samedi 1 mai 2010

Quelle leçon !




La jeune fille consulte rapidement sa montre, il est dix-huit heures. Plus qu’une heure, avant d’être en week-end, même si, quand on travaille le samedi, c’est un petit week-end!


Assise à sa caisse pour enregistrer les achats des clients, Laurence passe les articles d’un geste rapide. Elle garde le sourire, même si la fatigue de la semaine se fait ressentir.


Un couple se présente à sa caisse avec deux adolescents. Ils sortent leurs achats du caddie et les posent brusquement.

Laurence glisse un coup d’œil rapide vers eux et malgré la mauvaise humeur évidente du quatuor, elle lance un courageux bonjour.


Elle a pour réponse un silence et des regards ironiques de la part des plus jeunes. Un peu agacée, la caissière les ignore et passe les articles.


Soudain, une bouteille en verre lui échappe des mains malencontreusement, roule et cogne fortement le bas de la caisse, sans se casser pour autant.
- Je suis désolée, dit-elle en rougissant.
- Vous pouvez l’être, lance le père d’un ton hargneux. Si cette bouteille s’était cassée, je ne l’aurais pas payée, croyez-moi!
- Bien sûr que non ! Vous savez, cela arrive parfois, tente d’expliquer calmement la jeune fille.
- Ne cherchez pas d’excuses, mademoiselle ! Quand on est nulle, on est nulle, déclare le monsieur méchamment, alors que ses deux enfants se mettent à rire.

Seule la mère paraît embarrassée par l’attitude de son mari. Elle le regarde plutôt contrariée, mais cela ne semble rien y faire.

- Cinquante-neuf euros soixante, dit Laurence, en s’efforçant de garder son calme.
- Cela vous pose un problème, si je vous règle avec la carte bleue…

Il s’arrête et fixe ses yeux sur le badge de la jeune fille accroché à sa veste.
- Laurence, c’est ça… Laurence la nulle !

Elle le regarde droit dans les yeux et sent cette boule de colère monter dans sa gorge.
- Aucun problème, Monsieur, répond-elle froidement en prenant la carte.
- Et ne la faites pas tomber elle aussi, ajoute-t-il fièrement, en lançant un coup d’œil amusé à ses fils qui rient de plus belle.


Laurence ferme les yeux un instant, elle est tentée de répondre, d’invectiver à son tour ces gens qui se croient tout permis… Elle fulmine intérieurement tandis que l’opération bancaire s’effectue. Cela lui paraît si long. Elle prend le ticket de caisse, la carte bleue et la pose sur la tablette devant elle.

- Très bien, voilà, elle a réussi! Je dois vous applaudir peut-être, demande-t-il en rangeant sa carte. Elle ne peut s’empêcher de sourire devant tant de culot et apparemment cela ne plaît pas à monsieur.

- Elle se moque de moi, lance-t-il en se tournant vers sa femme, alors que le ton de sa voix ne présage rien de bon.
- Mais n’as-tu pas bientôt fini, laisse la tranquille, dit celle ci en tirant son mari.
- Au revoir, dit Laurence.

- C’est ça, au revoir, s’écrie le père en s’éloignant, non mais elle se prend pour qui celle-là?
La jeune femme les regarde s’éloigner, un peu abasourdie par ce qui vient de se passer. La cliente suivante, une vieille dame au regard compatissant semble s’inquiéter pour elle.
- Vous vous sentez bien mademoiselle? Laurence tressaille. Ses mains tremblent de colère contenue.

- Tout va bien, merci! dit-elle en poursuivant son travail.
- Vous savez, il y a vraiment de drôles de gens dans ce monde, chuchote la cliente.
- Ça c’est sûr, répond Laurence en souriant.


Depuis qu’elle travaille dans ce magasin, elle a déjà vécu des situations de ce genre. Mais c’est tellement difficile de prendre sur soi, de devoir se contenir, ne rien répondre, car le client est roi. Et puis il y a autre chose. En tant que chrétienne, Laurence a bien conscience qu’elle doit éviter les affrontements, les querelles. Cela ne sert à rien, sinon la mettre dans une situation difficile.


La jeune caissière termine son travail et rentre chez elle. Son mari Fabien l’attend à la maison et elle s’empresse de lui raconter sa mésaventure.
- Si tu avais vu cet homme, dit-elle en repensant à ce visage fier.
La soirée s’écoule paisiblement.


Le lendemain matin, le jeune couple se prépare pour aller à l’Église. Ils arrivent un peu en avance, comme à leur habitude. La salle se remplit petit à petit et soudain quatre personnes entrent. Le pasteur s’approche pour les saluer. Laurence se tourne un instant et constate, "Oh, surprise!" qu’il s’agit du couple de la veille avec leurs enfants. Elle donne un coup de coude à son mari et lui glisse à l’oreille.

- C’est le couple dont je t’ai parlé, ceux qui sont passés à ma caisse!
- Ce n’est pas vrai?
- Je t’assure!
Ils se regardent, interloqués. C’est vrai qu’il y a toutes sortes de gens dans ce monde, comme l’a si bien dit la vieille dame d’hier, mais de là à penser qu’il s’agit de chrétiens!


À la fin du culte, alors que Laurence et Fabien s’approchent de la sortie, le pasteur les interpelle.
- Venez que je vous présente une famille chrétienne de passage…

Laurence, qui redoutait ce moment, lève les yeux vers eux et… les regards qu’elle croise sont bien penauds, les visages décomposés par l’embarras. Elle pourrait profiter de cette royale occasion, et se venger de leur comportement de la veille, mais apparemment, le fait de se retrouver face à elle semble une leçon suffisante. Le regard honteux du père et son silence en dit long. Fabien leur serre la main comme si de rien était, tandis que le couple attend, figé, la réaction de la jeune femme.

- Nous nous sommes déjà vu hier, à ma caisse explique-t-elle au pasteur, vous êtes en vacances?
- Oui, pour une semaine, répond la mère en s’efforçant de sourire alors que le père de famille est blanc comme un linge.

- Profitez bien, dit Laurence en souriant et que Dieu vous bénisse!
Ils acquiescent en la regardant s’éloigner. Les deux adolescents n’ont pas pipé mot.
-J’espère que cela leur servira de leçon autant qu’à moi, dit la jeune fille en prenant la main de Fabien dans la sienne.
- Pourquoi dis-tu ça?

- Imagine que je me sois laissée aller à la colère hier, j’aurais été comme eux tout à l’heure. Si ça m’arrive une prochaine fois, je sais quelle est la bonne attitude à adopter!
- Ils auraient pu s’excuser quand même, dit Fabien.

- Ce n’est pas grave, ils étaient vraiment mal tu sais, surtout le père. La leçon a été rude. J’aurai pu tout raconter au pasteur devant lui… Je n’aurais pas voulu être à sa place et pourtant cela aurait pu se produire, si j’avais mal réagi moi aussi.

- Tu te rends compte, il avait pensé à tout ce matin, à tout sauf qu’il allait tomber sur toi à l’Église aujourd’hui, poursuit Fabien en ouvrant la portière de la voiture. Toi, Laurence, la caissière qu’il a insultée la veille. Si à chaque fois qu’on se comportait mal avec une personne, on se retrouvait nez à nez avec elle à l’Église, c’est sûr, on ferait plus attention!


- C’est une vraie leçon de Dieu à méditer, constate Laurence pensive, alors que la voiture s’éloigne du parking de l’Église.

La cruche fissurée




Un vendeur d’eau se rend chaque matin à la rivière, remplit ses deux cruches et part vers la ville distribuer l’eau à ses clients.

Fissurée, une des cruches perd son eau.

Toute neuve, l’autre rapporte plus d’argent.

La pauvre fissurée se sent inférieure.

Un matin, elle décide de se confier à son patron :- Tu sais, je suis consciente de mes limites. Tu perds de l’argent à cause de moi, car je suis à moitié vide quand nous arrivons en ville. Pardonne mes faiblesses.

Le lendemain, en route vers la rivière, le patron interpelle sa cruche fissurée :- Regarde sur le bord de la route !

- C’est joli, et plein de fleurs !

- C’est grâce à toi, réplique le patron. C’est toi qui, chaque matin, arroses le bas-côté de la route. J’ai acheté un paquet de graines de fleurs et je les ai semées le long du chemin. Et toi, sans le savoir et sans le vouloir, tu les arroses chaque jour. Ne l’oublie jamais : nous sommes tous un peu fissurés mais, si nous le lui demandons, Dieu sait faire des merveilles avec nos faiblesses.

De bonnes choses en réserve




Une dame qui avait un fils unique, confia à une amie :
- Je n’ose pas prier "Que ta volonté soit faite", ayant trop peur que Dieu me prenne mon enfant ou m’envoie de lourdes épreuves.
- Suppose, lui répondit-elle, que ton enfant vienne et te dise : "Je vais faire tout ce que tu désires, aujourd’hui". Vas-tu alors lui demander de faire tout ce qu’il n’aime pas, ou profiter de sa bonne volonté pour supprimer tout ce qui lui ferait plaisir ?
- Non, bien sûr, dit la maman. Je lui préparerai le meilleur emploi du temps possible.
- Et crois-tu que Dieu est moins juste et moins aimant que toi ?
Ce que le Père céleste veut pour nous est bon, agréable et parfait (Luc 11.13 ; Romains 12.2).

L'échelle de la foi




Un homme en eût assez de vivre comme un polisson.

Il choisit de s'éloigner de la corruption.

