mercredi 11 août 2010

La vraie liberté










Jésus dit : moi, je suis la porte. Jean 10. 9
Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. Matthieu 11. 28
Celui qui a le Fils (de Dieu) a la vie.

Un moineau s’était réfugié dans une salle d’examen. Il était pris au piège : les fenêtres étaient condamnées et la porte conduisait à un couloir d’où il ne pouvait guère sortir. Un surveillant, aidé d’un élève, cherchait à délivrer le pauvre oiseau et l’incitait à se diriger vers la seule issue possible : une petite ouverture donnant vers l’extérieur. Le passereau, effrayé, voulait fuir par les fenêtres qui n’étaient pour lui que des leurres. Il fallut beaucoup de patience pour lui faire prendre la bonne direction. Finalement, il se posa sur le rebord de l’ouverture et s’envola au dehors : il était sauvé.


Tout homme qui ne s’est pas tourné vers Dieu ou qui l’a abandonné, est comme ce moineau. Il est exposé au piège de ses convoitises et de ses mauvais penchants. Le chrétien qui s’éloigne de Dieu perd sa joie et sa paix ; l’incroyant reste exposé au jugement éternel.
Même si le diable fait miroiter de belles promesses, elles sont comme les fenêtres condamnées de la salle d’examen. Elles ne permettent pas de trouver la vraie liberté. Celle-ci ne s’obtient qu’en « passant » par Christ qui se présente comme étant la seule porte de délivrance.
Dieu veut délivrer les hommes, même si son amour est parfois obligé de les effrayer afin qu’ils cherchent le salut. Que je sois encore incroyant ou que je sois un croyant égaré, ma seule issue est Jésus : c’est vers lui que je dois me tourner sans tarder.

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