mercredi 12 mai 2010

5 erreurs à éviter afin de ne pas se tromper soi même...



1) En croyant être quelqu'un que l'on est pas en réalité.. {Galates 6:3 "Si quelqu’un pense être quelque chose, quoiqu’il ne soit rien, il s’abuse lui-même.}

2) En ecoutant la parole de Dieu sans la mettre en pratique {jacques 1:22 "Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements."}

3) En disant ne pas avoir de péché {1 jean 1:8 "Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous"}

4) En se croyany sage selon les critères de ce monde. {1 corinthiens 3:18-19 "Que nul ne s’abuse lui-même: si quelqu’un parmi vous pense être sage selon ce siècle, qu’il devienne fou, afin de devenir sage.}

5) En se croyant être chrétien sans maîtriser sa langue. {jacques 1:26 " Si quelqu’un croit être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son coeur, la religion de cet homme est vaine.}

Ce que notre Seigneur a laissé



Sa bourse à Judas. (Jean 12/4-6 )

Son corps à Joseph d'Arimathée. (Marc 15/43),( Luc 23/51), (Esaïe 53/9)

Sa mère à Jean. (Jean 19/26-27)

Son esprit à son Père. (Luc 23/46)

Ses vêtements aux soldats. (Psaume 22/18), (Matthieu 27/35) (Marc 15/24), (Luc 23/34), (Jean 19/23)

Sa paix à ses disciples. (Jean 14/27)

Son souper à ceux qui le suivent. (Luc 22/19)

Son Évangile au monde. (Matthieu 28/19)

Sa présence jusqu'à la fin du monde à ceux qui le servent (Matthieu 28/20)

Deux martyrs de la foi


Chers lecteurs, Jésus avertit ses disciples qu'ils auraient à passer par les souffrances, par la prison et même par la mort à cause de son nom.

Ce petit traité se propose de vous raconter l'histoire de deux jeunes chrétiens, Blandine et Pontique, qui préférèrent mourir plutôt que de renier leur Sauveur, lui rendant ainsi un témoignage éclatant.

Il y a longtemps de cela, sous le règne de l'empereur romain Marc-Aurèle, environ 170 ans après la naissance de Jésus, Pothin et Sanctus annonçaient l'Evangile dans les villes de Lyon et de Vienne. Beaucoup de gens étaient amenés à la foi en Jésus Christ; et comme ils ne voulaient plus adorer les idoles, ils furent en butte à une cruelle persécution. Un grand nombre de chrétiens furent mis en prison ou envoyés au supplice.

Lors d'une bruyante fête donnée dans l'amphithéâtre de Lyon on en fit mourir plusieurs, parmi lesquels se trouvaient Blandine et Pontique. Blandine était une jeune esclave, Pontique un garçon de 15 ans.

Les romains avaient des jeux bien cruels pour égayer leurs fêtes. Ils faisaient combattre à mort des hommes les uns contre les autres ou contre des bêtes féroces. Ils offraient ainsi en spectacle les malfaiteurs, et ce fut là aussi que périrent tant de chrétiens.

Avant de faire mourir Blandine et Pontique, on les produisit plusieurs fois en public, cherchant à les faire abjurer par la vue du tourment des autres. Mais on ne put les épouvanter car le Sauveur se tenait auprès d'eux et les fortifiait.

Une fois Blandine fut attachée à un poteau dans l'arène pour être exposée à la fureur des bêtes; elle n'en reçut aucun mal. La faiblesse de son corps faisait craindre à sa maîtresse, qui était aussi persécutée, qu'elle n'eût pas la force de persévérer jusqu'à la fin. Cependant, elle fut merveilleusement soutenue. "Je suis chrétienne, on ne fait point de mal parmi nous", répétait-elle. Dieu montra dans cette occasion qu'il se sert des faibles pour confondre les forts. Le Fils de Dieu ne marchait-il pas autrefois avec les trois jeunes hébreux que Nébucanetsar avait fait jeter dans la fournaise? Oh! prodige de la foi au Seigneur Jésus Christ! Par elle plusieurs ont éteint la force du feu et fermé la gueule des lions.

Dieu, toutefois, ne voulait pas délivrer Blandine ni Pontique; et il les remplissait de confiance afin de les donner en exemple de fidélité jusqu'à la mort. Aussi ces deux jeunes chrétiens étonnaient-ils tous les spectateurs en ce qu'ils n'avaient pas honte de Christ et qu'ils s'estimaient heureux de souffrir pour son nom.

