lundi 3 mai 2010

ATTENDRE, SUPPLIER OU CROIRE ET RECEVOIR !




On raconte quelque part ce touchant récit : Un jeune homme tourmenté dans son âme se demandait un jour : «Que dois-je faire pour être sauvé ?»

Il alla voir un ami qu'il croyait être chrétien et lui raconta ses angoisses et ses perplexités. «Attends que Dieu te communique sa grâce» lui fut-il répondu ! Il attendit des mois ! Son angoisse augmentant, il alla voir un autre de ses amis. Celui-ci lui conseilla, non d'attendre, mais de prier, de supplier Dieu inlassablement jusqu'à ce que le Seigneur daigne lui accorder ce qu'il demande !

Il pria, supplia Dieu pendant des mois avec ardeur, mais n'ayant pas de réponse, découragé, il alla consulter un autre ami qu'il savait être un chrétien convaincu et lui demanda ce qu'il devait faire dans ce cas !

Il lui fut alors exposé le plan si simple du salut de Dieu ; «c'est le Seigneur qui t'attend, lui dit-il» ; c'est Lui qui te supplie d'accepter le pardon qu'il t'offre par Jésus son Fils, qui par sa mort a apaisé la colère divine».

Ce jeune homme comprit alors son erreur et prenant la Parole de Dieu au mot, il se réjouit de la grâce qu'elle lui apporta et qui faisait de lui un être régénéré, sauvé, pardonné, un enfant de Dieu.

DRÔLES DE CROYANTS.




Il y a des croyants qui sont comme des canots : II faut la pagaie pour les faire avancer.

D'autres sont comme un ballon de rugby : vous ne savez jamais de quel côté ils vont se lancer et rebondir. Certains ressemblent à des remorques: II faut toujours les traîner derrière soi. D'autres encore sont comme la brouette qui ne marche que si on la pousse vigoureusement.

Certains ressemblent à ces lampes de néon, brillant d'une vive lumière, mais dont la clarté est intermittente, sujette à de brusques arrêts.

Il y a aussi ceux qui ressemblent au cerf-volant. Si on ne tient pas ferme la ficelle, ils risquent de s'envoler et d'aller se perdre bien loin.

Mais il y a aussi, parmi les croyants, ceux qui appartiennent au Seigneur Jésus et qui s'exercent de marcher sur ses traces dans la foi et dans l'obéissance. Frères et sœurs soyons de ceux-là, les yeux portant sur Jésus notre noble modèle.

La première fois de sa vie..




Nancy a 6 ans. Mais cette si belle enfant n’ a jamais sauté à la corde ni joué à la marelle. Ses pieds sont déformés. Elle a toujours dû porter des chaussures orthopédiques. Dans la ville où elle habite, il y a une Église où l'on prie pour les malades. Et le pasteur a fait savoir que durant 4 dimanches de suite, c'est ce qui se­ra fait au cours de " réunions spéciales ". Nancy et sa maman s'y rendent. Le prédicateur affirme que "Jésus est toujours le même " Hébreux 13/8, que ce qu' il a fait, il peut encore le faire ! Pour encourager la foi de ses auditeurs, le pasteurs a parlé de ce récit de l’ Évangile où l’on voit Jésus ressuscitant une fillette qui était morte. Marc 5/35-43

Sur le chemin de la maison Nancy dit : « Maman, si Jésus a pu ressusciter une fillette morte, il peut aussi guérir une petite fille , qui a mal aux pieds, n'est ce pas ? »

« Mais oui, bien sûr, ma chérie » répond la mère émue mais embarrassée.

« Alors maman il pourrait me guérir ? »

« Oui, oui, ma petite, certes, mais hâtons nous de rentrer »!

Après un instant de silence Nancy reprends :

« Dis maman, je voudrais retourner demain à cette réunion où l'on prie avec les malades, tu veux bien ?»

« Mais oui chérie, si ça peut te faire plaisir »

« Alors, maman, il faut arrêter la voiture devant le grand magasin, tu sais, celui où l'on vend de tout .... »

« Mais Nancy, pour quoi faire ? »

« Pour acheter. des souliers, maman, pour ,quand je serai guérie..."

