Il y a quelques années, au cours d’un dîner offert en son honneur, un acteur connu accepta, à la demande d’un des invités, de déclamer un poème dont il laissa le choix à l’assistance. Un monsieur âgé exprima le désir d’entendre réciter le Psaume 23.
L’artiste, visiblement surpris, posa une condition : " Je veux bien réciter ce psaume, mais à une condition : que vous le récitiez vous-même après moi . "
L’acteur commença à déclamer le psaume de David. La diction était parfaite, l’auditoire, sous le charme, ponctua d’applaudissements la fin de la récitation.
Le calme revenu, le vieux monsieur enchaîna. Sa voix était tremblante. Quand il eut terminé, il n’y eut pas d’applaudissements, mais plusieurs invités essuyèrent des larmes.
L’artiste s’approcha alors du vieillard pour lui dire : " J’ai charmé les oreilles, vous avez touché les cœurs. Pourquoi cela ? Je connais le Psaume 23, mais vous, vous connaissez le Berger ".
Et nous, connaissons-nous Jésus le bon Berger ? Pour pouvoir véritablement parler du berger, il faut d’abord avoir ressenti ce besoin de délivrance de notre péché et s’être confié en celui qui est venu à notre recherche. Si nous avons accepté le salut qu’il nous offre, nous pourrons ensuite apprécier la force et le soutien qu’il donne et nous reconnaîtrons sa voix.
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