De nos jours encore, il y a beaucoup de pays où les chrétiens sont impitoyablement persécutés tandis que nous pouvons en toute tranquillité lire la Bible et rendre culte à Dieu. Et malgré tant de faveurs dont nous jouissons, ils arrivent trop souvent que estimons peu la grâce qui nous est offerte de pouvoir servir librement le Seigneur Jésus. Nous nous dispersons en bon nombre d'activités ou loisirs qui nous éloignent du service humble et fidèle que le divin Maître a en réserve pour chacun de ses rachetés qui lui ont coûté si cher!

Que Dieu nous accorde de marcher à la suite du Seigneur Jésus et nous estime digne de souffrir pour Lui. Qu'il nous donne à coeur de prier tant pour les autorités qui nous gouvernent que pour celles qui persécutent nos frères et soeurs dans la foi.

Ces deux jeunes martyrs étaient sommés de jurer pour le nom des idoles. Ils montrèrent par cette occasion une fermeté d'autant plus remarquable qu'on leur infligeait de nouvelles tortures. Cette fermeté, qui exaspérait la foule, ne fut en rien ébranlée; et le jeune homme succomba le premier, terminant vaillamment le combat de la foi.

Blandine, restée la dernière, avait un tel esprit de confiance que ceux qui la tourmentaient avouèrent qu'ils étaient lassés. Elle voyait que c'était le moment où elle serait transportée à son tour auprès de son Sauveur, aussi était-elle rayonnante de joie. Lorsqu'enfin elle fut enveloppée dans un filet et exposée à la violence d'une taureau effarouché qui, l'agitant de ses cornes, la déchira en plusieurs pièces.

Cette héroïne de la foi quitta ainsi la terre pour entrer dans une vie meilleure.

Sois fidèle jusqu'à la mort, dit le Seigneur, et je te donnerai la couronne de vie ... Celui qui vaincra n'aura point à souffrir de la seconde mort. (Apocalypse 2:8,18)

Jésus, parlant à ses disciples, à ses amis (Luc 12), leur dit deux choses:
- ne craignez pas;
- craignez.

Les hommes peuvent tuer le corps, mais, ne pouvant rien sur l'âme, ils ne sauraient empêcher Jésus de la recevoir. Ne les craignez donc pas.

Dieu, s'occupant de tous nos besoins, nous a donné son Fils pour Sauveur. Quiconque l'aura renié devant les hommes sera renié devant les anges de Dieu et jeté dans la géhenne. Craignez celui-là.

Nul ne peut à mon âme
Disputer son bonheur.
De l'enfer, de sa flamme,
Je ne sens nulle peur.
Le Seigneur, juste Juge,
Est mon plus tendre ami;
Son coeur est le refuge
Où je fuis l'ennemi.

Oui, malgré la tempête,
Jésus, à qui je suis,
Toujours sous sa houlette
Gardera sa brebis.
Dussé-je pour mon Maître
Perdre tout ici-bas.
A lui seul je veux être,
Je ne le quitte pas.

Ancien cantique morave

De quelle façon vous approchez-vous de Dieu ?



Une femme était hospitalisée quand on lui annonça la mauvaise nouvelle sur sa santé. Elle était tellement en colère contre Dieu qu'elle s'est rendue à la chapelle de l'hôpital pour dire à Dieu sa révolte. Elle était en colère parce qu'elle pensait que Dieu avait trompé les gens en leur disant qu'il était un Dieu d'amour.
Arrivant à l'entrée de la chapelle elle a trébuché et elle est tombée sur sa face. Quand elle a levé les yeux, là, au bas de l'autel elle lit une inscription, "Oh Dieu ! Aie pitié de moi qui suis un pécheur !" A ce moment-là, son cœur se brise et elle réalise qu'elle n'a pas à blâmer Dieu, au contraire, elle devrait lui demander d'avoir pitié d'elle, et c'est ce qu'elle a fait… Et Dieu l'a guéri…

Il avait déjà décidé que les miracles n'existent pas




Un pasteur raconte qu'un jour il a assisté en tant qu'étudiant, à un discours philosophique du Dr Anthony Flew. Il essaya de démontrer que les témoins oculaires des miracles du N.T. particulièrement les disciples de Jésus, n'étaient pas suffisamment nombreux, ni suffisamment intelligents et n'avaient pas assez de personnalité pour être cru…
A la fin de son discours, il y a eu un temps de question réponse. Après que quelques questions furent posées, un jeune homme s'est levé devant un auditoire d'environ 300 personnes et dit :

"Dr Flew, supposons que quelqu'un dans cette salle, cet après midi, se mette à se soulever par lévitation et que tout le monde le voit. De plus, supposons que des représentants des écoles de médecine ainsi que du département des sciences et de la psychologie soient amenés pour l'examiner et constate que la personne s'est vraiment soulevée par lévitation. Supposons encore que tout cela soit rapporté par écrit dans un journal important et ensuite tout soit oublié. Finalement, supposons que vous viviez 30 ans plus tard dans le futur et vous faites des recherches dans la bibliothèque et vous tombez sur cet article dans le fameux journal. Que diriez-vous ?"