La mère bouleversée par cette foi enfantine hésite, mais ne peut honnêtement trouver d’excuse valable.

« Bien, Nancy, dit-elle, quelque peu anxieuse, nous allons nous y arrêter. »

Au rayon des chaussures, une vendeuse s'approche avec un aimable sourire :

« puis-je vous aider ? »

« Qui , madame, cette petite demoiselle aimerait choisir, une paire de souliers. »

Le sourire de la vendeuse se fige un peu ,quand elle voit les chaussures orthopédiques de Nancy. Mais la maman lui fait un signe et la vendeuse revient au bout d'un instant avec des chaussures brunes à tiges …

« Non, dit Nancy pas comme ça.. Je veux des souliers tout blancs avec un pompon dessus ; comme ceux-ci, dit-elle on en montrant une paire du doigt. »

« tout de suite, petite chérie, je vois te les apporter... »

Nancy les caresse et déclare toute joyeuse ; "comme ils sont beaux ! Merci maman"

La vendeuse a de la peine à retenir ses larmes et fait un beau paquet de fête.

C'est le soir maintenant , et Nancy dort. Mais sur son oreiller, il y a les deux jolis souliers blancs. . . .

Le lendemain, maman et Nancy sont bien avant l'heure à l'église. Le joyeux service se déroule. Et voici le moment de la prière et de l'imposition des mains aux malades. Et boitillant, Nancy s’approche du pasteur et de ses aides . C'est son tour. .

« Que faut-il demander à Jésus pour toi, chérie ? » Questionne l’homme de Dieu

« Qu'il guérisse mes pieds qui ne sont pas droits ! »

« oui, bien sûr, c'est ce ,que nous allons faire. Et que tiens-tu à la main ? "

« Un carton avec des jolis souliers, pour quand je serai guérie ..»

Tout l'auditoire, par un micro, a entendu ... et s'est levé spontanément. Avec quelle ferveur n' intercède -t-on pas pendant que le pasteur bouleversé par tant de foi simple et confiante, prie en pleurant pour Nancy, tout en lui imposant les mains.

La prière s'est tue. Nancy s'est assise ; elle ôte ses chaussures médicales...

Rien ne s'est passe....

Puis, au moment où elle prend ses souliers blancs, cric ....

On a entendu un petit craquement et ses pieds se sont redresses ! Joie, Joie, pleurs de joie !

Et Nancy part , tenant la main.. de sa mère et sautillant pour la première fois de sa vie...

GRATITUDE.




Une équipe de porteurs indigènes s'endormit si profondément autour d'un feu de camp que le feu s'éteignit, ce qui permit à un lion d'en profiter pour s'emparer de l'un d'eux. Aux cris de ce dernier, les autres se réveillèrent et parvinrent à chasser le lion qui laissa cependant sa proie horriblement mutilée. L'enveloppant dans un pagne, ils s'empressèrent de l'amener à la station missionnaire la plus proche, où le missionnaire le soigna de son mieux.

A l'étonnement de tous, il se rétablit rapidement. En quittant le missionnaire, il lui promit de revenir. Longtemps après, un groupe d'indigènes arriva à la mission. Le chef s'adressa au missionnaire: «Vous ne me reconnaissez pas? C'est moi que vous avez guéri en telle circonstance. Voici toute ma famille avec tous mes biens. Nous sommes tous à vous, tout ce que j'ai est à vous car vous m'avez sauvé la vie !»

Et vous qui avez été déchirés, meurtris par le diable qui rôde comme un lion rugissant, vous que Jésus est venu guérir et sauver, arracher des griffes de Satan, ne voulez-vous pas manifester au Seigneur votre gratitude en lui offrant votre vie, en la mettant à son service ?

La meilleure preuve.




Une marchande de fruits était assise a l'entrée d'un pont derrière son étal. Lorsqu'elle n'avait pas de clients, elle utilisait son temps à lire la Bible.

Quelle livre lisez-vous donc lui demanda quelqu'un qu'elle venait de servir.

C'est la Bible, Monsieur, la parole de Dieu.

