jeudi 22 juillet 2010

IL A DONNÉ SA VIE PAR AMOUR








Tout commence un vendredi après-midi typique. Tu es en train de conduire pour rentrer chez toi, lorsque tu entends à la radio un fait comme un autre : "Dans un petit village lointain, 3 personnes viennent de mourir d'une grippe que l'on avait jamais vue auparavant". Tu ne prêtes pas vraiment attention à cet évènement...

Le lundi matin lorsque tu te réveilles, la radio annonce que ce ne sont plus seulement 3 personnes mais 300 qui sont mortes. Tout le monde s'inquiète et des experts de l'Organisation Mondiale de la Santé vont faire leur enquête.

Le mardi, c'est la grande nouvelle en première page de tous les journaux, parce qu'il ne s'agit plus seulement de l'Inde, mais aussi du Pakistan, de l'Afghanistan, et de l'Iran. Alors, tous les pays se mettent à fermer leurs frontières, terrestres, aériennes et maritimes, avec les pays contaminés. Mais cela ne suffit pas. Bientôt, on apprend que des personnes sont en train de mourir en Europe et aux Etats-Unis.

Les informations disent que, lorsque tu attrapes cette maladie, tu ne t'en rends d'abord pas compte, puis qu'il te reste à peine une semaine à souffrir avant de mourir.

Les scientifiques cherchent un antidote sans succès. Les gens ont des comportements de toute sorte. Certains prient pour que les chercheurs trouvent le remède. Tout à coup, la nouvelle inespérée arrive : on peut enfin faire un antidote !

Maintenant, il faut le sang rare de quelqu'un qui notamment n'ait pas été infecté par le virus. Donc, dans tous les pays, on demande à chacun de se faire faire un examen du sang.

Tu vas comme volontaire à l'hôpital avec ta famille, et tes voisins se demandent : "Serait-ce la fin du monde ?" Tout à coup le docteur crie un nom qu'il a lu sur son registre et, là, ton fils cadet te dit : "Papa, il a crié mon nom !". Avant que tu ne puisses réagir, ton fils est parti avec des infirmières et tu cries : "Attendez !", et ils te répondent : "Tout va bien, son sang est pur, nous croyons qu'il a le type de sang correct." Après un certain temps, les médecins sortent de la salle en riant et en pleurant. C'est la première fois depuis une semaine que tu vois quelqu'un rire, et le docteur s'approche de toi, et te dit "Merci mon Dieu, le sang de votre fils est parfait, il peut permettre de faire l'antidote contre la maladie..."

La nouvelle se répand et tout le monde pleure de joie. Le docteur s'approche de toi et de ton épouse, et dit : "Est-ce que je peux vous parler un moment ? Nous ne savions pas que le donneur serait un enfant, donc nous avons besoin que vous signiez cette permission pour nous permettre d'utiliser son sang."

Alors que tu lis le document, tu remarques qu'il n'est pas précisé la quantité de sang nécessaire... et tu demandes : "Quelle quantité de sang allez-vous prendre? " Le sourire du médecin disparaît, et il dit : "Nous ne pensions pas qu'il s'agirait d'un enfant, nous avons besoin de tout son sang." ! ! !

Tu n'arrives pas y croire, et tu essaies de répondre : "Mais, mais..." et le docteur te répond : " Vous ne comprenez pas, il s'agit d'une cure pour le monde entier, s'il vous plait, signez, nous avons besoin de tout le sang...". Et tu demandes : "Mais ne peut-il pas y avoir une transfusion ou tout autre chose ?", et là on te répond qu'il est le seul qui convient, que c'est urgent et que c'est donc impossible.

" Vous allez signez ? ? ? ? ? S'il vous plait, signez ! ! ! !". En silence et en tremblant, tu signes...

La semaine suivante, alors qu'il y a la cérémonie d'enterrement de ton fils, beaucoup de personnes restent dans leur lit à dormir, d'autres préfèrent aller se promener ou s'amuser... et certains qui sont à la cérémonie affichent un sourire forcé... Tu voudrais t'en aller en hurlant : "Mais mon fils est mort pour vous, et vous n'en avez rien à faire ! ! ! "

Parfois, c'est ce que Dieu voudrait nous dire : " Mon fils Jésus-Christ est mort pour vous et vous ne savez toujours pas à quel point je vous aime !"

Anonyme

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