lundi 16 août 2010

Un enfant les conduira




Marie est une gentille fille d'une douzaine d'années, agréable à vivre et aimant le Sei¬gneur. Le foyer de ses parents n'allait pas très bien par contre, et il y avait souvent des discussions entre les époux. Un jour, le père quitta la maison les laissant seules. Marie souffrait beaucoup de cette situation, elle s'enfermait souvent dans sa chambre priant le Seigneur, pour le retour de son père.

Le temps s'écoulait ainsi et toujours rien ! Un jour, elle tomba malade et la maman appela le docteur qui, après l'avoir con¬sultée, déclara à la mère : "Madame, c'est très grave. Soyez forte, je ne peux plus rien faire pour elle, votre enfant est perdue !" Consternée et en pleurs, elle demanda à sa petite fille ce qu'elle voudrait : un beau jouet, une poupée, un jeu quelconque ? Non, dit-elle. Que veux-tu alors ? Je vou¬drais revoir papa !
La maman alla attendre son mari à la porte de l'usine. Celui-ci en la voyant lui dit dure¬ment : que viens-tu faire ici ? Va-t-en ! Je ne viens pas pour moi, mais pour Marie qui te demande, car elle se meurt et vou¬drait te revoir ! Blême le père dit : "Allons vite, ne perdons pas de temps".

Arrivés dans la chambre, ils se mirent à ge¬noux aux pieds du lit et Marie, le visage déjà marqué par la mort, leur prenant les mains, posa les siennes sur les leurs en di¬sant d'une voix faible : "Papa, maman, res¬tez unis", et ayant dit cela avec un léger sou¬rire, elle rendit son âme à Dieu ! Elle avait accompli sa mission !

"Nul enfant n'est trop petit pour la route étroite.
Quand le Seigneur l'y conduit marchant à sa droite.
Même le plus jeune cœur peut être un temple au Seigneur".

Il envoya sa Parole et il les guérit...




Dans un train de Finlande, Miss Lindström se trouve en face de deux jeunes filles qui parlent de leurs projets de voyage en Amérique et de tout l'argent qu'elles y gagneront. « L'argent ne fait pas le bonheur, leur dit Miss Lindström. Moi je connais un pays où l'on trouve le vrai bonheur... ». Au moment de les quitter, elle tire un Nouveau Testament de sa poche et le leur tend en disant : « Vous y trouverez les directives nécessaires pour atteindre ce pays » — « Merci, nous n'en avons pas besoin » réplique l'une d'elles, mais l'autre le prend et l'empoche.



Six ans plus tard, Miss Lindström se retrouve dans le train. Une jeune femme s'assoit en face d'elle, avec une petite fille de deux ans. « Vous ne m'avez pas reconnue, dit-elle, mais vous vous souvenez sans doute des deux jeunes filles en partance pour l'Amérique auxquelles vous avez donné un Nouveau Testament ?

Après une vie aventureuse, mon amie s'est suicidée. Moi-même j'ai trouvé un bon mari. Après trois années de vie heureuse, il est tombé gravement malade. C'est alors que je me suis souvenue de votre Nouveau Testament. Nous avons commencé à le lire ensemble et mon mari y a trouvé son Sauveur. Ses forces ont rapidement décliné et il est allé rejoindre son Seigneur.

Avant de mourir, il m'a suppliée de mettre ma confiance en Jésus-Christ et d'élever notre fillette dans la foi chrétienne. J'étais malade de chagrin, mais j'ai décidé de placer ma confiance pour le reste de ma vie en Celui dont parle le Nouveau Testament et Il a guéri ma douleur. ».

Dorothée Hatzakortzian

Vous avez dit: Péché?




Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort.
Romains 5 . 12
Voilà l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ! Jean 1 . 29

Un caractère actuel de notre monde occidental, c’est l’affaiblissement, pour ne pas dire la disparition de la notion de péché. On est bien d’accord pour reconnaître que les actes de violence doivent être réprimés. Mais si le nombre des délits et des crimes augmente, c’est la faute de la misère, de l’exclusion… du gouvernement, dit-on.


C’est vrai que l’égoïsme et la détresse qui en résultent génèrent bien des violences. Mais l’on refuse de voir que la nature humaine elle-même, dans une triste mais évidente solidarité est mauvaise.
D’autre part, on refuse de reconnaître le vrai caractère du mal : une faute contre Dieu.
Le péché, ce n’est pas seulement ce qui cause du tort à d’autres, c’est ce qui, dans l’homme, s’oppose à la volonté de Dieu, son créateur. Rebelle à la loi de Dieu, tel est l’homme. Dieu le déclare pécheur, coupable, souillé ; il mérite le jugement du Dieu saint et juste.
L’indifférent et l’incrédule ne veulent pas écouter de telles déclarations : tuer quelqu’un est, bien sûr, un crime, mais mentir ou blasphémer, ce n’est rien. Le chrétien superficiel dira : ce n’est pas grave.
A tous ceux-là est fermée la suite du message divin, qui proclame que Jésus-Christ est venu pour faire l’abolition du péché par son sacrifice. Lui, l’Agneau de Dieu, le Fils de Dieu devenu homme, s’est offert pour le pécheur en victime expiatoire. Mais pour le connaître comme Sauveur, il faut s’être soi-même reconnu pécheur. Tous les hommes le sont. Jésus-Christ est venu apporter la délivrance du péché « à tous ceux qui l’ont reçu…’ par la foi (Jean 1.12).

Près du Seigneur Jésus




L’Eternel… devant qui je me tiens, est vivant. 1 Rois 17 . 1
(Jésus dit : ) Moi je suis avec vous tous les jours, jusqu’à l’achèvement du siècle.
Même quand je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal ; car tu es avec moi. Psaumes 23.

Un auteur contemporain écrit : « Au cours des années, s’est développée, parmi les chrétiens, la pensée que leur vocation primordiale, c’est d’être proche des autres, sensibles à leurs besoins et à leurs souffrances. Mais en lisant la Bible, nous voyons que la première pensée de Jésus était d’être obéissant au Père et de vivre constamment dans sa présence. Alors, il pouvait accomplir auprès des hommes ce qui lui était demandé par son Père ».



Pour nous qui disons vouloir suivre Jésus, nous avons à rechercher en tout premier lieu sa compagnie, à vivre près de lui, et à tenir compte à chaque instant du fait qu’il est là, qu’il intervient, qu’il répond… Alors quand surviendront les difficultés ou les tentations, nous nous sentirons comme protégés par cette présence d’amour. Alors aussi nous pourrons être attentifs, respectueux, ouverts à ceux que nous côtoyons.
A notre réveil chaque matin, les obligations de la journée, souvent nous assaillent. Que notre première tâche consiste simplement à les repousser toutes, à nous tourner vers Dieu par la prière, à l’écouter en lisant Sa parole, la Bible ! Notre vie sera alors plus forte, plus joyeuse, plus paisible, et ceci tout au long du jour.
Et si parfois dans la journée, nous nous rendons compte que nous avons, pour ainsi dire, lâché la main du Seigneur Jésus, que notre « réflexe » soit de revenir à lui, par une prière courte et silencieuse. Il répondra, car lui ne nous laisse jamais.

Une aide inattendue




A l'aéroport, nous sommes inquiets. Contrairement aux autres voyageurs au départ, nos valises sont quasiment vides. Les Bibles qui les remplissaient à l'aller ont été laissées aux amis que nous avons visités. Si l'on nous demande d'ouvrir nos bagages, on risque fort de comprendre que nous ne sommes pas des touristes ordinaires, qui rapportent d'habitude le plus de souvenirs possible, et les questions pourraient bien être délicates. Nous avons bravé les lois de ce pays opposé à l'évangile ; sommes-nous prêts à souffrir comme nos frères persécutés ?

C'est l'heure d'enregistrer. Nous prions pour que tout se passe bien, nos formulaires à la main. Un homme apparaît alors, habillé comme quelqu’un du pays, plein de calme et d'autorité.
- D'où venez-vous et où allez-vous ? demande-t-il. Nous répondons, simplement.
- Suivez-moi, dit-il. Et regardant nos formulaires encore vierges : "Vous n'en aurez pas besoin".
Stupéfaits, nous le suivons. Nous traversons la zone de sécurité où sont fouillées les valises, passons à côté du détecteur de métaux, puis du soldat en armes qui collecte les cartes de départ. On ne semble pas nous voir. "Ne vous arrêtez pas", dit notre guide. Avant même de nous en rendre compte, nous sommes dans la dernière file, prêts à embarquer. L'homme qui nous a aidés a dis paru ! Nos cœurs éclatent de joie et de reconnaissance.
Dieu fait des miracles pour tous ceux qui s'attendent à lui, encore aujourd'hui. Connaissez-vous ce Dieu infiniment puissant, dont les compassions pour les siens se renouvellent chaque jour ?

Les cent talents d'argent




Amatsia, roi de Juda, n'avait guère confiance en Dieu. Aux prises avec les Edomites, il s'aperçoit que son armée est trop faible et enrôle cent mille hommes de guerre pour cent talents d'argent (2 Chroniques 25. 6). Un prophète vient lui dire qu'il doit plutôt se confier en Dieu, "car c'est en Dieu qu'est le pouvoir pour aider" (v. 8) ; et Amatsia de répondre : "Mais que faire quant aux cent talents d'argent que j'ai donnés à la troupe d'Israël" (v. 9) ? Alors "l'homme de Dieu" fait cette belle réponse : "II appartient à l'Éternel de te donner beaucoup plus que cela" (v. 9).