Qui vous a raconté que la Bible est la parole de Dieu?

Dieu lui-même! Ah vraiment! Dieu vous a parlé?

La vendeuse fut un peu embarrassée. Puit levant les yeux, elle montra le soleil éclatant et dit: Monsieur, pouvez-vous me prouver que c'est le soleil?

Vous le prouver? mais vous voyez bien qu’il me donne

la lumière et la chaleur. C'est exactement cela! s'écria la femme. La preuve que la Bible est véritablement la parole de Dieu, c'est qu'elle donne a mon cœur la lumière et la chaleur.

Laissons le jouer de notre vie.




Un étranger demanda un jour à un organiste qui appréciait beaucoup son instrument de lui permettre de jouer sur son orgue. Il déplaisait à l'organiste de confier son instrument à ce visiteur inconnu et il refusa. A la fin cependant, il se laissa persuader, et donna l'autorisation demandée. Quand, sous des mains de maître, la plus merveilleuse musique se fit entendre, des larmes coulèrent le long des joues de l'organiste, sous le charme des mélodies harmonieuses. Lorsque l'étranger s'arrêta et s'apprêta à partir, l'organiste lui demanda son nom. — «Mendelssohn», fut la simple réponse. C'était bien le grand musicien qui était venu lui faire une visite. — «Pensez que je lui ai presque refusé de le laisser jouer sur mon instrument», disait ensuite l'organiste.

Notre vie est un instrument sur lequel peut être joué un hymne à la louange de Dieu et pour la bénédiction des hommes. Dieu lui-même peut se servir de nous à cette fin si nous nous mettons à sa disposition. N'hésitons pas à lui permettre de nous employer comme il le désire. Quel regret serait le nôtre au dernier jour, si nous employions notre vie pour notre propre satisfaction au lieu de la mettre à la disposition de Dieu !

LE PAUVRE DE L' ATHÉISME.




Il y a quelques années, un dénommé Martin Thorn, passa par la chaise électrique dans la prison de Sing-Sing, subissant la peine capitale pour le meurtre d'un homme.

Peu avant sa mort, il avait avoué dans sa prison à un visiteur chrétien : «Je n'ai pas toujours été mauvais. J'étais, au départ, un gentil garçon et un honnête homme. Je croyais à la Bible, en Dieu et à la Vie future. Je me plaisais dans la compagnie des chrétiens et des gens respectables. L'erreur fatale dans ma vie fut de lire un livre écrit par le célèbre athée le colonel Ingerson. Je regrette sincèrement que les idées athées aient existé. Je regrette amèrement d'avoir lu une seule ligne de ces écrits.

«La lecture de ce livre était pour moi le premier pas loin de Dieu et du ciel. Depuis lors, ma chute n'a cessé de s'accélérer, jusqu'au moment où Je suis tombé dans le crime le plus noir; et maintenant j'ai en face de moi une mort ignoble.»

Meilleur que toi !




On raconte l'anecdote suivante sur un certain «saint» qui s'appelait Antoine, qui ne faisait que prier et lire sa Bible des heures durant chaque jour. Avec le temps, il devint un homme de bien. Mais un jour, le Seigneur lui dit qu'il y avait un homme meilleur que lui ! Antoine fut étonné parce qu'il continuait à passer son temps dans la méditation pieuse. «Celui dont je te parle», lui dit le Seigneur, est cordonnier et habite Jérusalem».

Antoine, poussé par sa curiosité, rendit visite au cordonnier dans le seul but d'apprendre le secret de sa vie meilleure. Le cordonnier fut surpris qu'on vînt lui poser cette question, mais devant l'insistance de l'homme, il lui donna cette explication : «Si vous voulez savoir ce que je fais, cela ne me dérange pas de vous le dire : j'aime le Seigneur Jésus, le matin ; le soir, je médite sa Parole. Dans la journée, les gens m'amènent leurs chaussures, et je répare chaque paire comme si c'était pour le Seigneur lui-même».

Résurrection d'un moine bouddhiste.




