mardi 17 août 2010

Une priere qui a deranger





Peut-être aimerez-vous lire cette prière faite au Kansas à l’ouverture de la session à la Kansas House of Representatives.

Il semble que la prière dérange encore certaines personnes.
Quand le pasteur Joe Wright a été sollicité pour prononcer la prière d’ouverture de la session au Sénat du Kansas, tout le monde s’attendait à une prière ordinaire; mais voici ce qu’ils ont entendu

« Seigneur, nous venons vers toi aujourd’hui pour te demander pardon et pour te demander de nous guider. Nous savons que ta Parole nous dit : «Malheur à ceux qui appellent bien ce qui est mal» et c’est exactement ce que nous avons fait.
Nous avons perdu notre équilibre spirituel et nous avons renversé nos valeurs.
Nous avons exploité le pauvre et nous appelons cela ‘La loterie’.
Nous avons récompensé la paresse et nous avons appelé cela ‘L’aide sociale’.
Nous avons tué nos enfants pas encore nés et nous avons appelé cela ‘Le libre choix’.
Nous avons abattu des avorteurs et nous avons appelé cela ‘La justice’.
Nous avons négligé de discipliner nos enfants et nous avons appelé cela ‘Développer leur estime de soi’.
Nous avons abusé du pouvoir et nous avons appelé cela ‘La politique’.
Nous avons convoité les biens de nos voisins et nous avons appelé cela ‘Avoir de l’ambition’.
Nous avons pollué les ondes radio et télé avec la grossièreté et la pornographie et nous avons appelé cela ‘Liberté d’expression.’
Nous avons ridiculisé les valeurs établies depuis longtemps par nos ancêtres et avons appelé cela ‘Les Lumières’.
Ô Dieu, sonde notre cœur; purifie-nous et libère-nous de nos péchés, amen! »

La réaction fut immédiate. Un parlementaire a quitté la salle durant la prière. Trois autres ont critiqué la prière du pasteur et un autre a qualifié cette prière de « message d’intolérance ».

Dans les 6 semaines qui suivirent, l’Église Central Christian Church, où le pasteur Wright travaille, a reçu plus de 5.000 appels téléphoniques dont seulement 47 étaient défavorables aux propos du pasteur. Cette église reçoit maintenant des demandes du monde entier, Inde, Afrique, Asie, pour avoir la prière du pasteur Wright.

Avec l’aide de Dieu, puisse cette prière se répandre sur notre nation et que naisse dans notre cœur le désir que nous redevenions ‘un peuple sous le regard de Dieu’. Si c’est possible, passez cette prière à vos amis.

‘Si tu n’as pas le courage de te tenir debout pour une conviction, tu tomberas devant n’importe quelle autre.’

Le pasteur Joe Wright à la Chambre du Kansas, le 23 janvier 1996 .

Pas de bras, pas de jambes, pas de soucis





Je suis né sans membres. L’église entière a pleuré avec mes parents qui étaient anéantis. Si Dieu est amour, pourquoi laisse-t-Il un chose aussi atroce arriver à des chrétiens engagés?

Je m’appelle Nick Vujicic et je rend gloire à Dieu pour la manière dont Il a utilisé mon témoignage pour toucher des milliers de cœurs dans le monde entier ! Je suis né sans membres et les médecins ne savaient pas d’où venait cet « handicap » de naissance. J’ai dû faire face à bien des difficultés et des obstacles.

« Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés. »



Considérer nos blessures, nos douleurs et nos luttes comme rien d’autre qu’un sujet de joie ? Mes parents étaient chrétiens et mon père était même pasteur de notre église, ils connaissaient ce verset parfaitement. Pourtant ce matin du 4 décembre 1982 à Melbourne, en Australie, « Dieu soit loué ! » étaient les derniers mots leur venant à l’esprit. Leur fils aîné était né sans membres ! Ils n’avaient pas pu se préparer à cette épreuve car il n’y avait aucune raison médicale pour ce handicap. J’ai maintenant un frère et une sœur qui sont nés comme n’importe quel autre enfant.