C'est alors qu'il vit l'échelle posée sur la terre, Et appuyée sur le ciel,

D'où descendaient et montaient des anges. Quel mystère Qui n'aurait pas envie de faire pareil ? Monter à cette échelle.

Le grimpeur n'en voyait pas le sommet.

Il se dit: "Je vais donner un nom à chacun des barreaux

Cela m'occupera pendant que je monterai; Ainsi sans m'en apercevoir, j'arriverai en haut."
Il mit son pied sur le premier barreau qu'il nomma: "foi"

Car dit-il : "pour arriver jusqu'à Dieu, il faut passer par là."

Pour continuer l'ascension, mieux vaut être disposé à faire le bien.

Cette pensée vient sûrement du Dieu trois fois saint.

Il nomma alors ce nouveau degré : "vertu".

Là, il s'agit de rester ferme là-dessus.

Pour continuer de progresser avec assurance, Il est bon de savoir où l'on va.

Alors l'alpiniste prit dans la parole de Dieu qui l'abreuve,

Tout un savoir, et appela cet échelon: connaissance",

Afin de ne pas chuter, ayons la maîtrise de soi
Et "tempérance "

fut nommé celui-là. Pour vaincre la pesanteur, attention à la défaillance;

Et un pied décidé fut posé sur:" persévérance "

Arrivé sur le palier suivant, vers Dieu sont tournées ses pensées;

Ce fut là, le stade de la ''piété''.

Il se souvient, à un moment, d'avoir eu de la peine à monter.
Des mains se sont tendues, c’était à la hauteur de la "Fraternité".

De son ascension il suit le cours,

Mais il lui semble qu'en un rien de temps
Il est arrivé au terme du voyage...Étonnant !

Il était sur le dernier barreau

'' l'AMOUR''

Une échelle appuyée sur le ciel c'est impossible, alors

levons les yeux,Et nous verrons qu'elle est tenue en haut par Dieu.

Un service funèbre original.




Les prédicateurs noirs américains ont souvent des idées fort originales.

On raconte de l'un deux, qu'il annonça un jour qu'il y aurait, à telle date, un service funèbre dans la salle. Ce serait, dit-il, le service d'une personne que chacun connais­sait très bien!

Au Jour dit, la salle était pleine de curieux. Ce n'est pas l'habitude d'annoncer un service funèbre sans dire qui est le mort.

Un chœur chanta un hymne funèbre, puis le prédicateur prit la parole.

Son message avait de quoi surprendre. Loin de célébrer le défunt et ses mérites, il se mit à le décrire comme un homme qui n'avait pas observé les commandements de Dieu. il avait su ne pas tomber sous le coup de la justice des hommes; mais il avait à affronter maintenant celle de Dieu.

L'orateur termina par une pathétique péroraison sur le sort réservé aux âmes qui ont méprisé la grâce de Dieu.

L'auditoire était de plus en plus intrigué. Chacun se demandait qui était le mystérieux personnage que le pasteur envoyait ainsi en enfer.

Cependant, ce dernier, son discours achevé, ordonna d'ôter le couvercle du cercueil, et il invita les assistants à défiler devant le cercueil, en se penchant sur le mort pour bien le reconnaître.

Une longue file se forma, et un long défilé commença.

Les derniers voyaient les premiers se redresser avec un visage plus ou moins crispé et se retirer dans le silence.

Personne ne disait rien. Qu'avaient-ils donc vu? Le pasteur avait tout simplement

fait disposer au fond du cercueil une grande glace. Chacun, en se penchant, avait pu voir sa propre image.

C'était donc lui le mort dont le prédicateur avait dénoncé les fautes.

La surprise de ces gens était telle qu'ils restaient confondus. Il paraît que certains ne purent oublier la leçon, et se convertirent.

L'amour VRAI




Un père, son fils et un ami à son fils voguaient paisiblement sur la côte du pacifique. Brusquement, une tempête violente s'abattit, rendant impossible tout retour vers la côte.

Les vagues étaient tellement hautes que toutes les années d'expérience du marin ne suffirent pas pour maintenir la barque en équilibre et la voilà qui se renverse, les précipitant tous dans l'océan déchaîné.

Le vieil homme hésita un moment, alors que son regard tombait sur deux adolescents qui, pour la première fois depuis ledébut du culte, le regardaient fixement, un peu un plus intéressés pour comprendre ou il voulait en venir. L'homme poursuivit :« Saisissant au vol le cordage de secours, le père avait à prendre la décision la plus déchirante de sa vie : quel enfant devait-il lancer l'autre bout du cordage de secours ?

Il n'avait que quelques secondes pour décider. Le père savait que son fils était chrétien (converti) et il savait aussi que l'ami de son fils ne l'était pas.

Avec une douleur qui n'avait de comparable que la hauteur de ces vagues meurtrières, il lança à son fils : 'Je t'aime, mon fils', et lança le cordage à l'ami de son fils, le ramena à la barque qu'il arriva tant bien que mal à retourner. Pendant ce temps, son fils disparaissait dans les profondeurs de l'océan dans la noirceur de la nuit.
Son corps n'a jamais été retrouvé.

En ce moment, les deux adolescents, assis tout droit sur leurs sièges,attendaient anxieusement la suite de cette histoire.

Le père, poursuivit-il, savait que son fils serait dans l'éternité avec Jésus et ne pouvait se faire à l'idée que l'ami de son fils puisse passer l'éternité sans Jésus. Ainsi donc, il sacrifia son fils afin de sauver son ami.

Combien grand peut être l'amour de Dieu pour qu'il ait fait autant pour nous ! Notre père céleste a sacrifié son fils unique afin que nous soyons sauves. Je vous supplie d'accepter son offre de vous secourir et de saisir ce cordage de secours qu'il vous lance dans ce service.

Sur ce, le vieil homme s'en retourna à sa place un long silence remplit la salle.

Le pasteur se leva encore, se dirigea vers la chaire, livra son sermon et fit un appel à la fin pour ceux qui voulaient donner leur coeur à Jésus. Personne ne répondit à l'appel.

A la fin du service, les deux adolescents se dirigèrent vers le vieil homme:
C'était une belle histoire, signifia poliment l'un d'eux. Mais, je ne pense pas que cela ait été vraiment réaliste de la part du père de sacrifier la vie de son fils unique dans l'espoir que l'autre garçon devienne chrétien (converti) !

Bien, vous venez de taper en plein dans le mile, dit le vieil homme,portant son regard sur la vieille bible qu'il avait en mains.

Un large sourire se dessina sur sa face étroite et il regarda encore une fois les deux adolescents, avant de lancer : Ce n'est sûrement pas réaliste n'est-ce pas ?

Mais je me tiens aujourd'hui devant vous pour vous dire que cette histoire me donne un aperçu de comment cela a pu être dur pour Dieu de sacrifier son fils unique Jésus pour moi.

Vous voyez, je suis l'homme de cette histoire et votre pasteur actuel était l'ami de mon fils.

Elle s'était confiée en lui.




C'était pendant la guerre germano-russe en 1814. Les troupes russes envahirent le territoire allemand. La population de certaines régions vivait dans la terreur, car l'adversaire faisait de grands ravages sur son passage. C'était l'hiver, on était alors en janvier. Le soir descendait sur un petit village où une maman chrétienne vivait seule avec ses enfants. Elle priait le Seigneur de préserver leur vie et leur petite maison, puis, terminant par le célèbre cantique de Martin Luther "C'est un rempart que notre Dieu...", elle alla se coucher confiante en la grâce divine. Vers le matin, un grand tapage les réveilla. Les soldats étaient entrés dans le village et commençaient leur triste besogne. Puis, peu à peu, le bruit s'estompa, l'ennemi se retirait, sa funeste tâche achevée. Aucun soldat n'était entré dans la maison ! L'explication lui fut fournie. Une neige épaisse était tombée toute la nuit et, poussée par un vent violent, elle s'était amassée devant la maison, la cachant entièrement aux regards de la troupe.

Dieu avait ainsi répondu à sa prière. Il avait envoyé un rempart de neige !... Il ne lui restait plus alors qu'à Le remercier !

LA BIBLE MÉMORISÉE.

II y a bien des années, en Pologne Orientale, un humble villageois reçut une Bible d'un colporteur qui visitait son hameau. En la lisant, cet homme se convertit et la passa à ses voisins. Par le moyen de cette seule Bible, deux cents personnes devinrent chrétiennes. Lorsque le colporteur Michael Billester, repassa par son village, tout le groupe se rassembla au culte pour écouter sa prédication.

Billester suggéra qu'au lieu d'apporter des témoignages, qu'ils récitent des versets de l'Écriture. Là dessus un homme demanda : «Voulez-vous dire les versets où les chapitres?»

«- Pouvez-vous réciter des chapitres de la Bible?» demanda le colporteur étonné.

Les villageois avaient appris par cœur et en entier plusieurs livres entiers de la Bible. Treize personnes savaient par cœur les Évangiles de Matthieu et de Luc, plus la moitié de la Genèse ; et un autre pouvait réciter par cœur le Livre des Psaumes. Les uns avec les autres, ils savaient pratiquement toute la Bible. Le vieux Livre lui-même, était tellement usé, que ses pages n'étaient plus guère lisibles

La question de la reine.




Existe-t-il une possibilité de savoir si nous passerons l'éternité dans le ciel, dans la communion avec Dieu, et non pas dans la «seconde mort», la séparation définitive d'avec Lui?