Asie du Sud-Est : Myanmar ( Burma )

En l'an 1998, un moine bouddhiste de Myanmar ( anciennement appelé Burma ) est décédé. Quelques jours après son décès, la cérémonie d'ensevelissement devait avoir lieu ; la tradition locale exigeait que le corps soit brûlé. La processus de décomposition du corps avait déjà commencé et la désintégration de celui-ci était déjà bien entamée. La personne était donc vraiment morte, nous relate l'œuvre missionnaire « Asian Minorities Outreach ». Après s'être informés auprès de différentes sources, les responsables de cette œuvre chrétienne nous certifient l'authenticité de ce récit.

Voici ce qu'ils racontent : « Des centaines de moines et parents du mort ont assisté à cette cérémonie. A l'instant précis où on devait mettre le feu au cadavre, le mort s'est soudainement assis en s'écriant : « c'est tout du mensonge ! » Les spectateurs, frappés d'étonnement, étaient littéralement figés. La mort continua : « On nous a raconté des mensonges ! J'ai vu comment nos ancêtres étaient torturés et comment ils brûlaient dans une sorte de feu. Là-bas, j'ai aussi vu Bouddha et ses nombreux saints bouddhistes. Ils se trouvaient tous dans une mer de feu ! »

Cet homme ressuscité pressait les gens en leur disant : « Nous devons écouter les chrétiens, car eux seuls connaissent la Vérité ! » La région toute entière fut ébranlée par cet événement. Plus de 300 moines bouddhistes sont ensuite devenus chrétiens et ont demandé qu'on leur enseigne la Bible. Le moine ressuscité continua d'exhorter chacun à croire en Jésus-Christ en affirmant que c'était lui, le seul vrai Dieu.

Cet événement a été enregistré sur une cassette et circule à Myanmar et dans tous les environs. Peu de temps après, ce « moine » fut arrêté. On craint qu'ils l'aient tué pour l'amener à se taire.

Traduit de « Entscheidung »

Le travail d’équipe




Une belle image et son enseignement...


Quand les oies volent en formation, elles se déplacent 70% plus vite que lorsqu’elles sont seules. Ce n’est pas toujours la même oie qui est le leader. Quand l’oie meneuse est fatiguée elle fait demi-tour pour s’insérer dans la formation en V et une autre la remplace en tête de vol.


Les oies prennent soin de celles qui sont en difficultés .Si une oie faible ou malade a du mal à suivre, au moins une autre oie reste avec elle pour l’aider et pour la protéger.


En faisant partie d’une équipe, nous pouvons nous aussi accomplir beaucoup plus rapidement. Des mots de soutien et d’encouragement à ceux qui sont en première lignes les stimuleront et les aideront à tenir le coup malgré la fatigue et les pressions quotidiennes.

Et nous devrions, nous aussi, faire preuve de compassion et de bienveillance à l’endroit de notre semblable, membre de la plus grande équipe qui soit….. l’humanité.

La prochaine fois que vous verrez une volée d’oies, rappelez-vous que c’est un défi, en même temps qu’une récompense et un privilège que d’être membre actif au sein d’une équipe ……la vôtre…..la nôtre.

pour réfléchir : LE VRAI LEADER...




Les vrais leaders dont l'Eglise a besoin aujourd'hui possèdent le langage du Divin Maître Jésus.
Ils ne se contentent pas d'haranguer les frères et sœurs le dimanche matin par les « allez-y » ou par des « faites-le », mais encouragent le peuple chrétien par l'exemple que devrait donner leur propre vécu. Pour illustrer cette pensée, laissez-moi vous relater l'anecdote suivante :

« A l'époque où le général Washington luttait pour l'indépendance des Etats-Unis, un caporal fut chargé de diriger quelques hommes qui portaient une énorme poutre au sommet d'une position militaire. Conjuguant leurs efforts, les soldats parvenaient à peine à soulever la pièce de bois. Un petit secours leur eût été nécessaire. Le caporal les aidait à sa manière en leur criant :

- Courage ! hop ! elle y est !

Et, tout en commandant ainsi, il allait et venait au milieu de ses hommes épuisés, majestueux comme un empereur. Un officier en civil survint et lui demanda pourquoi il ne donnait pas un coup d'épaule à ses soldats.

