samedi 8 mai 2010

RECUEIL DE PENSEES "1"



"Vous ne pouvez pas améliorer le futur sans déranger le présent" William Booth, Fondateur de l'Armée du Salut


Je ne sais plus qui l'a dit, mais il l'a dit : "L'église n'est pas un musée pour les saints mais un hôpital pour les pécheurs"

Vous pouvez regarder le monde tel qu'il est, et vous demander pourquoi. Vous pouvez aussi le regarder tel qu'il pourrait être, et vous dire pourquoi pas" - Georges Bernard Shaw Depuis que j'ai rencontré Jésus, je sais que tout est possible à celui qui croit et je suis pass...é du pourquoi au pourquoi pas...


Notre communion avec Dieu influence notre communion avec les autres. Notre communion avec les autres est un indicateur de laqualité de notre communion avec Dieu"

Quand on sait pourquoi nous vivons, Dieu trouve toujours comment nous utiliser...


"Tout homme meurt, mais tout homme ne vit pas" - William Wallace


"Je suis si content que Dieu ait consigné les fautes et les défauts des hommes dans la Bible afin de nous rappeler que nous ne sommes pas obligés d'être parfaits !" - Pasteur Tommy Barnett

"Ne cédez jamais ! ... En toute chose, grande ou petite, importante ou insignifiante, ne cédez jamais, sauf au profit de vos convictions en matière d'honneur ou de bon sens" - Sir Winston Churchill

"Les moments où vous serez le plus intelligent seront ceux où vous direz oui à Dieu" - Pasteur Rick Warren

«Il est dur d'échouer ; mais il est pire de n'avoir jamais tenté de réussir.» Franklin Roosevelt

Celui qui n'a jamais appris à être un disciple ne peut pas faire des disciples (styven bakiko)

Dieu prend soin de ses enfants même dans ce qui semble être un détail





A une époque ou nous avions bien du mal à joindre les deux bouts, mon épouse pour le repas du soir préparait les deux petits morceaux de bœuf et les 3 pommes de terre en ragout pour nourrir la famille de 6. C’était difficile mais nous, ne nous plaignions pas car dans le monde des personnes avaient plus de raisons que nous de ce plaindre.
Mais un ragout sans aucune carotte ce n’est pas un vrai ragout et cela était un problème pour mon épouse qui aime cuisiner dans les règles.
Alors que la viande était dans la casserole à dorer quelqu’un sonna à la porte.
C’était la voisine d’en face qui n’était pas au courant de la situation mais qui avait les bras chargés, devinez de quoi, eh bien de carottes qu’elle venait de ramasser dans son jardin.
Eh oui ! Elle demanda à mon épouse si elle voulait en recevoir car elle en avait de trop… elle fut accueillie avec un grand OUI !
Et mon épouse en remerciant Dieu nous a fait ce jour là, le meilleur ragout qu’il nous a été donné de déguster avec les carottes de notre voisine qui avait été inspirée et conduite par Dieu sans le savoir jusqu’à la maison.

Laissons Dieu prendre TOUTES nos affaires dans ses mains

Depuis 2007 nous vivions avec notre ancien opérateur Internet une situation conflictuelle. D’ailleurs celu-cii n’existe plus pour avoir était racheté ce qui n’a pas arrangé la chose.
Suite à un mauvais fonctionnement et un mauvais traitement de mon dossier, nous avons changé d’opérateur Internet. Mais l’ancien nous devait de l’argent vous allez me dire pas grand chose car il était question de 72€ mais pour un petit budget 72€ ça compte.
Depuis la date de la résiliation je ne compte plus les lettres, les appels ni les promesses pour être remboursé. Malgré toutes ces promesses le remboursement n’était jamais au rendez vous. Même ma cousine qui travaille pour eux et qui est bien placée dans la hiérarchie n’a pas ressuie à débloquer la situation.
Il y avait toujours une bonne raison :
L’argent a été envoyé sur votre compte
Nous vous avons envoyé un chèque
Le virement nous est revenu etc…
Blocage total.
En juillet 2009 je décide de mettre de coté cette affaire et de tourner la page et de me résoudre à perdre mes 72€.
Le 23 avril 2010 je ne sais même pas pourquoi je décide de refaire une simple relance mais cette fois à la différence des autres, j’ai confié à Dieu dans la prière cette situation et ce courrier, chose que je n’avais pas fait avant car j’avais suivi les conseils de certains qui me disaient de menacer cette société d’envoyer ce litige à un service pour aider les consommateurs.
J’ai cacheté ma lettre en disant Seigneur « Voici ce courrier je te laisse gérer cette affaire ce n’est plus la mienne »
Dans les 5 jours nous trouvons dans la boite aux lettres un courrier type de cette société qui me dit prendre note, ce courrier était comme tous les autres donc j’avais peu d’espoir d’être remboursé.
Hier je reçois un autre courrier qui me parle de virement et ce matin je découvre sur mon compte que la somme que l’on me devait, était enfin là.
Ce que j’ai essayé de faire en plus de trois ans Dieu LUI l’a réglé en à peine 2 semaines
« Moralité il ne faut jamais négliger ni oublier de confier toutes nos affaires à notre Dieu, même celles-ci nous semblent insignifiantes. »