Ils sont nombreux à penser que cette question ne recevra une réponse qu'après la fin de cette vie. En est-il réellement ainsi? Le problème de la gloire éternelle ou des ténèbres du dehors, le ciel ou l'enfer doit-il rester une incertitude rongeante jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour pouvoir changer de cap?

La reine Victoria d'Angleterre fit un jour une expérience qu'il vaut la peine de raconter. Elle avait assisté à un culte à la cathédrale St Paul à Londres et entendu une prédication qui l'intéressa beaucoup. Elle demanda ensuite à son pasteur si l'on pouvait avoir la certitude absolue de la vie éternelle. Sa réponse fut qu'il ne connaissait aucun moyen d'en être tout à fait certain.

Cette courte conversation parut dans les nouvelles de la cour et parvint aux oreilles d'un humble serviteur de l'Évangile, John Townsend, qui était un ami fidèle de George Mûller, qui, par la foi, put fonder des orphelinats réputés.

Quand John Townsend prit connaissance de la question et de la réponse qui suivit, il se mit à y réfléchir et à prier. Et il envoya l'écrit que voici à la reine:

A sa gracieuse Majesté, notre bien-aimée reine Victoria, de la part de l'un de ses plus humbles serviteurs.

C'est avec des mains tremblantes mais le coeur plein d'amour, et parce que je sais que nous pouvons être absolument certains que nous passerons notre vie éternelle dans notre céleste patrie. que j'aimerais proposer à votre très gracieuse Majesté la lecture des passages suivants des Saintes Écritures: Jean 3, 16 et Romains 10,9-10. Ces mots prouvent qu'il y a une pleine certitude du salut par la foi dans notre Seigneur Jésus-Christ pour ceux qui croient en Lui et acceptent personnellement Son oeuvre accomplie sur la croix.

Je signe en tant que votre serviteur pour la cause de Jésus, John Townsend

John Townsend ne fut pas seul à prier pour sa lettre à la reine. Il en fit part à d'autres, et c'est ainsi que de nombreuses supplications montèrent de ces coeurs vers Dieu. Deux semaines plus tard, il reçut dans une enveloppe ordinaire une lettre au contenu que voici:

A John Townsend:

J'ai bien reçu votre lettre; je viens vous dire en réponse que j'ai lu avec attention et prière les passages bibliques mentionnés. Je crois à l'oeuvre accomplie par Jésus-Christ pour moi personnellement, et je me réjouis de vous rencontrer par la grâce de Dieu dans cette patrie dont Christ a dit: «je vais vous préparer une place.» Victoria Guelph

Que ce soit pour un monarque terrestre ou pour une personne insignifiante, le chemin du salut et de la vie éternelle est le même. Voici les passages bibliques proposés par John Townsend à l'attention de la reine Victoria:

- «Car Dieu à tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle» (Jean 3, 16).

- «Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu Va ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut» (Rom. 10, 9-10).

Ces versets de l'Écriture Sainte, et bien d'autres également, nous assurent que quiconque accepte le Fils de Dieu comme son Sauveur personnel reçoit dès ici-bas la vie éternelle. L'apôtre Jean affirme avoir écrit son Évangile «afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, et qu'en croyant vous ayez la vie en son nom» (Jean 20,31).

De nombreux passages bibliques déclarent que la rédemption par la foi en Christ pour ceux qui croient n'est pas seulement un événement futur, mais qu'elle est une possession dès maintenant. Jésus a dit: «Celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie» (Jean 5, 24).

DETTE ACQUITTÉE !




Pour chacun de ses clients qu'il estimait trop pauvre pour lui payer des honoraires, un médecin chrétien d'Écosse écrivait sur sa facture, à l'encre rouge «acquittée».

Après sa mort, lorsque ses héritiers examinèrent ses livres de comptes, ils constatèrent que bien peu de pages ne comportaient pas semblable mention. Ils essayèrent de mettre ces dettes en recouvrement, tout d'abord par des démarches auprès des patients, puis, devant l'insuccès de celles-ci, en s'adressant à la justice. Lorsque le juge vit la mention «acquittée» sur les livres, il les débouta en disant : «aucun tribunal ne pourra jamais obliger à payer ce qui est marqué acquitté».

Jésus, en prenant notre place sur la croix de Golgotha, en expiant nos péchés, a payé notre dette vis à vis de Dieu. La seule chose qu'il nous reste à taire c'est d'accepter qu'il écrive avec son sang le mot «acquitté» sur notre vie. Ceci nécessite au préalable la reconnaissance de notre dette, et l'acceptation de l'offre de rachat de Dieu, par le moyen du sacrifice de son Fils.

Le passage de César Malan dans le Jura Bernois.




Un modeste paysan s'était converti à Jésus-Christ par les écrits du célèbre pas­teur de Genève, César Malan (on sait que ce dernier est l'auteur de nombreux traités évangéliques, de cantiques et de volumes, où il raconte ses courses missionnaires). Dans son cœur, cet homme avait une profonde reconnaissance, à celui qui, après Dieu, avait été l'auteur de son voyage à Genève ; il voulait, avant de mourir voir Monsieur Malan, s'entretenir avec lui des choses du salut, de la vie éternelle. Il voulait aussi lui exprimer de vive voix sa profonde gratitude pour tout le bien qu'il lui avait fait par ses écrits, et par ses cantiques.

Chaque année le brave jurassien mettait dans une petite boîte de l'argent de côté pour faire le voyage à Genève. Mais ses gains étaient petits, l'argent rare, le voyage long et coûteux dans cette deuxième moitié du 19 ème siècle. Mais surtout, toutes les fois qu'il avait réuni une somme d'argent suffisante, survenait un événement fâcheux : grêle, perte de bétail, incendie, qui le forçait à employer d'une autre manière l'argent économisé. Souvent il avait demandé avec ferveur à Dieu de lui permettre de voir avant de mourir César Malan.

Mais voilà, les années avaient passé, le paysan avait vieilli, la maladie l'avait frappé et depuis de longs mois déjà, il était étendu sur un lit de souffrance, sans espoir de guérison. Ce fut à cette époque justement, que César Malan traversa le Jura Bernois, se rendant à Baie. Et tout à fait par hasard, pour parler comme les hommes, il s'arrêta en chemin dans l'hôtel du petit village en question pour y dîner. La personne qui le servait était jeune et timide ; selon son habitude le pasteur Malan lui posa la grande question : "Avez-vous trouvé en Jésus-Christ la paix de votre âme ?".

Sans répondre directement à sa question, et sans doute pour faire dévier l'entretien, elle dit : "Ah ! monsieur, vous parlez tout à fait comme notre vieux voisin, un brave homme, voyez-vous, lui aussi nous parle toujours de notre âme ; mais voilà, maintenant il est bien malade, le pauvre vieux, il va bientôt mourir à ce qu'on dit". Malan pria alors la jeune fille de le conduire auprès du vieillard. "C'est un ami chrétien qui vient vous voir, cher monsieur", lui dit Malan sans se nommer. Je vais à Bâle et j'ai appris à l'hôtel que vous êtes malade et que vous aimez, vous aussi, le Sei­gneur Jésus. La conversation s'engagea et devint bien vite très intime.

"Ah ! monsieur, finit par dire le vieillard, je meurs en paix,

plein de confiance en mon Sauveur. Il a été bon pour moi toute ma vie. Tout ce que je lui ai demandé il me l'a accordé, toutes mes prières il les a exaucées, hormis une seule". Et un voile de tristesse passa sur le visage du vieillard.

"Et quelle est cette demande qu'il n'a pas exaucée ?", demanda le voyageur. Et bien voilà je lui ai souvent demandé de me permettre de voir, avant de mourir, César Malan de Genève. Car c'est lui, monsieur, qui a été par ses écrits, l'instrument béni de ma conversion. Oh ! j'aurais tant aimé le voir, que de fois j'ai économisé pour faire le voyage à Genève, mais chaque fois aussi le Seigneur a mis un empêchement sur ma route. Et maintenant me voilà trop vieux et trop malade pour y songer". Et des larmes coulaient sur ses joues amaigries. Le voyageur lui aussi était profondément ému. Il saisit la main du mourant dans les siennes et très doucement lui dit : "Dieu est bon, cher ami, il exauce aussi votre dernière prière. Je suis César Malan". Dire la joie et la reconnaissance du vieillard serait impossible. Entre ces deux hommes dont l'un parcourait la Suisse pour le service du Maître, et dont l'autre faisait ses préparatifs pour un voyage plus long, plus mystérieux aussi, une amitié solide et profonde était née. On se sépara tard dans la soirée, en se donnant rendez-vous dans l'éternité.

Les deux hommes ne devaient pas se revoir ici-bas, quelques semaines plus tard, le vieux paysan reposait au pied du clocher de son village, à l'ombre des grands sapins, ou plutôt il reposait dans la maison paternelle de ce Sauveur qu'il avait tant aimé. Les deux chrétiens se sont retrouvés maintenant César Malan mourait quelques années plus tard en 1864.

L'homme moderne.




Un homme moderne s'est égaré dans un désert; des jours et des nuits durant, il y a tourné en rond. Il se posait constamment cette question: «Combien de temps faut-il pour mourir de faim et de soif?» L'impitoyable chaleur du soleil n'a pas tardé à le dessécher; la fièvre l'a gagné. Dormant d'épuisement quelques heures, il rêvait d'eau, d'oranges et de dattes. Il se réveillait alors pour être saisi d'un tourment plus grave encore; et il reprenait sa marche en titubant.

Mais le voici apercevant une oasis à quelque distance. «Ha, une fata morgana», pensa-t-il. «Un mirage qui me taquine et me pousse au désespoir, car, en réalité, il n'y a rien là.»

Il s'approcha de l'oasis, mais, ô miracle, elle ne disparut pas. Au contraire, elle prit des contours de plus en plus nets, avec ses palmiers, son herbe et des rochers entre lesquels une source donnait son eau. «Il s'agit peut-être d'un produit de mon imagination d'homme affamé, et que mon cerveau devenu à moitié fou me fait miroiter! Il est normal que de telles illusions se forment dans ma situation. J'entends même l'eau faire des glouglous. Une autre hallucination! Comme la nature peut être cruelle!» Cette pensée l'acheva. Et il mourut là en prononçant un juron sur l'absurdité de la vie.

Une heure plus tard, deux Bédouins le trouvèrent. «Peux-tu comprendre une chose pareille?», demanda l'un d'eux à son compagnon. "Les dattes sont là à sa portée; il lui aurait suffi d'étendre la main. Il est là couché tout près d'une source, mort de faim et de soif en plein milieu de la plus belle des oasis. Comment est-ce possible?!" Et l'autre Bédouin de répondre: «C'était un homme moderne, qui n'y croyait pas.»

Dieu est très proche des individus de notre temps, mais l'être «moderne» ne le remarque pas! Tout comme cet homme dans le désert, il ne croit pas qu'il se trouve dans la proximité immédiate d'une "oasis". Dieu est là qui lui tend la main. Nous lisons dans les Actes des Apôtres: «. .. il a voulu qu'ils cherchent le Seigneur, et qu'ils s'efforcent de le trouver en tâtonnante bien qu'il ne soit pas loin de chacun de nous» (Actes 17, 27). Cher lecteur, alors que le Seigneur est là qui vous tend la main pour vous offrir le salut éternel, la refuserez-vous pour finalement aller à la perdition? Ce serait terrible! Croyez en Lui! Il est écrit: «Celui qui croit en lui n'est point Jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu» (Jean 3, 18). L'homme moderne aussi ne peut être sauvé que par la foi en Jésus-Christ, ainsi que nous pouvons le lire en Jean 3, 16: «... afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.»

Qui que vous soyez, moderne ou pas, pauvre ou riche, instruit ou ignorant: croyez dès maintenant en Jésus-Christ, et tout sera bien pour vous!

Une Petite fille dangereuse !




Un prête demandait un jour à une petite fille de venir suivre l'instruction religieuse. L'enfant répondit que cela lui était impossible parce que c'était contre la volonté de son père. Le prête lui dit qu'elle devait lui obéir plutôt qu'à son père.

-Pardon, Monsieur , la bible nous enseigne d'honorer notre père et notre mère. Répondit l'enfant.

-Ce n'est pas ton affaire de lire la bible. a dit

-Mais Monsieur, notre Sauveur à dit "Examiner les Écritures."

-Cela était dit aux Juifs, et non pas aux enfants. tu ne peux pas comprendre cela.

-Mais l'Apôtre Paul a dit à Timothée "Dès ton enfance tu connais les Écritures."

-Timothée devait se préparer pour devenir Évêque, et c'était les autorités de l'Église qui l'enseignaient."

-Oh, non! Monsieur, il fut instruit par sa mère et sa grand mère" répondit l'enfant.

Le prête détourna d'elle en murmurant : "Elle connaît assez la bible pour troubler toute la paroisse.

Le chemin.




Pendant la dernière guerre mondiale, un avion américain fut abattu au-dessus de la Birmanie.

Le pilote, rescapé, mais perdu dans la jungle, finit par rencontrer un indigène. Ce dernier comprenant un peu l'anglais lui offrit de le conduire en lieu sûr.

Mais comment sortir d'une forêt épaisse dans laquelle il n'y avait aucun sentier ? L'indigène prit sa hache et commença à se frayer un passage. L'aviateur le suivit dans un enchevêtrement indescriptible de végétaux inconnus ; la présence d'animaux redoutables était évidente, ça et là. Effrayé, le pilote demanda à son guide : "Où est le chemin ? Êtes-vous sûr de le connaître ?" L'homme de la jungle répondit : "Le chemin c'est moi : suivez-moi, et nous sortirons d'ici". C'est ainsi que le pilote fut sauvé ! Il en est de même pour tout être humain quant à son âme. Il est dans une situation désespérée, comme perdu, incapable de trouver le chemin pour échapper à son triste sort. Nul ne peut l'aider, enlacé par les lianes du péché dont le salaire est la mort. Mais, béni soit notre Sauveur qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité (1 Timothée 2/4).

Jésus, le don de Dieu à l'homme, nous a ouvert l'accès du ciel, ayant payé le passage vers son Père au prix de son sacrifice sur la croix. Il est notre délivrance. Faisons-lui confiance. Il est le chemin.

IL NE SAVAIT PAS RECONNU! Supprimer le sujet|Répondre au sujet




A la fin du siècle dernier, il y avait à l'université de Baie en Suisse, un professeur du nom de Burckard. II avait une renommée de grand savant, non seulement dans son pays, mais aussi au dehors. Cependant, il menait une existence très modeste, fuyant les honneurs.

En particulier, il avait toujours refusé de laisser faire son portrait par un peintre. Toutes les sollicitations avaient été vaines. Ses étudiants, qui le vénéraient, finirent cependant par obtenir un jour, qu'il aille se faire photographier. Pour être surs qu'il ne manquerait pas à sa promesse, ils allèrent chez un photographe en renom prendre rendez-vous pour leur maître.

Au jour dit, le photographe, flatté d'avoir devant son appareil, un client aussi renommé, avait tout préparé avec soin pour réussir une image parfaite.

On était au début de la photographie, et il y avait toutes sortes de préparatifs nécessaires. Nerveux, le photographe s'affairait, quand, quelques minutes avant l'heure fixée, on sonna... C'était un tout petit monsieur, de très simple apparence qui entra, disant qu'il venait pour une photographie.

Sans y mettre de forme, le photographe déclara qu'il attendait un grand personnage, et qu'il n'avait pas le temps de s'occuper de quelqu'un d'autre.

Sans se formaliser, l'importun se hâta de sortir, après avoir prononcé un : "Excusez-moi, je ne savais pas!"

Satisfait de s'être débarrassé de ce malencontreux client, le photographe commença à attendre...

Il attendit longtemps, car son illustre client ne vint jamais, ou, plutôt il ne revint pas car c'était "lui" le petit monsieur.

Prenons garde de ne pas reconnaître la présence du Seigneur quand elle se manifeste d'une manière trop simple à nos yeux.

"Il s'est dépouillé lui-même en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes... Il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort même de la croix... afin que tout genou fléchisse devant lui... et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père" (Phil. 2/7 à 11)

Les deux portes.




Devant la porte d'un cabaret, un homme se tenait debout, un mètre à la main. Il mesurait la porte et, se parlant à lui-même, il disait : "Elle n'est pas bien grande, 2 m sur 0,80 m. Pourtant, j'avais une jolie maison autrefois, mais elle est passée par cette porte ; j'avais de beaux meubles, ils y sont passés aussi ; une belle situation, une magnifique santé, maintenant, je ne suis plus qu'une pauvre loque humaine ! Ma femme qui m'était très attachée, mes enfants très affectueux, mes amis, mes voisins, tout est passé par cette porte ; par elle, j'ai tout perdu, tout !

"Porte maudite, dit-il en lui montrant le poing, je fais le vœu de ne jamais plus franchir ton seuil !"

Il était esclave de ce terrible maître qui ne s'appelle pas seulement l'alcool, mais le péché qui est la porte de l'enfer. Mais il existe une autre porte que l'on appelle la porte du salut.

Cette porte, ce n'est pas une religion, une doctrine, des rites à accomplir, un code de vie morale. Non ! C'est une personne, Jésus, qui a dit : "Je suis la porte, si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé".

Cette porte est accessible à tous.

Elle s'ouvre toute seule pour l'homme au cœur brisé, humilié, contrit.

Jésus a dit : "Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi" (Jean 6/37).

Pour refaire le monde, il faut refaire l'homme




Un enfant s'ennuyait à la maison, en l'absence de sa mère. Son père, voulant travailler tranquillement, lui proposa un jeu. Il déchira une carte du monde en de nombreux morceaux, l’éparpilla sur le sol et incita son fils à reconstituer la carte de la terre. Le père, satisfait de son astuce, pensait avoir une bonne heure de calme, l'enfant étant nul en géographie. Mais au bout de cinq minutes, il s'écriait : «C'est fini !» Le père dut se rendre à l'évidence, mais il ne comprenait pas.

- Papa, c'est tout simple. Derrière la carte, il y avait la silhouette d'un homme dessinée. En refaisant l'homme, j'ai refait le monde !

C'est ce que nous dit la Bible : il est impossible de changer le monde si l'homme n'est pas changé. Et ce miracle-là, c'est Dieu qui l'accomplit. L'originalité du Christianisme, en regard des religions, se vérifie pratiquement dans le mystère de la nouvelle naissance (Jean chapitre 3). C'est l'action merveilleuse de Dieu. Nous pouvons modifier quelques aspects extérieurs de notre personne, mais nous ne pourrons jamais changer de nature par nous-mêmes. «Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle création.»

La vie de l'Esprit.




"Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus se tenant debout, s'écria : si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive".
Il faisait ce jour-là une chaleur étouffante, un homme avait terriblement soif. Tout à coup, il remarqua une fontaine avec un écriteau qui disait : "Penchez-vous et buvez". Alors il s'approcha, étendit sa main pour ouvrir le robinet, mais il n'en trouva point. Il chercha un bouton ou un bouchon quelconque, mais il n'y en avait pas, il avait même l'impression que l'indication du panneau était une moquerie. Alors, ne voyant aucune possibilité d'obtenir l'eau, il se pencha et en le faisant, soudainement, de l'eau claire et fraîche coula. Il put boire car la fontaine était dirigée par un œil électronique arrangé de telle manière que l'eau coulait au moment où le faisceau lumineux était coupé. C'était ce dispositif, bien sûr, qui ouvrait le robinet à l'intérieur. La vie de l'Esprit ressemble en quelque sorte à cette invention ; c'est lorsqu'on ne compte pas sur ses propres efforts que l'eau bienfaisante du Saint -Esprit coule en nous. C'est à ce moment-là que les fleuves d'eau vive peuvent jaillir et couler pleinement de notre être intérieur.

Pas coupable




Un prédicateur venait d'inviter ses auditeurs à venir à Jésus pour être soulagés du poids de leurs péchés. "Le poids des péchés? s'exclama un jeune homme. Moi, je ne le sens pas. Je ne me sens vraiment pas coupable. —Dites-moi, répondit l'évangéliste, si on mettait 50 kilos sur la poitrine d'un mort, le sentirait-il ? — Bien sûr que non, puisqu'il est mort. —Eh bien, l'homme qui ne sent pas sa culpabilité devant Dieu est moralement mort ». Lecteur, si vous ne sentez pas le poids de vos péchés, vous avez de sérieux motifs de vous inquiéter ; vous êtes spirituellement mort.

L'aventure de Johnny




Dans une grande ville industrielle d'Angleterre, un enfant joue sous l’œil attentif de sa maman. Mais Johnny parvient à s'aventurer dans la rue où il marche avec insouciance. La maman le croyant chez la voisine où elle s'est précipitée, ne le trouve pas. On inspecte le quartier sans résultat ! Alors c'est la recherche minutieuse de la police toute la journée. Puis enfin, un coup de téléphone annonce que Johnny vient d'être trouvé dans une maison du quartier le plus pauvre de la ville. Le père entre dans la maison indiquée et trouve en effet son petit Johnny assis à table avec d'autres enfants, visiblement heureux en leur compagnie. Il le presse dans ses bras, puis ce chrétien, si maître de soi d'habitude, se met à sangloter. Une jeune femme raconte alors qu'elle a trouvé, vers le soir, un petit garçon tout en pleurs, dans la rue ; il disait qu'il avait

faim et ne savait autre chose que son prénom : Johnny. Dans sa grande joie, ne sachant comment exprimer sa reconnaissance, le père vida spontanément son portefeuille dans la main de la femme en disant qu'il n'avait rien d'autre sur lui, mais qu'il donnerait davantage dès qu'il rentrerait chez lui. Et ce fut au tour de la jeune maman de verser des larmes de reconnaissance : "Je dois remercier Dieu, dit-elle avec émotion. Je suis veuve avec mes quatre enfants et je n'arrive que bien difficilement à vivre. Demain, je devais payer mon loyer et diverses factures et je n'avais pas assez pour tout régler. Mon Père céleste vient de me donner, par votre moyen, tout juste le prix de mon loyer. Dieu a répondu à mes prières".

Expliquez si vous le pouvez, comment le petit Johnny a erré toute la journée à travers une si grande ville sans attirer l'attention sur lui, comment la police ne l'a pas découvert ; comment il a rencontré, dans ce quartier éloigné, cette jeune maman chrétienne, en difficulté financière, mais au cœur compatissant ; comment la somme que ce père a dans son portefeuille est exactement le montant du loyer de la veuve. Expliquez tout cela, si vous le pouvez.

Quant à moi, j'y vois la main de mon Père céleste qui exauce la prière de la foi et "qui fait concourir toutes choses au bien de ceux qui l'aiment"

L'insensé dit en son cœur : il n'y a pas de Dieu




Une certaine année, au cours du mois de décembre, les adhérents d'une association prônant l'athéisme ont reçu une circulaire, rédigée en ces termes: "La conférence prévue sur la non-existence de Dieu n'aura pas lieu à la date prévue en raison des fêtes de Noël".

Authentique, m'a-t-on assuré! Ne faut-il pas, en premier lieu, rappeler que Noël est le temps ou les chrétiens commémorent le don que Dieu a fait à l'humanité en la personne de Jésus, son Fils unique, voici plus de 2000 ans ?

En second lieu, selon la formule originale employée par un auteur chrétien : il faut beaucoup de foi pour être athée. Le célèbre président des Etats-Unis, Abraham Lincoln a écrit: "J'arrive à comprendre que ce soit possible de regarder la terre et d'être athée. Mais je ne comprends pas qu'on puisse lever, la nuit, les yeux vers le ciel et dire qu'il n'y a pas de Dieu".

Le physicien Alfred Kastler, prix Nobel 1966, a dit : "L'idée que le monde, l'univers matériel, s'est créé tout seul me paraît absurde. Je ne conçois le monde qu'avec un créateur, donc un Dieu."

Victor Hugo affirmait que « l'athée est identique à l'aveugle ». Et l'illustre savant Louis Pasteur témoignait : "Plus j'étudie la nature, plus j'admire le Créateur".
La période de Noël ne serait-elle pas mise à profit si l'on prenait du temps pour lire ou relire les Evangiles, et particulièrement le récit de la naissance de Jésus ? Et, surtout aussi, pour remercier Dieu du don incomparable qu'il nous a fait ?

10 petits chrétiens




Il existe un petit chant pour enfants qui dit :
- Ils étaient dix (petits oisillons) dans le nid et le petit dit : « poussez-vous, poussez-vous ». Ils se poussèrent tous et l’un d’eux tomba du nid….
Et l’on continue la comptine jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un dans le nid.

Nous vous proposons une version « plus spirituelle » de ce chant.

10 petits chrétiens assistaient au culte
Mais l’un d’eux n’appréciait pas le prédicateur
Alors ils ne furent plus que 9
9 petits chrétiens veillaient tard le samedi
Et l’un ne s’est plus levé le dimanche matin
Alors ils ne furent plus que 8
8 petits chrétiens étaient en route pour le ciel
Mais l’un d’eux prit le chemin large
Alors ils ne furent plus que 7
7 petits chrétiens chantaient à plein poumon
Mais l’un d’eux n’aimait pas les chants
Alors ils ne furent plus que 6
6 petits chrétiens étaient très zélés
Mais l’un s’est lassé, fatigué,
Alors ils ne furent plus que 5
5 petits chrétiens se pressaient vers les rives célestes
Mais l’un s’est arrêté pour se reposer
Alors ils ne furent plus que 4
4 petits chrétiens travaillaient ensemble comme des abeilles
Mais l’un ne se sentit pas compris
Alors ils ne furent plus que 3
3 petits chrétiens ne savaient plus quoi faire
Alors l’un quitta le groupe
Ils ne furent plus que 2

2 petits chrétiens….notre comptine va bientôt se terminer…
Eurent un différent sur leur avenir
Alors il n’en resta qu’un.

1 petit chrétien ne pouvait plus faire grand’chose
Mais il fit une étude biblique avec un ami
Alors ils furent 2


2 honnêtes chrétiens furent chacun fidèles dans leur travail
Et leurs collègues les rejoignirent
Alors ils furent 4


4 chrétiens zélés étaient affairés du matin au soir
Pour annoncer l’évangile
Bientôt ils furent 8


Avec 8 fidèles chrétiens qui se multiplient comme précédemment
Nous aurons en autant de dimanche
1024 nouveaux chrétiens.


Toi qui viens de lire cette histoire, médite la car,
Soit tu appartiens à l’équipe qui bâtit l’église,
soit tu appartiens à celle qui la détruit.

Pourquoi lire la Bible, alors qu'il nous arrive parfois d'ignorer le sens des versets?




Un vieil homme Chrétien, vivait dans une ferme dans les montagnes avec son petit fils. Chaque matin, le grand père se réveillait tôt pour lire sa Bible.
bible
Le petit fils voulait être comme son grand père, et essaya de l'imiter dans tous ses gestes. Un jour, son petit fils lui demanda : "Grand père! J'ai essayé de lire la Bible comme toi, mais je n'arrive pas à comprendre le sens des versets, et lorsque je comprends parfois, j'oublie aussitôt que je ferme le livre. Qu'est ce qu'on retire de bien lorsque nous lisons
la Bible?

Le grand père silencieusement s'arrêta de mettre du charbon dans la corbeille et demanda à son petit fils :
"Prend cette corbeille jusqu'à la rivière et ramène là moi remplie d'eau".

Le garçon fit comme son grand père lui demanda, mais la corbeille se vidait d'eau avant qu'il ne revienne à la maison.

Le grand père rit et dit : " Tu devrais être plus rapide la prochaine fois", et il renvoya son petit fils avec la corbeille pour essayer une deuxième fois. Cette fois-ci le jeune garçon courru, mais la corbeille se vida encore avant de retourner à la maison.

Essoufflé, il dit à son grand père qu'il était impossible de ramener de l'eau dans une corbeille, et qu'il allait prendre un seau à sa place. Le grand papa lui dit : " Je ne veux pas de l'eau dans un seau, mais dans une corbeille, c'est juste qu'il faut ressayer encore", et il parti retenter sa chance.