- Moi ? mais je suis caporal !

- Caporal ? oh ! je ne savais pas : pardon !

Ce disant, le nouveau venu se met au nombre des ouvriers, déploie son énergie, sue à grosses gouttes... La poutre mise en place , il dit au caporal :

- Si un jour vous avez besoin de moi pour un coup de main, faites appeler votre général en chef : je serai toujours à votre service. C'était Washington ! »

Le véritable leader ce n’est donc pas celui qui dira « allez-y » ou « faites-le » mais SUIVEZ –MOI et cela a l'image de Jésus lui même.

Es –tu celui là ?

80 ANS APRÈS... Lettre d'un soldat
Converti quelque temps avant de partir au front, un soldat écrivait à un ami cette lettre très touchante :

"Mon cher ami, en ce 13 janvier 1915, au milieu du froid et de la tourmente, je suis heureux d'avoir un petit instant pour vous envoyer ces quelques mots d'affection et pour vous dire surtout combien je suis heureux en Jésus.

Quel compagnon ! Quelle paix sa présence me procure au milieu de ces sanglants combats et des clameurs !

J'éprouve tous les jours ses tendres soins. Que de fois me suis-je senti à l'ombre de sa main et de son bras puissant ! Paisiblement, je parcours mon chemin, jouissant d'une paix inexprimable. Il a été mon salut. Il est ma force... Allez, au revoir, et bon courage à tous.

Sergent A. L.

Les vertus du sourire.




Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent. Sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu’un instant.

Mais son souvenir est parfois éternel. Personne n’est assez riche pour s’en passer. Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter.

Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires, Il est le signe sensible de l’amitié. Un sourire donne du repos à l’être fatigué. Rend courage aux plus découragés. Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler.

Car c’est une chose qui n’a pas de valeur. Qu’à partir du moment où il se donne.
Et si quelquefois vous rencontrez une personne qui Ne sait plus avoir le sourire.
Soyez généreux, donnez –lui le vôtre, car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.

A méditer

UN MOT D’ENFANT.




Une maman et sa petite fille de 4 ans étaient sur le point de se coucher, l’ enfant avait peur de la nuit et la maman dont le mari était en voyage, se sentait aussi un peu craintive. Une fois les lumières éteintes, par la fenêtre, l’enfant remarqua la lune dehors.

_ « Maman », demanda –t -elle? « La lune est -elle la lumière de Dieu ? »

_ « Oui », dit la maman.

_ « Est-ce que Dieu va éteindre sa lumière pour s’endormir ? »

_ « Non, ma petite car Dieu ne s'endort jamais »

L’enfant répondit : « Eh bien puisque Dieu reste éveillé, nous pouvons nous endormir tranquille»

Ce qui donna de l’assurance à la maman.

Psaumes 4:9 Je me couche et je m'endors en paix, Car toi seul, ô Éternel! tu me donnes la sécurité dans ma demeure.

SON PÈRE ÉTAIT A LA BARRE




Le commandant d'un cargo avait obtenu l'autorisation d'emmener son fils avec lui pour le familiariser avec la mer. Mais après quelques jours de beau temps, une grande tempête s'éleva et se prolongea plusieurs jours. Le navire était durement secoué et le bruit des vagues assour¬dissant,

Le père avait recommandé à son enfant de ne pas bouger, et de rester tranquille. Un matelot était chargé de veiller sur lui et de lui apporter sa nourriture.

La tempête terminée, quand le père put descendre dans la cabine pour voir son enfant, il le trouva très calme ne paraissant nullement avoir été effrayé.

— "Oh! mon enfant, tu n'as pas eu peur?

— "Non! répondit l'enfant, com¬ment aurais-je eu peur quand je savais que tu étais à la barre. On m'a tou¬jours dit que tu étais un bon marin!"