Comme chrétien, j'ai besoin de croire cette parole tout au long de ma vie. Je pourrais, par exemple, avoir une promotion très avantageuse financièrement, mais le travail serait tellement prenant qu'il en résulterait un affaiblissement spirituel. Je choisirai alors de privilégier ma vie avec Dieu et son service, étant assuré qu'il peut me donner beaucoup plus que ce que je perds.
Une légère entorse à la vérité me faciliterait vraiment la vie. Que faire ? Je décide de dire la vérité.
Je pourrais donner du temps et de l'argent pour l'œuvre de Dieu. Ne serait-il pas plus prudent d'épargner ? J'ai besoin d'entendre encore : "II appartient à Dieu de te donner beaucoup plus que cela" !
Nous ne ferons jamais de Dieu notre débiteur, car ses ressources sont infinies. Il dit : "Le monde est à moi et tout ce qu'il contient" (Psaume 50.12). Confions-nous fermement dans un Dieu à la fois puissant et miséricordieux, et soyons reconnaissants pour tout ce qu'il nous donne.

Une vérité de base de la foi chrétienne : la nécessité de se repentir



Voici deux illustrations qui vous aideront à comprendre cette réalité biblique :


Regret ou repentance

Une dame, devenue visiteuse de prison, s'efforçait de réconforter les prisonniers. Elle eut à s'occuper d'un nouveau détenu à l'aspect fort sympathique.
- Qu'avez-vous fait pour être là ? demanda-t-elle.
- Ah ! ne m'en parlez pas, répliqua le jeune homme. Tout ce qui m'arrive, c'est bien ma faute à moi. Et tout ça, pour avoir cambriolé une maison.
- Bien sûr, vous en éprouvez du regret.
- C'est pas ça. Où je m'en veux, c'est d'avoir marché sur la queue du chat. Il a miaulé tant et plus, et c'est comme ça que je me suis fait pincer.
Beaucoup, après avoir fait ce qui est mal, n'éprouvent que le regret d'avoir été pris sur le fait, de s'être fait prendre. La repentance, c'est tout autre chose : c'est la tristesse qu'on éprouve d'avoir péché, la douleur d'avoir offensé Dieu.
Le regret est stérile, le remords est destructeur, la repentance est salutaire. Elle conduit à la découverte du pardon que Dieu nous offre en Jésus-Christ, son Fils, et à une vie entièrement nouvelle. " Repentez-vous et convertissez-vous pour que vos péchés soient effacés " (Actes 3:19).

La corde et la vache

Un homme vint voir un pasteur : il avait quelque chose sur la conscience et désirait le confesser :
- Cela me pèse jour et nuit et ne me laisse aucun repos.
- Qu'est-ce donc ?
- Je n'ose pas le dire ; c'est trop pénible.
- Il faut pourtant l'avouer, sinon vous n'aurez pas de repos.
- J'ai volé.
- Et quoi ?
- Une corde.
- Eh bien ! dit le pasteur, rapportez-là à celui à qui vous l'avez prise. Dites-lui vos regrets, et l'affaire se réglera sûrement.
Peu de jours après, le voleur reparut et dit qu'il n'avait pas retrouvé la tranquillité d'esprit.
- M'aviez-vous tout dit ?
- Non !
- Eh bien ! dites-moi toute la vérité, cette fois-ci.
- C'est que, au bout de la corde, il y avait quelque chose, dit-il en hésitant.
- Il… il… y avait… une vache.
Beaucoup sont disposés à avouer la corde, mais pas la vache. Aussi, il n'y a pas de pardon reçu, pas de paix, pas de transformation de la vie. La Parole de Dieu déclare : " Si nous confessons nos péchés à Dieu, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et nous purifier de toute iniquité " (1 Jean 1:9).

(Pasteur Lucien Clerc : " Reflets de la vérité " avec la permission de l'auteur)

L'insensé dit en son cœur : il n'y a pas de Dieu




Une certaine année, au cours du mois de décembre, les adhérents d'une association prônant l'athéisme ont reçu une circulaire, rédigée en ces termes: "La conférence prévue sur la non-existence de Dieu n'aura pas lieu à la date prévue en raison des fêtes de Noël".

Authentique, m'a-t-on assuré! Ne faut-il pas, en premier lieu, rappeler que Noël est le temps ou les chrétiens commémorent le don que Dieu a fait à l'humanité en la personne de Jésus, son Fils unique, voici plus de 2000 ans ?

En second lieu, selon la formule originale employée par un auteur chrétien : il faut beaucoup de foi pour être athée. Le célèbre président des Etats-Unis, Abraham Lincoln a écrit: "J'arrive à comprendre que ce soit possible de regarder la terre et d'être athée. Mais je ne comprends pas qu'on puisse lever, la nuit, les yeux vers le ciel et dire qu'il n'y a pas de Dieu".

Le physicien Alfred Kastler, prix Nobel 1966, a dit : "L'idée que le monde, l'univers matériel, s'est créé tout seul me paraît absurde. Je ne conçois le monde qu'avec un créateur, donc un Dieu."

Victor Hugo affirmait que « l'athée est identique à l'aveugle ». Et l'illustre savant Louis Pasteur témoignait : "Plus j'étudie la nature, plus j'admire le Créateur".
La période de Noël ne serait-elle pas mise à profit si l'on prenait du temps pour lire ou relire les Evangiles, et particulièrement le récit de la naissance de Jésus ? Et, surtout aussi, pour remercier Dieu du don incomparable qu'il nous a fait ?

(Vivre aujourd’hui)

Combien pèse le péché ?




Dieu met en évidence son amour à lui envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous. (Romains 5 : 8). Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. (Mathieu 11 :28)



Un prédicateur venait d'inviter ses auditeurs à venir à Jésus pour être soulagés du poids de leurs péchés. "Le poids des péchés? s'exclama un jeune homme. Moi, je ne le sens pas. Je ne me sens vraiment pas coupable.
—Dites-moi, répondit l’évangéliste, si on mettait 50 kilos sur la poitrine d'un mort, le sentirait-il ?
— Bien sûr que non, puisqu'il est mort.
—Eh bien, l'homme qui ne sent pas sa culpabilité devant Dieu est moralement mort ».
Lecteur, si vous ne sentez pas le poids de vos péchés, vous avez de sérieux motifs de vous inquiéter ; vous êtes spirituellement mort.

Imaginez un homme gravement malade, à qui on a administré de la morphine pour calmer sa douleur. Comme il ne souffre plus, il dit qu’il se sent mieux, mais le médecin hoche la tête, il sait que son patient est condamné. N'est-ce pas l’image de votre état moral, si vous ne reconnaissez pas votre culpabilité ?

Vous n'avez vraiment aucune appréhension quant à votre avenir éternel ? Quelle dangereuse situation! Réveillez-vous avant qu'il ne soit trop tard. Adressez-vous à Jésus. Lui qui n'a jamais commis le péché, a pris nos péchés sur lui pour être puni par Dieu à notre place. Nous avons tous fait le mal, certes nous sommes tous coupables. Reconnaissons-le approchons-nous de Dieu tels que nous sommes.
Aujourd'hui même!

(La bonne semence)

La crainte de Dieu




Dieu vous aime. L'avez-vous déjà entendu dire ? C'est vrai, et cet amour peut changer votre vie pour toute l'éternité. Mais dire que Dieu est amour, ce n'est pas tout dire. II y a amour et amour.

Pour certains, l'amour est une sorte de sentimentalisme faible, qui n'ose contrarier personne, des parents qui refusent de corriger leurs enfants, des tribunaux qui refusent de condamner les coupables. Par "amour", on ne veut faire de mal à personne.

L'amour de Dieu désire ardemment le bien de tous. Mais son amour n'est pas faiblesse. Il désire le salut de tous, mais il ne permettra pas que le refus des uns puissent empêcher éternellement le bonheur des autres. Le jour vient où Dieu jugera le mal et renverra irrémédiablement tous ceux qui auront refusé de se tourner vers lui. II mettra en place un monde de justice ou, enfin, les siens connaîtront la joie et la paix.

La Bible parle de l'amour de Dieu mais aussi de la colère de Dieu. Tôt ou tard, chacun de nous sera confronté à une de ces réalités. Personne ne peut éviter de paraître devant Dieu. Mais la manière d'y paraître peut tout changer.

Si j'accepte le don gratuit du salut offert en Jésus qui a subi la colère divine à ma place, je rencontrerai Dieu comme un Père aimant. Sinon, c'est devant un juge que je devrai comparaître et rendre des comptes. Comment voulez-vous le rencontrer, au dernier jour ?

(Vivre aujourd’hui)

Une Bible sur la voie ferrée



Quelques soldats déambulaient dans les couloirs d'un train, faisant assaut de plaisanteries douteuses. Dans un compartiment, un jeune militaire lisait tranquillement sa Bible.

"Qu'est-ce que tu es en train de lire? La Bible! Ce n'est pas possible! s'exclama l'un des joyeux lurons. Ce n'est pas un livre pour toi. II n'est bon qu'à prendre le chemin de la fenêtre". Joignant le geste à la parole, il lui arracha la Bible des mains et la lança par la fenêtre.

Un mois plus tard, notre ami reçut par la poste un paquet contenant sa Bible accompagnée d'une lettre. Elle avait été trouvée par un cheminot, et comme elle portait le nom et l'adresse de son propriétaire, il avait pu la lui renvoyer. Mais cela n'est pas le plus important.

