère et ne régleront jamais le problème de fond: "le péché". La solution est dans Les Mains Percées de Jésus. La grandeur de la compassion de Dieu pour l'humanité s'est démontrée au Calvaire, sur la croix où Jésus, le Christ Son Fils unique, a réglé une fois pour toute le problème du péché.

La compassion aura pour rime compréhension, intervention, action, préoccupation, implication, évangélisation, etc. …

Chaque enfant de Dieu est donc appelé à la compassion. Être compatissant, c’est se soucier des autres, et cela se révèle encore plus dans l’exercice d’un ministère, qu’il soit pastoral, d’intercession ou de relation d’aide.

La compassion sera le moteur de notre service pour Dieu.

Sans elle, pas possible d’aller bien loin dans l’objectif du service. Un jour, il y aura automatiquement la panne sèche.

Que l’Esprit Saint nous anime donc fortement de la compassion de Dieu. Ainsi, le fruit de notre service, baigné de l’onction, sera tout à Sa gloire et fructueux. Pour nous encourager, gardons à l'esprit que la compassion, c'est le cœur de Dieu miséricordieux qui bat en chacun de nous.

Pour l'amour d'un frère




Dans un petit village vivaient deux jumeaux Pierre et Claude; tandis que Claude passait son temps à aider ses parents aux champs Pierre lui de son coté se consacrait au vol, au trafique à ce qui est mal. Un jour dans ses trafiques il tua un homme, son habit plein de sang il courut se cacher dans la cabane de ses parents étant suivit par les gens du village qui cherchaient à le pendre car cela était la loi dans leur petit village. Claude qui était dans la maison voyant son jumeaux trembler de peur et pleurant lui dit donne moi tes vêtements c'est ainsi qu'ils échangèrent leurs vêtements et Claude sorti à la place de Pierre et il fut saisi et conduit au lieu ou il devait être pendu, il demanda à ces gens de lui permettre d'écrire une dernière lettre à son frère jumeau, voici les paroles de la lettre
"Pierre mon frère me voici mort pour toi je ne veux pas que tu te culpabilise pour ma mort je l'ai fait par amour parce que je t'aime voici une chose que je te demande ne refait plus les mêmes choses, change ta manière de vivre et prend soin de nos parents je t'aime ton frère Claude"
Et après il fut pendu et la lettre fut remis à son frère qui décida de changer sa vie

Pour Réfléchir...Parole d'enfant pour les grands


C'était bien la colo !
Cet été, je suis allé en colonie. C'était drôlement bien, parce qu'on avait des animateurs qui nous ont appris des tas de jeux. Et puis tous les jours ils nous ont parlé de Dieu. Et c'était vrai ce qu'ils disaient parce qu'on les observait en cachette et on voyait bien que c'était des chrétiens. Ils aimaient Jésus très fort, alors ça m'a fait envie, et un matin, j'ai donné tout mon cœur au Seigneur.

C'était bien la colo !

Aujourd'hui j'aimerais bien prier comme là-bas, mais Papa et Maman, ils n'ont pas le temps. Pourtant ils ont le temps de regarder les films à la télé, et puis ils sont chrétiens comme moi ! L'autre jour, Papa m'a dit que si j'étais vraiment un chrétien, je ne me conduirais pas comme cela. Je sais bien que je ne suis pas parfait, mais quand j'ai donné mon cœur au Seigneur, c'était pour qu'Il m'aide. On dirait que les grands, ils ne me croient pas !

D'ailleurs, quand ils me parlent de Jésus, ils me disent toujours de Lui donner mon cœur et jamais ce qu'il faut faire après. Alors moi je ne sais plus où j'en suis parce que je le Lui ai déjà donné. Mais peut-être que Jésus n'a pas voulu de moi l'autre matin...

Ah ! C'était bien la colo !

Pourquoi les grands compliquent toujours tout ? Ils disent tout le temps qu'il faut être comme des enfants, et quand les enfants se mettent à croire, les grands ne les croient pas. Faudrait savoir ! Enfin ça ne fait rien, ce matin-là, moi j'ai donné mon cœur à Jésus, ça je le sais !"
Cyprien

Ma veille du matin



Ma veille du matin :"Ou les trois ennemis de la prière"

Depuis plus de quarante ans, je veille le matin. Je commence par l'étude de la Parole de Dieu. Ensuite, je prie selon le psaume 5.4: « Éternel, le matin tu entends ma voix; le matin je me tourne vers toi. et j’attends. »
Tout comme la manne fut recueillie au temps de Moïse, je désire lire la Bible chaque jour. Dieu nous parle lorsque nous lisons Sa Parole. Quand nous prions, et parlons avec Lui, nous entretenons une chaleureuse et étroite communion avec notre divin Sauveur.
J'ai découvert trois ennemis de la vie de prière:

Premièrement: Les interruptions.
J'ai constaté que je devais avoir une heure et un lieu pour ma prière. Mon moment est le matin. Ma place pour la prière est mon cabinet de travail, quand je suis à la maison.

Deuxièmement: Les pensées vagabondes.
Habituellement, toutes sortes de pensées, plans et programmes, me venaient à l'esprit alors que je priais. Je m'apercevais que je pensais à autre chose. Comment pus-je me débarrasser de ces pensées vagabondes? En priant à haute voix .
Je l'ai fait pendant les dernières quarante années de ma vie.

Troisièmement: La somnolence!
En règle générale, je commençais à me sentir fatigué quand je voulais prier. Il en était ainsi parce que je m'agenouillais, fermais mes yeux. et appuyais ma tête sur mon bras. Il y a quelques années, j'ai pris l'habitude de prier en marchant. J'ai parcouru des centaines de kilomètres dans mon cabinet de travail. Quand je marche de long en large dans ma pièce, je n 'ai jamais sommeil. Je peux me tenir éveillé. Dix minutes me paraissaient être un long moment lorsque je m'agenouillais et priais en silence. Mais quand je prie à haute voix et marche, le temps passe vite. Avec cette méthode, je pourrais passer des heures en prière. J'ai découvert que la veille du matin est ma force et mon soutien.

Oswald Smith