L’église entière a pleuré ma naissance et mes parents étaient absolument anéantis par le chagrin. Tout le monde demandait : « Si Dieu est un Dieu d’amour, pourquoi laisse-t-il quelque chose d’aussi atroce arriver pas à n’importe qui mais à des chrétiens engagés ? » Mon père pensait que je ne survivrai pas longtemps mais les examens médicaux montrèrent que j’étais en parfaite santé, sauf qu’il me manquait quelques membres.

Mes parents étaient très inquiets et se demandaient quel serait mon avenir. Dieu leur a donné la force, la sagesse et le courage nécessaires à ces premières années et bientôt j’eus l’âge d’aller à l’école.

La loi australienne de l’époque ne me permettait pas d’être intégré dans une école ordinaire en raison de mon handicap physique. Dieu a fait des miracles et a donné à ma mère la force de lutter pour que la loi soit changée. J’ai été un des premiers handicapés à être intégré dans une école ordinaire.

J’aimais aller à l’école et j’essayais d’être comme tout le monde mais, pendant ces premières années d’école, j’ai dû faire face à des moments difficiles où je me sentais rejeté, étrange et un souffre-douleur en raison de ma différence physique. C’était très difficile pour moi de m’y habituer mais avec le soutien de mes parents, j’ai commencé à développer des attitudes et des valeurs qui m’ont aidé à surmonter ces moments difficiles. Je savais que j’étais différent extérieurement mais, à l’intérieur, j’étais comme tout le monde. Il y a eu des moments où je me suis senti si malheureux que je ne voulais plus aller à l’école pour ne plus avoir à faire face à tous ces regards négatifs. Mes parents m’ont encouragé à les ignorer et à essayer de me faire des amis en parlant avec les autres enfants. Bientôt ils se sont rendus compte que j’étais comme eux et à partir de là, Dieu m’a tout le temps béni en me donnant de nouveaux amis.



J’ai eu des moments de dépression et de colère parce que je ne pouvais pas changer la façon dont j’étais, ni blâmer quiconque pour cela. J’allais à l’Ecole du Dimanche et j’ai appris que Dieu nous aime tous et qu’Il s’intéresse à nous. Je comprenais cet amour jusqu’à un certain point quand j’étais enfant mais je ne comprenais pas que Dieu m’ait fait ainsi s’Il m’aimait ? Etait-ce parce que j’avais fait quelque chose de mal ? Je pensais que ce devait être cela puisque j’étais le seul enfant étrange de l’école. Je me sentais un fardeau pour ma famille et je pensais que, plus vite je mourrais, mieux ce serait pour tout le monde. Je voulais mettre fin à ma douleur et à ma vie mais je remercie mes parents et ma famille qui ont toujours été là pour me réconforter et me donner de la force.

Les tourments à l’école, ma honte de moi-même et ma solitude m’avaient causé des difficultés émotionnelles. Alors Dieu m’a donné un désir passionné de partager mon histoire et mes expériences pour aider d’autres personnes à supporter leurs propres difficultés et laisser Dieu en faire des bénédictions. Pour encourager et inspirer d’autres personnes à réaliser complètement leur potentiel et à ne pas laisser quoi que ce soit les empêcher d’accomplir leurs espoirs et leurs rêves.

Une des premières leçons que j’ai apprises a été de ne rien prendre comme allant de soi.

« Nous savons en outre que Dieu fait concourir toutes choses au bien de ceux qui l’aiment. »

Ce verset m’a touché au cœur au point que je suis maintenant convaincu que ces choses « désagréables » ne se trouvent pas par chance, par hasard ou par coïncidence dans nos vies.

J’ai ressenti une paix complète lorsque j’ai compris que Dieu ne laisserait rien m’arriver dans la vie sans une bonne raison. J’ai donné ma vie entièrement à Christ à l’âge de 15 ans, après avoir lu Jean 9. Jésus a dit que la raison pour laquelle l’homme était né aveugle était « afin que les oeuvres de Dieu soient manifestées en lui. » Je croyais vraiment que Dieu me guérirait pour que je sois un grand témoin de sa Puissance extraordinaire. Plus tard, j’ai reçu la sagesse de comprendre que si nous prions pour quelque choses, si c’est la volonté de Dieu, cela se passera en Son temps. Si ce n’est pas Sa volonté, c’est qu’Il a quelque chose de mieux en réserve.