La lettre expliquait comment celui qui avait ramassé la Bible en avait lu beaucoup de pages et avait trouvé la paix intérieure. Ce qui confirme la parole de Dieu dite par le prophète: "Ainsi sera ma parole qui sort de ma bouche: elle ne reviendra pas à moi sans effet... et accomplira ce pour quoi je l'ai envoyée" (Esaïe 55.11).

L'homme peut s'opposer à la Bible, et des gouvernements puissants l'ont fait au 20ème siècle, mais elle accomplit pourtant son travail pour produire la foi et la soutenir. Parfois un seul verset suffit pour nous ouvrir les yeux et nous encourager. C'est un miracle qui se reproduit sans cesse... pour celui qui accepte de lire la Parole de Dieu.

(La bonne semence)

Histoire drôle ou drôle d’histoire...?




Voici un scénario fictif, sorte de parabole, que j’ai imaginé pour illustrer le propos qui va suivre :
« LE JUGE : Vous avez tué votre femme. Pourquoi ?
L’INCULPE : Ce n’est pas moi, c’est le couteau que tenait ma main. Par hasard, il est entré dans sa chair, à la place du cœur. Il aurait pu, tout autant, entrer ailleurs.
J : Qu’est – ce que vous me chantez là ? C’est tout de même bien vous qui avez décidé de la tuer.
I : Pas sûr ! Vous savez, le hasard a de ces fantaisies parfois, et puis, ma main est bien capable de faire le travail toute seule. En voyant le couteau, elle a dû se dire : « j’ai des doigts qui sont faits pour agripper des objets ; un couteau ça sert à couper ou piquer. Il y a un corps humain, tout près, là ; l’occasion est bonne. Hop ! J’enfonce avec délice le couteau dans cette chair vive ».
J : Qu’est – ce que ce discours absurde ? Le couteau, la main ne sont pas des instruments, des moyens. Ce crime, vous l’avez conçu pensé, préparé dans votre tête.
I : Ah ! Là, je vous arrête, M. le Juge. Dans ma tête, il y a un cerveau, et c’est lui qui décide, pas moi. Il est composé de neurones (cellules nerveuses) lesquels sont faits de molécules, atomes et particules. C’est toute cette mécanique qui conçoit et commande les gestes et les actions, comme les cerveaux de tous les animaux du monde. Cessez de voir de la pensée partout. Les choses peuvent bien se faire toute seule. Avec le hasard, l’enchaînement des circonstances, tout devient possible.
D’accord, un couteau qui m’appartient a tué ma femme ; ma main tenait le couteau ; mon cerveau a commandé à ma main de faire ce geste, lequel, par hasard ou pour tout autre raison, s’est révélé meurtrier. Mais cessez, je vous en prie, de m’accuser d’avoir pensé, conçu et présidé ce meurtre… qui aurait très bien pu ne pas en être un si le couteau, au lieu de percer le cœur de ma femme, s’était planté dans la miche de pain sur la table de la cuisine. Moi, je ne suis pour rien dans cette affaire, et vous ne pouvez pas prouver le contraire. »

Il paraît que l’affaire en est restée là, conclue par un non-lieu, le juge et les jurés n’ayant pas pu ébranler ni fissurer ce raisonnement en béton.
Absurde, mon histoire ? Pas plus que celle des scientifiques… et philosophes « évolutionnistes » qui affirment : « Tout ce qui existe dans la nature, choses, bêtes et gens, s’est fait tout seul, sans que personne n'y ait pensé à l’avance, ni rien prévu. Ne parlons surtout pas d’intelligence surhumaine (avant et au-dessus de l’homme) ni surnaturelle (au-delà ou au-dessus de la nature) qui présiderait à tout ce processus. Là, ce n’est plus de la science, c’est du domaine des religions.
L’ordre, l’harmonie, l’équilibre, la beauté qu’on admire dans la nature, et, chez l’homme, la conscience, l’intelligence, la volonté indépendante, le discernement des valeurs morales, le sens de l’esthétique, de la justice, de la dignité, de la liberté, oui, tout cela est dû au hasard, à un concours heureux de circonstances ou à des mécanismes aveugles, impersonnels, imprévisibles et fortuits, dont un qu’on appelle « sélection naturelle ». »

L’inculpé de mon histoire se dit totalement innocent du meurtre qu’il a commis, n’ayant ni motif, ni projet préalable, et que, si tout cela a eu lieu, c’est selon le hasard et les circonstances dont il n’était pas maître. Donc, on ne peut rien lui reprocher ni lui demander de rendre des comptes à qui que ce soit. De même, cette doctrine de l’évolution, même si elle n’explique rien, pose des problèmes scientifiquement insolubles, oblige ses supporters à faire toutes sortes d’acrobaties intellectuelles… et philosophiques pour se maintenir. On s’y accroche quand même, car elle est confortable pour la conscience. Elle endort les sentiments de culpabilité que peut nous reprocher cette conscience et, puisque, selon elle, il n’y a personne qui ne nous a faits selon des projets précis et des intentions à long terme, elle veut nous convaincre que nous ne sommes pas responsables de ce que nous pensons et faisons, étant seulement des animaux un peu plus évolués que les autres.

A vrai dire, cette doctrine est suicidaire, et mauvaise pour le moral, puisqu’elle ne propose aucune autre perspective que la mort et le néant.
La révélation biblique nous enseigne ceci : l’Eternel Dieu Créateur est l’alpha et l’oméga (ou commencement et fin de toutes choses), le premier et le dernier (Apocalypse 1 : 8,17) . L’être humain a été créé à l’image intellectuelle, morale et spirituelle de son Créateur, ce qui explique ses extraordinaires facultés psychiques, inexistantes chez l’animal, et le fait qu’il pense à l’éternité. Cette perspective lui fait pressentir une comparution devant son Créateur, laquelle peut déterminer la façon dont il vivra cette éternité.

La fin de cette histoire sera nettement différente de celle que j’ai imaginée : Il est réservé aux humains de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement (Hébreux 9 : 27). Chacun rendra compte à Dieu pour lui-même (Romain 14 : 12). Le verdict qui sera prononcé est déjà écrit dans la Bible depuis des millénaires : Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu (Romain 3 : 23). Aïe ! Ça fait mal à l’âme, non ?
Lors de cette scène solennelle que la Bible appelle Jugement dernier (Apocalypse 20 : 11-15), plusieurs questions seront posées à chacun(e) de ceux et celles qui seront devant le Juge suprême. Parmi toutes, j’en propose deux. A votre avis, laquelle des deux sera posée à chacun(e) qui devra répondre pour lui (elle)-même ? :
1. As-tu souvent une pensée pour « l’homme de Néanderthal » et pour « Lucie », tes célèbres ancêtres, descendus de l’arbre dans lequel « le singe et la guenon », leurs grands-parents avaient leurs quartiers ? Plusieurs spécimens d’entre eux n’ont pas changé et sont encore dans la nature actuelle. D’autres, au cours de milliers ou millions d’années ont évolué pour devenir ce que toi, tu es maintenant ? Milites - tu en faveur de cette doctrine ?
2. Qu’as-tu fait de Jésus-Christ, lui qui te dit : Moi qui t’aime et t’ai créé de toutes pièces à mon image, je suis venu, par le même amour, pour te sauver de la perdition et t’assurer la vie éternelle ?
La Bible dit : « Vous ne savez pas ce qui arrivera demain, car qu’est-ce que votre vie ? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît (Jacques 4 : 14). »


Michel Renneteau
(Extrait de sa brochure :« Voir, réfléchir, témoigner aujourd’hui », avec la permission de l’auteur)
15320 RUYNES en MARGERIDE (France)

Comme les bêtes




Alexandre Dumas dînait un jour avec un général réputé pour son incrédulité. Au cours du repas, la conversation tomba sur la religion et l’existence de Dieu. Le général fit observer qu’il ne pouvait imaginer l’existence d’un Être Suprême.

- Général, répliqua Dumas, j’ai à la maison deux chiens de chasse, un couple de singes et un perroquet qui partagent absolument votre opinion ou plutôt votre incapacité ...

Réplique pertinente, - et même, à la limite impertinente. Qui sommes-nous pour prétendre accéder par nous-mêmes à la connaissance de Dieu, le Créateur de l’univers infini ?

Fort heureusement, Dieu s’est fait connaître à nous : d’abord par la Création, par tout ce qu’elle nous fait connaître de la grandeur et de la perfection du Créateur ; ensuite, par la Bible, le livre de la révélation divine ; enfin par Jésus-Christ, le Sauveur venu manifester l’Amour de son Père envers nous.

Mais « l’insensé dit en coeur : il n’y a pas de Dieu » (Psaume 14 :1)

Michel Renneteau
(Extrait de sa brochure :« Voir, réfléchir, témoigner aujourd’hui », avec la permission de l’auteur)
15320 RUYNES en MARGERIDE (France)

Descendants du singe ?




Victor Hugo venait de lire l’Origine des espèces, de Charles Darwin, - qu’il affectait d’appeler « l’Anglais Darwin ». Cela lui inspira cet ironique commentaire : et quand un grave Anglais, correct, bien mis, beau linge me dit :
« Dieu t’a fait homme et moi, je te fais singe,
Rends-toi digne, à présent, d’une telle faveur,
Cette promotion me rend un peu rêveur ».

