dimanche 18 juillet 2010

Le Maréchal des fous





Un roi donna à son bouffon un bâton de maréchal en disant :
- Je te nomme maréchal des fous. Si jamais tu trouves quelqu’un de plus fou que toi, remets-le-lui.
Des années passèrent. Le roi était sur son lit de mort. Le bouffon lui demanda s’il savait où il allait :
- Non, répondit le roi, je sais seulement que je vais mourir.
Il y a une destinée inéluctable même pour les rois! Avez-vous amassé quelques trésors pour ce monde à venir où vous allez ?
- Je n’y ai jamais pensé !
- Comment ! Vous saviez que vous deviez mourir un jour, et néanmoins vous n’avez pas fait de choix définitif ? Vous ne vous êtes pas préparé pour le ciel ? Vous n’avez pas essayé d’éviter l’enfer ?
- Je n’ai jamais pris le temps de réfléchir sérieusement à ces choses.
Le bouffon tira alors de sa manche le bâton qu’il tenait caché et le tendit au roi :
- Eh bien ! Maintenant c’est vous que je nomme maréchal des fous.
Rappelez-vous que vous mourrez, et que vous ne savez pas quand cela arrivera.
Allez vous faire comme ce roi fou ou allez vous faire preuve de plus de sagesse en vous préparant dès aujourd’hui à la rencontre du Seigneur? Car la Bible dit: " Il est donné aux hommes de mourir une seule foi après quoi vient le jugement." Hébreux 9:27
La seule façon d’éviter ce jugement est de se repentir de ses fautes et de venir à Jésus Christ. (Jean 3:16)

Parole d'un fils de Pasteur (une histoire émouvante)






Chaque dimanche, le pasteur et son fils de 11 ans sortaient de la ville pour distribuer les tracts de l'évangélisation dans l'après midi.

Un certain après midi après le culte, le pasteur et son fils devaient aller dans la rue avec leurs tracts, il faisait très froid dehors et il pleuvait beaucoup. L'enfant qui était déjà revêtu dit:

- OK, papa, je suis prêt et son père lui demanda:
- Prêt à quoi?
- Papa, il est temps de rassembler nos tracts ensemble et de sortir.

Son père lui répondit:
- Fils, il pleut et il fait très froid dehors! Le garçon surprit alors son papa en lui demanda:
- Mais papa, les gens ne vont-ils pas en enfer même le jour de la pluie?

Son père lui répondit:
- Mon fils, le temps ne le permet pas.

Le garçon demanda :
- Papa, je peux y aller? S'il te plaît!

Son père hésita un moment puis lui dit:
- Mon fils, tu peux y aller. Voici les brochures. Sois prudent, mon fils.
- Merci, papa!

Puis il sortit sous la pluie. Ce garçon de 11 ans alla dans les rues de porte à porte, distribuant des tracts à tous ceux qu'il voyait.

Après deux heures de marche sous la pluie, il était tout mouillé, mais il ne lui restait qu'un tout dernier tract. Il s' arrêta au coin, cherchant à qui remettre le traité, mais les rues étaient totalement désertes. Puis il se tourna vers la première maison qu'il a vu et démarra la sonnerie. Il sonna et résonna, mais personne ne répondit. Il sonna encore, encore, mais personne ne répondit à la porte. Aucune réponse.

Enfin, ce jeune garçon de 11 ans soudain se décida de partir, mais quelque chose l'en empêcha. Encore une fois, il se tourna vers la porte et se mit à sonner la cloche et à frapper fort à la porte. Il entendu, quelque chose se mouvoir là haut sur le balcon. Il sonna de nouveau et cette fois, la porte s'ouvrit lentement... . Débout à la porte, arriva une vieille dame avec un regard très triste. Elle demanda doucement:

- Qu'est-ce que je peux faire pour toi, mon fils? Avec des yeux radieux et un sourire qui illuminait son monde, le petit garçon lui dit:

- Madame, je suis désolé si je vous ai dérangé, mais je veux juste vous dire que vraiment Jésus vous aime et je suis venu ici pour vous donner mon tout dernier livret, qui vous dira tout sur Jésus et son grand amour.

Et Puis il lui remit son tout dernier traité et s'en retourna pour partir. Elle l'appela et lui dit:
- Merci, mon fils! Et que Dieu te bénisse!

Eh bien, le dimanche qui suivit, à l'église le Pasteur, Papa à ce jeune homme de 11 ans, demanda :
-Quelqu'un a t-il un témoignage ou quelque chose à dire?

Une vieille dame se leva Lentement dans la dernière rangée d'un regard d'éclat glorieux sur son visage pour témoigner :
- Personne ne me connaît dans cette église. Je n'ai jamais été ici. Le dimanche dernier, je n'étais pas chrétienne. Mon mari a trépassé, me laissant toute seule dans ce monde. Cela me fait la peine de vivre toute seule. Ce dimanche dernier, il avait plu et il faisait terriblement froid ; Je suis arrivé au bout. j'avais décidé dans mon coeur de me suicider, je n'avais pas l'espoir ni la volonté de vivre.
- Alors, j'ai pris une corde et une chaise, J'ai attaché la corde à une poutre du toit, me tenant sur la chaise la corde autour de mon cou. Debout sur cette chaise, si seule le cœur brisé, je m'apprêtais à sauter quand tout à coup la sonnette me fit sursauter. J'ai pensé: «Je vais attendre une minute, espérant que celui qui sonne s'en ira.

J'ai attendu et attendu, mais la cloche a été insistante, puis la sonnerie, et la personne a aussi commencé à frapper fort.
- J'ai pensé, «Qui diable pourrait-il être? Personne ne sonne jamais ma cloche ou ne vient me rendre visite. "
J'enlevai la corde de mon cou et me dirigeai vers la porte, et la sonnette retentissait toujours plus fort.
- Lorsque j'ai ouvert la porte et j'ai vu qui était là; je ne pouvais pas y croire parce que debout sur mon porche, était le garçon le plus radieux comme un ange. Jamais vu dans ma vie. Son sourire, oh, je ne pourrais jamais vous le décrire! Les mots qui sortaient de sa bouche donnaient à mon cœur qui était mort, une espérance de vie comme il s'écria d'une voix chérubin:
- Madame, je suis juste venu ici pour vous dire que vraiment JESUS T'AIME.
Il m'a donné ce Traité Evangélique, que je tiens dans mes mains.. Le petit ange disparut dans le froid et la pluie, j'ai fermé la porte et ai commencé à lire chaque mot de cette notice.
Je suis remonté au grenier pour récupérer ma corde et ma chaise. Je n'en avais plus besoin. Tu vois- je suis maintenant une enfant heureuse du roi!
Puisque l'adresse de votre église était sur le dos de cette brochure, je suis venue ici pour dire personnellement MERCI à l'ange de Dieu. Il a épargné mon âme d'une éternité en enfer.
L'heure était aux acclamations dans l'église. Et les cris de la louange et de l'honneur de THE KING a ré-sonné dans tout le bâtiment, le pasteur papa descendit de la chaise et se dirigea vers la rangée de devant, où le petit ange était assis. Il prit son fils dans ses bras en sanglotant de façon incontrôlable..
L'église a passé un glorieux dimanche, et probablement cet univers n'a jamais vu un père si plein d'amour et d'honneur pour son fils ...
Ce père a également permis à son fils d'aller dans un monde froid et sombre. Il a reçu son Fils avec une joie indicible, tout du ciel criait louanges et l'honneur du roi. Le Père assis, son Fils bien-aimé sur un trône au-dessus de toute domination et de l'autorité et lui donna un nom qui est au-dessus de tout nom.

Se confier en Dieu





On raconte cette touchante anecdote qui s'est passée dans une école maternelle :

« Quelle taille à ton père ? » Demanda la directrice à une toute petite fille, nouvelle pensionnaire dans son établissement.
« Cela, je ne sais pas le dire, répondit l'enfant toute gênée ».
« Tu devrais pourtant le savoir… Est-il grand ? Petit ? Quand tu lui parles, tu dois pourtant lever la tête ? ».
Le visage de l'enfant devint alors tout rayonnant : « Oh ! quand je parle à mon père, il se penche vers moi ! ».

Voilà la façon de faire de notre Dieu. Il se penche vers nous quand nous crions vers Lui. Il a entendu les pleurs de l'enfant abandonné au fleuve d'Egypte comme il a entendu le cri des Hébreux, et il leur a envoyé le moyen de leur délivrance ; l'enfant sauvé des eaux est devenu l'instrument de Dieu pour le salut de tout un peuple. Dieu a préparé, pour vous, un moyen de secours, de salut. Vous avez tout pleinement en Jésus qui est le Sauveur – Il peut venir en aide à chacun, il est toujours vivant, après sa mort et sa résurrection, pour intercéder en faveur de ceux qui se confient en Dieu par Lui.

Confiez-vous, en ce jour, en Celui qui sait être attentif à vos cris, à vos larmes comme à votre joie.