mardi 18 mai 2010

L'Eglise de Jésus comme la Rose



Son parfum inonde,
Sa beauté émerveille,
Sa couleur enchante,
Mais qui est-elle ?
C'est la Rose.

Son parfum inonde,
Sa beauté émerveille,
Sa couleur enchante,
Mais qui est-elle ?
C'est l'Église.

Si d'une rose esseulée,
Tu peux faire un bouquet,
De chrétiens isolés Jésus
Compose son bouquet.

Qu'il est beau ce bouquet,
Qu'elle est belle son Église,
Jésus comme divin Jardinier,
Veille pour que toujours son bouquet,
Exhale le parfum de sa Gloire,
Rayonne de sa beauté céleste,
Étincelle de l'éclat de sa majesté.
Et si les épines dardent en avant c'est pour rappeler que l'Église est bien gardée par l'Esprit de Vérité.

Frédéric. Vaillant 15 Avril 2001

Comprendre JEAN 3:16






Souvent nommé la clé de l'Évangile ce texte de l'Écriture résume à lui seul le puissant message libérateur de l'Évangile de Jésus-Christ. Les mots furent prononcés par Jésus le Fils de Dieu lui même et immortalisés par le Saint Esprit au travers de la main de l'Apôtre Jean.

L' éternité de chaque homme dépend de la compréhension de cette Parole du Christ. Le message que véhicule ces mots a une portée universelle mais aussi individuelle. Il est adressé au monde, mais aussi à toi ami lecteur. L' éternité, ton éternité dépendra de ton attitude face au message de Dieu.

Ce message qui se compose à peine de trente mots, se lit en quelques secondes, il est d'ailleurs le verset le plus connu du monde évangélique. Les enfants des écoles du Dimanche le connaissent par coeur. Mais qu'est ce qu'une poignée de secondes dans la mesure de l' éternité ? Accepter ce message c'est recevoir Christ dans sa vie, le pardon de ses péchés et l'assurance d'être sauvé, le refuser c'est fermer la porte à l'amour de Dieu, se priver du salut et poursuivre sa marche vers l'enfer.

Nous sommes placés ici devant une réalité, la réalité de Dieu, de ce Dieu juste et redoutable, trois fois Saint comme nous l'apprend la Bible. De ce puissant créateur qui n'aspire qu'à une chose, se rapprocher de sa créature afin que celle ci vive auprès de lui. Mais à cause du péché l'être humain ne connaît pas de relation intime avec Dieu. Il y a une séparation, un ravin mais Dieu en Jésus-Christ a lui même donné le pont qui ramène à sa présence. L'homme dans sa folie se fabrique bien souvent son dieu, mais ce dieu l'éloigne de la vérité. Le dieu des hommes aura plusieurs formes, il prendra la forme de la religion, de l'humanisme ou encore des oeuvres etc.. Mais rien à voir avec le grand et formidable Dieu dont Jésus délivre ici le puissant message d'amour.

Car il est bien question d'un message d'amour. En cinq mots Jésus bouscule toutes les idées préconçues ,fausses et religieuses que l'homme c'est fait de Dieu. En effet Dieu a très souvent été dépeint comme dur, difficile, punissant à tout va ! Mais Jésus va remettre la pendule à l'heure.

DIEU AIME SA CRÉATION, DIEU AIME SA CRÉATURE.

Mais attention si Dieu aime sa créature pécheresse, il a en horreur le péché.

Il fallait que cette amour soit prouvé. Dieu n'est pas un Dieu uniquement de parole il est aussi un Dieu qui agit. Alors pour prouver à sa créature rebelle qu'il l'aime, il donne Jésus.
Il ne le prête pas, il ne le loue pas, il ne le vend pas, il le donne. Jésus est le don de Dieu qui prouve au monde son amour. Il n'y a pas de plus grande preuve d'amour que celle ci.

L'homme a reçu de Dieu cette faculté de croire, en quelque sorte celle ci peut être comparée à nos cinq sens. Il y a la vue, le toucher, l'ouie, l'odorat, et le goût, mais ne pouvons nous pas y ajouter ce sixième la faculté de croire "la foi".
Mais attention il est question de croire sans condition, il n'y a pas de compromis possible. On croit ou on ne croit pas !