Je vois maintenant cette Gloire révélée alors qu’Il m’utilise comme je suis et d’une façon qui n’est pas possible avec d’autres.



J’ai une passion pour le travail parmi les jeunes et je veux rester disponible pour l’œuvre que Dieu veut que je fasse, quelle qu’elle soit, et où qu’Il me mène, j’irai.

J’ai beaucoup de rêves et je me suis fixé beaucoup de buts à atteindre dans ma vie. Je veux devenir le meilleur témoin possible de l’Amour et de l’Espérance de Dieu, un orateur international chrétien et que Dieu m’utilise comme un récipient de Sa grâce pour les chrétiens et les non chrétiens. Je veux devenir indépendant financièrement d’ici l’âge de 25 ans grâce aux investissements immobiliers, je veux faire adapter une voiture pour que je puisse conduire et je voudrais être interviewé pour partager mon histoire au « Oprah Winfrey Show »! Ecrire des livres à succès est aussi un de mes rêves et j’espère finir d’écrire mon premier d’ici la fin de l’année. Il s’appellera : « No Arms, No Legs, No Worries! » [Pas de bras, pas de jambes, pas de soucis !]

Je pense que lorsqu’on a un désir passionné de faire quelque chose et que c’est la volonté de Dieu, on finit par y arriver. Nous autres, êtres humains, nous nous mettons constamment des limites sans aucune raison ! Ce qui est pire, est que nous mettons des limites à Dieu alors qu’Il peut tout faire. Nous mettons Dieu dans une « boîte ». L’aspect extraordinaire de la Puissance de Dieu, c’est que quand nous voulons faire quelque chose pour Dieu, au lieu de nous fixer sur notre capacité, il nous faut nous concentrer sur notre disponibilité car nous savons que c’est Dieu qui agit à travers nous et nous ne pouvons rien faire sans Lui. Une fois, que nous arrivons à nous rendre disponibles pour l’œuvre de Dieu, savez-vous sur quelles capacités nous nous reposons ? Sur celles de Dieu !

Que le Seigneur vous bénisse !

En Christ,

Nick Vujicic

J’ai 23 ans et je meurs à minuit, témoignage des derniers instants d’un condamné à mort





Quand vous lirez ceci, je serai mort. Nous sommes le 9 septembre, un mardi, à minuit. Je suis condamné à mort comme criminel. Depuis que je suis dans ma cellule, j’ai eu le temps de beaucoup penser. Quelques-unes de mes pensées – un avertissement aux criminels – ont été publiées aujourd’hui dans le journal de Chicago (Chicago Tribune) dans un article adressé aux « plus durs des endurcis »…

J’ai seulement 23 ans, mais je suis prêt à mourir. Savez-vous pourquoi? Parce que je suis prêt à rencontrer Dieu et j’en suis heureux. Cette semaine, j’ai fait un rêve que j’emporterai avec moi à la chaise électrique. J’étais sur le chemin du ciel, Jésus marchait avec moi, mais je faisais quatre pas tandis qu’il en faisait deux. Il me demanda pourquoi j’allais si vite et je Lui répondis que j’étais pressé d’arriver à la maison. Puis là-haut, je fus tout environné d’anges. Quelques-uns penseront que c’est bien étrange pour un homme qui est entré athée à la prison, mais c’est exactement ce qui s’est passé, et vous comprendrez mieux quand je vous aurai dit comment j’ai rencontré Dieu, un matin de bonne heure.

Tout d’abord, jetez un regard sur mon passé. Il y a sept ans, j’étais un type qui se faisait valoir, chef de mon propre « gang » des « plus durs des endurcis »… Nous étions huit. L’un était EarI Parks surnommé « Risette », car il vous aurait tué le sourire aux lèvres. Un autre était Charles Jones, connu sous le nom de « Beau gosse », car il avait l’allure d’un joli garçon. Les autres étaient: Herbert Liggins, connu sous le nom de « Patte folle », car il traînait une jambe, William Lee était appelé « BilI le Sauvage », et Charles Hill s’appelait « Colorado Kid »; Clyde Bradford, lui, était si noir que nous l’appelions « Tout bleu ». Le « timonier » était Percy Beilmar. Nous l’avions surnommé ainsi parce qu’il était bon chauffeur; mon timonier numéro 1. Tous sont en prison sauf Parks qui a été exécuté. Ils m’appelaient « Nénesse, le Gaspilleur et le Coureur de femmes ». J’essayais d’agir comme un « caid », sortant toujours de ma poche une « brique », quelquefois deux ou trois.

