lundi 19 juillet 2010

AIMONS NOUS LES UNS LES AUTRES COMME JESUS NOUS A AIME ... EST-CE SI DIFFICILE ?





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AIMER
Ce n’est pas de grandes déclarations,ce sont des petites choses simples et
sans raison…
C’est dire :Veux-tu un café ? ...Es-tu fatigué ? …
est-ce que je peux faire quelque chose pour toi
C’est un coup de téléphone, c’est une lettre, c’est une petite surprise, c’est une
invitation du coeoeur, c’est aller prendre une marche ensemble…
C’est faire des choses pour l’autre,sans raison, sans calcul…
C’est accueillir l’autre tel qu’il est,l’écouter avec son coeur,
ne pas presser…
C’est aussi regarder l’autre avec les yeux du coeur
et les yeux de l’âme.
La parole peut mentir mais le regard ne ment pas
AIMER
C’est simplement être là, non seulement avec son corps
mais aussi avec son âme…
C’est dire : « Je t’aime » .
Pourquoi faut-il attendre après la mort de quelqu’un
pour lui dire qu’on l’aimait ? ….
AIMER…
C’est de ne pas juger, de ne pas critiquer,de ne pas condamner.
C’est être capable de dire :"Si j’avais été à ta place, je n’aurais pas fait
mieux"
c’est pouvoir aussi dire sans envie:
« C’est beau ce que tu as fait ».
AIMER
C’est aussi simple que cela.
Ce n’est pas compliqué. Mais si l’amour ne nous habite pas,
il nous manque tout dans la vie…Quand quelqu’un a le privilège d’aimer et d’être aimé,la vie est extraordinaire.
Cette chaleur qui rayonne,cette lumière dans l’âme et dans les yeux…
C’est ça l’AMOUR
Aimer les amis, la famille,enfin de tout le monde

AIMONS NOUS LES UNS LES AUTRES COMME JESUS NOUS A AIME ... EST-CE SI DIFFICILE ?

POUR BIEN COMMENCER LA JOURNEE. je commence la cure demain et TOI ?







A préparer chaque matin


2 décilitres de patience,

1 tasse de bonté,

4 cuillerés de bonne volonté,

1 pincée d'espoir,

1 dose de bonne foi.

Ajoutez

2 poignées de tolérance,

1 paquet de prudence

et quelques brins de sympathie,

1 poignée d'humilité,

et 1 grande mesure

de bonne humeur

assaisonnée de beaucoup de bon sens.

Laissez mijoter

et vous obtiendrez

UNE BONNE JOURNEE !

Le sermon de la braise chaude





Un pasteur rend visite à un rétrograde. Ils sont assis tous les deux devant la cheminée où le feu brûle.

Le pasteur ne parle pas… c’est le silence.

Il regarde le feu, le paysan aussi.

Alors le pasteur, avec des pincettes, prend une braise et la retire du foyer.

Tous les deux ont les yeux fixés sur cette braise qui devient grise, puis noire… elle fume…

Alors le pasteur reprend les pincettes et remet la braise dans le foyer, et aussitôt, elle se rallume.

- Bien, dit le fermier, j’irai au culte dimanche. J’ai compris.

Qu’avait-il compris ? …

Qu’il était comme cette braise retirée du foyer et qu’il avait besoin de communion fraternelle.

REFLECHIS BIEN (A MEDITER... )





Il y a quelques années, un prédicateur accepta d'aller servir Dieu à Houston, Texas.
Un jour, peu après son arrivée, il prit le bus pour se rendre au centre ville.
Une fois installé, il réalisa que le chauffeur
lui avait accidentellement rendu
40 centimes de trop.
Il pensa ' Tu ferais mieux de rendre ces 40 centimes.
Ce serait mal agir que de les garder'.
Puis il pensa à nouveau '
Oh, oublis, ce n'est que 40 centimes après tout, qui se soucierait pour si peu ?
De toute façon, la compagnie de bus se fait chaque année des bénéfices monstres,
ces 40 centimes ne vont pas leur manquer...
Accepte les comme un don de Dieu et tais-toi !'..

Arrivé à destination, au moment de sortir du bus, il hésita
puis tendit les 40 centimes au chauffeur en disant
'Vous m'avez rendu trop de monnaie'.

Le chauffeur lui sourit puis répondit
' Êtes-vous le nouveau pasteur en ville ?
- Oui.
- Et bien, depuis un bon moment j'avais pensé fréquenter une église.
Je voulais juste voir comment vous alliez réagir si je vous rendais trop de monnaie...
Je vous verrai dimanche prochain dans votre paroisse...' .
En sortant du bus, le prédicateur dut se cramponner au premier réverbère
pour ne pas tomber et dit ' Oh mon Dieu !
J'étais à deux doigts de vendre ton fils pour 40 centimes...' .
Nos vies sont la seule Bible qu'un bon nombre d'hommes et de femmes
liront durant leur temps sur cette terre.
Cette histoire est l'effrayant exemple comment notre entourage nous regarde
en tant que chrétiens, et combien ils nous testeront comme tel !

Restez toujours sur vos gardes - et souvenez-vous -
Vous portez le nom de Jésus sur vos épaules lorsque vous affirmez être chrétiens alors :

Surveille tes pensées ; elles deviennent paroles.
Surveille tes paroles ; elles deviennent actions
Surveille tes actions ; elles deviennent habitudes.
Surveille tes habitudes ; elles deviennent caractères..
Surveille ton caractère ; il influencera ta destinée.
Je suis ravie qu'une amie m'ait envoyé cette histoire comme un bon rappel..
Alors, j'ai choisi de la traduire pour que Dieu te bénisse à ton tour.

Si tu ne la transmets pas, rien de mal ne va t'arriver
mais en le partageant avec tes proches,
tu permettras à Dieu de parler à leurs cœurs une fois encore.

Bonne reflexion

Les deux amis





C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert. A un moment donné, ils se disputèrent et l'un d'eux gifla l'autre. Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :

AUJOURD'HUI, MON MEILLEUR AMI M'A DONNÉ UNE GIFLE

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :

AUJOURD'HUI, MON MEILLEUR AMI M'A SAUVÉ LA VIE

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
- Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu écris sur la pierre. Pourquoi ?
L'autre ami répondit :
- Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer.

APPRENDS A ÉCRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE !