jeudi 22 juillet 2010

L'horloge qui fit une dépression







Avez-vous entendu parler de l’horloge qui fit une dépression ? Un jour, elle commença à penser à combien de fois elle devrait “ tictaquer” pendant l’année. En calculant à partir de deux tic-tac par seconde, 120 par minute, 7 200 fois par heure, 172 800 par jour et 1 209 600 chaque semaine, l’horloge se rendit subitement compte qu’elle devrait “tictaquer” près de 63 millions de fois pendant les 12 prochains mois. Plus elle y pensait, plus elle devenait anxieuse. En fin de compte, l’horloge devint tellement affolée qu’elle fit une dépression. Confiant son problème à un psychiatre, l’horloge se plaignit qu’elle n’avait pas la force de “tictaquer” si souvent. Le médecin lui répliqua: “Mais combien de tic-tac devez-vous produire à la fois?” Et l’horloge répondit: “Seulement un”. “Eh bien, contentez-vous de faire un tic-tac à la fois et ne vous inquiétez pas du prochain, lui conseilla-t-il. Vous vous porterez bien, j’en suis certain”.

C’est exactement ce que fit l’horloge, et comme toute bonne histoire a une bonne fin, elle “tictaqua” toujours joyeusement à partir de ce jour.

Avez-vous un problème qui vous semble insoluble? Portez-vous un fardeau depuis longtemps qui semble trop lourd pour vous? L’avenir vous semble-t-il sombre? Placez votre fardeau sur le Seigneur. Demandez-lui de vous aider seulement pour la journée d’aujourd’hui.

Comme Jésus a dit: “Ne vous inquiétez pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même.” (Matthieu 6:34). Contentez-vous de faire un tic-tac; a la fois.

Une des meilleures choses au sujet de l’avenir, c’est qu’il se présente un jour à la fois

Un sale caractère






Il était une fois un garçon qui avait un sale caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit d'en planter un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et se disputerait avec quelqu'un.

Le premier jour il en planta 37 dans la barrière. Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour : il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler que de planter des clous.

Finalement, arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou dans la barrière. Alors il alla voir son père et il lui dit que pour ce jour il n'avait planté aucun clou.

Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas perdu patience.
Les jours passèrent et finalement le garçon pu dire à son père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière. Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit: "Mon fils , tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous qu'il y a dans la barrière.

Elle ne sera jamais comme avant.

Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un couteau dans un homme et après lui retirer, la blessure peut guérir, mais il restera toujours une cicatrice.

Peu importe combien de fois tu t'excuseras, il restera toujours une cicatrice. Plus la blessure est sérieuse, plus la cicatrice sera grande!

Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.

Les vrais amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur.

Source : Inconnue

IL A DONNÉ SA VIE PAR AMOUR








Tout commence un vendredi après-midi typique. Tu es en train de conduire pour rentrer chez toi, lorsque tu entends à la radio un fait comme un autre : "Dans un petit village lointain, 3 personnes viennent de mourir d'une grippe que l'on avait jamais vue auparavant". Tu ne prêtes pas vraiment attention à cet évènement...

Le lundi matin lorsque tu te réveilles, la radio annonce que ce ne sont plus seulement 3 personnes mais 300 qui sont mortes. Tout le monde s'inquiète et des experts de l'Organisation Mondiale de la Santé vont faire leur enquête.

Le mardi, c'est la grande nouvelle en première page de tous les journaux, parce qu'il ne s'agit plus seulement de l'Inde, mais aussi du Pakistan, de l'Afghanistan, et de l'Iran. Alors, tous les pays se mettent à fermer leurs frontières, terrestres, aériennes et maritimes, avec les pays contaminés. Mais cela ne suffit pas. Bientôt, on apprend que des personnes sont en train de mourir en Europe et aux Etats-Unis.

Les informations disent que, lorsque tu attrapes cette maladie, tu ne t'en rends d'abord pas compte, puis qu'il te reste à peine une semaine à souffrir avant de mourir.

Les scientifiques cherchent un antidote sans succès. Les gens ont des comportements de toute sorte. Certains prient pour que les chercheurs trouvent le remède. Tout à coup, la nouvelle inespérée arrive : on peut enfin faire un antidote !

Maintenant, il faut le sang rare de quelqu'un qui notamment n'ait pas été infecté par le virus. Donc, dans tous les pays, on demande à chacun de se faire faire un examen du sang.

Tu vas comme volontaire à l'hôpital avec ta famille, et tes voisins se demandent : "Serait-ce la fin du monde ?" Tout à coup le docteur crie un nom qu'il a lu sur son registre et, là, ton fils cadet te dit : "Papa, il a crié mon nom !". Avant que tu ne puisses réagir, ton fils est parti avec des infirmières et tu cries : "Attendez !", et ils te répondent : "Tout va bien, son sang est pur, nous croyons qu'il a le type de sang correct." Après un certain temps, les médecins sortent de la salle en riant et en pleurant. C'est la première fois depuis une semaine que tu vois quelqu'un rire, et le docteur s'approche de toi, et te dit "Merci mon Dieu, le sang de votre fils est parfait, il peut permettre de faire l'antidote contre la maladie..."

La nouvelle se répand et tout le monde pleure de joie. Le docteur s'approche de toi et de ton épouse, et dit : "Est-ce que je peux vous parler un moment ? Nous ne savions pas que le donneur serait un enfant, donc nous avons besoin que vous signiez cette permission pour nous permettre d'utiliser son sang."

Alors que tu lis le document, tu remarques qu'il n'est pas précisé la quantité de sang nécessaire... et tu demandes : "Quelle quantité de sang allez-vous prendre? " Le sourire du médecin disparaît, et il dit : "Nous ne pensions pas qu'il s'agirait d'un enfant, nous avons besoin de tout son sang." ! ! !

Tu n'arrives pas y croire, et tu essaies de répondre : "Mais, mais..." et le docteur te répond : " Vous ne comprenez pas, il s'agit d'une cure pour le monde entier, s'il vous plait, signez, nous avons besoin de tout le sang...". Et tu demandes : "Mais ne peut-il pas y avoir une transfusion ou tout autre chose ?", et là on te répond qu'il est le seul qui convient, que c'est urgent et que c'est donc impossible.

" Vous allez signez ? ? ? ? ? S'il vous plait, signez ! ! ! !". En silence et en tremblant, tu signes...

La semaine suivante, alors qu'il y a la cérémonie d'enterrement de ton fils, beaucoup de personnes restent dans leur lit à dormir, d'autres préfèrent aller se promener ou s'amuser... et certains qui sont à la cérémonie affichent un sourire forcé... Tu voudrais t'en aller en hurlant : "Mais mon fils est mort pour vous, et vous n'en avez rien à faire ! ! ! "

Parfois, c'est ce que Dieu voudrait nous dire : " Mon fils Jésus-Christ est mort pour vous et vous ne savez toujours pas à quel point je vous aime !"

Anonyme