Quand j’ai commencé à faire tous ces tours, j’étais encore un gosse. Ma famille cherchait à m’envoyer à l’école du dimanche et à l’église. Plus d’une fois, ils m’ont donné de l’argent pour que j’y accompagne mes jeunes soeurs, mais je n’y suis jamais allé. Je faisais promettre à celles-ci de ne rien dire, et pendant ce temps je courais au cinéma. ,Je disais à mes parents que j’étais allé à l’église, et ils ne s’apercevaient de rien. Le crime était en moi, et les films que je voyais m’aidaient à concrétiser mes idées. J’y apprenais quelques trucs qui m’instruisaient sur la « façon de s’y prendre ». Je me souviens du jour où J’ai vu le film « J’ai volé un million ». J’étais là, désirant être le gars qui possédait le million.

Puis j’ai décidé d’apprendre la boxe, pensant que j’étais « costaud » et qu’ainsi je pourrais me défendre à l’occasion. Je pensais aussi que ça pourrait cogner dur un jour. Je fus le meilleur de ma classe pendant un moment, puis devins « pro » et combattis comme poids moyen pendant cinq ans. Je terminai comme poids mi-lourd; le seul homme à me mettre k.o. fut Jimmy Bovins. A 18 ans, je me trouvais dans une maison de correction dans l’état de l’illinois, pour vol à main armée. En octobre, huit d’entre nous s’échappèrent, mais le mois suivant je me retrouvais au pénitencier « Joliet ». J’avais été capturé pour meurtre dans un parc de Chicago, mais fus libéré sur parole en juin. lI semblait que cela dût être une leçon pour moi, mais il n’en fut rien.

Six mois plus jard, j’étais chef d’un nouveau « gang »; cela dura jusqu’au 9 février dernier. Ce soir-là, trois d’entre nous attaquèrent Max Barren, 49 ans, dans son bar situé à l’ouest de Chicago. Barren essaya de saisir un pistolet; je bondis sur lui, mais il était décidé à tirer. Je compris aussitôt que ce serait lui ou nous, alors je tirai à bout portant et le tuai. Nous déguerpîmes avec l’argent, 300 Dollars en tout, que je donnai plus tard aux autres gars. Je m’enfuis à NewYork, puis à Atlanta, où la police m’arrêta. Quelques semaines plus tard je comparus devant la cour de Chicago.

« Reconnu coupable », ainsi retentit le verdict. « Vous êtes condamné à mort … » dit le juge sévèrement. Ainsi j’entrai à Death Row, le « sentier de la mort ». Il n’y avait pas très longtemps que j’étais derrière les barreaux, le 23 mars dernier, quand une femme de ma race – Mme Flora Jones, de l’Eglise Baptiste d’Olivet – vint m’inviter à assister au service religieux pour les détenus. J’étais en train de jouer aux cartes avec d’autres copains et lui ris au nez. « Pourquoi faire? » lui dis-je, « je ne pense même pas qu’il y ait un Dieu »; mais tandis que je jouais, la femme insistait. Je me sentais si pécheur, qu’en réalité je ne voulais rien savoir de Dieu, ni même s’Il existait. Ainsi, J’ignorai cette femme. Tout-à-coup, ce qu’elle dit attira mon attention. « Si vous ne croyez pas en Dieu », cria-t-elle de l’autre côté des barreaux, « essayez seulement cette petite expérience: ce soir, avant de vous endormir, demandez-Lui de vous réveiller à une certaine heure; puis demandez-Lui de vous pardonner vos péchés. »

Elle avait une telle foi que j’en fus saisi. Je n’ai pas assisté au service ce soir-là, mais je décidai de faire l’expérience. Allongé sur ma paillasse, je murmurai: « Mon Dieu, si Tu existes, réveille-moi à 2 heures 45. » Dehors, c’était l’hiver, et les fenêtres se givraient à l’intérieur. Pendant les premières heures de la nuit, je dormis profondément, puis mon sommeil devint plus léger; finalement, je m’éveillai complètement. J’avais chaud et transpirais quoique la cellule fût froide. Tout était calme, sauf le bruit régulier de la respiration de quelques détenus et le ronflement d’un voisin. J’entendis des pas au dehors; c’était un gardien qui faisait sa tournée réglementaire. Quand Il passa, Je l’arrêtai et lui demandai l’heure. Il regarda sa montre et dit: « Trois heures moins le quart. » « C’est la même chose que 2 heures 45, dites-voir? »

Tandis que je posais cette question, mon coeur se mit soudain à battre violemment dans ma poitrine. Le gardien grogna et s’éloigna; il ne me vit pas glisser au pied de ma paillasse et tomber à genoux. Je ne me souviens pas de ce que je dis à Dieu, mais je sais que je Lui demandai d’avoir pitié de moi, un assassin et un pécheur. Il m’a sauvé cette nuit-là, je le sais, et depuis, j’ai toujours cru en Son Fils Jésus. J’avais promis une « rossée » à un autre détenu pour le jour suivant. Le matin, quand j’allai vers lui, il recula et me dit: « Je n’ai pas envie de lutter avec toi, car tu t’y connais dans la boxe. » – « Je ne veux pas boxer », lui dis-je, « je viens seulement pour te voir. » Plusieurs s’étaient réunis pour nous voir lutter, mais ils furent désappointés. Dieu m’avait délivré de mon péché et je n’avais plus aucune envie de me battre. Plus tard, le bruit courut que je méditais quelque tour pour éviter d’aller à la chaise électrique.

Mon cas passa devant la Cour suprême de l’illinois qui maintint la sentence de mort. Cela me « fit un coup », mais je ne perdis pas la foi en Dieu. – Je sais maintenant qu’Il ira avec moi; ainsi, vous voyez, je n’ai vraiment pas peur. Avant de mourir, je veux laisser un message pour les autres jeunes: Commencez à servir le Seigneur pendant que vous êtes jeunes, avancez sur ce chemin, et Il vous gardera dans la droite ligne. Quand on commence à tuer, on est vaincu et li est difficile d’en sortir. C’est exactement comme pour l’habitude de fumer ou de boire, on en est esclave, on ne peut pas s’arrêter. Oui, je serai mort quand vous lirez ceci, mais écoutez mon conseil: « … le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur », dit la Bible. J’ai découvert que c’était vrai.

Aujourd’hui 22 octobre, le directeur Frank Sain m’a dit que le gouverneur Green m’accordait un délai d’exécution jusqu’au 24 octobre. Je suis toujours heureux et ne crains rien. Je mourrai demain, à minuit.

Ernest Gaither

Peter Tanis, missionnaire des prisons a accompagné Ernest Gaither à la chaise électrique. Voici la description des derniers moments du détenu: J’ai été autorisé à entrer dans la cellule d’Ernest à peu près une heure avant minuit. L’atmosphère était lourde, les gardiens se tenaient autour de la cellule, bavardant pour détourner sa pensée « du voyage de minuit ». Mais leur conversation était forcée, et ce qu’ils disaient n’avait aucun sens. Lorsque je suis entré dans sa cellule, Emest sourit et me salua. Un aumônier noir était en train de lire la Bible avec lui. Il me donna le Saint Livre et me demanda de lire. Ernest se pencha en avant et écouta attentivement tandis que je lisais: « Car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain… je suis pressé des deux côtés: j’ai le désir de m’en aller et d’être avec Christ, ce qui de beaucoup est le meilleur »

Il reçut un grand réconfort de ce verset: « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi ». Quand l’horloge sonna la dernière heure de sa vie, il cita ce verset par coeur. Dehors, les gardiens écoutaient sans rien dire, certains avaient les larmes aux yeux. A 11 heures et demie environ, nous eûmes une réunion pendant laquelle nous chantâmes des cantiques. Ernest voulut chanter: « Quand l’appel de Dieu retentira, je serai là. » Tandis que les derniers sons d’un autre cantique « Quelques mots avec Jésus » se faisaient entendre, les gardiens vinrent avec une tondeuse pour couper les cheveux de l’homme à la voix de ténor. Juste avant minuit, Ernest pria: « Seigneur », dit-il à voix basse, « quand je suis entré ici, je haïssais ces gardiens; mais maintenant, je les aime, Seigneur. O Dieu, j’aime tous les hommes. » Puis il pria pour ceux auxquels il avait fait de la peine, pour sa mère, demandant au Seigneur de la bénir; et Il conclut en disant: « Je ne vais pas mourir par électrocution, je vais seulement m’assoir sur la chaise et m’endormir. »

Quelques minutes plus tard, une cagoule noire fut posée sur sa tète, et il commença à parcourir les derniers mètres. De chaque côté de la chaise se tenaient des gardiens qui paraissaient visiblement nerveux. Ernest le sentit et leur dit: « Pourquoi tremblez-vous ainsi? Je n’ai pas peur. » Soixante-quinze témoins étaient présents quand le condamné fut attaché par des mains fébriles sur la grande chaise noire que faisait ressortir un plancher d’acier sans tâche. A minuit et trois minutes, le premier des trois chocs électriques passait à travers le corps d’Ernest. A minuit et quart, cinq docteurs en tenue confirmèrent la mort, l’un après l’autre. Mais je savais que le vrai Ernest Gaither était encore vivant et que son corps seulement était mort. En quittant la prison, je pensais au verset qu’il aimait tant: « Car Christ est ma vie, et la mort m’est un gain. »

Se moquer de Dieu ?




Il est possible de refuser de croire que Dieu existe avec des arguments à l’appui…
Il est possible de croire que Dieu existe avec des arguments à l’appui…
Il semble qu’il soit possible de mettre Dieu à l’épreuve….
Félix Nef pria ainsi «oh Dieu si tu existes sauve mon âme si j’en ai une…»
Il devient le plus grand pasteur itinérant de son temps…

Mais il semble qu’il soit dangereux de se moquer de lui, ou de le défier…
Surtout à la lecture des quelques anecdotes qui suivent :

En mars 1966, cinq mois avant la troisième tournée américaine d’été (les deux premières eurent lieu en 1964 et en 1965), John Lennon donne une interview à Maureen Cleave, une amie journaliste. Il lance : «Le christianisme disparaîtra. Il s’évaporera, rétrécira. Je n’ai pas à discuter là-dessus. J’ai raison, il sera prouvé que j’ai raison. Nous sommes plus populaires que Jésus désormais…»
Sous les yeux de Yoko, Mark David Chapman, un homme complètement déséquilibré, l’abat de cinq balles de revolver calibre 38.

Au Brésil, à l’occasion d’une campagne présidentielle, Tancredo Neves (4 mars 1910 – 21 avril 1985) dit que si même son parti gagnait qu’avec 500 voix d’avance, Dieu ne pourrait pas lui retirer la présidence de la république
Le 15 janvier 1985, Tancredo Neves fut élu à la présidence avec une majorité au Congrès. Il tomba subitement malade une journée avant de prêter serment (15 mars 1985). Il souffrit de complications abdominales et développa des infections généralisées. Après sept opérations, Tancredo Neves décéda le 21 avril 1985. Il n’a jamais prêté serment et jamais exercé le pouvoir en tant que président.

Lors d’un concert au Brésil, Cazuza aspira une bouffée de fumée d’une cigarette forte et l’expulsa vers le haut en disant: “Dieu, ça c’est pour Vous!”
Cet homme est mort jeune à cause du sida dans des circonstances pénibles.

Toujours au Brésil, à Campinas, un groupe d’amis déjà enivrés, allèrent prendre la dernière copine pour la ballade. Ils s’arrêtèrent devant la maison de la jeune fille. Celle-ci vint accompagnée de sa mère. La maman, vu l’état de tous ces gens ivres, saisit la main de sa fille qui entrait déjà dans le véhicule et dit: “Ma fille, que le Seigneur te protège“. Cette dernière lui répondit: “Si Dieu pouvait voyager dans le coffre de la voiture, ainsi nous aurions un peu plus de place… » Quelques heures plus tard, le message parvint aux familles des jeunes qu’un accident avait eu lieu. Tous les jeunes étaient morts, et la voiture était complètement broyée, sauf le coffre qui était resté intact. La police fut surprise de constater que le coffre n’avait rien et qu’en plus dedans il y avait un plateau avec 18 œufs intacts.