La théorie de Darwin sur l’évolutionnisme préoccupait aussi le petit Firmin, à la suite du cours de sciences naturelles qu’il venait de suivre. Il interrogea son père :
- C’est vrai que les hommes descendent du singe ?
- Mais oui, mon petit.
- Mais il y a des singes qui restent singes.
- Oui, il y en a qui préfèrent ça !
-
La Bible dit : « Dieu créa l’homme à son image », (Genèse 1 :27), après avoir dit : « Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce ». C’est elle que nous devons croire.

Demandez…cherchez !




Un jeune musulman du Proche Orient a dû assister à une réunion où l'on a lu un extrait du sermon sur la montagne qui parlait d'aimer ses ennemis. « Sûrement ces paroles ont été écrites pour cette occasion, se dit-il, mais elles ne sont pas dans ce livre ».

Il attend que tout le monde soit parti et se met à chercher le texte dans la Bible. En lisant depuis Matthieu jusqu'à Jean, il est encore davantage frappé. « Dieu..., prie-t-il, si ce livre est vrai, procure m'en un exemplaire ».

Quelques jours plus tard, il reçoit une Bible d'une dame qu'il connaissait à peine. Par sa lecture, il trouve le chemin du salut. Plus tard, avec ses économies, il achète des évangiles pour les répandre afin que d'autres y trouvent aussi le chemin de la vie.

Un Hindou récitait toutes les nuits les textes sacrés, plongé dans l'eau jusqu'au cou, il passait des heures en méditation et dépensait tout son argent en aumônes pour les brahmanes et les pauvres.

Un jour, en labourant son champ, il entend un chant qui raconte l'histoire de Jésus venu sur la terre pour nous sauver. C'était un colporteur biblique qui passait. Il lui achète les quatre évangiles. Tous les soirs suivants, il lit dans ces petits livres et y trouve la paix qu'il a cherchée vainement dans les pratiques bouddhistes. Toute sa famille devient chrétienne.


Extrait de « Vivre aujourd’hui »

Préférer vivre les yeux bandés…




Pour chaque Hindou, l'eau du fleuve Gange est sacrée et nécessaire aux purifications religieuses. Des multitudes de pèlerins s'y baignent. Or, il est manifeste que cette eau est particulièrement souillée, charriant toutes sortes d'impuretés et pullulant de microbes.

Un jour, un Européen, voulant le faire constater à un Hindou, en plaça une goutte sur son microscope pour la lui faire observer... Devant la répugnance de ce qu'il vit, il eut involontairement un mouvement de recul. Puis, pris d'une colère fanatique, il saisit le microscope et le brisa sur le sol.

N'est-ce pas parfois la réaction de certains lecteurs de la Bible ? Elle leur révèle, tel ce microscope, quels sont leur nature profonde, le mal qui taraude leur âme et leur misère en vivant sans Dieu. Non seulement la Bible met le doigt sur les impuretés qui polluent notre cœur, mais elle nous appelle aussi à capituler devant Dieu. Elle nous invite à reconnaître qu'il est seul capable de nous purifier et de donner un sens à notre vie, en nous offrant un pardon total.

Mais nous préférons souvent ignorer l'état réel dans lequel nous baignons. Nous n'ouvrons pas ce livre, de peur qu'il mette à jour notre perdition loin de notre Créateur, alors qu'il nous propose aussi la délivrance.

Soyons comme des malades prêts à entendre le diagnostic du médecin ! Prêts aussi à appliquer le remède et le traitement qui mènent à la guérison.

Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice.

BIBLE OU SCIENCE ?




«La foi est pour les gens simples, les grands savants ne croient pas en Dieu. » Cette idée est erronée. Un nombre considérable de savants sont d'authentiques chrétiens, qui aiment Dieu et sa Parole. Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup de science rapproche de Dieu.

Albert Einstein a déclaré : « Si nous purifions le christianisme enseigné par Jésus de tout ce qui est venu ensuite... nous avons une religion capable de préserver le monde de tous les malaises sociaux. Tout homme a le devoir sacré de faire de son mieux pour le triomphe de cette religion. »

Le physicien Louis Leprince-Ringuet affirme : « Toute la tradition biblique et chrétienne nous incite à contempler l'œuvre du créateur, aussi bien dans les créatures animées que dans la nature... ».

Le professeur Alfred Kastler, prix Nobel de physique, a dit : « Je ne suis pas athée. L'idée que l'univers matériel s'est créé tout seul me paraît absurde. Je ne conçois le monde qu'avec un créateur, donc un Dieu. Pour un physicien, un seul atome est si compliqué, si riche d'intelligence, que l'univers matérialiste n'a pas de sens... ».

Un grand mathématicien, le Dr Hans Rohrbach de Mayence, dit : « La Bible nous donne la connaissance ultime, même de ce que le savant ne peut connaître. En Jésus-Christ est vraiment cachée toute la plénitude de la sagesse et de la connaissance : Atteindre cette connaissance et cette sagesse, c'est le but de ma vie : cela mène à l'obéissance et au service... »

Extrait de « Vivre aujourd’hui »

LE SCAPHANDRIER ET LA PIEUVRE




En Afrique du Sud, dans le port du Cap, John Palmer, le scaphandrier, est au travail à une certaine profondeur sur une épave. Mais voilà qu'une pieuvre géante s'approche. Ses tentacules vont s'enrouler autour du scaphandre, et bientôt la position du scaphandrier sera critique. Que faire ? Essayer de résister ? Ce serait inutile. Alors, Palmer tire le câble qui le relie au bateau de son patron.

C'est le signal convenu pour la remontée. Le chef de l'entreprise a compris. Peu à peu, au fur et à mesure que John Palmer approche de la surface, l'étreinte de la pieuvre géante se desserre. Quelques minutes après, le scaphandrier est sauvé, en totale sécurité. Pour cela, il n'a eu qu'à tirer le câble qui le reliait à son chef qui se tenait là-haut.

Il se peut que nous l'ayons oublié, alors que l'épreuve nous étreint : nous avons en haut quelqu'un qui veille sur nous et qui est tout disposé à venir à notre secours lorsque le danger nous menace. C'est le Seigneur. C'est à nous de lui faire appel. Il ne manquera pas de nous délivrer. Il nous l'a promis.

Mais, d'autre part, plus tentaculaire encore qu'une pieuvre géante, notre péché résultant de l'action oppressante de Satan sur nous, risque de nous conduire à la perdition et à la mort. Pour en être délivré, il n'y a rien d'autre à faire que d'appeler au secours notre Dieu qui veille sur nous et de nous adresser à lui par la prière. Il nous a donné Jésus pour Sauveur. La Bible dit : Quiconque fera appel au Seigneur sera sauvé.

Pasteur Lucien CLERC

En Corée





A une réunion organisée par la mission évangélique en Corée assistait ce soir-là un individu nommé Cho. Vivement impressionné par le message, à la fin il s’approcha de l’orateur. Est-il possible que le salut puisse s’appliquer à quelqu’un qui aurait commis des crimes méritant la peine capitale ? Il raconta alors sa triste carrière de bandit de grand chemin et ajouta qu’il doutait que Jésus puisse pardonner de tels péchés.
L’évangéliste lut plusieurs passages de l’Ecriture et pria avec lui. Il était près de minuit quand tout à coup, Cho s’écria : « Je vais aller voir le juge pour lui dire que maintenant que je crois en Jésus, j’abandonne le brigandage. Je m’attends au pire, mais je suis sûr que Dieu veut que je fasse cette confession ».
Surpris par l’aveu spontané de Cho, le magistrat ne voulut pas le condamner et en référa au gouverneur de la province. Celui-ci jugea si extraordinaire ce fait sans précédent qu’il décida de ne pas le condamner non plus, mais au contraire de citer ce cas en exemple. Une proclamation largement publiée engagea le district tout entier à embrasser une religion qui produisait de si grandes transformations.
Le magistrat fit donc relâcher Cho. Non seulement cette affaire eut un grand retentissement dans toute la région, mais mieux encore, Cho se fit un devoir de parler de sa foi à ses voisins, les amenant l’un après l’autre à Jésus-Christ.

Un berger connu




Il y a quelques années, au cours d’un dîner offert en son honneur, un acteur connu accepta, à la demande d’un des invités, de déclamer un poème dont il laissa le choix à l’assistance. Un monsieur âgé exprima le désir d’entendre réciter le Psaume 23.
L’artiste, visiblement surpris, posa une condition : « Je veux bien réciter ce psaume, mais à une condition : que vous le récitiez vous-même après moi . »
L’acteur commença à déclamer le psaume de David. La diction était parfaite, l’auditoire, sous le charme, ponctua d’applaudissements la fin de la récitation.
Le calme revenu, le vieux monsieur enchaîna. Sa voix était tremblante. Quand il eut terminé, il n’y eut pas d’applaudissements, mais plusieurs invités essuyèrent des larmes.
L’artiste s’approcha alors du vieillard pour lui dire : « J’ai charmé les oreilles, vous avez touché les cœurs. Pourquoi cela ? Je connais le Psaume 23, mais vous, vous connaissez le Berger ».
Et nous, connaissons-nous Jésus le bon Berger ? Pour pouvoir véritablement parler du berger, il faut d’abord avoir ressenti ce besoin de délivrance de notre péché et s’être confié en celui qui est venu à notre recherche. Si nous avons accepté le salut qu’il nous offre, nous pourrons ensuite apprécier la force et le soutien qu’il donne et nous reconnaîtrons sa voix.

