lundi 21 juin 2010

Y a t-il un IPPOPO en TOI ?




« Qui inutile ne s'est senti
Ne pratiquons pas le déni

Avec les bleus à l'âme
Sont passés les flammes

Brulé à haut degré
On ne peut plus s'aimer

Un remède cependant
En le Père aimant

Connaissez-vous l'histoire d'ippopo
L'hippopotame sorti de l'eau

Un orgueilleux mal intentionné
L'a mal traité (maltraité...)

En lui disant d'un trait
Qu'à rien il ne servait

Il l'a cru longtemps
Et se sentait perdant

Mais Dieu fait tout utile
Et jamais rien de futile

L'hippopo de bonne chair
Permet d'y voir clair

Car sorti de l'eau
Et se promenant aussitôt

Il applatit l'herbe haute
Et permet aux hôtes

Des rives du lac
De pouvoir en vrac

Venir se désaltérer
Sans aucun danger

Le chemin étant dégagé
Et les prédateurs visualisés

Tout cela à temps
Pour s'enfuir comme le vent

Et de damer le pion
A monsieur lion

Qui de la gazelle a voulu
Mais mangé n'a pas pu

Moralité
Toujours aimé

Avec force et puissance
Dès notre naissance

Par notre Seigneur
Notre grand bonheur »

Rien qu'un mot... le mot qui tue... le mot qui donne la vie




Rien qu'un mot de colère mais il a blessé un cœur sensible.

Rien qu'un mot de reproche mais il a fait couler des larmes.

Rien qu'un mot impatient et irréfléchi mais il a assombri un jour qui s'annonçait radieux.

Rien qu'un mot malveillant et moqueur mais la guêpe a laissé son aiguillon.



Rien qu'un mot de bonté mais il a soulagé un coeur qui souffrait.

Rien qu'un mot de sympathie mais une âme en détresse a été consolée.

Rien qu'un mot d'encouragement mais le chemin sombre a été éclairé.

Rien qu'un mot d'espérance et de foi et le jour tout entier a été illuminé.

Ingrédients Pour un bon gâteau : OU LES "?" DE LA VIE







Parfois, il nous arrive de nous demander: « Pourquoi je mérite cela ? » Ou «Pourquoi Dieu m’a t-il fait passer sur cette route ? » et même de lever la main au ciel et de crier MON DIEU pourquoi moi, pourquoi ces difficultés, je ne comprends pas ?
Eh bien ! Je vous propose une petite explication. A la manière d’une recette de cuisine.
Une jeune fille dit un jour à sa mère : Maman tout va mal : « Au lycée c’est la catastrophe, mon petit ami vient de rompre avec moi et ma meilleure amie s'éloigne de moi, j’en ai marre de cette vie, je ne sais pas pourquoi cela m’arrive…»
En l’écoutant sa maman faisait un gâteau…
Elle demanda à sa fille ,si elle souhaite prendre une collation.
La jeune fille dit: «Absolument maman! J'adore tes gâteaux!"

«Tiens, prends juste un peu d'huile de cuisson," lui dit la mère. «Beurk», dit la fille.
« Bon ! Tu veux peut être des œufs crus? » «Maman NON pas des œufs crus ! »
«Alors je peux te donner un peu de farine ? Ou peut-être de la levure ? »
«Maman, dit la jeune fille ce que tu me proposes, c’est dégoûtant! »
Et la maman de répondre : «Oui, tu as raison ma fille, toutes ces choses semblent mauvaises par eux-mêmes, mais misent ensembles, elles feront un délicieux gâteau avec lequel nous allons nous régaler. »
Il en va de même pour la vie de chacun. Nous ne comprenons pas toujours le pourquoi des étapes par lesquelles Dieu nous fait passer. Par contre, gardons à l’esprit que le résultat final des moments difficiles que nous pouvons connaître sera toujours le meilleur pour son enfant !
La prochaine fois ou tu diras POURQUOI ? Il te suffira de penser à cette petite histoire car Dieu sait toujours ce qu’il fait et il connait par avance le résultat final.