Croire en Jésus demande un examen de conscience, car c'est se reconnaître pécheur, perdu pour l'éternité, c'est se reconnaître comme ayant offensé Dieu et foulé du pied sa loi.

Croire c'est reconnaître sa misère, comme son impossibilité de faire quelque chose pour se libérer de cette situation. C'est se convertir en passant par une profonde et sincère repentance.

Ami lecteur tu as besoin de faire la paix avec Dieu aujourd'hui.

Oserais-tu prétendre le contraire à la lecture de Jean 3:16 ?

Nous sommes par la Parole de Jésus placés devant une grande vérité. Les hommes périssent !

Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. Romains 3:23

Il n'y a pas d'exception tous périront. Mais Dieu en Christ donne une alternative pour que l'homme ne périsse pas, mais bien pour qu'il vive.

Cette alternative c'est Jésus.

Accepter la Parole de Jésus c'est recevoir une garantie pour le temps présent, mais c'est surtout recevoir la vie éternelle. La vie au lieu de la mort.
Refuser la Parole de Jésus c'est aussi recevoir une garantie pour l'éternité. Mais celle ci est bien triste car il est question de la perdition.

Être perdu c'est être privé de la présence de Dieu dans les tourments éternels pour l'éternité.

Jésus propose la vie éternelle, mais le choix ami lecteur t'appartient.

C'est un paradoxe mais il faut que tu saches que Jésus, le don de Dieu a payé le prix fort pour toi.

Pour que tu vives, il a fallut qu'il connaisse la mort.

A cause du péché, de ton péché la loi de Dieu te condamne à la mort éternelle, la perdition. Mais Jésus en offrant sa vie sur la croix, au calvaire sur le mont Golgotha a renversé la situation.

Romains 6:23 Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.

Il ne tient qu'a toi maintenant de croire et de recevoir le don de Dieu.

Pour mieux comprendre Jean 3:16, si tu écrivais ton nom dans les espaces soulignés ci-dessous ?

Car Dieu a tant aimé (Ton nom) qu'Il a donné son Fils unique afin que (Ton nom) ne périsse pas, mais qu'il (ou elle) ait la vie éternelle.

Maintenant je t'invite à le lire et à le relire Jean 3:16 avec ton nom.

Tu vois combien Dieu t'aime en Jésus-Christ !

Celle ci peut se résumer ainsi : OUI ou NON.

Oui : Pour recevoir l'amour de Dieu manifesté en Jésus et démontré au travers de sa mort expiatoire ainsi que dans sa résurrection d'entre les morts.

Non : Je n'accepte pas l'amour de Dieu et persiste dans ma voie.

Ami si tu as fait le choix de refuser l'amour de Dieu sache que malgré ton choix d'aujourd'hui qu'il t'aime et t'aimera aussi demain. Son amour pour toi restera entier.

Il demeura ainsi jusqu' à ta mort. Mais il faut que tu saches qu'un jour, au jour du jugement ce texte de Jean 3:16 que tu auras persisté à refuser sera ta condamnation pour l'éternité.

CONCLUSION.

Quelqu'un a commenté Jean 3:16 de cette façon:

Dieu: Celui qui aime le plus
A tant aimé: le plus grand amour
Le monde: le plus grand nombre de personnes
Qu'il a donné: le plus grand acte
Son Fils unique: le plus grand don (sacrifice)
Afin que quiconque: la plus grande offre
Croit en Lui: la plus grande simplicité
Ne périsse pas: la plus grande promesse
Mais: la plus grande différence
Qu'il ait: la plus grande certitude
La vie éternelle: le plus grand bien

Ce n’était pas à mon goût



Il y a quelques années, lors d'un voyage d'affaire, j'ai visité une église qui n'était pas très loin de mon hôtel. Étant arrivé un peu en avance, j'ai reçu un accueil chaleureux de la part du pasteur.
Malheureusement, le culte était différent de ce à quoi j'étais habitué.
La musique n'était pas à mon goût, et je n'étais pas familier avec l'ordre dans lequel le service se déroulait.
Je me suis demandé pourquoi les gens faisaient le culte de cette manière.
Ça ne menait pas du tout à l'adoration.
Je regrettais de ne pas avoir demandé à quelques personnes de me diriger vers une "bonne église" ce matin là.
J'étais content qu'ils ne servent pas la table du Seigneur ce matin-là.
J'étais vraiment attiré par le pasteur, ce qui ne faisait qu'augmenter mon désir de "l'aider" avec ses cultes d'adoration.
Comme je le croisais à la sortie, il m'a donné la chance que j'attendais.
"Bob, je suis content que tu sois venu louer Dieu avec nous," dit-il. "J'espère que ça t'a fait aussi plaisir d'être ici que ça nous a fait plaisir de t'avoir avec nous!"
"Votre sermon était excellent," lui répondis-je. "Je n'avais jamais vu cette application de ces versets. Ça va très certainement m'aider dans au moins deux de mes relations."
Je baissai la voix un peu pour dire, "Mais je dois dire que je ne suis pas aussi enchanté du reste du service."
"Oh," répondit-il avec entrain, "qu'est-ce que tu penses..."
Mon coeur a sursauté. Il m'ouvrait la porte pour que je lui dise ce que j'avais préparé mentalement pendant le culte. Mais, quand il eut fini sa phrase, j'ai réalisé qu'il avait dit :
"Qu'est-ce que tu penses que le Seigneur n'a pas aimé?"

J'avais la gorge serrée. Il voulait savoir ce que je pensais que le Seigneur n'avait pas aimé!
J'ai marmonné "Euh...j'imagine qu'il n'y avait rien que le Seigneur n'a pas aimé.
Je parlais seulement de moi, mais ce n'est pas à propos de moi, n'est-ce pas?"
Je lui ai ensuite tendu la main. Il souriait en me regardant dans les yeux comme s'il pouvait lire mes pensées.
"Ah oui," dit-il, "il y avait quelque chose ce matin que Dieu n'a pas aimé."
Je souris, soulagé. "Et qu'est-ce que c'était?" lui demandai-je, m'attendant à ce qu'il dise qu'il avait oublié sa meilleure blague, ou quelque chose du genre.
Mais il m'a seulement souri en disant, "Tu vas le trouver."
Ensuite, "Va-t-on te voir ce soir? J'espère que oui." Après ces paroles, il s'est tourné vers la file de personnes qui se tenaient derrière moi.
J'ai passé la journée à chercher, repassant dans ma tête chaque petit détail dont je pouvais me rappeler. Mais je n'ai pu trouver la moindre chose qui aurait pu déplaire à Dieu. Les gens semblaient sincères et contents d'adorer Dieu. Le bébé qui pleurait n'aurait pas pu le déranger puisqu'il aime les petits enfants.
Certainement pas le toussage non plus. Pas même la musique. Je ne l'aimais pas, mais le Seigneur...l'aimait peut-être. De toute façon, le pasteur ne parlait certainement pas de la musique puisqu'il l'avait probablement choisie lui-même.
J'ai été au culte du soir, pas parce que je m'attendais à ce qu'il soit meilleur, mais pour demander au pasteur ce qu'il voulait dire.
Je lui ai dit comment la question me troublait et, à la blague, je lui ai demandé de m'éclairer.
Ses yeux pétillaient lorsqu'il m'a dit que je devrais prier là-dessus.
Il m'a souri en répétant, "Prie là-dessus. Le Seigneur va te le montrer."
J'ai prié ce soir-là. Et le lendemain, j'ai pensé et repensé à tout ça plusieurs fois. Rien.
Comme je soupais seul au restaurant de l'hôtel, j'ai de nouveau demandé au Seigneur de me montrer ce qu'Il n'avait pas aimé dans le culte du dimanche matin.
Comme je prenais une gorgée de café, Dieu a répondu à ma prière par une illumination divine. La seule chose dans ce service qu'Il n'avait pas aimé était mon attitude, ma critique, mon intérêt pour ce que j'aimais plutôt que de m'intéresser, comme le pasteur, à ce qui plaisait à Dieu, mon refus de chanter et de participer aux louanges, et même aux prières.
Mes yeux étaient plein d'eau à la pensée que j'aurais même voulu éviter le repas du Seigneur.
De retour à ma chambre, honteux, je me suis courbé devant Dieu.
Je l'ai remercié pour le pasteur, son aide et sa patience. J'ai supplié Dieu de me pardonner. Mais, le plus important est que je Lui ai promis qu'à partir de ce jour je saisirais toutes les chances de participer à la louange de son nom avec les membres du corps de Christ, peu importe la musique qu'ils choisissent, peu importe la qualité de la musique ou de leurs chants, peu importe l'ordre dans lequel ils mènent le service, peu importe s'ils lisent des prières ou s'ils prient spontanément, s'agenouillent ou restent debout, lèvent les mains ou s'agrippent à leurs livres de cantiques, partagent leurs louanges et leurs besoins haut et fort ou s'ils écoutent en silence, s'ils passent un plat pour la communion ou s'ils mettent un panier à l'arrière. Et j'ai promis d'arrêter de dire comment nous devrions faire (ou ne pas faire) les choses à la maison.
Depuis ce jour, je peux affirmer que je n'ai jamais participé à un culte d'adoration chrétien que je n'ai pas aimé. C'est toute une bénédiction! Mais la vraie bénédiction n'est pas surtout mon expérience d'adoration. C'est plutôt mon nouvel amour pour le Corps de Christ, un plus grand désir de supporter les autres dans leur travail pour Dieu et de les aider à porter leurs fardeaux. Je comprends ce que Dieu veut que son Corps soit, et comment Il veut que j'y participe.