L’Homme de peu de foi a été pris à ses mots




A une époque où les finances du foyer était limite je me souviens d’une conversation houleuse avec mon épouse alors que j’allais garer la voiture sur le parking du super marché. Difficile de remplir un caddy alors que le porte monnaie est pratiquement vide.
Pour conclure cette conversation qui franchement m’agaçait J’avais juste trouvé à lui dire
« Avec 0 franc il n’est pas possible de faire 1 franc »
Je gare la voiture, nous en sortons et là juste à mes pieds je découvre avec stupeur une pièce de 1 franc juste sous mon pied alors que la phrase venait à peine de sortir de ma bouche.
Dieu venait de me faire comprendre que Lui avec 0 il pouvait faire 1 Franc.
C’est avec le sourire que je vous lraconte aujourd’hui cette petite anecdote de ma vie, mais je ne suis pas prêt d’oublier la leçon que Dieu m’a donne ce jour là.
A LUI TOUT EST POSSIBLE.

Le seul moyen d'entrer au ciel




Imaginez une personne mourante qui rencontre Christ pour être jugée. Dieu lui dit : "Voici comment ça se passe. Vous avez besoin de 100 points pour pouvoir entrer au ciel. Vous me dites toutes les bonnes choses que vous avez faites, et je vous donnerai un certain nombre de points pour chaque chose, selon le niveau de bien qu'elle vaudra. Quand vous arrivez à 100 points, vous avez gagné votre entrée."

Et l'homme répond, "D'accord. J'ai été marié à une seule femme pendant 50 ans et je ne l'ai jamais trompé, même dans mon cœur." "Ça c'est merveilleux," Dit le Seigneur, "ça vaut au moins trois points !"

"Trois points ?" Dit-il. "Bon, je suis allé à l'église toute ma vie et j'ai soutenu les ministères avec ma dîme et mon service." "C'est formidable !" Dit le Seigneur. "ça vaut certainement un point." "Un point ?"

"J'ai aussi mis en place un resto du cœur dans ma ville et j'ai travaillé parmi les sans abris." "Fantastique, ça, ça va vous valoir deux points de plus." "Deux points !" Cria l'homme. "A ce rythme le seul moyen pour moi d'entrer au ciel se sera par la grâce de Dieu." "C'est ça, félicitations ! Vous avez réussi."

Il est interdit pêcher depuis les balcons




On raconte l'histoire d'un hôtel sur la côte. L'établissement avait un restaurant avec des grandes fenêtres de verre au rez-de-chaussée. Les touristes essayaient de pêcher depuis les balcons de leur chambre. Souvent leurs lignes étaient trop courtes et les plombs très lourds venaient frapper contre les grandes fenêtres et les cassaient. Les fenêtres coûtaient presque 5 000F chacune. Ils ont essayé de plusieurs manières de faire cesser de pêcher depuis les balcons. Finalement ils ont ôté toutes les pancartes des balcons sur lesquelles on pouvait lire " Il est interdit pêcher depuis les balcons ". Ils ont cessé d'avoir des problèmes. Il y a quelque chose dans une loi qui fait ressortir cette nature innée qui est en nous. Si on se laisse aller, le péché est le résultat et à la fin c'est la mort.

Le pardon et l'amour d'un père




On raconte cette histoire en Espagne, d'un père et de son fils adolescent qui avaient des rapports tendus. Un jour le fils se sauva de la maison. Cependant, le père parti à la recherche de son fils rebelle. Finalement à Madrid, dans un dernier effort désespéré pour le retrouver, le père fit paraître une annonce dans le journal. L'annonce disait : "Cher Paco, retrouve-moi devant le bureau du journal à midi. Tout est pardonné. Je t'aime. Ton père."
Le lendemain, à midi, devant le bureau du journal, il y avait 800 "Paco" qui se sont présentés. Chacun d'eux avait cru que c'était leur père qui leur avait écrit, et ils étaient venus chercher le pardon et l'amour de leur père.