Le jeune garçon plongea encore la corbeille dans la rivière, couru, mais quand il arriva à la maison, la corbeille était encore vide. Essoufflé il dit à son grand père : " t'as vu grand père, c'est inutile!"

Le vieil homme, regarda son petit fils et lui dit : " Regardes la corbeille". Le jeune garçon regarda la corbeille et pour la première fois réalisa qu'elle était différente. Elle a été transformée d'une corbeille sale à une corbeille propre.

"Mon fils, c'est la même chose quand tu lis la Bible. Il se peut que tu ne comprennes pas ou que tu ne te rappelles pas de tout, mais quand tu lis la Bible, c'est ton âme qui change."

Et si Dieu avait un répondeur téléphonique ?




I M A G I N E Z que lorsque vous priez, vous entendez ces réponses :

" Merci d'appeler la Maison de Mon Père. SVP choisissez l'une des options suivantes : Appuyez sur 1 pour les requêtes, 2 pour les remerciements, 3 pour les plaintes. Pour tout autre sujet, pressez 4."

Et si Dieu utilisait nos excuses habituelles ?

" Tous les anges aident actuellement d'autres clients. Veillez rester en ligne, votre appel sera traité selon son ordre d'arrivée dans la file."

Imaginez-vous ce type de réponse à vos prières ?

- " Si vous souhaitez joindre Gabriel, pressez 1.

- Pour Michel, pressez 2.

- Pour tout autre ange, pressez 3.

- Si vous voulez entendre le Roi David vous chanter un psaume, pressez 6.

- Pour savoir si un membre de votre famille est ici, entrez sa date de décès, et écoutez la liste qui suivra."

- Pour toute réservation de place dans la Maison de mon Père, pressez les touches J-E-A-N suivies des touches 3-1-6.

- Pour toute réponse à des questions relatives aux dinosaures, l'âge de la terre et la localisation de l'arche de Noé, vous êtes priés d'attendre d'être arrivés ici."

6 Nos terminaux nous indiquent que vous avez déjà appelé aujourd'hui ! Veillez raccrocher, SVP."

- Le bureau est fermé le week-end, veuillez rappeler lundi matin."

Fin de message !!!


Merci Seigneur, de ce qu'en vérité, il suffit juste de t'appeler une fois pour que Tu nous entendes !

Grâce à Jésus, jamais la ligne n'est saturée !

Dieu prend chaque appel, et connait chaque interlocuteur intimement.

Lorsque l'on crie à Lui, Il répond : " Me Voici ! "


Voici quelques numéros de secours :

- Si vous avez de la peine, appelez : Jean 14

- Si les humains vous font du tort, appelez : Psaume 27

- Si vous voulez porter du fruit, appelez : Jean 15

- Si vous avez péché, appelez : Psaume 51

- Si vous êtes anxieux, appelez : Matthieu 6:19-34

- Si vous êtes en danger, appelez : Psaume 9

- Si Dieu vous semble loin, appelez : Psaume 139

- Si vous êtes esseulé et apeuré, appelez : Psaume 23

- Si vous voulez découvrir le secret de la joie de Paul, appelez : Col. 3:12-17

- Si vous vous sentez abbatu et décalé, appelez : Romains 8:31-39

- Si vous voulez paix et repos, appelez : Matthieu 11:25-30

- Si le monde vous semble plus fort que Dieu, appelez : Psaume 90

- Si vous voulez une assurance chrétienne, appelez : Romains 8:1-30

- Si vous quittez votre foyer pour un voyage ou le travail, appelez : Psaume 121

- Si vous attendez une grande intervention/opportunité, appelez : Esaie 55

- Si vous voulez du courage à l'ouvrage, appelez : Josué 1

- Si vous êtes déprimé, appelez : Psaume 27

- Si vous perdez l'amitié des gens, appelez : 1 Col.13

- Si vous êtes découragé dans votre travail, appelez : Psaume 126

- Si vous trouvez que le monde est petit et que votre Dieu est Grand, appelez : Psaume 19


Ces numéros d'urgence peuvent être composés directement.

Aucune assistance par opérateur interposé n'est requise.

Toutes les lignes vers le Ciel sont ouvertes 24 heures sur 24 !

Nourrissez votre foi, et le doute sera réduit en poussière !

Dans les cookies de la vie, les bons amis sont des pépites de chocolat...

Pensez donc à Jésus !

Un voleur veut prier pour vous




La bible dit "Et, parce que l'iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira" Mathieu 24:12. Vivement que celle que j’appellerai ici Esther puisse se retenir pour continuer à laisser une porte ouverte dans son coeur aux rencontres décisives préparées par Dieu. Elle reconnaît que ce qu’elle a vécu un de ces samedis de février 2009 est d’une telle naïveté qu’elle en a honte.
pickpocket
Esther a finit son service à 18h comme d'habitude. En longeant la rue du commerce pour aller prendre un taxi, un monsieur l’arrête pour lui demander de l’indiquer l’emplacement d’un grand magasin au Plateau (quartier d’affaires d’Abidjan). Elle le fait gentiment. Puis continuant à marcher avec elle, le type se mit à lui parler de Dieu, ce n’est pas un dragueur, donc pas de problème. Ils rencontrent sur le chemin, un autre gars qui semble avoir été suivi spirituellement par notre « évangéliste ». Elle n’a pas compris comment est ce qu’elle s’est retrouvée dans la direction opposée, sur l’esplanade touristique du bord de la lagune, en face du palais de la culture.

Ah oui ! Le prédicateur voulait prier pour eux. Il commence par son fils spirituel. Avant la prière débarrasses toi de ce que tu as de métallique et de tes affaires. Son fils spirituel remet son téléphone portable et sa chaîne à Esther. L’évangéliste a prie pour lui avec vivacité.
C’est le tour d’Esther. Elle veut enlever l’argent qu’il y’a dans sa bible avant, l’évangéliste lui dit « C’est pas la peine, on va finir tout de suite ». Il y’a pas de danger, on ne vole pas lorsqu’on parle de Dieu. Elle remet donc ses deux téléphones et sa bible contenant 80 000 FCFA au fils spirituel de l’autre. Elle ferme ses yeux pour la prière et lève ses mains. Ça commence, « Seigneur je te béni pour ta fille… » Avec le temps, elle a l’impression que la voix de l’évangéliste est de plus en plus lointaine. Qu’est ce qui se passe ? On dirait qu’elle n’entend plus rien. Elle ouvre les yeux, il n’y a personne. L’évangéliste et son fils spirituel ont disparu. Y’aurait-il eu enlèvement ? Non ! C’est juste des voleurs qui ont pris la fuite.

Quelle naïveté ! Esther le reconnaît et elle a honte de raconter aux gens, comment est ce qu’elle a perdu sa bible, 80 000 FCFA et ses 2 cellulaires.
Des voleurs utilisent le nom de Dieu et ternissent l’image des chrétiens, avec le risque de voir les gens se méfier maintenant des vrais évangélistes qui viendront les annoncer le salut.

Les 3 ministres




Un jour le Roi convoqua ses trois ministres Et demanda à chacun de prendre un sac et d’aller le remplir des fruits et cultures du jardin du château et il leur demanda de ne pas demander d’aide ni de déléguer cette mission.
Les ministres s’étonnèrent de cette mission mais s’exécutèrent

***
L’un d’entre eux tenait à gagner la « bénédiction » du Roi et remplit son sac de tous et des meilleurs fruits et cultures

Le deuxième ministre était convaincu que le Roi se fichait de ces cultures et n’en avait pas besoin et se contenta de remplir nonchalamment son sac en y mettant les fruits mures et les pas mures
Enfin, le troisième ministre s’est dit que le Roi n’allait même pas vérifier le contenu du sac et se contenta de le remplir de brindilles et de feuilles d’arbressac_fruit

Le lendemain le Roi convoqua les trois ministres accompagnés de leurs sacs. Une fois réunis, le Roi ordonna à ses soldats d’emprisonner ses trois ministres chacun dans sa cellule avec son sac pendant trois mois, dans un endroit où personne ne peut accéder et qu’on les prive d’eau et de nourriture
Le premier des ministres mangea les fruits qu’il a récoltés jusqu’à ce qu’il finisse de purger sa peine

Le deuxième ministre vécut les trois mois dans la gène et le manque, ne se nourrissant que des quelques cultures et fruits mangeables parmi tant d’autres qu’il avait récoltés.
Enfin, le troisième ministre mourut de faim avant la fin de sa peine.

Maintenant pose-toi la question suivante : à quel ministre ressembles-tu ?
Maintenant que tu es dans le jardin de la vie, tu as la liberté de récolter des bonnes œuvres ou des mauvaises mais demain quand le Roi des Rois ordonnera qu’on t’emprisonne seul dans cette prison sombre et étroite qu’est ta tombe, Ne crois-tu pas que ce ne sont que tes bonnes œuvres faites dans la vie ici-bas qui te seront utiles ?

***
Conclusion

Aujourd’hui est le premier jour de ce qui reste de ta vie.
Dorénavant, veille à faire de bonnes œuvres sur terre afin d’en récolter les bénéfices dans ta vie après la mort. Car le regret ne servira à rien là-bas.

Et cette citation dans le mail m'a plu: Travailles comme si tout dépendait de toi et Pries comme si tout dépendait de DIEU!!!

Reste Fidèle




ll y a quelques années, un prédicateur accepta d'aller servir Dieu à Houston Texas.
Un jour, peu après son arrivée, il prit le bus pour se rendre au centre ville. Une fois installé, il réalisa que le chauffeur lui avait accidentellement rendu 40 centimes de trop.

Il pensa « Tu ferais mieux de rendre ces 40 centimes ».
Ce serait mal agir que de les garder'. Puis il pensa à nouveau 'Oh, oublie, ce n'est que 40 centimes après tout, qui se soucierait pour si peu ?
De toute façon, la compagnie de bus se fait chaque année des bénéfices monstres, ces 40 centimes ne vont pas leur manquer... Accepte les comme un don de Dieu et tais-toi !'.
Arrivé à destination, au moment de sortir du bus, il hésita puis tendit les 40 centimes au chauffeur en disant 'Vous m'avez rendu trop de monnaie'. Le chauffeur lui sourit puis répondit ' Êtes-vous le nouveau pasteur en ville ?

- Oui.
- Et bien, depuis un bon moment j'avais pensé fréquenter une église. Je voulais juste voir comment vous alliez réagir si je vous rendais trop de monnaie... Je vous verrai dimanche prochain dans votre paroisse...'
En sortant du bus, le prédicateur dut se cramponner au premier réverbère pour ne pas tomber et dit 'Oh mon Dieu ! J'étais à deux doigts de vendre ton fils pour 40 centimes...' .

Nos vies sont la seule Bible qu'un bon nombre d'hommes et de femmes liront durant leur temps sur cette terre. Cette histoire est l'effrayant exemple comment notre entourage nous regarde en tant que chrétiens, et combien ils nous testeront comme tel !
Restez toujours sur vos gardes - et souvenez-vous
- Vous portez le nom de Jésus sur vos épaules lorsque vous affirmez être chrétiens alors :

Surveille tes pensées ; elles deviennent paroles.
Surveille tes paroles ; elles deviennent actions.
Surveille tes actions ; elles deviennent habitudes.
Surveille tes habitudes ; elles deviennent caractères.
Surveille ton caractère ; il influencera ta destinée.

Je suis ravie qu'une amie m'ait envoyé cette histoire comme un bon rappel. Alors, j'ai choisi de la traduire pour que Dieu te bénisse à ton tour. Le chemin que Dieu a préparé pour toi te conduira toujours où sa grâce te protègera...

Alors, RESTE FIDELE et SOIS RECONNAISSANT

Le naufrage




Après un naufrage, un petit garçon se trouve, seul, à nager en plein milieu de l’océan. Un bateau à proximité, le voit et un marin lui crie : "courage petit, on est là, vient monte a bord !!"

Le garçon répond : "non, laissez tomber, mon Seigneur me sauvera !!"

Alors les marins, un peu déboussolés, poursuivent leur route. une heure plus tard passe un autre bateau qui s’approche du garçon. Le commandant lui dit : "Hé mon garçon, c’est pas un lieu pour toi ici ! T’inquiète pas, on te monte à bord !"

Le garçon : "Non, je ne veux pas ! C’est mon Seigneur qui me sauvera. Mais, merci quand même !"

Finalement, épuisé, le garçon finit par se noyer et rejoins le Seigneur. Le garçon l’apostrophe : "Mais, Seigneur, pourquoi ne m’as-tu pas sauvé ??? J’avais mis toutes mon espérance en toi !".

Le Seigneur lui répond : "Mais si, je t’ai envoyé deux bateaux rempli de marins bienveillants !"

Visite à NOE




Il y a quelques semaines, Dieu visita Noé qui habitait pas très loin de la mer et lui dit :

" Une fois encore la terre est devenue invivable et surpeuplée et je dois agir. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Tu as six mois pour cela avant que je n’envoie la pluie pendant 40 jours et 40 nuits. "

Six mois plus tard, Dieu regarda en bas et vit Noé balayant sa cour, mais aucune arche.

" Noé, gronda t-il, je vais bientôt envoyer la pluie, où est l’arche ? "

" Pardonne moi mon Dieu, implora Noé, mais les temps ont changé. J’avais besoin d’un permis de construire pour commencer l’arche. J’ai dû me battre plusieurs mois avec l’inspecteur au sujet du système d’alarme pour l’incendie. Pendant ce temps, mes voisins se sont réunis en association parce que je violais les règles du lotissement en construisant une arche dans ma cour et que j’allais obstruer la vue.

On a dû aller devant le conciliateur pour avoir un accord. Ensuite l’Urbanisme a déposé un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour permettre à l’arche d’arriver jusqu’à la mer. J’ai eu beau leur dire que c’est la mer qui viendrait à l’arche, ils n’ont pas voulu me croire.

Obtenir du bois en quantité suffisante fut un autre problème. Les associations pour la protection de l’environnement se sont liguées pour empêcher la coupe des arbres, sous prétexte qu’on allait détruire l’habitat de plusieurs espèces animales et ainsi les mettre en danger.

J’ai tenté d’expliquer qu’au contraire tout ce bois servirait à sauver ces espèces, rien n’y a fait. Quand j’ai commencé à rassembler les couples de différentes espèces animales, la SPA, le WWF et Brigitte Bardot me sont tombés sur le dos sous prétexte que j’enfermais des animaux sauvages contre leur gré dans des pièces trop petites pour eux ; qu’en agissant ainsi, je faisais acte de cruauté envers les animaux.

Ensuite, l’agence gouvernementale pour le développement durable a voulu lancer une étude sur l’impact pour l’environnement de ce fameux déluge.

Dans le même temps je me débattais avec l’Administration sur l’emploi de travailleurs bénévoles dans la construction de l’arche. Je les avais embauchés car les syndicats m’avaient interdit d’employer mes propres fils, disant que je ne devais faire appel qu’à des travailleurs hautement qualifiés dans la construction d’arche et si possible syndiqués. Pour arranger les choses, le fisc a saisi tous mes avoirs, prétendant que je tentais de fuir le pays illégalement, suivi en cela par les douanes qui ont ajouté que je voulais faire passer les frontières à des espèces reconnues comme dangereuses.

Aussi pardonne moi, mon Dieu, mais je ne sais même pas si 10 ans auraient suffi à la construction de cette arche. "

Aussitôt les nuages se dissipèrent et un magnifique arc en ciel apparut.

Noé leva la tête et dit " Tu ne vas pas détruire le monde ? "

" Pas la peine, répondit Dieu, l’administration et ses bureaucrates s’en chargent

Dieu y pourvoira




Une jeune fille présente son fiancé à ses parents. Après le dîner, son père invite le jeune homme à bavarder avec lui dans son bureau : "Alors, quels sont vos projets ?"

"Je suis étudiant en théologie."

"Parfait, mais qu’avez-vous l’intention de faire pour offrir à ma fille un foyer accueillant ?"

"J’étudierai la Parole de Dieu et Dieu pourvoira à tous nos besoins."

"Et comment élèverez-vous vos enfants ?"

"Dieu y pourvoira."

Un peu plus tard, la mère demande à son mari : "Alors, comment cela s’est-il passé ?"

"Il n’a ni travail ni argent, mais je crois bien qu’il me prend pour Dieu."

Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ?





Un professeur universitaire a défié ses étudiants avec cette question :

-"Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ?
Un étudiant a bravement répondu : - Oui, Il l'a fait !
Le professeur a dit : - Dieu a tout créé ?
- Oui, monsieur, a répliqué l'étudiant.
Le professeur a répondu : si Dieu a tout créé, il a donc aussi créé le mal, puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais.

L'étudiant était resté silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même et il se vantait aux étudiants qu'il avait prouvé encore une fois que la foi était un mythe.
Un autre étudiant a levé sa main et a dit : - Puis-je vous poser une question professeur ?
- Bien sûr, a répondu le professeur.
L'étudiant a répliqué : - Professeur, le froid existe-t-il ?
- Quel genre de question est-ce, cela ? Bien sûr qu'il existe. Vous n'avez jamais eu froid ? a répliqué le professeur.
Le jeune homme a répondu : - En fait monsieur, le froid n'existe pas.
Selon la loi de physique, ce que nous considérons comme le froid, est en réalité l'absence de chaleur.
Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l'énergie.
La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l'énergie.
Le zéro Absolu (-460°F) est l'absence totale de chaleur ; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température.
Le Froid n'existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n'avons aucune chaleur.

L'étudiant a continué : - Professeur, l'obscurité existe-t-elle ?
Le professeur a répondu : - Bien sûr qu'elle existe !
L'étudiant a répondu : - Vous avez encore tort Monsieur, l'obscurité n'existe pas non plus.
L'obscurité est en réalité l'absence de lumière. Nous pouvons étudier la Lumière, mais pas l'obscurité.
En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d'onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l'obscurité.
Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d'obscurité et l'illuminer.
Comment pouvez-vous savoir l'espace qu'occupe l'obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente.
N'est-ce pas vrai ? L'obscurité est un terme utilisé par l'homme pour décrire ce qui arrive quand il n'y a pas de lumière.
Finalement, le jeune homme a demandé au professeur : - Monsieur, le mal existe-t-il ?


Maintenant incertain, le professeur a répondu : - Bien sûr comme je l'ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour.
C'est dans les exemples quotidiens de l'inhumanité de l'homme envers l'homme.
C'est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde.
Ces manifestations ne sont rien d'autre que du mal !