Les incohèrences de l'évolution




Mastophora hutchinsoni est une variété d’araignée qui ne tisse pas de toile. Pour capturer ses proies, elle fait pendre un fil terminé par une gouttelette de suc collant contenant la même phéromone sexuelle que celle d’une espèce de papillon de nuit qui, par l’odeur, est donc attiré vers l’araignée. Celle-ci, alors, fait tournoyer la gouttelette en direction du papillon qui vient s’y coller et se fait prendre.

La situation se complique quand on constate que Mastophora, avant 22 h 30, capture une espèce particulière de papillon, et après 23 h, une autre espèce. Or, chaque phéromone est spécifique à chaque espèce de papillon : attirante pour l’une, elle laisse indifférente une autre, ou se révèle même repoussante.

Kenneth Haynes, de l’Université du Kentucky (U.S.A.), a pu donner la réponse :
L’araignée, durant la demie-heure de battement, modifie la composition chimique de sa gouttelette pour l’adapter à l’espèce qui s’envole après 23 h . Prodigieux ! Non ?

L’auteur de l’article ( « Sciences et Avenir » Août 02 ) dit ceci : « Incapables de produire une toile, ces araignées ont dû développer une technique de chasse originale ».

Chez les humains, il faut des années d’étude, de pratique et d’expérimentation pour faire un bon chimiste capable de produire de nouvelles substances adaptées aux fonctions prévues. L’auteur de l’article ne dit pas selon quelles études de chimie et dans quels laboratoires des générations de Mastophoras ont pu développer et mettre au point des techniques chimiques aussi sophistiquées.

Il est vrai que la bonne fée « Evolution » a plus d’un tour dans son sac.
L’important est d’y croire, sans réfléchir, comme on le fait pour un dogme religieux, bien que ses « croyants » prétendent que c’est l’explication la plus rationnelle qui ait jamais été apportée aux mystères de la Nature ( ?).

L’hypothèse de l’évolution, pour maintenir sa station debout…chancelante, a besoin de l’appuyer sur la béquille de millions…ou milliards d’années d’ancienneté.

C’est pourquoi, selon Sciences et Avenir d’août 2002, des paléontologues (spécialistes des fossiles) ont attribué 7 millions d’années d’âge à un crâne fossile trouvé en Afrique, à l’ouest du Tchad sur un site désertique où, par 58°C, sans ombre, des vents soufflent souvent à 100km/h, déplacent les dunes jusqu’à 5 mètres par jour et érodent le grès, jusqu’à 3 cm par an, découvrant, ou les ensevelissant, des fossiles encore emprisonnés dans leur gangue de grés, et dénudés par les vents. Ce crâne, appelé Toumaï (« espoir de vie » en langue Goran ), est-il celui d’un homme, d’un singe, ou d’un ancêtre commun aux deux ?
C’est une question conforme au système évolutionniste.

Le grès est une roche sédimentaire compacte et si dure qu’on en fait des meules pour affûter des outils en acier. Or, le vent du désert tchadien use ce grès de 3 cm chaque année. Comment un crâne en os, matière organique, fragile et putrescible, a-t-il pu résister à 7 millions d’années de conditions climatiques aussi rigoureuses et être retrouvé « dans un excellent état de conservation » ?

Selon la chronologie biblique, l’espèce humaine a environ 6200 ans. Un déluge d’eau, 2500 ans avant J.C., a recouvert la planète entière, détruisant toute vie terrestre ( et marine, en partie ), ce qui explique que sur le site tchadien, on a trouvé plus de 700 fossiles d’espèces différentes : mammifères, petits et grands, poissons amphibiens, etc…

Ces datations ne vous semblent-elles pas plus conformes au bon sens scientifique… et à la révélation biblique ?

Création, ou évolution ? Ces deux hypothèses sont inconciliables. Il faut choisir. J’ai fait mon choix. Et vous ?

Michel Renneteau
(Extrait de sa brochure :« Voir, réfléchir, témoigner aujourd’hui », avec la permission de l’auteur)
15320 RUYNES en MARGERIDE (France)

Ce que je comprends




Lacordaire, religieux français du 19e siècle, était assis à côté d’un incroyant. À propos des mystères de la foi chrétienne, ce dernier déclara :
- Moi, je n’aime que ce que je comprends.
Le célèbre prédicateur lui répondit, en désignant une omelette appétissante qu’on venait de servir :
- Pourtant, vous aimez cette omelette, n’est-ce pas ? Alors comment comprenez-vous que le feu qui fait fondre le beurre, durcit les œufs ? L’homme le plus réfléchi du monde doit se taire sur ce qu’il ignore.
Quand bien même serions-nous les gens les plus savants de la terre, nous devons reconnaître notre ignorance en ce qui concerne bien des mystères de l’univers, mais aussi, de notre propre vie. Vouloir évacuer Dieu de notre pensée, de notre conception de l’existence, c’est obligatoirement en méconnaître le sens profond.
La Bible, à la fois affirme et nous interroge : « C’est l’Eternel qui dirige les pas des hommes, mais l’homme peut-il comprendre sa voie ? » ( Proverbes 20 :24)
Anselme, un croyant du 11e siècle a dit : « Je ne cherche pas à comprendre pour croire, mais je crois pour comprendre ».

Extrait du livre de Lucien Clerc : « Reflets de la vérité »

Expliquer les mystères




Un incrédule s’adressa à un paysan qui ne manquait pas d’affirmer sa foi en Jésus-Christ :
- Moi, je ne croirai que ce que je pourrai comprendre.
Le paysan se gratta la tête et réfléchit, puis rétorqua :
-Dites-moi, l’ami ! Je ne suis pas lettré comme vous. Je ne suis qu’un pauvre paysan . Mais expliquez-moi un peu ça : comment une vache noire qui mange de l’herbe verte peut-elle donner du lait blanc qui donne du beurre jaune ?
L’incrédule ne put que tourner les talons en se grattant la tête, à son tour.
Ne soyons pas du nombre des « incrédules dont le Dieu de ce siècle a aveuglé l’intelligence, afin qu’ils ne voient pas resplendir le glorieux Evangile du Christ » ( 2 Corinthiens 4 :4).

Extrait du livre de Lucien Clerc : « Reflets de la vérité »

Le besoin de Dieu





Il y a quelques années, à Londres, un athée faisait un discours devant une grande foule. Il captivait l’attention de ses auditeurs, leur disant pourquoi il ne croyait pas en Dieu. Lorsqu’il eut terminé sa causerie, un jeune homme qui avait entendu son exposé, dit à la foule : « Avant de nous séparer, chantons un cantique. » Aussitôt, il entonna le cantique bien connu de tous ceux qui ont vu « Le Titanic » : « Mon Dieu, plus près de Toi. » La foule le suivit et se mit à chanter ce cantique par lequel, depuis des siècles, de nombreux croyants ont exprimé leur conviction. L’athée reçut, ce jour-là, un démenti cinglant.
Ce besoin de Dieu qui se manifeste dans le cœur humain est la meilleure preuve de l’existence de Dieu. Le psalmiste exprimait sa conviction par ces paroles :

Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après toi. Nous avons tous en nous la certitude de l’existence de Dieu. Un instinct nous avertit qu’il est notre Créateur. Pourtant, nous soupirons si rarement après Lui !
Peut-être a-t-il été jusqu’à présent un inconnu pour vous. Que la lecture de ce récit vous aide à le connaître de mieux en mieux et vous
conduise pas à pas sur les traces de Jésus-Christ.

Mots et images





Il existe aujourd’hui un procédé qui permet aux aveugles de « regarder » un film en même temps que les voyants, sans en perdre grand-chose. Le cadre de l’action est décrit durant son déroulement. Ce procédé, nous apprend-on, est fondé sur l’idée que si « une image vaut mille mots pour un voyant, un mot vaut mille images pour un aveugle ».

Spirituellement, nous sommes au nombre des pires aveugles. N’est-ce pas pour cela que Dieu, dans sa manifestation aux hommes, s’est appelé La Parole ? Il est venu dans le monde afin de rendre la vue à ceux qui reconnaissent leur cécité, à ceux qui se savent aveuglés et trompés par Satan, le Prince de ce monde, et aveuglés par ses artifices. Si nous avons soif d’ouvrir les yeux sur les plus grandes réalités, Dieu nous les fait voir dans la Bible, c'est-à-dire par des mots. Satan, au contraire, ne cesse de nous éblouir par les images les plus clinquantes. Est-il nécessaire d’insister sur les dangers de notre civilisation de l’image, de dénoncer la manière dont le diable répand la corruption à travers des médias comme la télévision et Internet ?

Peut-être le moment est-il enfin venu pour nous de fermer les yeux aux mirages qu’il entretient pour ouvrir l’oreille au message de vérité, d’amour et de salut que nous propose le Verbe divin incarné pour nous tendre la main. Avec les yeux du cœur, nous pouvons voir l’invisible, l’ineffable, dans sa Parole, la Bible.

Le besoin de Dieu





La pleine jungle, au détour d’un sentier, un lion se trouve nez à nez avec un chasseur et son fusil braqué sur lui. Il se voit perdu, mais garde son sang-froid. En outre, c’est « un malin ».