Ne faudrait-il pas que tous les chrétiens aient une foi semblable dans leur Père céleste?
Dans tous les orages de la vie, ne voudrions-nous pas penser: "Rien de mal ne peut m'arriver car mon Père céleste tient solidement le gouvernail de ma nacelle." Ainsi que nous le dit un cantique : "Le gouvernail de ma nacelle, "Oh! quel repos, Jésus le tient, "Si dans la nuit, mon cœur chancelle "Avec Jésus, oui tout est bien!

SON MEILLEUR OUTIL.




On annonça un jour que le Diable se retirait des affaires et offrait tous ses outils aux enchères à quiconque voudrait en payer le prix.

Le soir de la vente ils étaient tous étalés de la manière la plus attrayante ; mais ils n'en étaient pas moins affreux à voir.

C'étaient la méchanceté, la haine, la jalousie, la sensualité, le mensonge, et tous les autres instru¬ment du MAL. Chacun avait son prix inscrit sur une étiquette.

A part du reste, on remarquait un outil à l'air insignifiant, mais au bord bien aiguisé.

« Qu'est-ce que ceci ? demanda quelqu'un au Diable.

— C'est le découragement, fut la réponse.
— Pourquoi l'as-tu mis à un prix si élevé ?
— Parce que, répliqua le grand ennemi des âmes, il m'est plus utile que les autres. Il y a des gens chez lesquels il m'est impossible de pénétrer, sauf avec celui-là. Mais une fois que j'y suis, je peux travailler avec succès, et comme je veux. Cet outil est le plus usé de tous parce qu'il me sert presque tout le monde. D'ailleurs, il y a peu de gens qui savent qu'il m'appartient et que c'est moi qui travaille avec ».

Inutile de dire que le prix que le Diable a mis sur le découragement était si élevé qu'il n'a jamais pu le vendre.

Il le possède et s'en sert toujours.

LE ROSIER SAUVAGE.




II y avait une fois un insignifiant rosier sauvage qui croissait parmi les ronces. Un jardinier le vit, le déracina et le planta dans son jardin.

Que me veut donc cet homme ? se dit le rosier ! Il s'est sûrement trompé ; Je ne suis pas fait pour vivre dans ce magnifique jardin, au milieu de tant de belles fleurs ; il y a erreur !... Le jardinier revint avec une cisaille à la main, il tailla le petit buisson et le greffa.

L'année suivante, l'arbrisseau s'aperçut qu'il portait de belles roses !

Ainsi Dieu nous arrache de notre ancienne vie et nous transporte dans son jardin, son royaume d'amour. Il nous taille, ce qui nous fait souffrir, et nous pensons qu'il s'est trompé.

Patience ! Ce que nous ne comprenons pas maintenant, nous le comprendrons plus tard. Car après un cycle de croissance, nous nous apercevrons que notre vie, dépouillée par Dieu « le jardinier céleste » porte elle aussi des roses.

Recette pour être en bonne santé.




Par le Dr Jésus-Christ.

Préparation : Mettre dans un grand bol « Demeurez dans la paix »

1Kg d’amour, 2livres de joie (Galates 5 :22) ajouter 100gr de patience, 10 gr de bonté, 100 gr de bienveillance, une grande mesure de foi, 100 gr de douceur, 250 gr de maîtrise de soi. Quelques brins de sympathie. Une poignée d’humilité. Une pincée d’espoir. Une bonne mesure de bonne volonté. 4 cuillères de prudence. Une grande mesure de charité. Un paquet de tolérance.

(Éphésiens 4 :2-Psaumes 146,5-proverbes 11 :14-Job 19 :17)

Bien mélanger jusqu’à la joie parfaite. Verser dans un plat de bonne humeur. Faire cuire au four de la fraternité et servir.

Bon appétit, et que Dieu vous bénisse.

Déchiffré sur un vieux calvaire




JESUS A DIT : JE SUIS:

LA LUMIÈRE et vous ne me voyez pas,

LA ROUTE et vous ne me suivez pas,

LA VÉRITÉ et vous ne me croyez pas,

LA VIE et vous ne me voulez pas,

VOTRE CHEF et vous ne m’écoutez pas,

VOTRE DIEU et vous ne me priez pas,

Si vous êtes malheureux Ne me le reprochez pas.

A méditer.

SI DIEU EXISTAIT.