L'étudiant a répondu : - le Mal n'existe pas Monsieur, ou du moins il n'existe pas de lui-même.
Le Mal est simplement l'absence de Dieu en soi. Il est comme l'obscurité et le froid, un mot que l'homme a créé pour décrire l'absence de Dieu en soi.
Dieu n'a pas créé le mal. Le Mal n'est pas comme la foi, ou l'amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur.
Le Mal est le résultat de ce qui arrive quand l'homme n'a pas l'amour de Dieu dans son coeur.
Il est comme le froid qui vient quand il n'y a aucune chaleur ou l'obscurité qui vient quand il n'y a aucune lumière."
Le professeur s'est assis

Juste pour réfléchir




Notre Père qui es aux cieux,
Que le travail soit léger,
Que les patrons partent en vacances,
Que notre volonté soit faite au bureau comme à la maison.
Donne-nous aujourd’hui un jour de congé, une semaine de
Récupération et un mois de réflexion.
Pardonne-nous nos absences commme nous pardonnons aussi
À ceux qui nous font travailler.
Ne nous soumets pas aux observations , aux baisses de
Salaire, aux embargos et aux overtimes,
Mais délivre-nous de cet enfer,
Car c’est à toi qu’appartient le pouvoir d’augmenter
Notre salaire et nos jours de congé tout en diminuant notre travail.

Dieu travaille les pensées!!




Un jour à la résidence universitaire de Schoelcher en Martinique,un jeune homme gara sa voiture.Il venait là dans le but d'avoir une relation sexuelle avec une fille qu'il n'aimait point.Il s'arrêta pour saluer un ami chrétien à qui il demanda un préservatif,le jeune chrétien lui répondit poliment que non.Et ils engagèrent la conversation...Notre ami chrétien commença par lui demander si il aimait cette jeune fille qu'il comptait deshonorer,si il n'avait pas déjà une petite amie...Il lui parla ensuite de la morale,du danger de nourrir ce genres de relations,du hasard (lui demandant si il pensait que cette conversation était un hasard),du mariage...Notre jeune ami "volage" écoutait cela avec attention.Le chrétien finit par lui parler de Dieu,du Christ mort pour lui sur la croix malgré toutes ses transgressions,des ruses du Diable,du Paradis et de l'Enfer.Il lui dit également qu'il l'aimait et que c'est pour cela qu'il lui parlait ainsi.Puis,comme si de rien n'était il changea de sujet,laissant son ami dans ses pensées...C'est alors que ce dernier lui coupa la parole et lui dit:"Tu as raison,je vais rentrer chez moi,bonne nuit!"
Gloire à Dieu qui plaça un de ses enfants sur le chemin de ce jeune garçon,quoique l'on pense Dieu travaille toujours les coeurs et les pensées des plus "robustes".Aucune barrière ne peut lui résister!!

Vous attendez votre Messie pour bientôt…?





Au Caire, une dame dit un jour à un jeune Juif : "Vous attendez votre Messie pour bientôt…?"
"Oui" répondit le jeune homme, "nous croyons qu'il va venir dans les six prochaines années."
"Est-ce qu'il aura des BLESSURES dans ses mains ?" Demanda la dame. Et pendant qu'il la regardait, se demandant ce qu'elle voulait dire, elle continua : "Votre prophète Zacharie a dit que, quand le Messie viendrait, ils vont lui dire : "Quelles sont ces blessures que tu as aux mains ?" Alors il répondra, "C'est que j'ai été frappé dans la maison, de ceux qui M'AIMAIENT ! (Zac.13 : 6)
"EST-CE QUE TON Messie aura des blessures dans ses mains ?" - Le jeune homme la quitta, mais il revint le lendemain matin l'air très perturbé. "Il lui dit- je n'ai pas pu dormir cette nuit, TOUTE LA NUIT je me suis demandé - S'il a des blessures dans ses mains, comment les a-t-il eu ? - Je suis revenu vous demander de m'en dire davantage." - Imaginez sa joie de raconter à quelqu'un qui voulait tellement l'entendre, la merveilleuse histoire de la croix, où le Seigneur fut frappé pour nos transgressions. Il reçut Jésus, le crucifié, comme son Messie et Sauveur et il fut même le moyen pour en amener 3 autres à Christ.

Rien ne doit nous effrayer excepté le péché




Quand Chrysostome fut arrêté par l'empereur de Rome, il fut demandé à ce chrétien Grec de renier sa foi, mais sans succés. Alors l'empereur consulta ses conseillers afin de décider de ce qu'il ferait au prisonnier. "Le mettrons-nous dans un donjon ?" Demanda l'empereur. "Non", répondit un de ses conseillers. "Car il serait content d'y aller. Cet homme aime bien la tranquilité pour jouir des grâces de son Dieu." "Alors il sera exécuté !" Dit l'empereur. "Non." Fut la réponse, "car il sera content là aussi de mourir. Il dit que dans l'éventualité de la mort, il se trouvera dans la présence de son Seigneur."
"Que ferons-nous alors ? " demanda le dirigeant. "Il n'y a qu'une chose qui attristera Chrysostom," dit le conseiller. "Pour faire souffrir Chrysostom, faites-le pécher. Rien d'autre ne l'effraye excepté le péché."

Dieu devait nous condamner à moins que…




Dans un transatlantique, une tuyauterie conduisant de la vapeur éclata. L'explosion jeta la consternation à bord. Le premier machiniste arriva expliquant la gravité de la situation. Tous les passagers à bord étaient en péril. La fuite de la vapeur ne pouvait être stoppée qu'au péril de la vie de celui qui tenterait de le faire.
Personne ne voulu se porter volontaire de peur d'être ébouillanté à mort. FINALEMENT, un mécanicien chargé d'alimenter les chaudières se présenta avec un sac sur la tête. TOUS les regards se portèrent sur lui lorsqu'il descendit l'échelle…la vapeur s'arrêta. On le trouva mort, tué par la vapeur. UN HERO. Il sauva les vies …

Pardonner est un choix !Supprimer le sujet|Répondre au sujet




Quand les premiers missionnaires chrétiens sont arrivés chez les Esquimaux, ils découvrirent qu'il n'existait de mot dans leur langue pour parler du pardon. Alors quand ils ont commencé à traduire la Bible dans leur langue, ils prirent plusieurs mots et les ont reliés pour créer un nouveau mot signifiant, pardon…
Le mot en Esquimau est : "Issumagijoujungnainermik." Il signifie littéralement, "Choisir-de-ne-plus-y-penser-dorénavant." Quand un autre croyant t'a fait du tort et il s'est repenti, tu dois lui pardonner. En d'autres mots, tu dois, "choisir de ne plus y penser dorénavant." Pardonner est un choix !

De quelle façon vous approchez-vous de Dieu ?




Une femme était hospitalisée quand on lui annonça la mauvaise nouvelle sur sa santé. Elle était tellement en colère contre Dieu qu'elle s'est rendue à la chapelle de l'hôpital pour dire à Dieu sa révolte. Elle était en colère parce qu'elle pensait que Dieu avait trompé les gens en leur disant qu'il était un Dieu d'amour.
Arrivant à l'entrée de la chapelle elle a trébuché et elle est tombée sur sa face. Quand elle a levé les yeux, là, au bas de l'autel elle lit une inscription, "Oh Dieu ! Aie pitié de moi qui suis un pécheur !" A ce moment-là, son cœur se brise et elle réalise qu'elle n'a pas à blâmer Dieu, au contraire, elle devrait lui demander d'avoir pitié d'elle, et c'est ce qu'elle a fait… Et Dieu l'a guéri…

Un jour sa patience atteindra sa limite !




Au 19ème siècle il n'y avait pas la radio ou la télé, alors les gens passaient le temps à l'écoute d'orateurs. Un des plus fameux était un athée talentueux du nom de Robert Ingersol. Il allait de ville en ville racontant combien c'était absurde de croire en Dieu. Une de ses méthodes la plus dramatique était de se tenir devant son auditoire et lever le poing contre le ciel et de dire, "S'il y a un Dieu, qu'il ose me frapper de mort dans les 10 secondes qui suivent !" Ensuite il comptait lentement jusqu'à dix ! Des femmes se trouvaient mal, des croyants se sauvaient vers la sortie, s'attendant à ce que la foudre consume Robert Ingersol. Bien sûr, rien ne se passait. Après avoir fini de compter, Ingersol mettait au défi son auditoire de réfuter sa logique… On raconte que dans une petite ville, une dame d'un certain âge, et croyante, se mit à rire et dit à voix haute, "Monsieur Ingersol, pensez-vous épuiser la merveilleuse patience de Dieu en seulement 10 secondes ?"

La persuasion




Il y a des années, la revue "Time Magazine" était dans le déclin, alors les dirigeants ont mis sur pied une campagne pour envoyer des milliers de lettres espérant provoquer des abonnements.
A l'époque, tout le courrier était fait à la main et nécessitait beaucoup de main d'œuvre.
I.B.M. proposa d'installer un système tout automatique qui écrirait les lettres, les mettrait dans les enveloppes, fermerait l'enveloppe, écrirait les adresses, timbrerait et enverrait le courrier sans manipulation humaine. Ce puissant ordinateur se mit au travail et bien entendu, on attendait beaucoup de ce nouvel outil ! Mais comme c'est souvent le cas il y a eu un hic. Un pauvre berger dans le Wyoming a reçu 12 634 lettres lui demandant de souscrire un abonnement à "Time Magazine." Après en avoir lu quelques dizaines, il envoya son inscription avec un petit mot disant, "Je me rends !" C'est dur de résister à ce genre de persuasion !