Je veux simplement m’adresser à ceux ou à celles qui souffrent de ce syndrome.
Mais, c’est quoi, le "syndrome du vilain petit canard"?
Celui-ci arrive à passer inaperçu, mais pourtant il fait des ravages terribles et quelquefois irréversibles.
Les symptômes sont les suivants:
- le sentiment d’être nul ou encore inutile ;
- la pensée de ne pas être compris et de n’intéresser personne, ni les frères et sœurs ni le pasteur ;
- l'impression de rejet et de ne pas être écouté ;
- se sentir mal dans sa peau avec les autres, etc..
En résumé: personne ne m’aime, je suis trop nul.
Le grand danger, c’est que ce syndrome pousse très souvent celui qui en souffre à se mettre à l’écart.
ATTENTION DANGER! C’est ce que veut l’ennemi de nos âmes, car ainsi il est plus à son aise pour dévorer sa proie.
Ainsi écartée du groupe, celle-ci est en danger extrême.
Il est possible que cette situation soit la tienne aujourd’hui.
Rien n’est perdu…
Il est temps pour toi de chasser dans le Nom de Jésus ces pensées qui te détruisent à petit feu. Tu connais le nom de son instigateur, il n’a aucun pouvoir sur toi, Jésus à la croix a vaincu l’accusateur des frères.
Tu es précieux pour Dieu et le Seigneur de te dire: "Je t’aime d’un amour éternel." Jérémie 31:3
La seule pensée de cet amour de Dieu doit te donner des ailes et te pousser à dire: "Non ! Je rejette à jamais le syndrome du vilain petit canard qui jusqu’à ce jour m’a trop fait souffrir. Maintenant, avec Ta force, Seigneur, je veux pouvoir aller vers les autres et je compte sur ta grâce pour triompher dans le Nom glorieux et puissant de Jésus, mon Sauveur et Seigneur. Amen !"
Je veux aussi m’adresser à ceux et celles qui ne souffrent pas de ce syndrome. Permettez-moi de vous inviter simplement à regarder s’il n’y aurait pas dans l’entourage qui est le votre quelques frères ou sœurs qui souffriraient de ce syndrome.
Ils sont reconnaissables pour être un peu à l’écart, souvent même ils se cachent au dernier rang de l’Eglise pour partir les premiers, il arrive aussi qu’ils participent peu ou pas du tout à la vie de l’église, ils ne viennent quasiment jamais aux sorties fraternelles ni aux agapes. Ils ne parlent pas et ne partagent pas leurs fardeaux.
En fait, ils ne sont pas à l’aise.
La tendance serait de dire que c’est le péché qui les rend ainsi et cela serait à mon sens vraiment trop facile. Avant d’user d’un placebo spirituel, il est toujours intéressant de venir à la source pour se rendre compte du véritable problème.
Ceux qui souffrent de ce syndrome n’ont que faire des jugements, ils ont besoin d’être aimés, et ça, tu peux l’offrir.
Mais, c’est quoi, le "syndrome du vilain petit canard"?
Celui-ci arrive à passer inaperçu, mais pourtant il fait des ravages terribles et quelquefois irréversibles.
Les symptômes sont les suivants:
- le sentiment d’être nul ou encore inutile ;
- la pensée de ne pas être compris et de n’intéresser personne, ni les frères et sœurs ni le pasteur ;
- l'impression de rejet et de ne pas être écouté ;
- se sentir mal dans sa peau avec les autres, etc..
En résumé: personne ne m’aime, je suis trop nul.
Le grand danger, c’est que ce syndrome pousse très souvent celui qui en souffre à se mettre à l’écart.
ATTENTION DANGER! C’est ce que veut l’ennemi de nos âmes, car ainsi il est plus à son aise pour dévorer sa proie.
Ainsi écartée du groupe, celle-ci est en danger extrême.
Il est possible que cette situation soit la tienne aujourd’hui.
Rien n’est perdu…
Il est temps pour toi de chasser dans le Nom de Jésus ces pensées qui te détruisent à petit feu. Tu connais le nom de son instigateur, il n’a aucun pouvoir sur toi, Jésus à la croix a vaincu l’accusateur des frères.
Tu es précieux pour Dieu et le Seigneur de te dire: "Je t’aime d’un amour éternel." Jérémie 31:3
La seule pensée de cet amour de Dieu doit te donner des ailes et te pousser à dire: "Non ! Je rejette à jamais le syndrome du vilain petit canard qui jusqu’à ce jour m’a trop fait souffrir. Maintenant, avec Ta force, Seigneur, je veux pouvoir aller vers les autres et je compte sur ta grâce pour triompher dans le Nom glorieux et puissant de Jésus, mon Sauveur et Seigneur. Amen !"
Je veux aussi m’adresser à ceux et celles qui ne souffrent pas de ce syndrome. Permettez-moi de vous inviter simplement à regarder s’il n’y aurait pas dans l’entourage qui est le votre quelques frères ou sœurs qui souffriraient de ce syndrome.
Ils sont reconnaissables pour être un peu à l’écart, souvent même ils se cachent au dernier rang de l’Eglise pour partir les premiers, il arrive aussi qu’ils participent peu ou pas du tout à la vie de l’église, ils ne viennent quasiment jamais aux sorties fraternelles ni aux agapes. Ils ne parlent pas et ne partagent pas leurs fardeaux.
En fait, ils ne sont pas à l’aise.
La tendance serait de dire que c’est le péché qui les rend ainsi et cela serait à mon sens vraiment trop facile. Avant d’user d’un placebo spirituel, il est toujours intéressant de venir à la source pour se rendre compte du véritable problème.
Ceux qui souffrent de ce syndrome n’ont que faire des jugements, ils ont besoin d’être aimés, et ça, tu peux l’offrir.