samedi 17 juillet 2010

Juste pour nous conduire dans la réflexion un dialogue entre Dieu et un chrétien qui disait :JE VEUX RESSEMBLER A JESUS







- (Le chrétien): Seigneur, je veux te ressembler!
- (Le Seigneur): Ah bon!.... et comment ?
- .....je voudrai être comme Toi!
- Tu voudrais être comme moi ? mais comment ?
- ....comme c'est écrit dans Ta Parole!
- Tu es sur , mon enfant?
- Sûr et certain Seigneur, je t'aime tellement, tu sais!
- Ah bon! tu m'aimes tant que çà ?
- Oui, et je voudrais te le prouver, voilà!
- Bon d'accord ! mais quel est ton travail ?
- Mais, Seigneur, je ne vois pas le rapport!
- C'est bien ce que je pensais !
- Mais! Tu pensais quoi, Seigneur?
- Je pense que tu veux bien me ressembler, mais pas travailler!
- Ha bon! Et pourquoi?
- Il y en a pleins comme toi qui veulent me ressembler mais ne pas travailler !
- Tu veux dire quoi, Seigneur?
- Je veux dire que vous voulez tous taper sur un clavier, être mannequin, styliste, chanteur, footballeur professionnel, présentateur météo, secrétaire, acteur, danseur, professeur de sport,....etc, mais pas un ne veut travailler!
- Mais c'est travailler, tout çà!
- Ha bon! je pense plutôt que c'est faire perdurer les plaisirs de la jeunesse et non le désir ou le courage de travailler !!!
- Mais! Pourquoi tu dis çà, Seigneur?
- Tu es dur à comprendre !
- Oui, mais il faut que tu m'expliques, Seigneur!
- Tu as bien dit que tu voulais me ressembler?
- Oui, c'est ce que j'ai dit!
- Alors mon enfant, pourquoi choisis-tu absolument tout autre chose qu'un travail manuel tel que charpentier ou autre ?
- J'en sais rien, Seigneur!
- Moi, je sais !
- Ha bon!
- Oui, moi je sais que beaucoup d'hommes recherchent un métier qui ne fasse pas suer leur front, ou il ne faut surtout pas se salir les mains, ou il faut rester bien habillé car c'est humiliant de porter une salopette de toile bleue......n'est-ce pas un tel métier que j'ai fait sur la terre ?
- Si, mais tu es dur, Seigneur!
- Pas aussi dur que les épines qui se plantaient dans mes doigts ou bien les coups de marteau que je ratais et qui m'écrasaient le pousse ou bien les poutres qui me blessaient le dos! C’est sûr, ce n'est pas avec un stylo que tu peux te faire mal! Ce n'est pas en parlant dans un micro que tu peux te casser une jambe! Ce n'est pas non plus sur un clavier que tu vas te faire une déchirure musculaire!
- J'ai du mal à comprendre Seigneur!
- En plus, tu es aveuglé !!!! Je constate que vous voulez à tout prix vous faciliter la vie au maximum, vous reposer au maximum, vous distraire au maximum, rechercher au maximum le confort, éloigner au maximum la difficulté, réserver aux autres les travaux pénibles! Et non seulement vous voulez que je cautionne ce genre de choses par vos prières, mais en plus vous voulez que je vous bénisse !
- C'est vrai, Seigneur, mais t'es quand-même dur!
- Par ces moyens vous avez trouvé votre consolation, vous dites que mon Esprit est votre consolateur, mais pour vous consoler de quoi? tout n'est-il pas que plaisir autour de vous pour vous consoler?.. tout votre bien-être ne vous suffit-il pas? vous faut-il encore mon Esprit? mais alors, que me demanderont ceux qui ont un métier épuisant ou ceux qui reviennent chez eux sales avec des mains rugueuses? Et si vous je vous console, que leur ferais-je, à eux ?
- Je ne sais pas, Seigneur!
- Ne crois-tu pas que j'aurai pu faire autre chose que charpentier lorsque j'étais sur la terre? Ne suis-je pas omniscient? Ne suis-je pas celui qui a créé l'infiniment petit et l'infiniment grand? N’aurai-je pas pu avoir une belle place comme vous dites si bien? T’es-tu posé la question de savoir pourquoi j'ai choisi un tel travail? Ou pourquoi ne suis-je pas né chez des rois ou tout autre personne de la grande classe?...à vous, il vous faut des belles places alors que moi, celui a qui tu veux ressembler, j'ai choisi un métier dur!!....
Mon enfant! Veux-tu toujours me ressembler? Serais-tu moins amateur tout-à-coup, comme beaucoup d'autres d'ailleurs ?
- Je ne sais plus, Seigneur!
- Tu dis que tu ne sais plus parce que tu es bouche-bée à entendre la vérité, n'est-ce pas ?
- Bein oui Seigneur!
- Au moins tu as l'avantage d'être franc, mon enfant!...vous voulez tous me ressembler mais surtout ne pas devenir charpentier (etc)! Comment expliques-tu cela, mon enfant? L’appât du gain vous ronge-t-il tant que çà? Les métiers où on s'amuse vous séduisent tant que çà? Recherchez-vous tant que cela le paradis sur la terre? Êtes-vous malheureux au point de chercher tant de bonheur? si je vous dis un jour: ''entre dans la joie de ton maître'', que dirais-je alors à ceux qui auront dormi sous les ponts toute leur vie ou à ceux qui auront vécu dans la misère? Ne vous dirais-je pas que vous avez eu votre paradis sur la terre alors qu'eux ont vécu un enfer ?
Mon enfant! Je comprends bien que l'homme ait besoin d'un certain confort, mais laisse Mon Esprit te consoler plutôt que de te créer ton paradis sur cette terre! Trouve en moi ton refuge, ton asile, et certaines difficultés de la terre te paraîtront dérisoires!