Du calme, chasseur ! lui crie-t-il. La violence, ce n’est pas bon pour la santé. Discutons et prions. (Le chasseur abaisse son fusil). Asseyons-nous sur ces deux pierres et causons : Tu cherches… une belle fourrure ? Moi, j’ai faim. Nous allons sûrement trouver un terrain d’entente…

Une heure plus tard : le lion est toujours sur sa pierre, mais de chasseur, plus. A sa place un chapeau, deux chaussures et un fusil. Le lion marmonne entre ses crocs, parlant… au chasseur : « Tu vois, nous avons bien failli négocier : toi, tu as revêtu un beau manteau de fourrure, et moi j’ai fait un bon repas. »

Cette fable illustre le fait qu’il ne faut jamais converser avec le diable. A ce jeu, c’est toujours lui qui gagne.

Imitons Jésus qui, lors de la tentation au désert, n’a pas discuté avec Satan. Au lieu de cela, par trois fois, Il a rappelé la Parole de Dieu : il est écrit, Il a cité la Bible telle quelle, ni plus ni moins.

L’apôtre Pierre a écrit : Soyez sobres, votre adversaire, le diable rôde comme un lion rugissant cherchant qui il dévorera. Résistez-lui avec une foi ferme !

M. Renneteau
Extraits de Vivre aujourd’hui 2002 – 471, avenue Victor Hugo – 26000 Valence

L’agneau Sauveur





Le touriste qui visite le village de Werden, dans le Ruhr, peut être surpris d’apercevoir, sur le faîte du toit de l’église, un agneau en pierre, travaillé au ciseau sans autre décoration.
Lors de la construction de l’édifice, un couvreur qui achevait son travail sur le toit fut déséquilibré par la rupture de la corde retenant son panier de tuiles. Il se serait tué s’il n’était tombé miraculeusement sur un mouton qui broutait par là. L’animal perdit la vie en sauvant celle de l’artisan qui, en signe de gratitude, fit réaliser cette sculpture et la plaça bien en vue sur le toit.

Cette histoire nous fait penser à Jésus-Christ, que la Bible appelle souvent l’Agneau de Dieu, et dont la mort a sauvé et veut encore sauver d’innombrables personnes. Contrairement à l’animal de notre histoire, qui n’a été qu’un acteur passif, Jésus a pris une part active dans notre salut ; avant même de venir comme un homme dans ce monde, il savait qu’il devait mourir sur une croix, et il l’a accepté par amour pour nous. Son sacrifice a été volontaire ; il a pris sur lui tous nos péchés et en a assumé la culpabilité devant le Dieu juste et saint. Et la vie qu’il communique maintenant à ceux qui croient en lui ne concerne pas que le corps, mais aussi l’âme ; elle est éternelle.

Mais attention ! Sa mort ne sauve pas quelqu’un sans qu’il le veuille ; il veut être aussi le Sauveur de tous, mais n’impose pas le salut. Il l’offre gratuitement à ceux qui se reconnaissent perdus et se tournent vers lui. Que chacun accepte pour lui-même le sacrifice de l’Agneau de Dieu !

Extrait de la Bonne Semence 2003 – Bibles et Publications chrétiennes
B.P. 335 - 26003 Valence (France)

QUAND L’EPREUVE PARAIT INCOMPREHENSIBLE




Sir James Thornhill peignait la coupole de St Paul de Londres. Il venait d’en achever une section. Pour juger de l’ensemble de son travail, il recule de quelques pas. Mais le voilà au bord de l’échafaudage. Un pas de plus… et il va plonger dans le vide !
Son aide, réalisant rapidement le danger, lance son pinceau gorgé de peinture sur le chef-d’œuvre de son maître. Aussitôt, l’artiste très en colère, bondit vers son assistant pour le secouer violemment.
« Mais, dit celui-ci, en abîmant votre travail, je vous ai sauvé la vie ». La colère de l’artiste se transforma rapidement en reconnaissance.
Que de fois nous sommes contrariés par telle ou telle épreuve dont nous ne comprenons pas la raison. Ce peut être une erreur que nous commettons, une méchanceté dont nous sommes victimes, un contretemps fortuit. Pourquoi ? Pourquoi ?
Or Dieu, le Seigneur, connaît les circonstances et les cœurs ; Il sait très bien pourquoi tel événement peut accomplir sa volonté et servir au bien de ses enfants. Il utilise même nos propres erreurs dans ce but. Cela nous pousse à la reconnaissance. Nous savons, du reste, que toutes choses coopèrent au bien de ceux qui aiment Dieu.
Faites-lui donc confiance, et laissez-le diriger votre vie!

Ch. Rick
Extraits de Vivre aujourd’hui 2002 – 471, avenue Victor Hugo – 26000 Valence

CHOISISSEZ AUJOURD’HUI QUI VOUS VOULEZ SERVIR




Un moniteur qui donnait un enseignement biblique à des enfants, leur avait lu l’histoire du riche et de Lazare (Luc 16). Le riche avait vécu dans l’opulence sans s’occuper de son âme ; le pauvre avait vécu près de Dieu. Le jour de leur mort, le pauvre s’en alla dans le bonheur du ciel et le riche dans les tourments. Le moniteur, après un bref commentaire, demanda à ses petits auditeurs : « Alors, les enfants, lequel préféreriez-vous être, le riche ou bien Lazare ? ». Un garçon répondit : « Je voudrais être le riche pendant ma vie et Lazare quand je mourrai ».
Dans sa naïveté, l’enfant exprimait sa pensée à de nombreuses personnes : Mangeons et buvons, amusons-nous sur la terre, et, le plus tard possible, que Dieu nous reçoive dans le paradis. Mais ce calcul n’est pas juste ! «On ne se moque pas de Dieu ; car ce qu’un homme sème, cela aussi il le moissonnera » (Galates 6 : 7)
Un athée, rempli d’angoisse, allait mourir. Son amie, athée comme lui, cherchait à le rassurer : « N’aie pas peur. Accroche-toi, chéri, accroche-toi jusqu’au bout ». Le mourant répondit : « Je veux bien m’accrocher… mais peux-tu me dire à quoi ? » Une vie sans Dieu ne peut que conduire à une éternité loin de Dieu.

Extrait de la Bonne Semence 2003 – Bibles et Publications chrétiennes
B.P. 335 - 26003 Valence (France)

UN BIEN CURIEUX PRISONNIER




Au début du règne de Louis VI, le vice-roi de Naples visitait les galères. Pour honorer son passage, on lui donna l’autorisation de libérer un prisonnier. Mais lequel ? Alors, il les questionna et tous se prétendirent justes, sauf un qui lui dit : - Je suis un pauvre type, je paye, c’est normal. – Misérable, dit le roi, quel malheur que tu sois parmi tous ces braves gens ! Tu vas les contaminer. Hâte-toi de sortir ! Et il fut gracié.
Parmi les raisons non avouées qui nous éloignent de la Parole de Dieu, il y a sans doute le fait que ce livre agit comme révélateur. En nous en approchant, nous nous sentons coupables, pécheurs et perdus, et la plupart du temps nous n’allons pas plus loin parce que cette révélation nous gêne. C’est normal, car, au sens spirituel du mot, nous ressemblons aux « justes » de notre histoire. Mais si nous avions un peu de bon sens, nous laisserions l’Esprit de Dieu faire son œuvre en nous. En continuant la lecture, nous comprendrions bien vite que cette révélation n’a pour but que de nous sauver, nous purifier et nous gracier.
Le roi David avait compris cela, et, dans le psaume 51, il demande à Dieu d’accomplir en lui son salut.


Extraits de Vivre aujourd’hui 2002 – 471, avenue Victor Hugo – 26000 Valence

TOUCHER LE FOND





Nombreux sont ceux qui pensent qu’il faut toucher le fond avant de vaincre une dépendance. Cette théorie s’est nourrie du témoignage de nombreux anciens buveurs. Un jour, dans un éclair de lucidité, leur déchéance leur est apparue et ils ont tout fait pour s’en sortir. La théorie comporte un danger. Elle fait du buveur et de son entourage les spectateurs passifs d’un naufrage attendu. A quelle profondeur touchera-t-il son fond ? Ne sera-t-il pas trop tard ?

Dieu n’invite jamais à la passivité, même lorsqu’il déclare par la bouche de Jésus : Sans moi, vous ne pouvez rien faire. Comment donc prendre conscience, à temps, des erreurs et des péchés qui risquent de détruire nos vies ? Car il existe un paradoxe : plus on s’enfonce dans l’erreur et le péché, moins on soupçonne leur existence dans notre vie. Notre conscience apprend à se taire.

Dieu connaît notre situation mieux que nous-mêmes. Il sait que l’engrenage de tout péché – et pas seulement les abus d’alcool, de drogues ou de sexe – conduit à la mort éternelle. Mais Dieu ne nous abandonne pas face à ce danger. Jésus est mort pour nos péchés – tant nos péchés sont graves – et offre la solution.

Il n’est pas nécessaire d’attendre de « toucher le fond ». Ouvrez votre conscience au Saint-Esprit et donnez lui la liberté de vous prouver que vous vous égarez au sujet du péché, de ce qui est juste et du jugement de Dieu.

A. Monclair
Extraits de Vivre aujourd’hui 2002 – 471, avenue Victor Hugo – 26000 Valence

ASCENSION OU DECHEANCE ?