Marilyn Monroe fut visitée par Billy Graham (pasteur protestant baptiste) lors d’un concert. Ce prédicateur de l’évangile fut envoyé par l’Esprit Saint en ce lieu, pour exhorter Marilyn. Mais après avoir entendu le message, elle dit: “Je n’ai pas besoin de Jésus » Une semaine plus tard, en ce début d’Août 1962 elle fut retrouvée morte dans son appartement.

Bon Scott Ex Chanteur de l’ensemble AC/DC chanta en 1979 « Don’t stop me, I’m going down all the way, wow the highway to hell ». (Ne m’arrête pas… Je vais suivre le chemin jusqu’à la fin de l’autoroute de l’enfer).
Le 19 février 1980, Bon Scott fut retrouvé mort, étouffé par ses propres vomissements.

Lors de sa construction, il fut désigné comme le plus grand paquebot de l’époque. Le jour de son départ en haute mer, un reporter posa la question suivante au constructeur: “Qu’est ce que vous avez à dire à la presse concernant la sécurité du navire ? » L’homme dit sur un ton ironique: “Même Dieu ne peut pas faire sombrer mon bateau ». C’était le Titanic et tout le monde sait dans quel dramatique naufrage ce bateau n’atteignant même pas une fois l’Amérique et tant de passagers périrent….Ce fut le plus grand naufrage de la marine commerciale.

Dans les années 80, en Roumanie des panneaux publicitaires disaient : « Sans Dieu ni maître nous moissonnerons » Cette année là il y eut un été si pluvieux au point que la récolte a pourrit dans les champs…. Ce fait fut rapporté par Christian Sandru, fils d’un pasteur roumain, qui vit aujourd’hui au Canada.

Beaucoup d’autres personnes importantes ont oublié qu’il n’y a aucun autre Nom donné avec autant d’autorité que celui de JESUS. N’oubliez pas ceci: beaucoup sont morts, mais 1 seul est ressuscité: Jésus!
Un texte biblique dit : «…Car il n’y a sous le ciel aucun autre nom donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés…» Actes 4.12.

Un petit exercice................................spirituel





Chers frères et sœurs,


Je vous propose un petit exercice qui vous aidera certainement dans votre cheminement spirituel, dans votre relation avec Dieu.



1° chose : Vous devez avoir en main votre Bible

2° chose : Vous devez être disposé à la lire

3° chose : Vous devez méditer sur ce que vous allez lire par rapport à votre vie spirituelle

4° chose : Vous devez prier en demandant à Dieu de vous aider

5° chose : Vous devez être disposé à partager ton expérience avec les autres chrétiens de ton entourage

6° chose : Vous êtes appelé fraternellement à donner votre réaction



Passons maintenant à l'exercice. Votre Bible en main, je vous demande de lire la première Epître de Paul aux Corinthiens en son chapitre 13, versets 4 à 7.



L'exercice consiste à remplacer dans ce passage le terme de charité

( amour dans d’autres versions ) par votre prénom.



Par exemple, le passage qui dit : « La charité est patiente, elle est pleine de bonté; la charité n'est point envieuse; la charité ne se vante point, elle ne s'enfle point d'orgueil, » deviendra pour mon cas : Bertrand est patient, Bertrand est plein de bonté, Bertrand n'est point envieux; Bertrand ne se vante point, Bertrand ne s'enfle point d'orgueil,... ". C'est à ce moment que ça devient intéressant, car je dois me poser la question de savoir si j'ai vraiment ces caractéristiques, si je me comporte selon ce que je lis. Si tel n'est pas le cas, je dois arranger ma vie par rapport aux Ecritures. A ce propos, j’ai toujours pensé que l’important n’est pas de connaître, mais de mettre en pratique la Parole de Dieu.



A vous de jouer maintenant.



Merci et à bientôt.

