lundi 16 août 2010

Les incohèrences de l'évolution




Mastophora hutchinsoni est une variété d’araignée qui ne tisse pas de toile. Pour capturer ses proies, elle fait pendre un fil terminé par une gouttelette de suc collant contenant la même phéromone sexuelle que celle d’une espèce de papillon de nuit qui, par l’odeur, est donc attiré vers l’araignée. Celle-ci, alors, fait tournoyer la gouttelette en direction du papillon qui vient s’y coller et se fait prendre.

La situation se complique quand on constate que Mastophora, avant 22 h 30, capture une espèce particulière de papillon, et après 23 h, une autre espèce. Or, chaque phéromone est spécifique à chaque espèce de papillon : attirante pour l’une, elle laisse indifférente une autre, ou se révèle même repoussante.

Kenneth Haynes, de l’Université du Kentucky (U.S.A.), a pu donner la réponse :
L’araignée, durant la demie-heure de battement, modifie la composition chimique de sa gouttelette pour l’adapter à l’espèce qui s’envole après 23 h . Prodigieux ! Non ?

L’auteur de l’article ( « Sciences et Avenir » Août 02 ) dit ceci : « Incapables de produire une toile, ces araignées ont dû développer une technique de chasse originale ».

Chez les humains, il faut des années d’étude, de pratique et d’expérimentation pour faire un bon chimiste capable de produire de nouvelles substances adaptées aux fonctions prévues. L’auteur de l’article ne dit pas selon quelles études de chimie et dans quels laboratoires des générations de Mastophoras ont pu développer et mettre au point des techniques chimiques aussi sophistiquées.

Il est vrai que la bonne fée « Evolution » a plus d’un tour dans son sac.
L’important est d’y croire, sans réfléchir, comme on le fait pour un dogme religieux, bien que ses « croyants » prétendent que c’est l’explication la plus rationnelle qui ait jamais été apportée aux mystères de la Nature ( ?).

L’hypothèse de l’évolution, pour maintenir sa station debout…chancelante, a besoin de l’appuyer sur la béquille de millions…ou milliards d’années d’ancienneté.

C’est pourquoi, selon Sciences et Avenir d’août 2002, des paléontologues (spécialistes des fossiles) ont attribué 7 millions d’années d’âge à un crâne fossile trouvé en Afrique, à l’ouest du Tchad sur un site désertique où, par 58°C, sans ombre, des vents soufflent souvent à 100km/h, déplacent les dunes jusqu’à 5 mètres par jour et érodent le grès, jusqu’à 3 cm par an, découvrant, ou les ensevelissant, des fossiles encore emprisonnés dans leur gangue de grés, et dénudés par les vents. Ce crâne, appelé Toumaï (« espoir de vie » en langue Goran ), est-il celui d’un homme, d’un singe, ou d’un ancêtre commun aux deux ?
C’est une question conforme au système évolutionniste.

Le grès est une roche sédimentaire compacte et si dure qu’on en fait des meules pour affûter des outils en acier. Or, le vent du désert tchadien use ce grès de 3 cm chaque année. Comment un crâne en os, matière organique, fragile et putrescible, a-t-il pu résister à 7 millions d’années de conditions climatiques aussi rigoureuses et être retrouvé « dans un excellent état de conservation » ?

Selon la chronologie biblique, l’espèce humaine a environ 6200 ans. Un déluge d’eau, 2500 ans avant J.C., a recouvert la planète entière, détruisant toute vie terrestre ( et marine, en partie ), ce qui explique que sur le site tchadien, on a trouvé plus de 700 fossiles d’espèces différentes : mammifères, petits et grands, poissons amphibiens, etc…

Ces datations ne vous semblent-elles pas plus conformes au bon sens scientifique… et à la révélation biblique ?

Création, ou évolution ? Ces deux hypothèses sont inconciliables. Il faut choisir. J’ai fait mon choix. Et vous ?

Michel Renneteau
(Extrait de sa brochure :« Voir, réfléchir, témoigner aujourd’hui », avec la permission de l’auteur)
15320 RUYNES en MARGERIDE (France)

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