Sans un moment d'hésitation, le Dr Flew répondit, "Je dirai que cela n'est jamais arrivé." "Mais Monsieur," dit l'étudiant, "quelle sorte d'évidence vous faut-il pour que vous acceptiez le fait que c'est arrivé ?" Sa réponse fut, "Les gens ne se soulèvent pas par lévitation."

Par Amour ou Obligation ?




Un mari et sa femme ne s'aimaient pas vraiment. L'homme était très exigeant, il l'était tellement qu'il préparait pour sa femme une liste de règles à suivre. Il insistait pour qu'elle les lise tous les jours et obéisse à la lettre. Entre autres choses, ses " fais ceci et ne fais pas cela "indiquaient des détails tels que, à quelle heure elle devait se lever le matin, quand son petit déjeuner devait être servi, et comment le ménage devait être fait. Après plusieurs longues années, le mari est mort. Comme le temps a passé, la femme est tombée amoureuse d'un autre homme, un qui l'aimait tendrement. Bientôt ils se sont mariés. Ce mari a fait tout ce qu'il pouvait pour rendre sa nouvelle femme heureuse, sans cesse il lui manifestait ses marques d'affections. Un jour comme elle nettoyait la maison, elle a trouvé glissé dans un tiroir la liste des ordres que son premier mari avait écrits pour elle. Alors qu'elle l'examinait, elle s'est rendue compte que bien que son présent mari ne lui pas donnée de liste particulière, elle faisait tout ce que la liste de son premier mari avait exigée. Elle s'est rendue compte qu'elle était si consacrée à cet homme que son désir le plus profond était de lui plaire par amour, et non par obligation.

L'amour produit la vie



Un homme raconte qu'au début du siècle dernier, les vieilles locomotives fonctionnaient au bois et se rendaient de village en village. De ces locomotives s'échappaient des étincelles qui mettaient le feu aux champs de blé prêts à être moissonnés.
Certains champs brûlaient jusqu'à 15km, se répandant à travers la plaine et rencontrant parfois des fermes… Si le fermier se laissait surprendre, il perdait tout !
Un jour, un fermier a vu un de ces incendies au loin. A en juger par la direction du vent, il a compris que ce feu dévastateur allait droit sur sa ferme, et après avoir brûlé le blé, c'était sa ferme qui serait touchée. S'il ne faisait rien pour l'arrêter, il allait tout détruire : Son bétail, ses granges et même sa maison. Alors il a pris une torche et il a couru à la limite de ses champs et à commencer à allumer un contre-feu !
Le feu a commencé à brûler sur une centaine de mètres, tout autour de ses bâtiments. Quand le grand incendie est arrivé sur la surface DEJA BRULEE, le feu s'est arrêté…
Il a sauvé ses bâtiments mais il a perdu la récolte. Un peu après, dans une grande tristesse, il a parcouru les champs calcinés. Il a aperçu là, parterre, le corps calciné d'une poule. Il a pensé que cette poule avait paniqué et s'est trouvée piégée dans l'incendie. Machinalement, avec le bout de sa chaussure, il a retourné le corps calciné de la poule, et LA, de dessous la poule se sont mis à courir une douzaine de poussins. Avec son corps, cette mère poule avait sauvé ses poussins. Voilà le portrait qu'Esaïe a dépeint concernant le serviteur de l'Eternel.

L'amour du père(2)




Un père avait ouvert à ses enfants des comptes épargne assez bien garnis. Son plus jeune fils, arrivant à sa majorité, entêté et obstiné, décida qu'il aurait complète autonomie, ainsi il dit à son père :" Pourrais-tu me donner mon épargne maintenant comme ça je pourrais aller où je veux et vivre et faire comme je veux sans être obligé de toujours t'en faire part." - Après un temps assez court, le jeune homme s'en alla à la ville prenant son argent. Il eut du bon temps, faisant son chemin dans la haute société. Tout le monde aimait ce garçon généreux. Les femmes étaient pendues à son cou. Ce fut une année brillante. Il s'éclatait, et ne donna même pas un coup de fil à la maison. Puis ce fut l'effondrement !

La situation économique était des plus mauvaises; Les affaires marchaient mal à cause d'une sécheresse épouvantable et il n'y avait plus d'argent pour s'en sortir. Les gens perdaient tout ce qu'ils avaient. Le jeune homme n'arrivait pas à trouver un travail décent et se trouva dans une impasse. Rien à l'horizon pour se faire un peu d'argent. À cause de ses dettes il ne pouvait même pas se nourrir; Il était affamé la plupart du temps.
Une nuit, son estomac grouillait, il se rappela tout ce qu'il y avait à manger dans la maison de son père. Alors qu'il grelottait dans sa chambre froide, il se rappela la grande maison bien chauffée de son père. SOLITAIRE. Il appela ses anciens copains, mais aucun d'eux ne voulu l'aider. Dès qu'il se trouva dans l'incapacité à régler les additions, ils avaient disparut les uns après les autres. A ce moment là il se souvint de l'amour et des rires qui remplissaient la maisonnée quand il était avec son père.

Quel fou ! Il avait rejeté les choses les meilleurs pour quelques mois de frissons bons marchés. Même les ouvriers embauchés par mon père vivent mieux que moi ! Je vais retourner à la maison ; J'ai offensé Dieu et mon père, et je n'ai plus le droit de vivre désormais comme un fils. Je vais juste demander un travail dans l'entreprise familiale. Ainsi le lendemain il prit le chemin de la maison. Il ne prit même pas la peine de prévenir.

Quand le bus l'a déposé au village, il n'avait pas de quoi payer un taxi, il fit donc le reste du chemin à pied.

Quand il arriva au virage qui se trouvait encore loin de la maison, son père était dehors sur la pelouse. IL LAISSA TOMBER CE QU'IL ETAIT en train de faire et se précipita sur le chemin à la rencontre DE SON FILS PERDU DEPUIS SI LONGTEMPS. ----- Quand le fils le vit venir vers lui, il se prépara à recevoir les paroles de reproches qui n'allaient pas manquer de lui être adressées. Il se remémora les paroles qu'il allait lui dire : -ce qu"PAPA, JE SUIS VRAIMENT DESOLE D'AVOIR FAIT LE FOU et aussi, J'AI OFFENSE Dieu ET TOI PAR MES FOLLES ACTIONS. Je ne m'attends pas à ce que tu me traites comme ton fils désormais. Est-ce que tu aurais un petit travail pour moi , ne serait-ce qu'à m'occuper du courrier de l'entreprise ?"

Quand son père arriva près de lui, il commença à parler MAIS SES PAROLES SE SONT PERDUES dans une vigoureuse étreinte.
Pendant ce temps le chauffeur et le maître d'hôtel les avaient rejoint. Le papa était si excité qu'il commença à donner des ordres. "Allez chercher quelques nouveaux vêtements pour mon fils. Dites au personnel de préparer un dîner pour célébrer cet événement. Invitez nos amis d'alentour. Pour moi mon fils était comme mort, mais il est vivant. Je croyais l'avoir perdu à jamais et le voici de retour à la maison."

Le Miracle d'une Nouvelle Naissance




C'est l'histoire de Mitsuo Fuchida, l'homme qui a joué un rôle principal durant l'attaque Japonaise sur Pearl Harbor. Mitsuo n'a pas seulement aidé à organiser l'attaque surprise sur Pearl Harbor mais il est aussi celui qui a conduit les pilotes des forces aériennes qui ont accompli la mission. C'était encore Mitsuo qui a prononcé les fameuses paroles durant cette attaque, “Tora, Tora, Tora.” La guerre terminée Mitsuo était toujours convaincu de la justesse de la cause Japonaise. Mais il y a eu deux choses qui étaient un témoignage pour lui. Il a entendu l'histoire de Peggy Covell qui avait secouru les prisonniers de guerre Japonais. Il a appris que ses parents avaient été des missionnaires au Japon, mais quand il y eut la persécution ils ont été exécutés. Il ne pouvait pas comprendre comment cette femme pouvait aider ceux qui avaient été responsables de la mort de ses parents. Et, en une autre occasion on lui remit un tract écrit par Jacob Deshaze. Jacob avait été un membre de l'attaque Doolittle contre le Japon et avait été capturé. À la fin de la guerre il est revenu au Japon comme un missionnaire. Mitsuo a été touché par le pouvoir de Christ qui a poussé ces gens à aimer ceux qui les avaient blessés. Mitsuo a cherché et a trouvé une Bible et là dans l'histoire de la crucifixion qui se trouve dans Luc 23 il a donné son cœur et sa vie à Jésus. Il a passé le reste de sa vie à rendre témoignage du pouvoir de Jésus pour transformer les vies. La sienne fut une conversion soudaine et dramatique. [L'histoire a été tirée de “Pearl Harbor Remembered: Le Miracle d'une Nouvelle Naissance.” Stephen Rost. La Tribune de la Bible baptiste (4 décembre , 1991)

Seigneur, apprends-moi à aimer !




C'était durant les vacances de Noël et un monsieur avait garé sa voiture pour aller s'acheter le journal. Il remarqua un garçon sal et en habits déchirés qui regardait sa voiture. Il se dit que s'il ne faisait pas vite, il manquera certainement un enjoliveur au retour… Il revint avec le journal sous le bras et au moment d'ouvrir la portière de la voiture, le garçon lui demanda : " Monsieur ! Combien doit coûter une voiture neuve comme ça ? " Et le monsieur répondit, " Je ne sais pas, mon frère m'en a fait cadeau l'année dernière à Noël. " Avec des yeux incrédules le garçon regardait la voiture, émerveillé. Puis il a dit quelque chose d'inatendu. Il n'a pas dit ce que vous auriez pensé. " Oh ! J'aimerais avoir une voiture comme ça ! " Non ! Il a dit, " Oh ! Comme j'aimerais être moi aussi un frère comme ça ! "

ingénieur industriel dans une fabrique de cigarettes à Kazan,




Alexandre Gorbonov est ingénieur industriel dans une fabrique de cigarettes à Kazan, en république tartare. Il avait vu des émissions chrétiennes à la télé et commandé un cours biblique par correspondance offert à la fin de l'émission. Pendant environ une année, avec assiduité il a travaillé ses leçons. Il en était venu à croire que s'il parvenait à répondre avec succès à tout ce travail de correspondance biblique, il pourrait être sauvé et avoir la vie éternelle. Quand Alexandre rencontra les deux responsables de ce cours par correspondance, la première chose qu'il voulut, était qu'ils vérifient les réponses pour voir s'il avait les bonnes réponses. Ils étaient étonnés d'une telle assiduité. Il savait que Jésus était le Fils de Dieu, qu'il était mort pour le péché des hommes, mais il n'avait jamais fait de rencontre personnelle avec Christ et ne l'avait jamais invoqué… Alors les deux responsables lui ont expliqué que Jésus était venu pour le sauver et que s'il voulait l'invoquer, il serait sauvé !!!
Il aurait fallu voir son visage s'illuminer, quand il réalisa commbien c'était simple et qu'il n'avait pas besoin de connaître la Bible de bout en bout !

O mort, où est ta victoire?




Carl était un homme très riche qui possédait une grande propriété. Un de ses passe-temps favoris était de monter à cheval à travers sa vallée, et de regarder tout ce qu'il possédait et de se féliciter sur sa grande richesse.
Un jour, Carl était monté sur une colline et il aperçut au loin un de ses commis fermiers, un vieil homme du nom de Hans. C'était l'heure du déjeuner et Hans avait mis une petite table à l'ombre d'un arbre et se préparait à manger.
Mais avant de manger, il a incliné sa tête, joint les mains en prière pour remercier Dieu pour sa nourriture.
Carl a regardé l'homme en prière. Puis il a regardé son repas. C'était un croûton de pain et un morceau de fromage.
Avec un ricanement Carl a dit, " Si c'est tout que j'ai à manger, je ne prendrai pas la peine de prier." Hans a répondu humblement, "Pour moi c'est suffisant et je suis reconnaissant à Dieu de ce qu'il ait pourvu."
Étonné par la réponse du vieil homme, Carl fit faire demi-tour à son cheval se préparant à partir. Mais avant qu'il puisse partir, le vieux Hans lui dit, " Attendez une minute. J'ai besoin de vous dire quelque chose. J'ai fait un rêve hier soir. Dans mon rêve j'ai vu une belle scène, et j'ai alors entendu une voix qui disait, "Ce soir l'homme le plus riche de la vallée mourra. Ce soir l'homme le plus riche de la vallée mourra ".
"Des sottises !" Dit Carl alors qu'il s'en retournait chez lui. Mais tout en chevauchant, les mots du vieux Hans le tracassaient, "Cette nuit l'homme le plus riche de la vallée mourra !" Jusqu'à alors il s'était tout à fait bien senti, mais maintenant il commençait à éprouver des douleurs dans sa poitrine. Il commença à se demander, "serait-ce vrai ? Est-ce que je vais mourir ce soir ?"
De retour à la maison il appela le docteur et lui raconta le rêve du vieux Hans et les douleurs qu'il avait ressenties. Le docteur lui dit, "Il ne me semble pas qu'il y ait de quoi s'inquiéter, mais pour vous tranquilliser, je viendrai vous examiner."
Après l'examen, le docteur lui dit, "Carl, vous êtes aussi fort qu'un cheval, il n'y a aucune raison pour que vous mouriez ce soir." Carl dit, "Ben, j'ai été bien bête de prêter attention au rêve du vieil homme disant que l'homme le plus riche de la vallée allait mourir ce soir. Mais je désirais juste être certain."
Ainsi rassuré, Carl s'est mis au lit. Le matin suivant, on frappa à sa porte, et le messager dit, "Carl, le vieux Hans est mort hier soir !" C'était vrai ! L'homme le plus riche de la vallée est mort hier soir !

Dieu vous aime tellement qu'il vous permet de faire votre choix




Un pasteur avait un entretien avec un chrétien qui avait été autrefois un chrétien engagé, un serviteur de Jésus Christ. Cet homme est parti et a sombré dans un péché sexuel et dans l'adultère et il finit par quitté sa famille.
Aujourd'hui c'est un homme misérable, et il nourrit même de l'amertume à l'encontre de Dieu. A un certain moment, quand il a commencé à flirter avec cette autre femme, cet homme dira : "Si c'était mal, pourquoi Dieu ne m'a pas arrêté ?" Un peu plus et il rendait Dieu responsable de sa faute.
Dieu n'a-t-il pas tout pouvoir ? Ne pouvait-il pas lui envoyer la foudre et le prévenir ? Oui, il aurait pu, mais il ne l'a pas fait.

LA MORT A PERDU son aiguillon...




Un père et son fils roulaient sur un chemin de campagne au printemps. Soudain une abeille est entrée par la fenêtre.
- Etant allergique aux piqûres d'abeilles, l'enfant paniquait pendant que l'abeille volait à l'intérieur.
- Voyant la peur de son fils, le père a étendu sa main et saisi l'abeille….
Il ouvrit la main et l'abeille se mit à voler à nouveau…. L'enfant paniquait….
Mais le père ouvrit sa main et la montra à son fils, le dard de l'abeille était planté dans la paume de sa main.
"Du calme mon fils, j'ai le dard, l'abeille ne peut plus rien."

Il est VIVANT, LA TOMBE EST VIDE !




A la période de Pâques, un moniteur avait le groupe des 8 ans à l'école du dimanche.
Parmi les enfants il y avait Philippe qui était trisomique. Le moniteur leur donna une boite chacun et les emmena à l'extérieur ------- Chaque enfant devait mettre dans sa boite un symbole de LA VIE NOUVELLE.
Dans une boite, l'un avait mis une belle fleur ------ Un autre un papillon…
De l'herbe ---- Un avait mis un caillou, cela déclencha un éclat de rire…
Dans la dernière boite, IL N'Y AVAIT RIEN !!!
On se mit à dire, "Quelqu'un n'a pas compris ----- C'est stupide !"
Mais quelqu'un a tiré le moniteur par la chemise : C'était Philippe, le trisomique qui dit : "C'est ma boite, ET J'AI BIEN FAIT… ELLE EST VIDE PARCE QUE LA TOMBE ETAIT VIDE…"
A partir de ce moment, Philippe fut accepté dans le groupe.
Durant l'été il eut une infection, comme il était fragile de santé, Philippe mourut…. A son enterrement, les enfants ont apporté leur boite près du cercueil, leurs boites étaient VIDES !!!

Bozo Néglige Son Propre Conseil




Bozo, le clown célèbre du cirque Barnum et Bailey, a passé ses dernières années à se produire pour la Société américaine du Cancer. Il a dit: " Je crois avoir fait rire un million de gens ". Il avait l'habitude de terminer sa représentation en disant, " Au revoir, au revoir maintenant... et soyez sûr de demander au docteur un diagnostique sur le cancer ". Il savait que l'avertissement pouvait vouloir dire leur vie, ou leur mort. Mais il est tombé malade lui-même et apprit à sa première consultation qu'il avait un cancer en phase terminale sans espoir. Il avait négligé son propre conseil.

A contre sens




Un homme cherchant sa route, s'est trouvé dans la confusion, et sans s'en rendre compte, il a pris l'autoroute à contre sens… Immédiatement on entendit à la radio : "Un véhicule vient de prendre l'autoroute à contre sens à tel endroit" --- et le conducteur de dire : "Ils sont menteurs ces journalistes. Ce n'est pas un véhicule qui a pris l'autoroute à contre sens, c'est tous les véhicules…"

Aujourd'hui ça paraît affreux !




Un artiste rendit visite à une amie très chère. Quand il arriva, elle était en larmes. Il lui en demanda la raison. Elle lui montra un foulard d'une grande beauté, qui avait pour elle une grande valeur sentimentale.
Ce foulard venait d'être endommagé par de l'encre indélébile.
L'artiste lui demanda la permission de prendre le foulard qu'il lui retourna, plusieurs jours plus tard, par la poste.
Quand elle ouvrit le paquet, elle eut de la difficulté à reconnaître son foulard.
Partant de la tache, l'artiste avait fait un dessin d'une grande beauté avec de l'encre de chine. Maintenant ce foulard était bien plus beau et avait bien plus de valeur qu'avant…
Il arrive que les tragédies qui nous brisent le cœur, deviennent le moyen même pour un plus beau dessin dans nos vies.
Soyons patients avec les blessures DONT NOUS n'avons aucun contrôle.
Elles peuvent, en fin de compte, devenir une source de guérison et de beauté spirituelle.

Avez-vous cessé de chanter ?




Il y avait une dame qui avait un petit oiseau ; Cet oiseau vivait dans une cage et il chantait toute la journée. Ce petit oiseau était toujours content. Il apportait de la joie à toute la maison avec son chant. Un jour la maman nettoyait la maison avec un aspirateur. Voulant faire plaisir à l'oiseau, elle se mit à aspirer les saletés au fond de la cage. Pendant qu'elle nettoyait la cage elle fit tomber une pièce de l'aspirateur ; Alors elle s'est penchée pour la ramasser. En faisant cela l'embout de l'aspirateur se dirigea vers le haut de la cage. On entendit un bruit…Vouuuuut !!! Et l'aspirateur s'est emballé. Comme par magie l'oiseau disparu aspiré, englouti à l'intérieur.
La pauvre femme s'est affolée. Elle a éteint l'aspirateur et ouvert le sac à poussière. Elle s'est mise à fouiller dans cette saleté jusqu'à ce qu'elle ait trouvé ce petit oiseau. Elle a essayé de l'épousseter, gentiment elle lui a nettoyé le bec et les yeux. Puis pensant bien faire, elle l'a passé sous l'eau. Le pauvre oiseau s'est mis à grelotter. Alors elle a pris le sèche-cheveux et a essayé de le réchauffer. Puis elle l'a replacé sur son perchoir. Mais ce petit oiseau n'a plus jamais rechanté. Il a cessé de chanter.

L'espérance : Y-a-t-il un espoir ?




Il y a plusieurs années, un bateau a heurté un sous-marin au large des côtes de Massachusetts. Le sous-marin a coulé avant que quelqu'un puisse s'échapper. L'équipage entier était piégé. Des bateaux se précipitèrent sur les lieux de la catastrophe, mais aucun d'eux ne pouvait faire quoi que ce soit. Des plongeurs furent envoyés pour évaluer la situation. L'un d'entre eux a mis son oreille contre la coque du sous-marin pour écouter s'il y avait le moindre bruit. Ce qu'il a entendu, c'est que quelqu'un tapait un message en morse. Comme il connaissait le morse il a pu déchiffrer le message. C'était : "Y-a-t-il un espoir ?"

Tranquille et calme malgré la fureur




Dans le palais de Pitti, à Florence, il y a deux tableaux accrochés côte à côte. Un représente une mer orageuse avec ses vagues en furies, des nuages noirs et des éclairs traversant le ciel. Dans les eaux on aperçoit un visage humain, portant une expression de la plus grande agonie et du désespoir. L'autre image représente également une mer, avec des vagues aussi furieuses et de l'orage dans l'air, avec des nuages noirs; mais du milieu des vagues un rocher s'élève, contre lequel les eaux se précipitent en vain. Dans une fissure de ce rocher il y a quelques touffes d'herbe verte, avec de jolies fleurs, et parmi tout cela on voit une colombe couchée dans son nid, tranquille et calme malgré la fureur sauvage de l'orage.

Personne n'est immunisé contre les tempêtes de la vie !

J'ai lu l'histoire d'un pasteur qui avait été absent de la ville pendant une semaine. Durant son absence, une tornade avait balayé la petite ville. Un homme de son église le rencontra à l'entrée de la ville. L'homme lui dit, "S'il vous plaît pasteur, priez pour moi, cette tornade a détruit ma maison. Tout ce qui me reste ce sont les vêtements que j'ai sur le dos." Le pasteur profita de la tragédie pour dire certaines vérités à cet homme. Le pasteur lui dit, "cela ne m'étonne pas ! A cause du péché de désobéissance qu'il y a dans votre vie, je ne suis pas surpris que votre maison ait été détruite. Je crois que Dieu vous a puni. J'espère que vous prendrez cela comme un avertissement de Dieu !" L'homme lui répondit, "Certainement pasteur. Et soit dit en passant, je voulais vous dire aussi que votre maison a été détruite aussi !"

Vous ne pouvez pas aider quelqu'un si vous avez une poutre dans votre œil.




Quand le Président Clinton avait presque admis une "erreur morale", il avait demandé à deux éminents pasteurs de venir "le conseiller!" Un des deux pasteurs était Gordon McDonald, un pasteur qui avait expérimenté une chute morale plusieurs années auparavant. Il l'avait confessé, avait démissionné, et après une longue période de repentance supervisé par des hommes de Dieu, il fut restauré dans le ministère, homme véritablement humble. C'était certainement un bon choix ! Mais qui était l'autre pasteur que Clinton avait choisi ? Le Révérend Jesse Jackson. Or, on a appris par la suite, qu'au moment même où il aidait Clinton, lui-même était en situation d'adultère. L'un des deux conseillers, avait réglé le problème de la paille dans son œil, l'autre non !

Aujourd'hui ça paraît affreux !

Un artiste rendit visite à une amie très chère. Quand il arriva, elle était en larmes. Il lui en demanda la raison. Elle lui montra un foulard d'une grande beauté, qui avait pour elle une grande valeur sentimentale.
Ce foulard venait d'être endommagé par de l'encre indélébile.
L'artiste lui demanda la permission de prendre le foulard qu'il lui retourna, plusieurs jours plus tard, par la poste.
Quand elle ouvrit le paquet, elle eut de la difficulté à reconnaître son foulard.
Partant de la tache, l'artiste avait fait un dessin d'une grande beauté avec de l'encre de chine. Maintenant ce foulard était bien plus beau et avait bien plus de valeur qu'avant…
Il arrive que les tragédies qui nous brisent le cœur, deviennent le moyen même pour un plus beau dessin dans nos vies.
Soyons patients avec les blessures DONT NOUS n'avons aucun contrôle.
Elles peuvent, en fin de compte, devenir une source de guérison et de beauté spirituelle.

Avez-vous cessé de chanter ?




Il y avait une dame qui avait un petit oiseau ; Cet oiseau vivait dans une cage et il chantait toute la journée. Ce petit oiseau était toujours content. Il apportait de la joie à toute la maison avec son chant. Un jour la maman nettoyait la maison avec un aspirateur. Voulant faire plaisir à l'oiseau, elle se mit à aspirer les saletés au fond de la cage. Pendant qu'elle nettoyait la cage elle fit tomber une pièce de l'aspirateur ; Alors elle s'est penchée pour la ramasser. En faisant cela l'embout de l'aspirateur se dirigea vers le haut de la cage. On entendit un bruit…Vouuuuut !!! Et l'aspirateur s'est emballé. Comme par magie l'oiseau disparu aspiré, englouti à l'intérieur.
La pauvre femme s'est affolée. Elle a éteint l'aspirateur et ouvert le sac à poussière. Elle s'est mise à fouiller dans cette saleté jusqu'à ce qu'elle ait trouvé ce petit oiseau. Elle a essayé de l'épousseter, gentiment elle lui a nettoyé le bec et les yeux. Puis pensant bien faire, elle l'a passé sous l'eau. Le pauvre oiseau s'est mis à grelotter. Alors elle a pris le sèche-cheveux et a essayé de le réchauffer. Puis elle l'a replacé sur son perchoir. Mais ce petit oiseau n'a plus jamais rechanté. Il a cessé de chanter.

Tranquille et calme malgré la fureur




Dans le palais de Pitti, à Florence, il y a deux tableaux accrochés côte à côte. Un représente une mer orageuse avec ses vagues en furies, des nuages noirs et des éclairs traversant le ciel. Dans les eaux on aperçoit un visage humain, portant une expression de la plus grande agonie et du désespoir. L'autre image représente également une mer, avec des vagues aussi furieuses et de l'orage dans l'air, avec des nuages noirs; mais du milieu des vagues un rocher s'élève, contre lequel les eaux se précipitent en vain. Dans une fissure de ce rocher il y a quelques touffes d'herbe verte, avec de jolies fleurs, et parmi tout cela on voit une colombe couchée dans son nid, tranquille et calme malgré la fureur sauvage de l'orage.

Personne n'est immunisé contre les tempêtes de la vie !





J'ai lu l'histoire d'un pasteur qui avait été absent de la ville pendant une semaine. Durant son absence, une tornade avait balayé la petite ville. Un homme de son église le rencontra à l'entrée de la ville. L'homme lui dit, "S'il vous plaît pasteur, priez pour moi, cette tornade a détruit ma maison. Tout ce qui me reste ce sont les vêtements que j'ai sur le dos." Le pasteur profita de la tragédie pour dire certaines vérités à cet homme. Le pasteur lui dit, "cela ne m'étonne pas ! A cause du péché de désobéissance qu'il y a dans votre vie, je ne suis pas surpris que votre maison ait été détruite. Je crois que Dieu vous a puni. J'espère que vous prendrez cela comme un avertissement de Dieu !" L'homme lui répondit, "Certainement pasteur. Et soit dit en passant, je voulais vous dire aussi que votre maison a été détruite aussi !"