L’être humain n’est pas comme certains ont pu l’imaginer, un être parti du bas de l’échelle animale, ou même d’une simple cellule, et qui, de progrès en progrès, au cours de millions d’années d’évolution ascendante, poursuivrait sa marche triomphante vers une sorte de déification finale. C’est l’inverse qui est vrai. Parfaitement adapté au rôle que son Créateur lui réservait comme administrateur de son bel univers, l’homme n’a cessé de déchoir. Toutes les ressources de son intelligence n’ont pu enrayer ni compenser son déclin moral. Et il est allé vers les abîmes de violence et d’immoralité.

De plus, comment voulez-vous que l’homme sonde le passé à l’aide d’un peu de poussière ramenée de la lune, et l’avenir avec rien ? Il est incapable d’expliquer fondamentalement ses propres origines. Une hypothèse en chasse une autre en apportant de nouvelles interrogations. Mais, pour Dieu, il n’existe pas de mystères et s’il nous parle dans la Bible des tristesses d’un paradis perdu, il nous décrit aussi les joies de celui dans lequel Jésus, par sa croix, nous a donné le droit d’entrer. Si vous acceptez ce que Dieu révèle par sa Parole, vous y apprendrez d’où vous venez et où vous allez.

Il est digne de votre confiance, ce Dieu d’amour qui a donné Jésus-Christ, son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle (Jean 3 : 16).

Car le Dieu créateur est aussi le Dieu Sauveur.

Extrait de la Bonne Semence 2003 – Bibles et Publications chrétiennes
B.P. 335 - 26003 Valence (France)

Une perte irréparable




Un explorateur du cours supérieur de l’Amazone, en Amérique du Sud, avait exigé de ses porteurs un travail excessif afin de parvenir le plus rapidement à son but. Il voulait brûler les étapes, au prix de marches forcées.



Tout alla bien pendant quelques jours. Mais, un soir, les porteurs indigènes, épuisés, déclarèrent qu’ils ne pouvaient plus bouger. Gravement assis autour du feu, ils ne cédaient à aucune exhortation ni promesse. Leur chef donna la raison de leur refus :
- Mes hommes ne peuvent ni ne veulent reprendre la route avant que leur âme ait rattrapé leur corps.

Ils étaient exténués et se sentaient défaillir. A quoi leur aurait servi une augmentation de salaire ?

Nous sommes dans un temps où l’appât du gain, le rythme échevelé d’une vie trépidante, mais aussi les exigences du rendement, amènent beaucoup de nos contemporains à l’extrême limite de leurs forces. A quoi servirait-il de posséder tous les trésors du monde si, en fin de compte, on vient à en perdre sa vie ?

Le but réel de l’existence, ce n’est pas l’accumulation des richesses, des plaisirs et des vanités de ce monde ; c’est assurer sa vie, son âme pour l’éternité. Et pour cela, il n’y a qu’un chemin, qu’une porte : Jésus-Christ. Ni les compagnies d’assurances ni la «Sécu» n’offrent une quelconque garantie à ce sujet pourtant capital. Jésus le dit : Pour ne pas perdre notre âme, il faut renoncer à soi-même et Le suivre, lui qui a consenti à perdre Sa vie sur la croix pour donner la vie éternelle à ceux qui se rangent à Sa suite. Le croyez-vous ?

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2002
42, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

« Tout va bien »




Une compagnie d’assurance vient de lancer une nouvelle campagne publicitaire. Ses affiches montrent des personnes en situation périlleuse et un petit avion qui vole à leur secours en les rassurant : « Tout va bien ! » avec en dessous la devise de la compagnie : « Etre les premiers à vos côtés ».



Dans la Bible, on trouve aussi la même expression « Tout va bien ». Elle n’est pas prononcée par une personne qui en aide une autre, mais par une femme elle-même accablée parce qu’elle vient de voir mourir son fils sur ses genoux (lire 2 Rois 4 : 8-37). Mais c’est une femme de foi, et même quand tout est sombre, elle peut encore déclarer : « Tout va bien ». Elle regarde à Dieu, elle sait qu’il n’est jamais dépassé par aucun événement et qu’en Lui seul se trouve un secours qui va au-delà de nos limites humaines.

Au-dessus des nuages et de la tempête, le ciel reste toujours serein pour la foi. La douleur peut être très grande, mais l’espérance reste attachée à notre puissant Sauveur, déjà dans la présence de Dieu. Il n’est pas seulement le premier à nos côtés, mais il est toujours à nos côtés. Souvent Il prépare la délivrance avant même que nous ayons crié à Lui par la prière.

Nous pouvons donc rejeter sur Lui tout notre souci, car Il prend soin de nous (1 Pierre 5 : 7). Il ne nous promet pas de nous faire éviter toujours les épreuves, mais Il nous donne l’assurance que Ses soins ne manqueront pas et seront suffisants. Il connaît jusqu’au nombre des cheveux de notre tête (Matthieu 10 : 30).

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2002
42, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

Dieu et la science





La science propose aujourd’hui une explication des origines de l’univers, le célèbre big-bang. Cette théorie, régulièrement modifiée par les uns, contestée par d’autres, n’explique pas tout. Qu’y avait-il avant le big-bang ? La science tâtonne encore. Très humblement, Hubert Reaves reconnaît que le discours scientifique n’est pas un discours de vérité, mais une démarche en cours d’élaboration, toujours passible de changements, si de nouvelles observations l’y obligent.

Les affirmations de la Bible, au contraire, ne nous laissent pas dans le flou. Elle ne cherche pas, essentiellement, à nous donner une explication, mais affirme avec autorité : Au commencement Dieu… Par ces trois mots, elle dit que Dieu est de toute éternité et qu’il est à l’origine de toutes choses.

La première page de la Bible, que nous vous proposons de lire aujourd’hui, est un récit unique en son genre. Il dit l’essentiel en peu de mots. Quelle différence avec les cosmogonies des autres religions ! « Lisez ce récit et placez à côté les données actuelles de notre modeste connaissance, vous ne pouvez que tomber à genoux : c’est plus beau, plus grand, plus invraisemblable que le ciel étoilé ! »

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2002
42, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

La Bible vous attend




«Une des caractéristiques des livres scientifiques, c’est qu’ils sont très vite démodés et doivent être remplacés par de nouveaux.

C’est une cause de fierté que les progrès scientifiques soient assez rapides dans tous les domaines pour rendre les livres scientifiques périmés pour la génération qui suit. En réalité, chaque livre technique commence à être dépassé avant que l’encre soit sèche sur ses pages.

Bien qu’elle traite des sujets les plus grands et les plus importants –tels que la vie, la mort, le bien, le mal- la Bible est toujours la meilleure et la seule autorité.

Sur des tels points, les siècles de progrès, d’avancement des connaissances ne peuvent rien ajouter à ce que dit la Bible, toujours nouvelle et adaptée aux besoins du jour. En fait, elle n’est pas dépendante de la science. Le progrès technique ne peut la dépasser. Les générations se succèdent et chacune trouve la Bible qui l’attend, comme une inépuisable mine de connaissances sur les questions essentielles de la vie. » D’après Philippe Mauro – La parole qui vit.

Au seuil du vingt et unième siècle, la Bible est aussi actuelle qu’au premier siècle. Elle répond aux questions essentielles que chaque génération n’a pu manquer de se poser. La Bible est à votre disposition aujourd’hui. Comme beaucoup de ceux qui vous ont précédés, cherchez-y les vérités essentielles et indémodables dont vous avez besoin pour votre vie et pour votre avenir éternel.

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2003
42, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

Trop petit




La jeune fille à laquelle Mozart fut tout d’abord fiancée se fatigua de lui et déclara qu’elle ne le trouvait pas assez bien pour elle. Elle prétendit qu’il était trop petit.

Plus tard, quand le célèbre compositeur eut atteint la gloire, on interrogea la jeune fille. Elle ne fit aucune difficulté pour reconnaître son erreur.

- Je ne connaissais rien de son génie ; je ne voyais en lui qu’un petit homme, dit-elle.

Ce n’est pas seulement parce qu’on a parlé aux enfants du « petit Jésus », au moment de Noël, que beaucoup de personnes s’intéressent plus à Lui. Par ignorance ou par méconnaissance, elles trouvent Jésus trop insignifiant pour qu’elles s’intéressent à Lui et Lui donnent leur vie.



Il est vrai qu’Il est venu au milieu de l’humanité de la façon la plus humble, naissant dans une étable, n’ayant pour berceau qu’une mangeoire destinée au bétail. Il a grandi dans une famille modeste et a dû travailler de ses mains comme charpentier. Et quand Il a commencé à parcourir les routes du pays d’Israël, Il cheminait à pied et sans un lieu où reposer sa tête.

Mais, plus on lit dans les évangiles ce qui Le concerne, plus on découvre Sa grandeur. Plus son s’approche de Lui par la foi et la prière, plus Sa stature morale et spirituelle nous apparaît élevée.

N’en restons pas à une notion d’un petit Jésus petit et incapable de nous venir en aide. Tout au contraire, découvrons Sa grandeur, Son amour, Sa puissance infinie, et donnons-Lui notre vie.

Si vous trouvez Jésus trop petit, insignifiant, vous risquez bien de le regretter plus tard, ici-bas ou dans l’éternité. N’hésitez plus à vous intéresser à Lui et à Lui faire confiance.

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2002
42, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

Mis en examen




Depuis quelques années, les médias nous ont habitués à entendre parler de gens «mis en examen», parce qu’ils sont soupçonnés de quelque délit. Cette procédure marque le début de l’instruction judiciaire qui peut durer un certain temps avant de conclure soit à l’inculpation, soit à la mise hors de cause.