5- Les parfums du sanctuaire : L’ENCENS




L’ENCENS SYMBOLE DE LA PRIERE ET DE L’ADORATION

L’encens image Christ qui intercède pour les Siens dans la présence de Dieu au travers de la perfection de son œuvre.

"L’Éternel dit à Moïse: Prends des aromates, du stacté, de l’ongle odorant, du galbanum, et de l’encens pur, en parties égales. Tu feras avec cela un parfum composé selon l’art du parfumeur; il sera salé, pur et saint. Tu le réduiras en poudre, et tu le mettras devant le témoignage, dans la tente d’assignation, où je me rencontrerai avec toi. Ce sera pour vous une chose très sainte. Vous ne ferez point pour vous de parfum semblable, dans les mêmes proportions; vous le regarderez comme saint, et réservé pour l’Éternel. Quiconque en fera de semblable, pour le sentir, sera retranché de son peuple." Exode 30:34-38

A SUIVRE...

4- Les parfums du sanctuaire : Le roseau aromatique





C’est le troisième aromate qui est mentionné pour l’huile d’onction. Tout le roseau répand une odeur agréable mais spécialement sa racine. C’est cette même racine qui est employée dans la parfumerie. Le roseau aromatique nous invite à contempler et admirer Jésus. Pour avoir les racines il fallait les arracher c’est ainsi que nous voyons au travers de celles-ci la gloire de Celui qui étant dans le monde a été exposé à toutes les conséquences du péché. Il aurait pu rester caché dans son ciel de gloire mais il a voulu venir sur terre pour être exposé comme nous le sommes au péché. Tout en étant L’Homme Parfait qui n’a pas connu le péché Il a connu l’opposition. Malgré cette opposition Jésus n’a fait que répandre la douceur et l’agréable parfum de l’homme parfait. Plus l’opposition était violente plus ce parfum se répandait et montait vers Dieu comme une odeur agréable. Malgré la haine le parfum béni de sa douceur se répandait dans le monde.

La myrrhe, le cinnamome et le roseau aromatique ont pour vocation de réjouir le cœur de Dieu et de ceux qui Lui appartiennent.

3- Les parfums du sanctuaire : Le cinnamome aromatique






Le cinnamome (nom ancien du cannelier) est un bel arbre qui a cette particularité d’être toujours d’un vert éclatant. Dans l’Écriture il est intimement lié au roseau aromatique. Le parfum qu’il exhale est agréable et il a cette particularité de se répandre au loin. Il me fait penser à l’odeur de la bonne nouvelle qui se répand au loin dans le monde. Son écorce entre dans la préparation de l’huile d’onction sainte. Dieu veut, au travers, de ce parfum nous faire connaître l’excellence de Celui dont le Nom est à Lui seul un parfum merveilleux : Jésus. Dans Sa parfaite humanité Il a sans cesse été comme un parfum agréable qui montait vers Dieu. Un homme parfait qui était au milieu du monde et dans lequel Il trouva entière satisfaction. Le cinnamome montre ici la beauté de Jésus comme homme et transcende la perfection de Son être.

Jésus aussi a été méprisé !




«Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; et nous l’avons considéré comme frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » (Esaïe 53 :3-5).
Les journaux que nous lisons nous font souvent part d’événements tragiques engendrant la souffrance. Quelle somme de douleurs n’y a-t-il pas dans ce monde sur le plan social, familial, et surtout sur le plan personnel. Il se peut que vous-même, en cet instant, soyez affecté par une souffrance pénible qui vous semble dure à supporter : une maladie interminable ou incurable, le décès d’un être aimé, une situation ambiguë qui vous ronge les nerfs et vous empêche de dormir.
Si tel est le cas, nous avons un message pour vous. Jésus-Christ a dit : «Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos » (Matthieu 11 :28). Nous avons dans l’Evangile un grand nombre de récits qui nous parlent de l’intervention de Jésus-Christ au sein de situations désespérées. Par exemple, l’Evangile selon Marc au chapitre 5, nous rapporte l’histoire d’une femme qui était atteinte d’une perte de sang depuis 12 ans. La Bible dit qu’elle avait souffert entre les mains de plusieurs médecins et qu’elle avait dépensé tout son argent, mais que tous ses efforts étaient restés sans résultat.
Imaginez la souffrance de cette malade en proie à de grands problèmes physiques, psychologiques et financiers. Or, la Bible dit qu’elle vint à Jésus dans une entière confiance, croyant qu’Il pourrait faire ce que les hommes n’avaient pu réaliser pour elle. Touchant le bord de son vêtement, elle fut guérie instantanément. Jésus s’est alors retourné et s’adressant à elle, lui dit : « Ma fille, ta foi t’a sauvée, va en paix et sois guérie de ton mal ».
Jésus sait ce qu’est la souffrance car Il a bu la coupe amère jusqu’à la lie. C’est pourquoi, ayant tenté lui-même dans ce qu’il a souffert, il peut secourir ceux qui sont tentés (Hébreux 2 :18). Ceci est aussi valable pour nous. Si vous vous approchez de Dieu, Il s’approchera de vous. La première chose devant être réglée en venant à lui est la question de notre culpabilité. Le péché est une « maladie » qui est à l’origine de tous les maux, et c’est lui qui est à l’origine de la souffrance. Ainsi, venez à lui avec un coeur repentant, c’est-à-dire en regrettant votre péché, lui demandant pardon et le priant d’effacer votre passé coupable. Demandez-lui ensuite d’intervenir dans votre situation douloureuse et Il allègera votre peine. «Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d’obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins. » (Hébreux 4 :16).
MARCEL Claude François Junior.

Jésus aussi a été incompris dans son ministère !




Des pasteurs doivent souvent essayer de convaincre des ouvriers découragés de poursuivre leur tâche. Des moniteurs d’école du dimanche ou des responsables de groupes de jeunes et même des leaders évangéliques deviennent parfois démoralisés parce que leurs efforts ne semblent pas porter du fruit ou encore parce qu’ils sont incompris dans leur ministère. A ce moment-là, ils sont portés à abandonner et à laisser quelqu’un d’autre prendre la relève. Mais il faut résister à une telle tendance parce que nous trouvons la promesse suivante dans la Parole de Dieu : "Nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas. " (Galates 6 :9).
Beaucoup de personnages de la Bible – ceux qu’on admire et respecte pour leur évidente fidélité envers le Seigneur – n’ont pas eu un ministère facile. Paul, par exemple, a affronté des difficultés qui amèneraient la plupart d’entre nous à se demander où est Dieu : naufrages, emprisonnements, coups. Il a ajouté même qu’il était en péril parmi les faux - frères. Jésus, lui aussi, a été incompris dans son ministère. La croix n’est pas une mésaventure qu’a subie le Christ, c’était le but même de sa venue. Les parents de Jésus ne le comprenaient pas, puisqu’à un certain moment, ils le prenaient pour un fou (Marc 3 :21). Les disciples ne l’ont pas compris non plus puisqu’ils l’ont abandonné. Le plus grand obstacle auquel le Seigneur a dû faire face était la jalousie des dirigeants spirituels de son époque. Ils le surveillaient dans les moindres détails, le questionnaient, lui tendaient des pièges et contribuaient même à le faire mourir. Mais, dans tout cela, une seule chose motivait notre divin Maître: accomplir la volonté du Père (Jean 6 :38-39).
Persister dans une bonne cause finira toujours par porter fruit. Quand Jésus a été rejeté par les gens de Nazareth et chassé de leur synagogue, il ne les a pas abandonnés pour retourner au ciel sans mettre le point final à sa mission. Les apôtres n’ont pas non plus cesser de prêcher quand ils ont rencontré de l’opposition. Vous ne devez pas non plus cesser de servir le Seigneur simplement parce que vous ne voyez pas de résultats immédiats. La vie spirituelle n’est pas un terrain de jeu mais un champ de bataille. Jésus lui-même a dit : "Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive. " (Matth. 16 :24). Paul avait une tâche à accomplir et il s’y appliquait de tout son coeur pour la gloire de Dieu, peu importe le prix (Actes 20 :24). Sommes-nous prêts à faire ce que Dieu nous a appelés à faire avec la même consécration, que cela soit facile ou difficile ?
MARCEL Claude François Junior.

A SUIVRE...