Par Robert D. Smith dans Christian Reader, Octobre 2001

Consécration




Je suis un soldat ma feuille de route est signée, j'obéis et je pars, si je tombe d'autres prendront ma place. En tout cas la victoire est certaine.

Le Maître sait ou il me veut je n'ai pas de plus grand désir que de lui obéir et de lui plaire. Je lui demande constamment et avec ardeur de me montrer ce qu'il veut que je fasse. Je crois que je suis prêt à tout, ) porter l'évangile à la tribu la plus sauvage de ces contrées à aller n'importe où et a faire n'importe quoi.

Me voici, Seigneur ! fais de moi et de mes biens ce qu'il te semblera bon. Que je te glorifie par ma vie et ma mort.

N'est ce pas se moquer du Seigneur que de lui offrir son coeur et de se réserver à soi-même ses richesses, ses talents, sa santé, sa vie ?

Soyons complets dans notre renoncement et vrais dans notre profession.

Ah que ne mettons-nous mieux en pratique le parole de David " je n'offrirai pas à l'Éternel des sacrifices qui ne coûtent rien!"

Sommes-nous déterminés, oui ou non à faire l'oeuvre que notre Divin Maître nous a assigné, quelques sacrifices qu'elle nous coûte ?

Jeunes gens chrétiens, accourez à notre aide ! Pères et mères qui priez chaque jour que le règne de Dieu vienne.

Oh! mettez vos Isaac sur son autel ! présentez lui vos Samuel!

Donnez nous des hommes dont la foi repose sur le rocher des siècles : Jésus mort pour nos offenses et ressuscité pour notre justification.

O mon Dieu, que tout ce que j'ai, tout ce que je suis, te soit consacré! Que je vive pour toi seul!

Plutôt succomber que déserter le poste, l'un des plus avancés de l'armée conquérante du Roi des rois. Nous montons à l'assaut de la forteresse, nous nous tiendrons à la brèche, nous y planterons l'étendard de la croix.

une poignée d'homme, dix du type d'Etienne et la journée est à nous.

COILLARD

Missionnaire 1834-1904

Fragment de son journal

C A F A R D ...




Il y a la marée haute, pleine d'enthousiasme, où tout semble facile.

Il y a la marée basse, où l'âme déprimée se retire en elle-même.

Jours gris et jours roses. Jours de veine et jours de cafard.

Mouvements désordonnés de cette mer intérieure qui vit en moi et me porte des sommets rudes aux abandons faciles.

Il y a ce raz de marée de la tentation, ce choc répété, comme vagues à l'assaut des rochers, de l'échec, de la souffrance, de la mort, cette odeur de vase qui soudain emplit l'air de relents de scandale, de pourriture, d'enlisement.

