samedi 1 mai 2010

Les deux portes.




Devant la porte d'un cabaret, un homme se tenait debout, un mètre à la main. Il mesurait la porte et, se parlant à lui-même, il disait : "Elle n'est pas bien grande, 2 m sur 0,80 m. Pourtant, j'avais une jolie maison autrefois, mais elle est passée par cette porte ; j'avais de beaux meubles, ils y sont passés aussi ; une belle situation, une magnifique santé, maintenant, je ne suis plus qu'une pauvre loque humaine ! Ma femme qui m'était très attachée, mes enfants très affectueux, mes amis, mes voisins, tout est passé par cette porte ; par elle, j'ai tout perdu, tout !

"Porte maudite, dit-il en lui montrant le poing, je fais le vœu de ne jamais plus franchir ton seuil !"

Il était esclave de ce terrible maître qui ne s'appelle pas seulement l'alcool, mais le péché qui est la porte de l'enfer. Mais il existe une autre porte que l'on appelle la porte du salut.

Cette porte, ce n'est pas une religion, une doctrine, des rites à accomplir, un code de vie morale. Non ! C'est une personne, Jésus, qui a dit : "Je suis la porte, si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé".

Cette porte est accessible à tous.

Elle s'ouvre toute seule pour l'homme au cœur brisé, humilié, contrit.

Jésus a dit : "Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi" (Jean 6/37).

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