La puissance du pardon




Un soir d'hiver glacial, un homme a eu une crise cardiaque. Après avoir été admis à l'hôpital, il demanda à l'infirmière d'appeler sa fille. Il expliqua, "Voyez-vous, je vis seul et c'est la seule famille que j'ai." L'infirmière appela la fille. La fille fut complètement bouleversée et s'est écriée, "Vous ne devez pas le laisser mourir ! Vous comprenez, papa et moi avons eu une discussion malheureuse il y a environ un an. Je ne l'ai pas revu depuis. Durant tous ces mois, je voulais aller le voir pour lui demander pardon. La dernière chose que je lui ai dite a été, "Je te hais." La fille se mit à pleurer et dit ensuite, "J'arrive tout de suite. Je serais là dans une demi-heure."
Le malade eut un arrêt cardiaque, et immédiatement on essaya de le ranimer. L'infirmière fit cette prière, "O Dieu, sa fille arrive, ne permet pas que ça ne finisse comme ça." Tous les efforts de l'équipe médicale furent vains. L'infirmière regarda un des docteurs parlant à la fille en dehors de la chambre. Elle pouvait voir l'expression pitoyable sur son visage. L'infirmière prit la fille à part et lui dit, "Je suis désolé !" La fille lui dit, "Vous savez, je ne l'ai jamais haïe. Je l'aimais. Maintenant j'aimerais aller le voir." L'infirmière l'introduisit dans la chambre, et la fille s'est approchée du lit et cacha son visage dans les draps en disant au-revoir à son père décédé. L'infirmière, détournant les regards pour ne pas voir ce déchirant au-revoir, remarqua un morceau de papier sur la table de chevet. Elle le prit et le lu : "Ma très chère Janie, Je te pardonne. Je prie pour que tu me pardonnes aussi. Je sais que tu m'aimes. Je t'aime moi aussi. Papa."

Rien Sauf Le Sang




Un grand rassemblement de religions, eut lieu à Chicago il y a bien des années, pratiquement chaque religion connue a été représentée.
Pendant une session, Dr. Joseph Cook, de Boston, soudainement s'est levé et a dit: "Messieurs, je demande à introduire auprès de vous une femme ayant une grande détresse. Des taches de sang sont sur ses mains, et rien de tout ce qu'elle a essayé ne les enlèvera. Le sang est le sang d'un meurtre. Dans sa détresse elle a été conduite au désespoir. Est-ce qu'il y a n'importe quoi dans votre religion qui enlèvera son péché et lui donnera la paix ?" Un silence est tombé sur le rassemblement. Personne, dans cette assemblée n'a répondu.
Levant ses yeux vers le ciel, Dr. Cook s'écria alors, "Jean, est-ce que tu peux dire à cette femme comment se débarrasser de son péché affreux ?" Le grand prédicateur fit une pause, comme s'il attendait une réponse. Soudain il s'écria, "Écoutez ! Ce que dit Jean : " Le sang de Jésus Christ, Son Fils, nous purifie de tous péchés (1 Jean 1:7). "
Pas une âme n'a rompu le silence: les représentants des religions orientales et des cultes de l'occident sont restés muets. Face au besoin humain, seul l'Évangile de Jésus Christ pouvait satisfaire le besoin. Le péché de la race a demandé le sang du Calvaire.

Pardonner les autres




La femme d'un chef Zoulou a assisté à une réunion de l'armée du salut où elle a entendu parler de Jésus et a répondu à l'appel. Quand son mari a entendu parler de cela il lui a défendu d'y retourner sous peine de mort ! Cependant, dans son désir d'entendre encore parler de Jésus, elle osa y retourner, et quand son mari a su cela il est allé à sa rencontre sur le chemin du retour et l'a battue si sauvagement qu'il l'a laissée pour morte. A un certain moment sa curiosité l'a poussée à revenir pour voir ce qu'elle était devenue. Elle n'était pas là où il l'avait laissée, mais il a observé des brindilles cassées et a fini par la trouver allongée sous un buisson. Se penchant sur elle avec ses yeux cruels il la regarda d'un air méchant et dit, “Et qu'est-ce que ton Jésus Christ peut faire maintenant pour toi?” Elle a ouvert ses yeux, et en le regardant elle a dit doucement, “Il m'aide à te pardonner!”...

Qu'en est-il des sentiments de colère qui subsistent parfois ?