Mais la mouette plane au dessus de tout cela.

Mais malgré ses vagues, ses marées, ses tempêtes, je sais que la vie vaut la peine d'être vécue, vent debout.

Je sais que chaque instant est grâce.

Je sais que Dieu m'a embauché dans son équipage, qu'Il tient le gouvernail mais qu'il me faut tirer la rame avec les autres.

Les yeux fixés sur l'horizon là-bas, où la mer se jette en plein ciel.

A l'écoute de la côte (M. L.)

19+1 =20 Ingrédients du Succès



extrait de : libérés de la dépression Dr. Neil Anderson


1. Pourquoi dire: « je n'en suis pas capable», alors que la Bible affirme que je puis tout par celui qui me fortifie Ph. 4.13

2. Pourquoi m'inquiéter à propos de mes besoins alors que je sais que Dieu pourvoira à tous mes besoins selon sa richesse avec gloire, en Christ Jésus Ph. 4.19

3. Pourquoi devrais-je être dans la crainte alors que la Bible dit que ce n'est pas un Esprit de timidité que Dieu m'a donné, mais un Esprit de force, d'amour et de sagesse 2 Tim. 1 7

4. Pourquoi manquer de foi pour vivre pour Christ alors que Dieu m'a donné une mesure de foi. Rom. 12.3

5. Pourquoi devrais-je être faible alors que la Bible dit que Dieu est le refuge de ma vie et que ceux qui connaissent Dieu agiront avec fermeté ps. 27.1, Dan. 11.32

6. Pourquoi devrais-je laisser Satan contrôler ma vie lorsque Celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans le monde 1 Jn. 4.4

7. Pourquoi devrai-je accepter la défaite alors que la Bible dit que Dieu nous fait toujours triompher 2 Cor. 2.14

8. Pourquoi devrai-je manquer de Sagesse alors que je sais que Christ a été fait pour nous sagesse, et que Dieu m'en donne libéralement quand je le lui demande 1 Cor 1.30, Jcq 1.5

9. Pourquoi devrais-je âtre abattu lorsque je peux repasser en mon cœur la bienveillance, les compassions, la fidélité de l'Etemel et espérer Lm 3.2 là 23

10. Pourquoi devrais-je m'inquiéter lorsque je peux me décharger sur Christ de tous mes soucis, car il prend soin de moi. 1 Pier. 5.7

11. Pourquoi devrais-je être sous le joug de l'esclavage alors que je sais que c'est pour la liberté que Christ m'a libéré. Gai. 5.1

12. Pourquoi devrais-je me sentir condamné alors que la Bible dit qu il n'y a maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Christ. Ro. 8.1

13. Pourquoi devrais-je me sentir seul alors que Jésus dit qu'il est avec moi tous les jours et qu'ils ne me délaissera ni ne m'abandonnera? Mat. 28.20, Héb. 13.5

14. Pourquoi devrais-je me sentir maudit alors que la Bible dit que Christ m'a racheté de la malédiction de la loi pour que je reçoive la promesse de l'esprit par la foi. Gai. 3.13,14.

15. Pourquoi devrais-je être malheureux alors que je peux apprendre à me contenter de l'état où je me trouve. Ph. 4.11.

16. Pourquoi devrais-je douter de ma valeur lorsque Christ est devenu péché pour moi, afin que je devienne en Lui justice de Dieu. 2 Cor. 5.12.

17. Pourquoi devrais-je me sentir impuissant en présence d'autrui lorsque je sais que si Dieu est pour moi, qui sera contre moi. Rom. 8.31.

18. Pourquoi serais-je déconcentré alors que Dieu est un Dieu de Paix et qu'il me faut savoir, par son Esprit qui vit en moi ce qu'il m'a donné par grâce. 1 Cor. 2.12 : 14.33.

19. Pourquoi devrais-je avoir l'impression d'être un perdant lorsque je suis plus vainqueur par Christ qui m'a aimé. Ro. 9.37

20. Pourquoi devrais-je me laisser submerger par les problèmes de la vie alors que je peux prendre courage dans le fait que Christ a vaincu le monde et ses tribulations. Jn. 16.33