12 leçons sur la vie chrétienne





PREMIÈRE: Les résultats de la nouvelle naissance
DEUXIÈME: L'Assurance du salut
TROISIÈME: La protection constante de Dieu
QUATRIÈME: La victoire sur la Tentation
CINQUIÈME: Le chrétien dans la vie pratique
SIXIÈME: Prières et louanges
SEPTIÈME: À la recherche de la volonté de Dieu
HUITIÈME: Le choix d'une église
NEUVIÈME: Enseveli dans les eaux du baptême
DIXIÈME: Étude approfondie des Écritures
ONZIÈME: Témoigner et évangéliser pour Christ
DOUZIÈME: Une vie qui compte

ETRE DISCIPLE




Le disciple n'est pas plus que son Maître...Il suffit au disciple d'être traité comme son Maître (Evangile selon Matthieu, ch.10, v.24 et 25).

Etre disciple de Jésus-Christ, c'est accepter d'être traité comme Il l'a été. Ce rappel une évidence. Pourtant que de fois nous l'oublions ! C'est pour cela que les incompréhensions nous blessent. Serons-nous jamais aussi incompris qu'Il ne l'a été, nous sommes malheureux lorsque notre témoignage est rejeté; les injures (pourtant bien rares) nous découragent... et que dire des épreuves ? Nous ne les comprenons pas; nous adressons à Dieu un nombre impressionnant de pourquoi, comme si les épreuves n'étaient pas le lot normal du disciple, comme si le Maître n'avait jamais dû affronter injures, rejet et mépris.

Moïse a regardé l'opprobre du Christ comme une richesse plus grande que tous les trésors de l'Egypte. Il y en avait pourtant des trésors en Egypte ! L'opprobre, qu'est-ce donc ? C'est précisément le fait d'être méprisé, compté pour rien, regardé comme rétrograde, pas à la page, intolérant,... peut-être, traité même comme membre d'une secte. Combien de chrétiens, hélas, seraient prêts à toute sorte de compromis pour échapper à cette accusation-là !

L'opprobre, c'est peut-être aussi quelque réelle souffrance. Dans certains pays, bien de nos frères et soeurs en Christ en auraient long à dire à ce sujet !

Et cet opprobre, l'auteur aux Hébreux nous rappelle qu'il faut le porter hors du camp (Epître aux Hébreux, ch.13, v.13). Cela signifie que, quoique dans ce monde, nous n'en sommes point et n'avons plus rien de commun.

La bouteille brisée






Georges, chrétien plein d'amour, témoignait partout de sa foi. Son collègue de travail, un pharmacien du nom de Henry, lui tenait particulièrement à coeur. Mais chaque fois que Georges lui parlait du Seigneur, Henry tournait ses propos en dérision. Un jour, une petite fille présenta à Henry une ordonnance pour sa mère alitée. Il mélangea quelques drogues, versa le contenu dans un flacon qu'il remit à la petite fille. Celle-ci franchit prestement la porte et s'en alla en courant. Lorsque le pharmacien remit les bouteilles en place, il constata avec horreur et stupéfaction qu'il avait pris par mégarde une bouteille contenant un poison mortel. Il ne connaissait pas la fillette, ni son adresse. Henry fut terriblement tourmenté. Dans quelques instants, la mère allait avaler le breuvage mortel. Cette pensée Iui donnait des sueurs froides. Quelles conséquences dramatiques allait avoir cette affaire ? Non seulement pour cette famille, mais aussi pour lui et sa carrière? Soudainement, il se souvint de son collègue Georges et du Dieu dont il lui avait souvent parlé. Immédiatement, il se mit à genoux et implora le secours de ce Dieu qu'il ne connaissait pas mais qui, selon Georges, est vivant et sait faire des miracles. Il pria intensément, demandant à Dieu d'intervenir dans cette situation. Soudain, la porte s'ouvrit et la petite fille, éplorée, dit au pharmacien :«Je suis désolée, Monsieur, mais j'ai trébuché sur la route. Pouvez-vous me donner une autre potion?» C'est avec joie et grand soulagement que le pharmacien s'exécuta. Cet incident bouleversa la vie d'Henry et il ne fut plus jamais le même, car il savait maintenant d'expérience que Dieu exauce les prières. 11 se convertit à Jésus-Christ Application : Parlons du Sauveur à nos collègues de travail. Tôt ou tard, la semence germera et donnera du fruit. « Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche elle ne retournera point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins.