mardi 20 juillet 2010

A NE PAS MANQUER : Les yeux de l'amour






Un adolescent vivait seul avec sa mère et ils avaient une relation privilégiée. Bien que le fils passe toutes ses parties de football assis sur le banc, sa mère était toujours dans les estrades pour l'encourager. Elle ne manquait jamais une partie.

Au début du secondaire, il était encore le plus petit de sa classe et sa mère, tout en continuant à l'encourager lui fit comprendre qu'il n'était pas obligé de jouer au football s'il ne voulait plus jouer. Mais comme il adorait le football, il
décida de continuer.
Il était bien décidé à faire de son mieux à toutes les pratiques et espérait qu'on finirait peut-être par le laisser jouer un peu plus tard. Tout au long de son secondaire, il n'a jamais manqué une seule pratique ou partie, mais dû se contenter de réchauffer le banc. Fidèlement, sa mère était toujours dans les estrades et avait toujours des mots d'encouragement pour lui.
Lorsqu'il fit son entrée au collège, il décida de tenter sa chance aux essais afin d'être accepté comme recrue. Tout le monde était certain qu'il ne serait jamais accepté, mais il réussit. L'entraîneur admit qu'il le gardait sur la liste parce qu'il participait de tout coeur à chaque pratique, ce qui, par le fait même, avait un effet motivateur sur ses coéquipiers. Lorsqu'il apprit qu'il avait été accepté, il fut si content qu'il courut au téléphone le plus près pour l'annoncer à sa mère.
Elle partageait son enthousiasme et reçut des billets de saison pour toutes les parties de l'équipe du collège. Ce jeune athlète tenace ne rata aucune pratique au cours de ces quatre années, mais ne fut jamais appelé à jouer dans un seul match.

C'était maintenant la fin de la saison de football junior et comme il arrivait sur le terrain en courant, quelque temps avant le grand match des éliminatoires, l'entraîneur vint à sa rencontre, un télégramme à la main.

Le jeune homme lut le télégramme et devint silencieux. Une grosse boule lui nouait la gorge lorsqu'il annonça à son entraîneur: " Ma mère est décédée ce matin. Est-ce que je peux manquer la pratique aujourd'hui? "
L'entraîneur pose doucement son bras autour de ses épaules et lui dit: " Prends congé pour le reste de la semaine, fiston. En fait, tu n'as même pas besoin de revenir pour la partie samedi prochain. "

Le samedi suivant, la partie ne se déroulait pas bien du tout.
Au troisième quart, alors que l'équipe traînait de l'arrière par 10 points, un jeune homme silencieux se faufila dans le vestiaire et revêtit son équipement. Lorsqu'ils le virent arrivant en courant, l'entraîneur et les coéquipiers furent abasourdis de le voir de retour si tôt.

" Entraîneur, s'il vous plaît, laissez-moi jouer. Je dois absolument jouer aujourd'hui. " lui dit-il. L'entraîneur fit semblant de ne pas l'avoir entendu. Il était hors de question qu'il fasse jouer son pire joueur pendant un match aussi crucial. Mais le jeune homme insista et finalement, ayant pitié de lui, l'entraîneur accepta. " Ok, tu peux y aller. "

Quelques minutes plus tard, l'entraîneur, les coéquipiers et tous les spectateurs dans les estrades n'en croyaient pas leurs yeux. Ce jeune inconnu, qui n'avait jamais joué auparavant, faisait exactement tout ce qu'il fallait et correctement. L'équipe adverse n'arrivait pas à l'arrêter.

Il courut, bloqua et plaqua comme une étoile. Dans les dernières minutes de jeu, il intercepta une passe et courut sans s'arrêter et marqua le point gagnant. Les spectateurs sautaient de joie. Ses coéquipiers, le portèrent sur leurs épaules. Des applaudissements comme on en avait jamais eu.

Finalement, une fois que les estrades furent vides, et que le joueurs eurent pris leur douche et quitté le vestiaire, l'entraîneur remarqua le jeune homme assis en silence dans un coin. Il lui dit: " Fiston, je n'arrive pas à y croire. Tu as été fantastique. Dis-moi ce qui t'est arrivé? Comment as-tu fait? "

Les yeux emplis de larmes, il regarda l'entraîneur et lui dit:" Vous savez que ma mère est décédée cette semaine, mais saviez-vous qu'elle était aveugle? " Il avala avec difficulté et s'efforça à sourire: " Ma mère est venue à toutes mes parties, mais aujourd'hui, c'était la première fois qu'elle pouvait me voir jouer et je voulais lui montrer que j'étais capable de bien jouer. "

Souviens-toi TOUJOURS DE CECI

Quelqu'un est très fier de toi.

Quelqu'un pense à toi.

Quelqu'un se fait du souci pour toi.

Quelqu'un s'ennuie de toi.

Quelqu'un veut te parler.

Quelqu'un veut être avec toi.

Quelqu'un espère que tu n'as pas de problèmes.

Quelqu'un espère que tout ira pour le mieux pour toi.

Quelqu'un désire que tu sois heureux.

Quelqu'un a très hâte de te voir.

Quelqu'un t'aime tel que tu es.

Quelqu'un est content de t'avoir comme ami.

Quelqu'un veut que tu saches qu'il sera toujours là pour toi.

Quelqu'un a besoin de ton soutien.

Quelqu'un a besoin de savoir que tu crois en lui.

Quelqu'un te fait confiance.

Quelqu'un se souvient de toi en entendant une chanson.


Tu es une personne importante !

Ne l'oublie jamais!

A MEDITER EN SOURIANT TRANSMIS PAR Sylvana Plesel







À la ferme, le cheval est malade. TRANSMIS PAR Sylvana Plesel


Le vétérinaire dit au paysan : « Je lui injecte un remède, si dans trois jours il n'est pas remis, il faudra l'abattre.»

Le cochon qui a tout entendu, dit au cheval: «Lève toi !»
...Mais le cheval est trop fatigué.

Le deuxième jour le cochon dit: «Lève toi vite !»
Le cheval est toujours aussi fatigué et ne se lève pas.

Le troisième jour le cochon dit: «Lève toi sinon il vont t'abattre !»
Alors dans un dernier effort, le cheval se lève.

Heureux, le paysan dit: «Faut fêter ça: on tue le cochon !»

Moralité :
Toujours s'occuper de ses affaires et se taire.

Vision missionnaire







Par Auteur inconnu


W. Jessup, 50 ans missionnaire en Syrie, se découragea de voir la stérilité de ses efforts pour amener des âmes à Christ.

Il comprit que l’obstacle était en lui-même et il décida de passer une semaine seul avec la parole de Dieu.

Il réalisa ce qui lui manquait :

Il n’avait jamais donné à Dieu sa place dans ce travail de conquête des âmes, oeuvrant de ses propres forces.

Il pensa à Jéricho où Dieu agit pour que nul n’en puisse tirer gloire.

Aussitôt, il écrivit le nom de 11 personnes qu’il voulait amener à Jésus.

Il les abandonna à Dieu dans la prière, lui demandant d’accomplir son œuvre dans ces cœurs, et de se servir de lui, si bon lui semblait.

En trois semaines, ces 11 personnes avaient livré leur vie à Christ.

IL A DIT






Il a dit
Je t'aime dès ton origine
Et jusqu'à ta vieillesse je serai devant toi

Il a dit
Que les portes s'ouvriraient
Et les chemins s'aplaniraient
Les portes d'airain rompraient

Il a dit
Un talent je t'ai donné
Va et multiplie le et moi je te porterai

Il a dit
Fais de moi tes délices
Et ton coeur sera comblé de ta vie je m'occuperai

Il a dit
Si les montagnes s'éloignaient
Et les collines chancelaient
De toi je ne m'éloignerais

Il a dit
Tous tes soupirs m'ont parlés
Toutes tes larmes sont montées
Moi pour toi je combattrai

Car je suis ton DIEU
Je t'appelle par ton nom
Tu as du prix à mes yeux
N'oublie pas ! Je suis ton DIEU
Il n'y en a point d'autre
Ne crains rien car tu es à moi
Ne te relâche pas j’agirai ! Qui s'y opposera ?
Car je suis ton Dieu.

ÉCOUTES fais une pause, réfléchis !








Tu as connu sa présence,
Tu as goûté à sa vie,
Tu as senti son amour immense,
Il en a payé le prix.
Peux-tu dire qu’un jour il t’a trahi ?
Peux-tu dire qu’il t’a laissé tomber ?
T’a-t-il déjà lâché ?
A-t-il déjà failli ?
Si tu ne comprends pas ses actions
Est-ce parce qu’il n’a pas raison ?
Tu sais que ce qu’il dit, il le fait
Au moment qu’il a décidé,
Au moment le mieux adapté.
Il connaît mieux que nous nos besoins,
Il a toujours été à tes soins.
Regardes ses yeux.
Ne vois-tu pas des larmes ?
Regardes son cœur,
Il est déchiré.
A-t-il souffert pour rien ?
T’a-t-il aimé en vain ?
Il est là, bras ouverts,
Il est prêt à te serrer, te consoler,
Te pardonner, t’aimer.
Je t’en prie, arrête de courir inutilement,
Ne dit pas, ‘’ ce n’est pas le moment’’.
Fonces dans ses bras,
Essais encore une fois
Et tu vas encore sentir la chaleur de ses mains
Et tu vas encore sentir ton cœur tressaillir.
Ne regardes pas à l’homme,
Il n’est bon qu’à décevoir.
Tu sais, il n’a jamais cessé de t’aimer

Alors il t’en supplie, fais une pause, réfléchis !