Qui ne serait pas alarmé d’être mis en examen par un juge, même s’il pense pouvoir se disculper ? Et qu’en serait-il si toutes nos actions étaient mises en plein jour ?

Telle est pourtant la situation de chacun devant Dieu, le Juge suprême. « Toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de celui à qui nous avons affaire » (Hébreux 4 : 13).

Dieu n’a pas besoin d’enquête, de témoignages, de preuves, de pièces à conviction, dont l’absence permet à bien des coupables d’échapper aux poursuites. Lui connaît tout à fond et juge sans avoir besoin de délibérer.

Si la sentence contre les mauvaises œuvres ne s’exécute pas immédiatement, c’est parce que Dieu est patient envers tous « ne voulant qu’aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance » (2 Pierre 3 : 9).

« Celui qui croit en Lui n’est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu » (Jean 3 : 18).

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2002
42, chemin de Lautagne – 26000 VALENCE

Dieu n’est pas mort




Juste avant de mourir, une jeune femme, dans une superbe prière, avait recommandé son mari alcoolique et son jeune fils à la grâce de Dieu. Le soir des obsèques, l’enfant, à qui sa mère avait appris à prier, dit à son père :
- Papa, fais-moi faire ma prière.
- Ta prière ? Plus question maintenant que ta mère est morte !
- Mais Dieu n’est pas mort !
Cette simple parole perça comme une flèche le cœur de cet homme. D’autant plus que son fils se mit à prier, lui rappelant la foi qui avait animé sa femme. Des larmes perlèrent sur les joues de ce père endurci ; il pleura, pria, demanda pardon à Dieu, et sa vie en fut toute transformée.



A l’aube de Pâques, plusieurs femmes qui avaient cru en Jésus, et en particulier Marie-Madeleine, viennent au tombeau où le corps de Jésus a été déposé après sa mort sur la croix. A leur grande surprise, elles découvrent que le tombeau est vide. Deux hommes leur apparaissent vêtus d’habits étincelants et leur disent : Pourquoi cherchez-vous parmi les morts Celui qui est vivant ?

L’impossible est devenu possible : Jésus est vivant. Pour le cœur sincère, l’incroyable est devenu la réalité. Dieu n’est pas mort, JESUS VIT, il est LE VIVANT pour l’éternité. Il est plus puissant que jamais pour sauver, bénir, relever, consoler, guérir quiconque se confie en Lui. Il nous dit : Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde.

N’avons-nous pas toutes les raisons de croire en Lui et de Lui dire : Mon Seigneur et mon Dieu ?

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2003
471, avenue Victor Hugo – 26000 VALENCE

Question ou remise en question




C’était l’exode en juin 1940 : sur le bord d’une route, un petit garçon pleurait. Quand il a été trouvé, il n’avait pas de papiers, plus de famille, il ne connaissait que son prénom. Le souvenir de sa mère s’est peu à peu estompé. Il n’a jamais su d’où il venait et il en a souffert toute sa vie.

Probablement que toi qui lis ce récit, tu connais tes parents, tu sais d’où tu viens, et où tu es né. C’est d’ailleurs écrit sur tes papiers d’identité. Mais si Dieu te pose la question : De qui es-tu le fils ou la fille, quand il s’agit de filiation spirituelle, que réponds-tu ? Es-tu un enfant de Dieu ? As-tu Dieu comme Père ?

« A tous ceux qui l’ont reçu, Jésus leur a donné le droit d’être enfants de Dieu, c’est-à-dire à ceux qui croient en Son nom » (Jean 1 : 12).



Le jour de Sa résurrection, Jésus a dit : « Je monte vers Mon Père et votre Père » (Jean 20 : 17). Mais Il avait dit aussi : « Personne ne vient au Père si ce n’est par Moi » (Jean 14 : 6). Le Père, c’est la sécurité, l’amour inconditionnel, c’est la main qui conduit, l’œil qui veille, le cœur qui écoute, console et encourage, les bras qui portent, la sagesse qui instruit, reprend, corrige. C’est l’intimité d’une relation, l’assurance d’un avenir dans Sa maison céleste.

A qui appartiens-tu ? Peut-être ne veux-tu être qu’à toi-même ? Mais Dieu dit aux croyants : « Vous n’êtes pas à vous-mêmes ; car vous avez été achetés à grand prix » (1 Corinthiens 6 : 19), au prix de la vie du Seigneur Jésus.

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2003
471, avenue Victor Hugo – 26000 VALENCE

Et cela, est-ce à toi ?




Voici bien longtemps, un seigneur se promenait sur ses terres. Un paysan lui demanda à qui appartenait le château, bien visible avec ses tours, en haut de la colline.
- A moi, répondit le Seigneur.
Puis, pour étonner davantage encore le paysan, il ajouta :
- Vois-tu cette vaste forêt, ce beau lac, ces prés, ces champs… Tout cela m’appartient, c’est à moi.



L’homme le regarda longuement, puis il lui montra le ciel :
- Et cela, est-ce à toi ?
Si nous n’avons regardé jusqu’alors qu’aux choses matérielles qui ne sont que pour un temps bien limité ici-bas, laissons-nous interpeller par la question si sérieuse du paysan.
- Et cela, est-ce à toi ?
Jésus dit que la vie d’un homme ne dépend pas de ses biens, même s’il est dans l’abondance. Ce n’est pas l’héritage terrestre qui importe, mais l’héritage céleste, héritage qui ne consiste pas en propriétés et comptes en banque faramineux, mais qui découle de notre foi au Christ. Nous avons entendu la parole de Jésus : Ne vous amassez pas des trésors sur la terre… mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où les vers et la rouille ne détruisent pas, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent.
Le véritable croyant, qui a fondé toute sa foi sur Jésus-Christ crucifié et ressuscité peut dire, avec ce verset de la Bible : Pour nous, notre cité est dans les cieux…

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2003
471, avenue Victor Hugo – 26000 VALENCE

La force et la douceur du mariage





J’ai été profondément impressionné lorsque mon père, le jour de ses noces d’argent, a regardé sa femme en lui disant : « Pendant ces 25 années, je t’ai aimée chaque jour davantage ». Et c’était vrai ! Le mariage de mes parents n’a pas été un long refroidissement d’une vie commune, mais l’approfondissement d’un amour renouvelé.



Ils avaient réalisé la force et la douceur du mariage, à force de grande intimité et de partage pour la vie. C’est ce que souligne l’expression «ta compagne», si dévalué aujourd’hui, dans Malachie 2/14 : « L’Eternel est témoin entre toi et la femme de ta jeunesse, … elle est ta compagne et la femme de ton alliance ». Elle est «la femme de ta jeunesse», la femme de tes premières et vives affections, celle de tes joies et de tes peines passées. Elle a été ton aide, ton amie.

Maintenant, tu voudrais l’abandonner ? Non, n’agis pas perfidement. Ne trahis pas tes engagements envers celle qui te fait confiance. Sois fidèle, aimant et loyal. Elle est «la femme de ton alliance» que Dieu seul peut te permettre de respecter, celle envers laquelle tu t’es engagé, le jour de ton mariage, devant le Dieu vivant. Il en est témoin. Tu as promis de la chérir et de la protéger, de la traiter avec respect et tendresse. Ne l’oublie jamais.

Le manque de droiture, la corruption qui nous entoure, sont un grand danger à notre époque. Ne laissons pas germer l’amertume, ni se creuser un fossé dans notre couple. Prenons soin de notre relation conjugale, afin d’en préserver l’exclusivité et la pureté.

Chrétiens, Dieu veut nous donner les ressources pour vivre notre mariage d’une manière heureuse, dans un esprit de paix et de pardon!

Extrait de « Vivre aujourd’hui » 2003
471, avenue Victor Hugo – 26000 VALENCE

Pour lire la Bible




Pour résoudre une grille de mots croisés, il faut observer trois principes de base :

- Trouver un mot qui répond à la définition ;
- Respecter le nombre de lettres indiqué ;
- Vérifier que les lettres des mots perpendiculaires déjà inscrits conviennent bien.

Il est conseillé de ne pas s’attarder sur un mot qu’on ne trouve pas tout de suite, mais de parcourir d’abord toute la grille. Puis de recommencer. Chaque mot trouvé en cours de recherche, si petit soit-il, peut, par une seule de ses lettres, faire trouver un autre mot qui, à son tour, …



Si vous ne connaissez pas du tout la Bible ou très peu, et que vous voulez en entreprendre la lecture avec profit, abordez-la un peu comme des mots croisés.
Vous ne comprendrez sans doute pas tout à la première lecture. Il sera bon même de sauter les chapitres qui vous semblent fastidieux ou hermétiques. Vous les relirez plus tard et vous en saisirez le sens à la lumière de ceux que vous aurez déjà compris.
Certains textes vous plairont, d’autres vous étonneront. Gardez-vous de rejeter ce qui ne paraît pas conforme à votre logique ou à ce qu’on vous a enseigné.
Résistez aussi à la tentation de vous fabriquer une explication ou d’accepter une doctrine douteuse qui ne soit pas en accord avec l’ensemble des Ecritures. Vous risqueriez de ne plus comprendre le reste de la Bible.

Dieu a parlé : découvrez Sa Parole ; elle est aussi pour vous.

Maurice Renneteau
Extrait des méditations quotidiennes « Vivre aujourd’hui » 2003
471, avenue Victor Hugo – 26000 VALENCE