Le pouvoir de nos pensées






Job 3.25: Ce que je crains, c'est ce qui m'arrive; Ce que je redoute, c'est ce qui m'atteint.

Philippiens 4.6-7: Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ.

On raconte qu'un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre sans se douter qu'il venait de trouver un arbre magique, "l'Arbre à Réaliser des Souhaits".

Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté de lui.

Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes percluses. La jeune fille apparut et le massa.

« J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures succulentes.

L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette journée extraordinaire.

« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »

Un tigre surgit aussitot et le dévora."

Action: A quoi bon se faire des soucis, pensez et espérez en de meilleures choses. Ecoutez, aussi longue qu'est la nuit, le soleil finit toujours par se lever. Votre situation ne restera pas toujous la même. Faites donc ce que vous devez et laissez à celui qui vous a créés ce qui vous cause des soucis.

LE TEMPS DE LA REFLEXION : ETRE SINCERE AVEC DIEU!





Ne dis pas «Père »
Si tu ne te comportes pas en Fils ou en Fille.
Ne dis pas « Notre »
Si tu t’isoles dans ton égoïsme.
Ne dis pas « qui est aux cieux »
Si tu ne penses qu’aux choses de ce monde.
Ne dis pas « que ton nom soit sanctifié »
Si tu n’honores pas DIEU.
Ne dis pas « que ton règne vienne »
Si tu le confonds avec le succès matériel
Ne dis pas « que ta volonté soit faite »
Si tu ne l’acceptes pas, lorsqu’elle est douloureuse.
Ne dis « donnes nous notre pain quotidien »
Si tu ne t’occupes pas de ceux qui ont faim.
Ne dis pas « pardonnes nous nos offenses »
Si tu gardes rancunes contre ton prochain.
Ne dis pas « ne nous laisser pas tomber dans la tentation »
Si tu as l’intention de continuer à pêcher.
Ne dis pas «délivre nous du mal »
Si tu ne prends pas position contre le Mal
Ne dis pas « Amen »
Si tu ne prends pas au sérieux toute « la Parole de Notre PERE »

La parole de l'Indienne






Devant un hôtel de montagne dans l'Ontario, au sud du Canada, des familles sont assises et bavardent. Apercevant une femme indienne, ils l'appellent : “Dites-nous la bonne aventure !”
-“Volontiers, répond-elle en sortant un livre de son sac. Mais il me faut ce livre. J'y lirai votre avenir. Je vais d'abord vous dire qui vous êtes”. Elle se met à lire : “Il n'y a pas de juste, non pas même un seul… Ils se sont tous détournés, ils se sont tous ensemble corrompus ; il n'y en a aucun qui pratique la bonté, il n'y en a pas même un seul, c'est une tombe ouverte que leur gosier ; ils se servent de leur langue pour tromper… Il n'y a pas de crainte de Dieu devant leurs yeux” (Romains 3. 10-18).
C'est votre état actuel.
Quant à l'avenir, je vois deux possibilités :
- L'une : “Le Fils de l'homme enverra ses anges, qui ramasseront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l'iniquité, puis ils les jetteront dans la fournaise de feu : là seront les pleurs et les grincements de dents”.
- L'autre : “Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père” (Matthieu 13. 41-43).
Mais ce livre vous dit aussi comment échapper au feu du jugement : “Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16).
Et l'Indienne s'éloigne.
Mais ces touristes, tout disposés à entendre “la bonne aventure”, ont-ils écouté et cru les paroles de la Bible ?

Le berger et sa brebis indocile





Séjournant en Syrie, un archéologue s’était lié d’amitié avec un berger. Un jour, il le vit apportant de la nourriture à une brebis qui avait une patte cassée. Il demanda :
« - comment s’est-elle fait cela ? Est-elle tombée dans un ravin, ou est-ce en fuyant une bête fauve ?
- Ni l’un ni l’autre, répliqua le berger. C’est moi qui lui ai cassé la patte !
- - vous-même, s’exclama l’archéologue stupéfié, et pourquoi donc ?
Souriant de l’étonnement de son interlocuteur, le berger répliqua :
- C’était une brebis têtue ! elle ne voulait pas que je l’approche, ni rester avec le troupeau qu’elle risquait d’entrainer à sa suite. Elle ne pouvait que s’égarer, glisser, tomber dans un ravin, ou se faire dévorer…
- …voyez maintenant, elle se laisse approcher, me permet de la soigner. Elle apprend à me reconnaître comme son berger et à avoir confiance en moi…cela valait bien la peine de lui caser une patte qui, au reste, sera vite entièrement guérie.
Quelques jours plus tard, l’archéologue rencontra de nouveau le berger avec son troupeau.
La brebis, la patte encore faible, suivait le berger en boitillant. Elle était juste derrière lui, et semblait ne plus pouvoir s’en détacher.

Cette petite histoire me fait penser à notre bon berger « JESUS » et me donne de mieux comprendre le pourquoi de certains maux dans nos vies… car n’avons-nous jamais été indociles ?