Dans un de ses écrits, Corrie Ten Boom raconte que des amis chrétiens ont été injustes envers elle, publiquement et méchamment.
Pendant plusieurs jours, elle était amère et fâchée, puis finalement elle leur a pardonné. Mais durant la nuit, elle se réveillait en pensant à tout ce qu'ils avaient fait et la colère reprenait le dessus. Il semblait que sa mémoire ne lâchait pas prise. Elle raconta sa frustration à un pasteur après avoir passé deux semaines sans trouver le sommeil. Il lui dit : "Corrie, dans certains villages il y a des clochers avec une cloche qui sonne quand on tire sur la corde. Quand le sonneur de cloche tire sur la corde, la cloche sonne, ding-dong, ding-dong. Que se passe-t-il s'il ne tire pas à nouveau sur la corde ? Lentement le son diminue. C'est pareil avec le pardon. Quand nous pardonnons à quelqu'un, nous retirons nos mains de la corde. MAIS SI NOS GRIEFS ONT DURE LONGTEMPS, il ne faut pas s'étonner si des pensées de colère semblent persister pendant un certain temps ! Ce sont les ding-dong de la vieille cloche qui sont en train de ralentir."

Pardonner est un choix !




Quand les premiers missionnaires chrétiens sont arrivés chez les Esquimaux, ils découvrirent qu'il n'existait de mot dans leur langue pour parler du pardon. Alors quand ils ont commencé à traduire la Bible dans leur langue, ils prirent plusieurs mots et les ont reliés pour créer un nouveau mot signifiant, pardon…
Le mot en Esquimau est : "Issumagijoujungnainermik." Il signifie littéralement, "Choisir-de-ne-plus-y-penser-dorénavant." Quand un autre croyant t'a fait du tort et il s'est repenti, tu dois lui pardonner. En d'autres mots, tu dois, "choisir de ne plus y penser dorénavant." Pardonner est un choix !

Ne laissez pas le diable ramener sans cesse à la mémoire ces choses que Dieu lui-même a oublié !




Un jour, Johnny était à la ferme de ses grands-parents et il essayait son nouveau lance-pierre. Il prit pour cible un de leurs canards et à sa surprise et oh ! Horreur, le caillou est allé droit au canard qui s'est écroulé raide mort. Il était terrorisé. Pris de panique il cacha le canard mort dans le tas de bois. C'est à ce moment-là qu'il a remarqué que sa sœur, Anne, avait tout vu.
Après le repas, Grand-mère demanda à Anne d'aider à faire la vaisselle et Anne dit, "Oh, je crois que Johnny désire faire la vaisselle." Ensuite elle murmura à Johnny, "souviens-toi du canard !" Le jour suivant, Grand-père proposa à Johnny de l'emmener en ville et Anne dit, "Je pense que Johnny veut rester ici et faire mes tâches à ma place et moi j'irai en ville à sa place. Qu'en pense-tu ?" Et son regard voulait dire, "souviens-toi du canard." Après plusieurs jours, Johnny n'en pouvant plus alla vers sa Grand-mère et lui confessa toute la sombre histoire. Sa Grand-mère le pris dans ses bras et lui dit, "Je sais Johnny, j'étais à la fenêtre de la cuisine et j'ai tout vu, et parce que je t'aime, j'ai pardonné à ce moment-là." Alors il lui dit, "Mais pourquoi tu ne m'as rien dit ?" Elle répondit, "J'attendais de voir jusqu'à quand tu allais laisser ta sœur te mener par le bout du nez !"
C'est certainement ce que Dieu doit penser de nous quand nous nous laissons torturés par nos péchés qui ont été pardonnés. Dieu dit, "Parce que je t'aime, je t'ai pardonné, alors ne laisse pas le diable faire de toi sa marionnette."

Rien ne doit nous effrayer excepté le péché




Quand Chrysostome fut arrêté par l'empereur de Rome, il fut demandé à ce chrétien Grec de renier sa foi, mais sans succés. Alors l'empereur consulta ses conseillers afin de décider de ce qu'il ferait au prisonnier. "Le mettrons-nous dans un donjon ?" Demanda l'empereur. "Non", répondit un de ses conseillers. "Car il serait content d'y aller. Cet homme aime bien la tranquilité pour jouir des grâces de son Dieu." "Alors il sera exécuté !" Dit l'empereur. "Non." Fut la réponse, "car il sera content là aussi de mourir. Il dit que dans l'éventualité de la mort, il se trouvera dans la présence de son Seigneur."
"Que ferons-nous alors ? " demanda le dirigeant. "Il n'y a qu'une chose qui attristera Chrysostom," dit le conseiller. "Pour faire souffrir Chrysostom, faites-le pécher. Rien d'autre ne l'effraye excepté le péché."