mercredi 12 mai 2010

L'amour du père(2)




Un père avait ouvert à ses enfants des comptes épargne assez bien garnis. Son plus jeune fils, arrivant à sa majorité, entêté et obstiné, décida qu'il aurait complète autonomie, ainsi il dit à son père :" Pourrais-tu me donner mon épargne maintenant comme ça je pourrais aller où je veux et vivre et faire comme je veux sans être obligé de toujours t'en faire part." - Après un temps assez court, le jeune homme s'en alla à la ville prenant son argent. Il eut du bon temps, faisant son chemin dans la haute société. Tout le monde aimait ce garçon généreux. Les femmes étaient pendues à son cou. Ce fut une année brillante. Il s'éclatait, et ne donna même pas un coup de fil à la maison. Puis ce fut l'effondrement !

La situation économique était des plus mauvaises; Les affaires marchaient mal à cause d'une sécheresse épouvantable et il n'y avait plus d'argent pour s'en sortir. Les gens perdaient tout ce qu'ils avaient. Le jeune homme n'arrivait pas à trouver un travail décent et se trouva dans une impasse. Rien à l'horizon pour se faire un peu d'argent. À cause de ses dettes il ne pouvait même pas se nourrir; Il était affamé la plupart du temps.
Une nuit, son estomac grouillait, il se rappela tout ce qu'il y avait à manger dans la maison de son père. Alors qu'il grelottait dans sa chambre froide, il se rappela la grande maison bien chauffée de son père. SOLITAIRE. Il appela ses anciens copains, mais aucun d'eux ne voulu l'aider. Dès qu'il se trouva dans l'incapacité à régler les additions, ils avaient disparut les uns après les autres. A ce moment là il se souvint de l'amour et des rires qui remplissaient la maisonnée quand il était avec son père.

Quel fou ! Il avait rejeté les choses les meilleurs pour quelques mois de frissons bons marchés. Même les ouvriers embauchés par mon père vivent mieux que moi ! Je vais retourner à la maison ; J'ai offensé Dieu et mon père, et je n'ai plus le droit de vivre désormais comme un fils. Je vais juste demander un travail dans l'entreprise familiale. Ainsi le lendemain il prit le chemin de la maison. Il ne prit même pas la peine de prévenir.

Quand le bus l'a déposé au village, il n'avait pas de quoi payer un taxi, il fit donc le reste du chemin à pied.

Quand il arriva au virage qui se trouvait encore loin de la maison, son père était dehors sur la pelouse. IL LAISSA TOMBER CE QU'IL ETAIT en train de faire et se précipita sur le chemin à la rencontre DE SON FILS PERDU DEPUIS SI LONGTEMPS. ----- Quand le fils le vit venir vers lui, il se prépara à recevoir les paroles de reproches qui n'allaient pas manquer de lui être adressées. Il se remémora les paroles qu'il allait lui dire : -ce qu"PAPA, JE SUIS VRAIMENT DESOLE D'AVOIR FAIT LE FOU et aussi, J'AI OFFENSE Dieu ET TOI PAR MES FOLLES ACTIONS. Je ne m'attends pas à ce que tu me traites comme ton fils désormais. Est-ce que tu aurais un petit travail pour moi , ne serait-ce qu'à m'occuper du courrier de l'entreprise ?"

Quand son père arriva près de lui, il commença à parler MAIS SES PAROLES SE SONT PERDUES dans une vigoureuse étreinte.
Pendant ce temps le chauffeur et le maître d'hôtel les avaient rejoint. Le papa était si excité qu'il commença à donner des ordres. "Allez chercher quelques nouveaux vêtements pour mon fils. Dites au personnel de préparer un dîner pour célébrer cet événement. Invitez nos amis d'alentour. Pour moi mon fils était comme mort, mais il est vivant. Je croyais l'avoir perdu à jamais et le voici de retour à la maison."

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