D'un air moqueur Louis dit à Patrick : Si Dieu existait comme tu le dis et s'il est vraiment un Dieu d'amour, il me prendra auprès de lui le jour où je vais mourir.

Patrick de répondre : Aurais-tu plaisir à vivre pendant trois semaines avec une personne qui ne t'aime pas et qui t'ignore ?

Louis de répliquer : Bien sûr que non! Pourquoi me poses-tu une telle question ?

Patrick de reprendre : Penses-tu que Dieu aurait du plaisir à vivre avec toi pendant toute l'éternité, si tu ne l'aimes pas et si tu te comportes comme s'il n'existait pas ?

Louis ne sait que répondre, mais au fond de lui -même, il donna raison à Patrick.

Bonne réflexion

Vous êtes le sel de la terre.




Dans une réunion missionnaire, des jeunes discutaient sur ce texte. Une suggestion après l’autre apportait de l’eau au moulin. « le sel donne la saveur, le sel empêche la corruption ».

Puis une jeune chrétienne chinoise faisant part de sa nouvelle naissance dit : « le sel crée la soif »

Puis il y eut un grand silence !

-" ai-je jamais donné à quelqu’un la soif pour le Seigneur Jésus ?"

LA PISTE INDIENNE.




Au siècle dernier, un voyageur avait pris un guide indien pour traverser une région de l’ Amérique du Nord, particulièrement difficile. On était en hiver. La neige était tombée avec abondance et recouvrait le sol. Soudain, le voyageur aperçut sur la neige des traces de pas très nettes.

"Quelqu'un a donc pu passer par la tout seul?", dit-il à son guide; qui a pu s'aventurer ainsi dans cette solitude?"

"Oh, réplique l'indien, détrompe-toi, homme blanc, toute une troupe est passée par là."

"Mais, répondit le voyageur stupéfait, ce n'est pas possible, je ne vois là que les traces d'un homme!"

Le guide sourit de l'étonnement de son client.

"Homme blanc, tu ignores que, quand Ies indiens se déplacent, ils vont les uns derrière les autres. Le chef va en premier. Le second met ses pieds dans l'empreinte laissée par le chef, le troisième fait de même, et ainsi de suite jusqu'au dernier, de sorte qu'on ne voit qu'une seule empreinte de pas, là où toute une tribu est passée.

Ne croyez-vous pas que la piste indienne devrait être le modèle de la "piste chrétienne"? Christ, le chef, va devant son Église; chaque chrétien ne devrait-il pas veiller à mettre ses pieds dans l'empreinte de ceux de son divin modèle? Ne soyons pas comme Pierre qui suivit Jésus de loin. (Mat. 26/58).

Ce qui retient le navire.




On dit que, sur le point de lancer à la mer un puissant navire, lorsque tout est prêt, lorsque le dernier coup de hache a fait tomber le dernier pilotis, on a vu souvent avec surprise le majestueux bâtiment demeurer immobile sur la base glissante ; l’œil curieux cherche partout la cause mystérieuse de cette immobilité et ce n’est que longtemps après qu’on découvre sous sa carène un simple caillou qui résiste à toute la puissance du navire colossal.

Vous donc à qui échappe le secret de vos lenteurs et de vos irrésolutions sur le chemin de la vérité, cherchez bien, et dans quelque cachette ignorée de l’âme vous apercevrez quelque penchant favori, quelque habitude invétérée, quelque passion qui a honte de paraître, mais qui, dans sa retraite obscure, s’oppose à l’élan généreux qui vous porte vers le Seigneur.

"QUI ÊTES VOUS ?"




« Je suis la Bible de mon voisin; II me lit quand nous nous rencontrons; Aujourd'hui, il me lit chez moi: Demain dans la rue. Il est peut être une relation ou un ami, ou une simple connaissance; Peut-être ne sait-il même pas mon nom, cependant, il me lit.

Chers amis chrétiens, Si vous pouviez seulement connaître combien le monde enregistre fidèlement tout ce que nous faisons et disons.


Nous donnerions de bons exemples et nos voisins seraient gagnés a Christ en nous lisant vous et moi.»